LLa manifestation des autres L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon vous invite à l’exposition : La manifestation des autres, imaginée par l’artiste Sophie Lamm dans le cadre de la soutenance du Diplôme supérieur de recherche en art — DSRA — au sein de l’unité de recherche Art contemporain et temps de l’histoire — ACTH .L’exposition collective présente les œuvres d’artistes de générations différentes partageant une attention particulière aux autres et la création de formes qui, avec des approches diverses, répondent à l’im-pensée, au surgissement de ce qui pour l’artiste est au seuil de l’atelier.L’exposition a été pensée comme un éclairage sur ce qui dans la pratique picturale est souvent abordé comme une énigme, résultat d’une confrontation complexe de l’auteur avec des sources se référant à de multiples images déjà produites comme à des faits sociaux et politiques.Sophie Lamm revisite dans sa recherche la notion de métamorphose, présentée dans l’ouvrage anthropologique, poétique et politique Masse et Puissance d’Elias Canetti, pour étudier et rendre intelligible la relation qui se noue entre l’élaboration de sources et le travail de stratification de la matière peinte et sa qualité organique propre.Elle construit le dialogue avec les œuvres des artistes convoqués à partir de deux projets se situant au départ et à la conclusion du parcours de recherche au sein de l’unité Art contemporain et temps de l’histoire : l’installation La Ronde à l’intérieur, (2020), œuvre produite par le Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA avec le soutien de CDA-Développement et du Programme Résidence en entreprises du ministère de la Culture et la dernière série de peintures À la mémoire des sans noms.Remerciements : Galerie Papillon (Paris), IAC-Institut d’art contemporain (Villeurbanne), Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA (Bordeaux), pour les prêts d’œuvres accordés.>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :ENSBA
LLe Banquet | Art contemporain et temps de l’histoire L’unité de recherche Art contemporain et temps de l’histoire expérimente un nouveau format de rencontre : Le Banquet.Le colloque Contradiction, antagonisme et négativité, tenu à l’Ensba Lyon – École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon, en mars 2022, se proposait d’explorer des stratégies et des pratiques culturelles contemporaines qui semblent réagir à la condition “post-historique” en mettant au travail la répétition, l’altérité radicale ou le négatif de la négativité. L’unité de recherche a travaillé en particulier sur la stase, le gag ou la suspension, formes qui peuvent apparaître dans les luttes sociales contemporaines comme des sortes d’antagonisme raté, une amnésie, ou pire, un renoncement à la lutte. Le colloque a proposé d’analyser ces formes présentes dans les stratégies artistiques contemporaines, comme une autre modalité d’antagonisme négatif, suggérant qu’il s’agit bien d’autres forces vitales, toutes dirigées à défendre l’exigence d’une autre forme de vie.En raison du début de la guerre en Ukraine, il s’est avéré impossible d’inviter Oxana Timofeeva pour discuter avec elle de son livre The History of Animals : A Philosophy. Cette absence a développé au sein de l’unité de recherche, et grâce aussi aux travaux de Yann Annicchiarico et Michala Julinyova, une discussion sur la présence de l’animal comme limite et mise en suspens de la perception. L’unité de recherche se propose de développer ces thématiques lors de 3 banquets. Il s’agit d’organiser la pensée et la prise de parole en fonction des plats qui sont partagés.Le premier invité, l’artiste albanais Lek M. Gjeloshi, le lundi 21 novembre, discutera de son installation Dans la fresque de la crucifixion de Visoki Decani, il n’y a pas d’OVNI, présentée cet été à Manifesta à Pristina, autour d’une entrée composée d’une demi-betterave posée sur une tranche de fourme de Montbrison et d’une noix nichée en son centre. Une discussion générale sur la négativité et la position de l’animal s’engagera autour du tableau de Brueghel Le Pays de Cocagne qui dépeint un pays idéal de gloutonnerie où les cochons viennent un couteau déjà dans leur peau pour servir leur lard. Le plat principal autour de cette discussion ne pourrait être qu’une porchetta entière à couper sur table. En guise de dessert, Yann Annicchiarico introduira la question des seuils entre les mondes tels qu’ils interviennent lorsque le Dodécaèdre de Platon rencontre des traces de papillons de nuit attirés par sa lumière. Le dessert sera une coquille d’œuf intacte remplie d’une crème anglaise déposée dans un blanc d’œuf monté en neige. La grappa qui clôturera le banquet sera alors également servie dans ces coquilles d’œufs.Le banquet et les discussions sont introduites par Lucas Zambon et ses Réflexions agricoles avec Jean Giono : L’abondance, le blé et les chars d’assaut. La parole est distribuée par l’endimanché Maxime Juin, qui nous lit en fin de repas sa nouvelle La Sentinelle ou Les aventures extraordinaires de Jackson.Pour en savoir plus :Le Banquet
CContradiction, antagonisme et négativité L’unité de recherche Art contemporain et temps de l’histoire (ACTH) de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon a organise les 31 mars et 1er avril 2022 le deuxième volet du colloque « Contradiction, antagonisme et négativité ». Une première rencontre à Prishtina, Kossovo, a posé le cadre de la discussion et a permis de saisir le lien étroit qui lie la société (post)moderne aux diverses formes de négativité, d’antagonisme et d’exercice de la contradiction, en particulier dans les domaines de la théorie critique, de la politique post-coloniale, de la psychanalyse, de l’esthétique et des études queer et féministes.Le deuxième volet du colloque, « Contradiction, antagonisme et négativité », sous la direction de Bernhard Rüdiger, directeur de recherche ACTH, a exploré des stratégies et des pratiques culturelles contemporaines qui semblent réagir à la condition « post-historique » en mettant au travail la répétition, l’altérité radicale ou le négatif de la négativité.Pour en savoir plus :École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
LLà où les eaux se mêlent | Biennale d’Art contemporain 15e biennale MAC Lyon 2019-© Blaise Adilon15e édition de la Biennale d’art contemporain de LyonGrâce à la mise à disposition du site exceptionnel des Usines Fagor, qui se déploie sur plus de 29 000 m² au cœur de Lyon, cette 15e édition prend une ampleur sans précédent. Avec cette immense friche industrielle, l’intégralité du Musée d’art contemporain, des interventions sur toute la métropole et en région Auvergne-Rhône-Alpes, c’est un champ d’expérimentation hors norme qui s’offre aux artistes et donne à la manifestation une dimension nouvelle.Le commissariat est confié à l’équipe curatoriale du Palais de Tokyo.Isabelle Bertolotti, directrice du macLYON, est la nouvelle directrice artistique de la Biennale.Là où les eaux se mêlent est conçue comme un écosystème, à la jonction de paysages biologiques, économiques et cosmogoniques. Elle se fait ainsi le témoin des relations mouvantes entre les êtres humains, les autres espèces du vivant, le règne minéral, les artefacts technologiques et des histoires qui les unissent.En écho à la géographie même de Lyon, Là où les eaux se mêlent est le titre, emprunté à un poème de Raymond Carver, de la 15e Biennale d’art contemporain. Elle investit pour la première fois, outre le macLYON et de nombreux lieux associés, les halles désertées des anciennes Usines Fagor, situées au coeur du quartier Gerland.Une cinquantaine d’artistes de toutes générations et nationalités, dans une distribution paritaire, sont invité.e.s à concevoir des œuvres in situ.Au macLYON : Nina Chanel Abney, Gaëlle Choisne, Daniel Dewar & Grégory Gicquel, Jenny Feal, Karim Kal, Renée Levi, Josèfa Ntjam et Aguirre Schwarz.En savoir plus :mac Lyon
LLa Mêlée : exposition, projections et conférences Un projet vivant au coeur du jardin de Gilles Clément et dans la galerie ArtemisiaAlors que la Biennale d’art contemporain de Lyon se déroule pour la première fois dans les usines Fagor, à quelques pas de l’ENS de Lyon, ce projet permet à l’École de s’inscrire pleinement dans cet événement qui résonne dans toute la ville. Florence Meyssonnier, critique d’art et Olivier Hamant, chercheur au laboratoire RDP ont invité Tiphaine Calmettes à imaginer une interaction avec le site. Avec La Terre embrasse le sol, l’artiste a conçu un projet collaboratif qui va prendre forme au fil des 6 semaines de l’exposition : une structure en terre crue sera construite dans le jardin pendant 3 périodes de chantiers auxquels sont invités à participer les étudiants et toute personne intéressée (9-18 septembre, 30 septembre-4 octobre et 7-11 octobre).Progressivement, cette forme, conçue comme un lieu d’échange et de partage deviendra un lieu de rencontres, ouvert à tous, avec des chercheurs de l’ENS de Lyon et d’ailleurs, sur différentes thématiques. Des questionnements autour de l’écologie, de la pensée et de l’action, de la complexité, de la relation du vivant aux artefacts, sous-tendent cette fabrique du commun. Il s’agira de travailler simultanément sur le faire et le savoir dans une démarche collective de soin / hospitalité.Rencontres :Lundi 16 septembre à 17hL’histoire et la dimension sociale de l’architecture de terre, avec Samuel Dugelay, maçon, en charge du chantier et co-président de l’association De la matière à l’ouvrage, Erwan Hamard, ingénieur à l’IFSTTARJeudi 19 septembre de 18h à 20h : Habiter la terre, faits d’hier et enjeux d’aujourd’hui avec Olivier Hamant, biologiste, RDP, ENS de Lyon, Ioan Negrutiu, ingénieur agronome et biologiste, Institut Michel Serres, François Daillant et Joan Monga, membres de la coopérative bocagère de Notre-Dame-des-landesMardi 8 octobre de 17h à 19h Morphogénèse / sous-optimalité : Stéphane Douady (physicien, CNRS, Matière et Systèmes complexes), Olivier Hamant (biologiste, RDP, ENS de Lyon) et Matthieu Calame (expert des problématiques agricoles et alimentaires)Mercredi 09 octobre de 11h à 13h Animation et formes rituelles collectives de l’antiquité à aujourd’hui Permaculturel – projet du Magasin des Horizons – Béatrice Josse et Anne-Sophie Noël, Lettres et littératures grecques, ENS de LyonVendredi 11 octobre de 17h à 19hInterstice du commun, Hospitalité, émancipation et politiqueClaire Fauchon-Claudon, historienne, ENS de Lyon, HISOMA et Claude Fischler, sociologue de l’alimentation, CNRS, EHESSLundi 14 octobre de 17h à 19hLa fonction de l’éphémèreChristine Armangaud, historienne de l’artMardi 15 octobre de 17h à 19hLe monde revient. Construction et la transmission de récits autour de pratiques d’autonomie collective, enquêter.Rafanell Orra Josep, psychologue et psychothérapeuteEn lien avec ce projet trois films sont programmés dans la galerie Artemisia :16 septembre > 2 octobre / Jennifer Allora & Guillermo Calzadilla (avec Ted Chiang),The Great Silence, 20143 > 16 octobre / Etienne Chambaud, INCOMPLT, 201617 > 31 octobre / Fabien Giraud & Raphaël Siboni, Untitled (La Vallée Von Uexküll, …), 2009En résonance avec la Biennale d’art contemporain de LyonAvec le soutien de : laboratoires RDP et EVS, Eiffage, Association de la Matière à l’ouvrage, du CNAP et de la Fondation Gaia
AArts (ou Art) de chercher : l’enseignement supérieur face à le recherche-création Séminaire | Mardi 8 octobre 2019, de 9h30 à 19hLe site universitaire de Lyon Saint-Étienne se distingue par la présence sur son territoire de nombreuses écoles d’art et d’architecture (ENSATT, CNSMD de Lyon, ESADSE, ENSBA de Lyon, ENSAL, ENSASE) et des universités possédant des parcours de formation aux métiers des arts. Par ailleurs, au sein de l’Université de Lyon, se développent diverses formations hybrides où l’art s’invite pour exalter la créativité des étudiants, interroger les chercheurs sur leur processus de recherche, où l’art porte des questionnements poétiques et perspectifs sur les enjeux du monde contemporain.En écho à la Biennale d’Art Contemporain de Lyon, les établissements d’enseignement supérieur et de formation du site académique de Lyon Saint-Étienne mettent en débat la création, la recherche et l’art dans les dynamiques de formation actuelles et les ambitions de recherche.Les objectifs de ce séminaire sont de partager des formations, des parcours, des dispositifs et des programmes de recherche existants. Il s’agira aussi d’inviter à la réflexion sur la transmission, l’expérimentation et la reconnaissance.Ce séminaire s’adresse aux chercheurs, enseignants, étudiants, aux acteurs créatifs et culturels et aux personnes en charge des actions culturelles d’institutions et associations culturels et artistiques.Information et inscription
LLe parcours MACsup MACsup : un projet collaboratif entre étudiants, enseignants-chercheurs et artistesLe projet MACsup est une expérimentation lancée en 2017 par le Musée d’art contemporain de Lyon et ses trois partenaires universitaires historiques, l’Université Claude Bernard Lyon 1, l’École Centrale de Lyon et l’École normale supérieure de Lyon, accompagnés par les Pratiques artistiques amateurs de l’ENSBA. Basé sur une envie commune d’imaginer une rencontre originale entre les processus de recherche scientifique et de création artistique, MACsup est un projet coopératif, transdisciplinaire et privilégiant une pédagogie active qui associe des étudiants, des enseignants chercheurs et des artistes. Une dizaine de séances de travail d’octobre à mars conduisent à un weekend de restitution public au musée d’art contemporain. Les échanges sont riches, les apprentissages multiples et tous témoignent d’une expérience unique et originale. Le public est au rendez-vous, enthousiasmé par cette rencontre avec l’enseignement supérieur et la recherche dans le cadre du Musée d’art contemporain.La saison 1 a été conduite par les artistes Félix Lachaize et Thierry Boutonnier avec les projet BAC+couches de poussière et RUBISco.Jan Kopp et Félix Lachaize ont animé la saison 2 en concevant avec leur groupe Sur le chemin des Poudingues et le Percefac ; les étudiants et chercheurs de l’INSA ont rejoint le projet.MACsup a démarré sa troisième saison en octobre 2019 avec 3 artistes Jan Kopp, Nicolas Daubanes et Linda Sanchez et de nouveaux partenaires qui se joignent à l’aventure : l’Université Jean Moulin Lyon 3, l’EMLyon Business school et l’association Singa Lyon (insertion des migrants).Contact pour plus d’informations.Ce projet est rendu possible grâce au soutien de la Région Auvergne Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon, de la DRAC, de l’Université de Lyon (IDEX- CDproIP), du CNRS, et des établissements et laboratoires impliqués dans le projet.
AARTSCIENCE De la rencontre naît l’œuvreARTSCIENCE se situe au croisement de l’art, des sciences et de la médiation scientifique. Ce projet, initié par l’association DéMesures en partenariat avec la Taverne Gutenberg, a pour objet la création d’œuvres d’art inspirées par des images scientifiques. Les artistes ont sélectionné une image parmi plusieurs propositions anonymes, puis ont rencontré le.la scientifique volontaire pour l’expérimentation. Les œuvres ont été produites à l’issue d’un travail d’équipe de plusieurs mois entre le.la chercheur.euse, l’artiste et un.e médiateur.rice scientifique accompagnant l’évolution du projet. Des étudiants du master Didactique des sciences ont également participer aux échanges pour retranscrire la rencontre.4 artistes, 4 scientifiques :Nabil Tazi et Florence Ruggiero chercheur à l’IGFLMauricio Masoli et Yvon Jaillais, chercheur au RDPLaurent Perche et Fabien Montel, chercheur au laboratoire de PhysiqueJuliette Montier et Anissa Guillemin, chercheuse au LBMCExposition à voir dans le forum Félix Pécaut de l’ENS de Lyon, 15 parvis Descartes, jusqu’au 14 juin (accès libre de 9h à 19h du lundi au vendredi).Rencontre avec les artistes et les scientifiques jeudi 2 mai à 13h dans la salle commune, Site DescartesCe projet à reçu le soutien de l’Université de Lyon dans le cadre de l’appel à projet les arts du campus 2018.En savoir plus, consultez le site de :ENS de Lyon
PProjet MACsup : l’enseignement sup au MAC de lyon Deuxième week-end de restitution MACsup au MAClyon !Les 7 et 8 avril entrez dans les débats entre science et écologie, art et politique, avec des étudiants, des enseignants-chercheurs et l’artiste Thierry Boutonnier.Après l‘Odyssée MACsup de Félix Lachaize, le deuxième groupe qui inclut des étudiants de l’ENS et Olivier Raymond, chercheur au RDP, présentera ses recherches.Venez tisser les fils d’une installation, parler de vos accablements et planter des pieds de maïs devant le musée !Voir la présentation du projet iciSamedi :14h-16h : écriture et tissage de l’installation16h-18h : discussionDimanche :14h-16h : écriture et tissage de l’installation16h-18h : rituel de plantation du maïsDepuis octobre 2017, des étudiants et enseignants-chercheurs de l’université Lyon 1, de l’ENS de Lyon et de l’école Centrale se sont lancés dans l’aventure macSUP. Deux groupes, menés par les artistes Félix Lachaize et Thierry Boutonnier, ont mis en commun les savoirs, les méthodes, les modes de pensée, propres à leur domaine d’activité pour proposer aux visiteurs du Musée d’art contemporain deux week-ends de restitution et d’expérimentations aux confins de l’art et la science.Ce projet a reçu le soutien de la Région Auvergne Rhône-Alpes
VVenez questionner vos idées reçues sur l’art et la science avec DéMesures L’association de culture scientifique DéMesures (ancien Labo junior de l’ENS de Lyon) en partenariat avec la Taverne Gutenberg vous invite à questionner les idées reçues sur l’art et la science et leur place dans notre société.A cette occasion, l’association présentera son projet ArtScience qui fait collaborer des artistes et des chercheurs afin de produire des œuvres sur la base de recherches scientifiques. Plusieurs binômes composés d’un artiste et d’un scientifique seront amenés à discuter de la recherche menée par ce dernier, ces échanges et les images scientifiques produites par le chercheur constitueront la base de travail de l’artiste. Ces échanges ainsi que les œuvres réalisées serviront de supports de médiation lors des ateliers organisés par DéMesures.Vous serez ensuite amenés à déconstruire vos croyances grâce à un atelier participatif qui tendra à démontrer que les liens entre art et science existent et que la limite entre les deux est parfois ténue. Ce jeu sera suivi d’une table ronde avec un des tandems artiste-scientifique ainsi que les différents acteurs du projet. Vous pourrez enfin vous glisser dans la peau de l’artiste en imaginant une œuvre à partir d’images scientifiques.4 artistes ont été invités à participer à ce projet qui va démarrer dans les prochaines semaines :Nabil Tazi (photographie)Mauricio Masoli (peinture)Laurent Perche (dessin)Juliette MontierCe projet a reçu le soutien de l’Université de Lyon dans le cadre de l’appel à projets IDEX les Arts du Campus.Ce rendez-vous est proposé à l’occasion des JACES 2018