PParlons Cash : Démystifier l’économie, en débattre autrement On en parle peu, ou mal. Pourtant, l’économie structure nos vies, influence nos choix, nos rêves et parfois nos frustrations. Derrière les chiffres et les grandes théories, c’est d’abord une affaire humaine, faite de travail, de consommation, de partage et de pouvoir.Avec Parlons Cash, la Scène27 et l’Institut des Futurs Souhaitables vous propose une soirée pour remettre l’économie à hauteur d’individus : comprendre comment elle façonne notre quotidien, explorer les grands modèles qui la structurent, du capitalisme aux alternatives émergentes, et imaginer ensemble à quoi pourrait ressembler notre économie de demain.Pensé comme une véritable expérience collective de débats et de réflexions, l’événement mêlera échanges participatifs, interventions d’experts aux points de vue très différents et proposition artistique. Objectif : bousculer nos certitudes, questionner nos repères et ouvrir de nouvelles pistes d’action.Et comme toujours avec nos événements, l’idée est de vous faire passer un bon moment : un verre à la main, un bon plat à partager, une ambiance musicale et une atmosphère conviviale pour penser autrement et ensemble.Pour en savoir plus :Scène 27
LL’économie pour les 99% En partant à la rencontre des salariés d’une raffinerie, d’agriculteurs ou encore de la jeunesse engagée pour le climat, Thomas Porcher nous invite à réfléchir au fonctionnement de l’économie dans notre société et aux dérives du libéralisme.Y a-t-il d’autres modèles possibles ? Est-il utopique de vouloir plus de justice écologique et sociale ?S’appuyant sur les épisodes marquants de l’histoire de l’économie et sur des exemples concrets, l’auteur donne des clés pour se réapproprier un débat trop souvent confisqué. Mieux encore, il partage dix principes d’autodéfense économique pour les 99 % d’entre nous.La dessinatrice Ludivine Stock et le scénariste Raphaël Ruffier-Fossoul viennent à la BU Chevreul pour présenter leur bande dessinée parue en 2024 : L’économie pour les 99%.Rencontre animée par : Rebeca Gomez Betancourt, professeur des universités en sciences économiques – Université Lumière Lyon 2 / Triangle (UMR 5206).Pour en savoir plus, consultez le site :Université Lumière Lyon 2
DDe vive voix #25 | Hortense Raynal Rencontre et lecture avec l’écrivaine Hortense Raynal autour de son livre de poésie Bouche-fumier (2024, Éditions Cambourakis, 2025 pour la version poche) qui explore ce que c’est que d’être poétesse en 2025, d’adopter cette position-là dans le monde contemporain.Son travail littéraire explore la saturation de la langue, la polyphonie de la pensée, elle cherche une syntaxe impressionniste en creusant la matière organique (terre, foin, fumier) sans que son œuvre ne s’y résume tant elle va chercher toujours ailleurs.Intervenante : Hortense Raynal, écrivaine poétesse et performeuse. Son premier recueil, Ruralités, paraît en 2021 aux Carnets du Dessert de Lune. Son deuxième livre, Nous sommes des marécages, paraît en 2023 chez Maëlstrom, dans la collection Rootleg. Son troisième livre, Bouche-fumier, est paru en 2024 aux éditions Cambourakis, collection Sorcières. Il fait partie de la première sélection du Grand Prix SGDL Poésie 2025 et sort en poche à la rentrée littéraire de septembre. Abandons paraît en 2025 aux éditions de La Crypte.Rencontre animée par :Nathan Gilquin, doctorant en lettres, Université Lumière Lyon 2 – Laboratoire Passages XX-XXI ;Marie-Apolline Joulié, doctorante en lettres, ENS de Lyon au Centre d’études et de recherches comparées sur la création – CERCC ;Lila Marchant, doctorante en lettres, ENS de Lyon à l’Institut d’Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités – IHRIM.Pour en savoir plus, consultez le site :Bibliothèque Diderot
MMusique en transition : l’impératif écologique En 2023, le Conservatoire national supérieur musique et danse – CNSMD – de Lyon s’est doté d’une feuille de route écologie avec l’ambition de favoriser l’émergence « d’une génération d’artistes conscients des limites planétaires, acteurs du changement de leurs propres pratiques et créateurs de nouveaux récits, en transformant nos formations et en prenant part à la réflexion collective au bénéfice d’une société résiliente attachée à nous connecter au vivant et à le protéger. »Le CNSMD Lyon vous propose d’aborder l’impératif écologique par le prisme de la musique avec deux journées de colloque de la recherche les lundi 17 et mardi 18 novembre, et un concert de l’Orchestre du CNSMD Lyon en introduction dimanche 16 novembre.Concert : Pastorale +Rite annuel bien installé, le concert de l’Orchestre du CNSMD Lyon nous transporte cette saison dans de magnifiques paysages et vient interroger notre rapport à la nature avec une création des étudiant·es en composition. >> Sur réservationColloque : Musique en transition : l’impératif écologiqueAvec près d’une trentaine d’invités, chercheuses et chercheurs, compositrices et compositeurs, interprètes et professionnels du secteur, le colloque abordera plusieurs thématiques. >> Sur insciptionPour en savoir plus, consultez la page :Musique en transition
UUniversité Tous Âges De novembre 2025 à juin 2026, l’Université Tous Âges de l’Université Lumière Lyon 2 (UTA) vous invite à explorer 29 cycles de conférences conçus pour éveiller la curiosité et nourrir la réflexion. Une programmation, riche et variée, qui met en lumière la diversité des Sciences Humaines et Sociales : histoire, cinéma, psychologie, lettres, arts, environnement et bien plus encore.Ces rencontres sont l’occasion d’échanger directement avec des universitaires engagés dans leurs disciplines, autour de thèmes qui résonnent avec les grands enjeux de notre société : sciences, littérature, religions, famille et autres sujets d’actualité.L’Université Tous âges, service de l’Université Lumière Lyon 2, s’inscrit dans le cadre des missions de l’Université pour la diffusion des savoirs, de la culture et de la recherche en sciences humaines et sociales. Les conférences de l’UTA sont accessibles à tout public, sans condition de diplôme, sans examen. Chaque cycle est composé de 6 conférences de 2 heures.> Programme complet, modalités d’inscription et informations pratiques sur :Université Tous Âges
CColloque de l’association Femmes & Sciences L’égalité en Sciences : agir de l’école maternelle à l’enseignement supérieur !Après avoir abordé comme thématiques l’informatique, la physique et les climats, l’association Femmes & Sciences a choisi cette année, pour son colloque ainsi que pour le séminaire de formation associé, de présenter les actions qu’elle mène à destination des jeunes depuis l’école maternelle jusqu’à l’enseignement supérieur pour favoriser l’égalité filles-garçons et pour amener davantage de filles à choisir des orientations scientifiques.> Programme :12 novembre | webinaire : en lien avec le colloque, une journée de formation destinée aux enseignant.es du primaire et du secondaire est proposée en visioconférence sur le thème.14 novembre | en présentiel : journée colloque ouverte à toute personne intéressée par la thématique – Amphi Descartes à l’ENS de Lyon.Pour en savoir plus, consultez le site :Femmes & sciences
PParlez-nous de… Lyon et ses livres. L’arrivée de l’imprimerie au XVe siècle À quoi ressemblait l’objet livre au début de l’imprimerie à Lyon qu’il soit manuscrit ou imprimé ? Qui possédait ces ouvrages et comment étaient-ils conservés, échangés et transmis ?Une rencontre organisée à l’occasion de la parution de l’ouvrage Entre manuscrits et imprimés, Lyon et ses livres (1470-1520) de Jean-Benoît Krumenacker (Lyon : ENS Éditions, 2025).Intervenant : Jean-Benoît Krumenacker, enseignant-chercheur Université Lumière Lyon 2, CIHAM, Centre Gabriel Naudé ; spécialisé dans l’histoire du livre et de Lyon à l’époque médiévale.Animée par : Francesco Montorsi, maître de conférences en Langue et Littérature médiévale, Université Lumière Lyon 2, CIHAM.Pour en savoir plus, consultez le site de :Bibliothèque Diderot
EEn finir avec la culture du jetable ? / Soirée de lancement du Pop’Sciences Mag #16 À l’occasion de la sortie du 16e numéro du Pop’Sciences Mag « Matière, vers un cycle vertueux », l’équipe Pop’Sciences et la bibliothèque municipale de Lyon proposent de venir interroger notre relation à la matière : comment en finir avec la culture du « jetable » ?Des objets du quotidien aux matériaux de construction, en passant par nos véhicules, nous consommons sans cesse de la matière. Des ressources qui sont pourtant limitées, et qui terminent leur vie parmi les plus de 300 millions de tonnes de déchets produits par an en France. Il devient, alors, important de penser de nouveaux modèles de consommation, d’usages et de gestion de ces matières.Des alternatives existent : nos objets électroniques inutilisés sont de potentielles mines à métaux précieux ; des tuiles d’un bâtiment déconstruit peuvent être réutilisées dans un nouvel édifice ; vos pneus de voiture pourraient vous être prêtés, et une fois abimés, être remis à neuf par leur producteur…En présence de scientifiques et experts lyonnais, nous interrogerons ces alternatives et discuterons de leurs limites, souvent structurelles, réglementaires ou encore culturelles. Quels leviers permettraient de les généraliser ?La rencontre-débat proposera un éclairage sur ces questions grâce aux regards croisés de :Fanny Verrax, professeure associée en transition écologique et entrepreneuriat social, emlyon business school.Jean-François Gérard, professeur à l’INSA Lyon, directeur du PEPR « Recyclage, recyclabilité et réutilisation des matières ».______________________________________________________________________________________________________>> PROGRAMME :18h30 – Présentation du 16e numéro du Pop’Sciences Mag18h45 – Rencontre – débat19h45 – Discussion avec le publicUn exemplaire du Pop’Sciences Mag #16 vous sera remis dans le cadre de cette rencontre.________________________________________________________________________________________________________Cet événement Pop’Sciences – Université de Lyon est organisé en collaboration avec la Bibliothèque municipale de la Part-Dieu.Le Pop’Sciences Mag #16 « Matière, vers un cycle vertueux » a été :Réalisé grâce à la contribution de chercheurs issus des établissements et instituts suivants : Université Claude Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, Université Jean Moulin Lyon 3, Université Jean Monnet Saint-Étienne, École normale supérieure de Lyon (ENS de Lyon), Centrale Lyon, Institut national des sciences appliquées Lyon (INSA Lyon), Sciences Po Lyon, École nationale des travaux publics de l’État (ENTPE), École nationale supérieure d’architecture de Lyon (ENSAL), emlyon business school, CPE Lyon, Mines Saint-Étienne, Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Institut Carnot Ingénierie@Lyon, Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), Université de Lancaster. Développé avec le soutien de la Métropole de Lyon, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la CASDEN. Photo Vincent Noclin
AAllons-nous manquer d’électricité ? Pour atténuer le réchauffement climatique, nous devons réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Il faut diminuer notre consommation d’énergies carbonées : gaz, pétrole et charbon, et augmenter indéniablement le recours à l’énergie électrique, d’origine nucléaire ou renouvelable.L’électricité est constamment là pour nous, elle garantit le bon fonctionnement de nos éclairages publics, des établissements publics (santé, éducation…), des commerces et des industries, des appareils électroménagers dans nos foyers, ordinateurs, téléphones, téléviseurs….Et comme pour tout, on ne mesure vraiment l’importance d’une chose que lorsqu’elle vient à manquer. Mesure-t-on à quel point nous dépendons de l’électricité ?Intervenant :Alain Beltran, directeur de recherche au CNRS ; ses travaux portent sur l’histoire des entreprises de service public, en particulier dans le secteur de l’énergie. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur l’histoire économique et industrielle de la France.Pour en savoir plus, consultez le site :Bibliothèque municipale Lyon 1er
NNous les pacotilleuses Pacotille ou Paquotille est un terme de commerce de mer qui signifie un certain poids, volume ou quantité de marchandises qu’il est permis aux officiers, matelots et gens de l’équipage d’embarquer pour en faire commerce pour leur compte.L’exposition Nous les pacotilleuses s’inspire de la figure des pacotilleuses, femmes commerçantes qui, à partir du milieu du 18e siècle, circulaient à travers les îles de la Caraïbe. Elle permet d’aborder des questions de marchandises et de consommation, les circulations d’objets, de récits, de savoirs et de corps à travers l’histoire coloniale, révélant une autre histoire du capitalisme.Pour en savoir plus, consultez le site :Ensba©Ensba