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1925 Cecilia et l’astrophysique

11925 Cecilia et l’astrophysique

Une histoire de femme et de sciences !

On apprend que juste après le Big Bang et encore maintenant, l’univers visible ne contient quasiment que de l’hydrogène, que nous ne sommes que des « poussières d’étoiles », issues d’une lente transformation de l’hydrogène des étoiles. Mais qui a réalisé cette découverte de l’omniprésence de l’hydrogène ? Une anglaise de 25 ans, Cecilia Payne-Gaposchkin, en 1925.

Le spectacle raconte cette aventure humaine et scientifique. Humaine, car, en tant que femme, Cecilia a dû gravir non pas seulement des montagnes, mais plusieurs Everest pour réaliser son rêve de devenir astronome.

Cette évènement s’adresse autant aux passionnés des sciences ainsi qu’à ceux qui ne connaissent rien à l’astronomie !

Organisé en partenariat avec : la troupe Divine Émilie, un spectacle théâtral suivi d’une conférence au Centre culturel et de la vie associative – CCVA – de Villeurbanne.

>> Programme :

  • Ouverture et accueil à 19h
  • Spectacle de 19h30 à 20h30
  • Conférence de 20h30 à 21h30
  • Échanges avec le public de 21h30 à 22h

>> Découvrez le teaser : 

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

CALA

En quête de galaxies

EEn quête de galaxies

©CNRS

La prochaine conférence de la Société Astronomique de Lyon – SAL – vous invite à plonger dans les étoiles et de découvrir toutes le techniques d’observation des galaxies.

En quête de galaxies est l’histoire du développement d’une nouvelle technique d’analyse de la lumière des astres et les découvertes qu’elle a permises sur le cosmos.

Intervenant : Roland Bacon , directeur de recherche émérite au CNRS

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

SAL

 

La supernova Refsdal clignote à travers un amas de galaxies

LLa supernova Refsdal clignote à travers un amas de galaxies

©Société Astronomique de Lyon

L’astronome Refsdal a prédit en 1964 un curieux phénomène : une supernova vue à travers une lentille gravitationnelle donnerait des images multiples (du type croix d’Einstein) dont les maximas seraient observés à des dates différentes.

En 2023 avec le Hubble Space Telescope (HST),  on a réussi pour la première fois à suivre une séquence avec 4 images, et même une 5e apparue en temps et place là où les calculs l’avaient prévu. Je rappellerai sans calcul le principe de la lentille gravitationnelle, outil puissant d’exploration du ciel profond.
Une mesure indépendante de plus de la vitesse actuelle de l’expansion, qui s’invite dans le débat qui secoue le lanterneau des cosmologues sur le sujet.

Intervenant :

  • François Sibille, ancien Directeur de recherche au Centre de recherche astrophysique de Lyon (CRAL)

>> Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site :

SAL

Concours régional de photographies astronomiques 2024

CConcours régional de photographies astronomiques 2024

Le Club d’Astronomie de Lyon Ampère – CALA vous invite à participer a leur concours régional de photographies astronomiques 2024.

>> Les objectifs
Il s’agit de la 9e édition d’un concours amical ayant pour objectifs d’encourager les astronomes amateurs résidant dans la région Auvergne-Rhône-Alpes à réaliser des photographies d’astronomie et à les partager entre eux et avec le public.

Un jury indépendant déterminera un classement des meilleures photos. Elles seront alors présentées au public au planétarium de Vaulx-en-Velin durant l’été 2024 et les résultats seront affichés sur le web du concours..

>> Qui peut participer ?
Ce concours photo est ouvert à tous les amateurs d’astronomie résidant dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Les participants doivent être les auteurs des photos (prises de vue et traitements).

>> Quelles photos ?
Les photos, dessins ou mesures admis à concourir doivent traiter d’objets astronomiques : Soleil, Lune, planètes, objets du ciel nocturne, paysages avec mise en valeur d’objets célestes. Les photos devront avoir été prises avec du matériel usuel pour des amateurs d’astronomie depuis un lieu de France métropolitaine.

Les photos ou observations devront avoir été réalisées entre le 15 mai et le 15 juin 2024. Les photos doivent être originales, c’est-à-dire non déjà soumises à un autre concours ou publiées dans une revue nationale ou internationale.

>> Pour avoir les informations de participation rendez vous sur le site web officiel du concours :

CALA

 

 

 

 

Retour aux origines ! Les portes ouvertes de l’Observatoire de Lyon

RRetour aux origines ! Les portes ouvertes de l’Observatoire de Lyon

© SDS-OSUL

L’Observatoire de Lyon ouvre ses portes les 14 et 15 juin prochain sur son site historique de Saint-Genis-Laval. Plongez au cœur des dernières découvertes en sciences de la Terre et de l’Univers, rencontrez les chercheurs et chercheuses de l’observatoire, participez à des jeux et des ateliers en famille ou entre amis !

C’est l’événement incontournable de l’Observatoire de Lyon ! Tous les deux ans, nous vous ouvrons en grand les portes du site historique de l’observatoire à Saint-Genis-Laval pour vous plonger dans les sciences de la Terre et de l’Univers. Petits et grands, passionnés ou néophytes : vous êtes toutes et tous les bienvenues pour rencontrer les personnels de l’observatoire, visiter son patrimoine exceptionnel et découvrir les grands travaux de recherche qui y sont menés.

Un programme riche et varié vous sera proposé avec, pour la première fois, pas une mais deux grandes soirées d’observations ! Les instruments de l’observatoire, dont son impressionnant télescope de 1 m de diamètre, ainsi que les instruments des clubs d’astronomies partenaires, seront pointés vers le ciel. Enfants et adultes pourront admirer les étoiles, la Lune, et rêver grâce à la merveilleuse histoire de l’Univers.

Cette année, plein feu sur les origines ! Venez remonter le temps jusqu’aux origines de l’Univers, de la vie, et de notre observatoire.

>> Retrouvez le programme et les informations pratiques sur le site internet :

Observatoire de Lyon

©Observatoire de Lyon

Carte blanche à Valérie Martinez

CCarte blanche à Valérie Martinez

carte blancheUn laboratoire, une équipe de chercheurs et une Bibliothèque universitaire (BU). C’est le principe de la carte blanche. Durant la pause de midi, un laboratoire de l’Université Claude Bernard Lyon 1 se déplace à la BU pour parler de ses activités, de ses projets et montrer les coulisses de la recherche.

La Bibliothèque Universitaire de Claude Bernard Lyon 1,  donne carte blanche à Valérie Martinez chercheure à l’Institut Lumière Matière.

Valérie Martinez est membre de la collaboration internationale Virgo, le détecteur des ondes gravitationnelles situé à Pise (Italie). L’objectif de cet instrument est de détecter les ondes gravitationnelles générées notamment lors de la fusion de deux objets très massifs (trous noirs par exemple mais aussi étoiles à neutrons…). Elle présentera ses travaux de recherche sur les miroirs du détecteur et détaillera la composition de ceux-ci ainsi que les études qui sont menées afin d’optimiser leurs performances.

>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :

BU Lyon 1

 

ILM

Exploration spatiale des comètes | ANNULÉ

EExploration spatiale des comètes | ANNULÉ

CONFÉRENCE ANNULÉE

La Société Astronomie de Lyon (SAL) vous propose d’explorer les comètes, ces vestiges glacés du système solaire primitif qui fascinent l’humanité depuis des millénaires.

Depuis les années 80, et grâce aux avancées spectaculaires de la technologie spatiale, nous sommes enfin capables d’approcher les comètes, de les étudier et de dévoiler leurs secrets. Nous verrons comment les missions cométaires de ces dernières décennies telles que Giotto, Deep Impact ou encore Rosetta nous ont permis de progresser dans notre quête des origines du système solaire. Enfin, nous présenterons la mission spatiale Comet Interceptor qui représente une avancée passionnante tant technique que scientifique.

Adoptée en 2022 par l’Agence Spatiale Européenne (ESA) en collaboration avec l’Agence Spatiale Japonaise (JAXA), cette mission innovante se distingue par son concept unique. Elle sera la première mission à rendre visite à une comète issue des confins du système solaire, qui ne sera découverte que dans quelques années, voire après que la mission ait quitté la Terre.

Intervenante : Aurélie Guilbert-Lepoutre, astrophysicienne au Laboratoire de Géologie de Lyon Terres – Planètes – Environnement – LGL-TPE (CNRS, ENS de Lyon, UCBL, UJM).

>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :

SAL

La Révolution du télescope spatial James-Webb

LLa Révolution du télescope spatial James-Webb

Comme chaque année, l’Observatoire de Lyon fête la science et vous propose cette conférence sur le télescope spatial James-Webb.

Le Télescope Spatial James-Webb (JWST) a commencé à nous fournir ses premières images en juillet 2022. Avec sa très grande taille de miroir et sa position privilégiée dans l’espace par rapport au soleil et à la Terre, il va révolutionner l’astronomie en nous apportant pendant plusieurs décennies, des images d’une qualité et d’un niveau de détail exceptionnels.

Cette conférence présentera le défi qu’a représenté la réalisation d’un tel instrument ainsi que les premiers résultats scientifiques obtenus et les grands programmes à venir, des objets de notre système solaire aux galaxies les plus lointaines de l’Univers !

Intervenant :

  • Johan Richard, Astronome au Centre de Recherche Astrophysique de Lyon ( CRAL ) , Observatoire de Lyon.

 

Plus d’information sur :

l’Observatoire de Lyon

 

 

De la Terre à la Lune, vers un nouvel écosystème ? / Cours public 2023

DDe la Terre à la Lune, vers un nouvel écosystème ? / Cours public 2023

Alors que la relation de l’homme à sa planète est désormais une préoccupation croissante, il convient de s’interroger sur les modalités de notre relation à l’espace. Découvrez les 3 vidéos du cours public proposé par la géographe Isabelle Sourbès-Verger (CNRS – Centre Alexandre-Koyré).

Cela fait quelque temps que les États-Unis évoquent la mise en place progressive d’un système Terre-Lune au sein duquel s’établiraient de nouvelles relations avec notre satellite naturel à l’horizon 2035. Déjà, la multiplication des constellations au voisinage proche de la Terre, entre 300 et 1500 km, marque une nette accélération de l’occupation de l’espace extra atmosphérique. Et des états de plus en plus nombreux annoncent des projets spatiaux en parallèle des ambitions des acteurs privés.

Comment comprendre cette extension des activités humaines ? Quels en sont les traits majeurs ? Le Traité de 1967 posait que l’exploration et l’utilisation de l’espace étaient l’apanage de l’humanité toute entière. Cinquante-cinq ans plus tard, ces principes sont-ils toujours appliqués ? Alors que la relation de l’homme à sa planète est désormais une préoccupation croissante, il convient de s’interroger sur les modalités de notre relation à l’espace.

Intervenante : Isabelle Sourbès-Verger est géographe, directrice de recherche au CNRS. Ses travaux portent sur les modalités d’occupation de l’espace circumterrestre et l’analyse comparée des politiques spatiales nationales. Cette approche croisée met en lumière les enjeux transverses de l’activité spatiale, allant de la coopération scientifique à la problématique de la guerre dans l’espace.

>>> Voir la vidéo de la 1re séance :

>>> Voir la vidéo de la 2e séance :

>>> Voir la vidéo de la 3e séance :

 

 

 

Comment s’est formée la Lune et quel est son âge ? | The Conversation

CComment s’est formée la Lune et quel est son âge ? | The Conversation

La Lune n’a pas encore dévoilé tous ses mystères. Ganapathy Kumar / Unsplash, CC BY-SA

En regardant un ciel dégagé le soir, nous sommes habitués à voir la Lune qui nous apparaît comme une boule lumineuse avec des tâches grisées. La compagne de la Terre est beaucoup plus petite que celle-ci puisque sa masse représente environ 1 % de celle de la Terre.

La plupart des gens sont familiers avec l’idée que la Lune tourne autour de la Terre et non l’inverse ou que la Lune est responsable des marées. Il est bien moins courant de se demander comment la Lune s’est formée et depuis combien de temps elle accompagne la Terre dans son périple autour du Soleil.

Ces deux questions simples font pourtant l’objet de débats intenses, depuis que l’homme a pris conscience de son existence. George Darwin, le fils de Charles, connu pour sa théorie de l’évolution, proposa que la Lune aurait été formée en s’étant séparée de la Terre sous l’effet d’une rotation rapide, il y a très longtemps. Dans les détails, cette théorie n’a plus cours, mais elle ressemble tout de même par certains côtés avec les théories actuelles. En effet, George Darwin a suggéré que la rotation rapide de la Terre a pu engendrer la formation de la Lune qui représenterait un morceau de Terre qui se serait détaché à cause de l’instabilité lié à la rotation de la Terre.

Une collision phénoménale

Actuellement, nous penchons pour une explication sensiblement différente. Il semble plus vraisemblable que la Lune se serait formée à partir d’un impact géant, c’est-à-dire une collision entre la Terre et un objet de taille planétaire dont la taille pourrait varier entre celle de la Lune et de Mars, voire plus gros.

Il existe plusieurs justifications à cette théorie. L’une d’elles est que la composition chimique de la Lune telle qu’elle a pu être mesurée avec les échantillons rapportés par les missions Apollo des années 1969 à 1972 montre que la Lune et la Terre ont des compositions presque semblables pour une bonne partie des éléments de la classification périodique de Mendeleïev.

Cependant, la Lune est différente de la Terre, car elle est plus pauvre que la Terre pour tous ses éléments volatils, c’est-à-dire des éléments qui se vaporisent à des températures modérées (comme le zinc, l’étain ou le potassium). Ceci implique sans aucun doute que la Lune a dû se former à des températures très élevées pour que ces éléments-là n’aient pu se condenser en même temps que les autres.

Une autre caractéristique importante de la Lune est que contrairement à Mars, Vénus, ou la Terre, son noyau métallique est très petit (seulement 1 ou 2 % de sa masse, alors qu’il représente 32 % de la masse de la Terre), ce qui implique un mode de formation qui doit être très différent de celui de Mars ou la Terre.

Il semblerait qu’une des conditions qui permettent d’obtenir une Lune qui ressemble autant à la Terre est qu’avant l’impact géant, la Terre aurait dû tourner sur elle-même à grande vitesse, ce qui rejoint étrangement le modèle proposé par George Darwin. Mais un ingrédient important supplémentaire est qu’il y ait eu un impact, une idée que n’avait pas imaginée Darwin.

A la suite de cet impact géant, l’énergie colossale libérée par l’impact a pu vaporiser la matière éjectée dans l’espace, puis à la faveur d’un refroidissement, cette matière éjectée a pu à nouveau se condenser pour former un liquide. Des gouttelettes de ce liquide ont pu s’agglomérer et, petit à petit, former la Lune. Pour les conditions de température et pression qui régnaient dans cet environnement très chaud jusqu’à au moins 4000 °C, il est possible de calculer les compositions chimiques de la matière qui se condensent et la comparer à celle de la Lune.

Un aspect critique est que ces calculs doivent reproduire la composition moyenne mesurée dans la Lune. Nos travaux ont ainsi pu montrer qu’il était possible d’obtenir la composition de la Lune en calculant la composition de condensation et de préciser les températures auxquelles se sont formées ces condensats. Ces résultats sembler invalider d’autres propositions qui attribueraient la composition de la Lune à une perte par évaporation qui se serait produite plus tard, alors que la Lune se serait déjà formée et serait une boule fondue qu’on appelle océan de magma par analogie aux océans terrestres.

Quel est l’âge de la Lune ?

Une autre question brûlante est celle de l’âge de la Lune. Il faut bien avouer que déterminer l’âge de la Lune est une tâche délicate qui ne peut être réalisée que de façon indirecte. Une approche simple pourrait consister à identifier les roches échantillonnées à la surface de la Lune et de prendre la plus vieille pour en déduire un âge de la Lune en utilisant par exemple la méthode de datation uranium-plomb ou lutétium-hafnium.

En utilisant cette méthode sur Terre, on aurait une idée fausse sur l’âge de la Terre, d’environ 300 millions d’années car les roches terrestres présentes à la surface de la Terre ne sont pas aussi anciennes que la Terre elle-même. Pour la Lune, cette approche est un peu plus justifiée car l’histoire géologique de la Lune est considérée comme étant plus brève, les roches lunaires les plus jeunes ont pour la plupart plus de 3 milliards d’années (même si une récente mission chinoise Chang’e a trouvé des roches de 2 milliards d’années).

De ce fait, la surface de la Lune a été moins remaniée que celle de la Terre par une histoire tectonique complexe qui aurait fait disparaître les roches anciennes présentes en surface. Suite à l’impact géant mentionné ci-dessus, la Lune serait une boule de magma qu’on nomme couramment un océan de magma. Ces océans de magma ont une durée de vie limitée (de quelques millions d’années !) car ils se refroidissent rapidement par leur surface. Il s’y forme alors une croûte qui dans le cas de la Lune aurait pu subsister jusqu’au temps présent.

Cette histoire si elle est vraie justifierait l’approche consistant à dater les roches de la surface de la Lune. La datation de la croûte lunaire la plus ancienne donne un âge de 4,36 milliards d’années, contre un âge de 4,52 milliards d’années pour la Terre environ. Ceci implique que la Lune se serait formée environ 210 millions d’années après le début du Système solaire.

Une autre méthode indirecte fondée sur les analyses des isotopes du tungstène donne quant à elle, un âge maximum d’environ 50 Ma, après le début du Système solaire, pour la Lune, ce qui est bien plus ancien que les âges des roches lunaires les plus anciennes. Dans ce cas, le principe de la datation repose sur une comparaison des abondances des isotopes du tungstène entre la Lune et de la Terre.

Pour expliquer le principe de cette méthode de datation, il faut faire appel à la présence de 182Hf qui est un isotope radioactif que l’on trouve en trace dans les objets les plus anciens du système solaire. En se désintégrant le 182Hf produit du 182W dont l’abondance peut être mesurée en laboratoire.

En faisant l’hypothèse que la Terre et la Lune sont issues des mêmes matériaux originels, on peut estimer que la Lune a dû se former après 50 Ma après le début du système solaire afin d’expliquer les très faibles différences en 182W observées entre la Lune et la Terre. D’autres méthodes dont le principe est très différent donnent un résultat cohérent avec ce dernier. Il subsiste donc encore des doutes sur l’âge exact de la Lune. Trancher entre ces deux possibilités n’est pas encore possible. Il existe encore d’autres méthodes plus ou moins complexes qui sont en accord l’âge ancien mais leur crédibilité n’est pas forcément plus forte. On peut espérer que les futures missions à destination de la Lune, comme les missions sous la bannière Artemis ou les missions chinoises nous aideront à résoudre ce dilemme.

Auteur : Bernard Bourdon, Directeur de Recherche, École Normale Supérieure de Lyon – 14 mai 2023

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.

>> Lire l’article original :

The conversation