LLe médecin face à la douleur aux 16e -18e siècles La bibliothèque Diderot de Lyon vous invite à explorer la question « La prise en charge de la douleur, une pratique inconnue avant l’époque contemporaine ? » grâce à son exposition Le médecin face à la douleur (16e-18e siècles) sur le sujet et la conférence inaugurale Parlez-nous de l’histoire de la douleur.Pensée comme une nouveauté, la prise en charge de la douleur est souvent vue comme une pratique négligée par les médecins du passé. Pourtant, la douleur est déjà un sujet de préoccupation aux 16e-18e siècles. Même si la médecine de cette époque est en partie impuissante à y remédier, les médecins la mentionnent souvent et cherchent toujours à la soulager. S’arrêter sur la période des 16e-18e siècles permet de dépayser notre regard sur ce problème.Cette exposition sur les conceptions anciennes de la douleur est le fruit d’une recherche collective pluridisciplinaire, croisant histoire de la médecine, philosophie et littérature. Douze panneaux thématiques, des livres anciens du fonds patrimonial de la Bibliothèque Diderot de Lyon, des œuvres à lire et à écouter, ainsi que des entretiens avec des neurologues, permettent de confronter passé et présent et d’interroger notre compréhension actuelle de la douleur.>> Le programme du jeudi 3 octobre : Visite commentée | De13h30 à 14h dans le hall de la bibliothèque.Conférence : « Parlez-nous de l’histoire de la douleur« | De 17h à 19h dans la salle La parenthèse, avec la participation de :> Raphaële Andrault, chargée de recherche à l’unité mixte de recherche Institut d’Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités de l’ENS de Lyon (UMR 5317 – IHRIM) ;> Ariane Bayle, professeure des universités de littérature comparée a la Faculté des Humanités, Lettres et Sociétés, Université Jean Moulin Lyon 3.>> L’exposition est visible jusqu’au 10 novembre 2024Pour plus d’information, rendez-vous sur le site de la bibliothèque Diderot de Lyon : ExpositionConférence >> Visitez aussi l’exposition virtuelle
LLa douleur est plus forte la nuit que le jour Une équipe de chercheurs lyonnais vient de montrer que l’intensité de la douleur est contrôlée par notre horloge interne : elle oscille sur 24 heures avec un pic entre 3 et 4 heures du matin et un creux entre 15 et 16 heures….Un article Cortex Mag, Benoit de La Fonchais, 27 juillet 2022.>> Lire l’article complet sur :CORTEX MAG
QQuand la dépression n’arrive pas seule La dépression ne se manifeste pas toujours seule. Accidents cardio-vasculaires, maladies neurodégénératives, troubles du sommeil, douleur chronique… lui sont régulièrement associés. Pourquoi cette concomitance ? Qu’est-ce qui, du trouble physique ou de la dépression, provoque l’autre ?À Lyon, une équipe de l’Institut des sciences cognitives Marc Jeannerod s’intéresse plus particulièrement à la maladie de Parkinson. Si elle est bien connue pour ses symptômes moteurs (troubles du mouvement, tremblements, rigidité musculaire et troubles posturaux), des symptômes non moteurs peuvent aussi se manifester, au premier rang desquels les troubles anxieux et la dépression. « Cela fait environ quinze ans que les chercheurs s’y intéressent, confirme Léon Tremblay, neurophysiologiste à l’Institut des sciences cognitives Marc Jeannerod, et spécialiste des ganglions de la base, une structure du cerveau impliquée dans cette maladie neurodégénérative. On a d’abord pensé que les symptômes dépressifs étaient la résultante du stress induit par le handicap chez les patients parkinsoniens, mais on sait désormais qu’ils sont constitutifs de la maladie, au même titre que les troubles moteurs. »Retrouvez l’intégralité de l’article sur :cnrs le journal
LLa douleur : idées reçues et malentendus En marge de l’exposition Le médecin face à la douleur à voir à la BU Santé jusqu’au 23 février, nous vous invitons à assister à la conférence de Nicolas Danziger, neurologue et auteur du livre Vivre sans la douleur ? (Odile Jacob, 2010).Pour en savoir plus :BU Santé Lyon 1
LLa médecine face à la douleur, 16e – 18e siècles La douleur est déjà un sujet de préoccupation aux dès le 16e siècle. Même si la médecine de cette époque est en partie impuissante à y remédier, les médecins la mentionnent souvent et cherchent toujours à la soulager.S’arrêter sur la période des 16e-18e siècles permet de dépayser notre regard sur ce problème : ce détour par le passé contribue au renouvellement des questionnements et des pratiques actuelles.L’exposition propose une déambulation autour de 12 panneaux, de documents d’époque et d’entretiens vidéo avec des neurologues spécialistes de la douleur.Commissaires scientifiques : Raphaële Andrault, chercheuse au CNRS en philosophie et histoire des sciences, et Ariane Bayle, maîtresse de conférences en littérature générale et comparée à l’IHRIMAvec le soutien de : LabEx COMOD, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Jean Moulin Lyon 3, BU Sciences Lyon 1 et IHRIM.Le vernissage aura lieu à la BU Santé le mardi 3 décembre à 18hEn savoir plus
LLa méditation pour soulager la douleur La méditation suscite depuis de nombreuses années un fort engouement et a été progressivement intégrée dans le domaine de la santé. La valeur thérapeutique de la méditation est bien établie notamment dans la douleur chronique. Cependant, les mécanismes mentaux et neurophysiologiques commencent à peine à être explorés.Antoine Lutz, chercheur en neuroscience et Titi Tran, enseignante en méditation, investissent depuis de nombreuses années le champ de la méditation pour comprendre et diffuser sa pratique au bénéfice des individus et de leur équilibre.Intervenants : Antoine Lutz, directeur de recherche à l’Inserm à LyonTiti Tran, formatrice en méditation à Paris En savoir plus
CComment la méditation agit sur notre cerveau Antoine Lutz (CRNL) a mené les premières études scientifiques consacrées aux effets de la méditation sur l’activité cérébrale. Il nous explique comment cette pratique modifie non seulement le fonctionnement du cerveau mais aussi sa structure. Des résultats qui ouvrent des perspectives cliniques prometteuses, notamment dans le traitement de la douleur et de la dépression.>> A lire dans son intégralité sur :CORTEX Mag
JJ’ai mal pour toi : fondements neuronaux et cognitifs de l’empathie Pourquoi avons-nous du mal à voir quelqu’un souffrir ? Comment sa douleur nous rejoint-elle ? Une réaction empathique peut-elle réduire la souffrance ? Telles sont les questions que se posent les chercheurs de l’équipe d’intégration centrale de la douleur chez l’homme (NeuroPain) du Centre de recherche en neurosciences de Lyon (CRNL).>> A lire dans son intégralité sur:CORTEX Mag