RRVB – Rouge Vert Bleu Présentée au musée de l’Imprimerie et de la Communication graphique en 2023, l’exposition RVB – Rouge Stephen King Vert Véronèse Bleu Maggie Nelson – se déploie et voyage dans les bibliothèques de Lyon. Une sélection d’œuvres, de récits et d’images sera présentée à la bibliothèque Jean Macé, pour ravir les grand·es comme les petit·es !Comment l’œil perçoit la couleur ? Couleurs additives, soustractives, trames, peinture, pigments : à côté d’un retour sur la formation de ces couleurs, RVB propose d’explorer les mondes de trois artistes pour donner un éclairage esthétique et émotionnel à l’ensemble : Stephen King, Véronèse et Maggie Nelson.Le rouge permet d’exposer les différentes passions de Stephen King pour l’écriture, la littérature policière et fantastique, ainsi que les films adaptés de ses œuvres. De Shining à Dead Zone, ses livres-cultes, très autobiographiques, font la part belle à ses peurs et ses joies d’enfance, bien plus que l’on ne l’imagine.Le Vert Véronèse est le nom attribué à une teinte spécifique de couleur, qui pousse à faire le lien avec l’utilisation du vert dans les tableaux du maître italien du 16e siècle. L’exposition met alors côte à côte des sujets traversant toute la complexité des perceptions du vert, comme le jeu vidéo Zelda.Enfin, l’autrice et poétesse Maggie Nelson a composé l’ouvrage Bleuets (2009) à partir des différentes formes de l’obsession qu’elle a contractée pour la couleur bleue à la suite d’une rupture amoureuse. Son texte sera confronté, découpé en fragments, avec une sélection d’images « bleues » venues des collections du musée, de l’histoire de l’art et de la culture pop, pour rendre hommage à ce livre, véritable ode à la mélancolie et la résilience.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : BM de Lyon
SSe tenir debout | Mini-exposition Se tenir debout, une question de point de vue ?La Bibliothèque Diderot de Lyon, vous propose de découvrir comment notre capacité à nous tenir debout influence notre développement et notre place dans le monde.La position debout a longtemps été associée à la bipédie humaine notamment à cause de l’utilisation de figures comme la marche du progrès illustrant un primate qui se dresse au cours de l’évolution jusqu’à se tenir debout comme un Homo sapiens. Pourtant, cette vision de la bipédie comme l’ultime étape de l’évolution est largement erronée. Le vivant présente une large diversité de façons de se tenir debout et de résister à la gravité.Cette exposition explore tout d’abord la construction de l’idée de bipédie comme la finalité de l’évolution au travers d’ouvrages scientifiques anciens et de manuels scolaires. Avec le souhait de montrer d’autres façons d’être bipède ou de se tenir debout au sein du vivant, l’exposition veut contrer la vision scaliste anthropocentrique de l’évolution humaine associée à la position debout en amenant une vision plus inclusive . Les nombreux spécimens naturalisés et pièces de squelettes exposés permettront d’illustrer cette diversité dans tous les règnes du vivant et de questionner les différentes façons de se tenir debout.Cette mini-exposition est réalisée par des étudiants de seconde année du Master Biosciences dans le cadre de l’Unité d’Enseignement « Collections biologiques : de la gestion pratique à la communication scientifique ». Les objets biologiques exposés sont issus des collections du Département de Biologie et les ouvrages du fonds ancien de la Bibliothèque Diderot de Lyon.>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site : Bibliothèque diderot de lyon
SSport et science, l’union fait la force Durant tout le mois d’août, le CNRS vous invite à découvrir son exposition « Sport et science, l’union fait la force », en lien avec les laboratoires près de chez vous.Comment la science peut-elle profiter aux athlètes professionnels et aux amateurs ? Que faire pour les amener au sommet de leurs performances ? Pourquoi s’intéresser au rôle du sport dans nos sociétés ? Le CNRS encourage ses laboratoires à croiser leurs expertises dans toutes les disciplines. L’objectif ? Aider les sportifs à briller sur les podiums mais aussi contribuer au bien-être de toutes et tous.Et pour clôturer l’exposition, rendez-vous le samedi 31 août pour les Conférences embarquées, l’événement estival du CNRS.>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :cnrsExposition « Sport et science, l’union fait la force », panneau 14/20 | © TIMC-UMR5525
«« Teaching Maps » : sur les traces de la cartographie L’approche cartographique a accompagné les mutations de l’enseignement de la géographie depuis le XIXe siècle. Toujours présente, sa place s’est peu à peu affirmée au sein de l’Université de Lyon.C’est par le biais des productions et collections cartographiques des différents géographes et cartographes qui se sont succédé au sein des différentes universités de Lyon que nous vous proposons de suivre 150 ans d’analyses géographiques, parfois locales, parfois lointaines élaborées sur place.L’exposition « Teaching Maps : sur les traces de la cartographie à l’Université de Lyon » à la Bibliothèque Universitaire de la Manufacture des Tabacs est organisée en résonance avec le colloque « Conférence internationale sur l’histoire de la cartographie » mis en place par l’ICHC. Elle retracera l’évolution de l’enseignement de la cartographie et permettra de découvrir de nombreuses cartes, ainsi que des objets spécifiques de cette discipline.>> Découvrez l’exposition.>> Découvrez le colloque international organisé par l’ICHC.Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Univ. Jean Moulin Lyon 3
DDélos et ses pierres. La fabrique d’une ville antique Délos a été construite sur une île des Cyclades (Grèce), aujourd’hui déserte, un des plus grands sanctuaires d’Apollon connus dans l’Antiquité et une ville cosmopolite qui, vers 100 av. n. è, était un centre majeur du commerce en Méditerranée orientale.Sous le commissariat de Jean-Charles Moretti et Stéphanie Zugmeyer, l’exposition « Délos et ses pierres : la fabrique d’une ville antique » s’appuie sur les résultats d’un programme de recherche soutenu par l’Agence nationale pour la recherche qui a réuni entre 2018 et 2023 des chercheurs issus de cinq institutions. Parmi celles-ci figurent l’Institut de recherche sur l’architecture antique, l’Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmochimie, l’Institut des sciences de la terre de Paris, le Centre Alexandre-Koyré ainsi que l’École Française d’Athènes.Les objectifs consistaient à étudier la formation géologique de l’île, à retracer l’histoire de l’intérêt suscité par ses pierres, à identifier les carrières ainsi qu’à déterminer l’origine des pierres importées.Pour illustrer cette démarche, l’exposition prend l’exemple de quatre édifices représentatifs de l’architecture de Délos : un bâtiment construit par les Naxiens au VIe s. av. n. è., le temple d’Apollon mis en chantier par les Détiens au Ve s. av. n. è., un portique offert par un roi de Macédoine au IIIe s. av. n. è. et enfin une maison construite au IIe s. av. n. è.>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :MOM
PPneumopolis L’Université Claude Bernard Lyon 1 a la joie de vous inviter à venir découvrir l’exposition «Pneumopolis » pour la 10e année.Cette année l’exposition sera consacrée à l’histoire de la découverte du biotope pulmonaire.Conçue et réalisée par les étudiants de l’unité d’enseignement « introduction à l’infectiologie » de la Licence 3 de biologie de l’Université Claude Bernard Lyon 1.>> Pour plus d’information :Pneumopolis ©DR
BBiennale du Comics Les Bibliothèques Universitaires Lyon 3 lancent la première édition de la Biennale du Comics.Organisée tous les deux ans en partenariat avec l’association BDCinéGoodies, elle explorera les manières dont les comics, dans toute leur diversité, peuvent nous aider à appréhender certaines grandes questions auxquelles nous sommes quotidiennement confrontés, qu’elles soient sociales, culturelles ou géopolitiques.Du 29 avril au 3 mai 2024, participez à une grande diversité d’événements (rencontres, masterclass, projection-débat, ateliers de dessin…) autour de l’univers du comics et son influence dans la culture populaire et médiatique>> Découvrez le programmeBiennale du Comics
EExposition : Souviens-toi de ne pas oublier | Nuto Revelli : images d’une vie Nuto Revelli a été, par son œuvre et son action, un « témoin de son temps » – de ce temps à la fois terrible et fécond que fut le XXe siècle -, un protagoniste des batailles pour la justice et la liberté, un chercheur de mémoire dans une société paysanne et montagnarde en mutation.L’exposition « Souviens-toi de ne pas oublier. Nuto Revelli : images d’une vie » de Paola Agosti (photographe) et Alessandra Demichelis (historienne) s’appuie sur les archives photographiques de Nuto Revelli et retrace le parcours biographique de cet auteur.L’exposition dépasse l’histoire individuelle pour présenter une histoire collective, celle du XXe siècle, de l’endoctrinement fasciste, de la Seconde Guerre mondiale et de la Résistance. Elle témoigne des souffrances des communautés paysannes et montagnardes, durement touchées par la guerre et durablement marquées par la pauvreté, elle met également en lumière les femmes paysannes des campagnes et des montagnes piémontaises.L’exposition a été réalisée par la Fondation Revelli et le Comité national pour les célébrations du centenaire de la naissance de Nuto Revelli en collaboration avec l’Istituto storico della Resistenza de Cuneo.La traduction de celle-ci a été intégralement revue par un groupe d’étudiant·es italianistes de Grenoble sous la direction de leur enseignante, Armelle Girinon qui a également pris en charge l’organisation et la diffusion de cette exposition à Grenoble et à Lyon. >> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Bibliothèque Diderot©Archives Fondation Nuto Revelli
AAlexandre Lacassagne et le tatouage Affiche exposition : « Alexandre Lacassagne et le tatouage » | ©DRAlors que les spécialistes les pensaient disparus, les carnets de tatouages d’Alexandre Lacassagne, fondateur de l’anthropologie criminelle, étaient précieusement préservés dans les locaux de la Faculté de médecine Lyon Est.L’exposition propose de suivre les traces du Professeur Lacassagne (1843-1924) et sa passion pour le tatouage.Découvrez la richesse de ces « biographies encrées » décalquées sur la peau des prisonniers : cœurs percés, zouaves, ancres marines, danseuses… et parcourez l’histoire du tatouage d’hier à aujourd’hui.La bibliothèque universitaire Lyon 1 a le plaisir de vous accueillir à l’exposition : « Alexandre Lacassagne et le tatouage ».>> Les journées spéciales :Mardi 2 avril à 18h30 (Inauguration) | Amphithéâtre Lacassagne, Faculté de Médecine Lyon Est et en ligne sur YouTube.©DRDémonstration de tatouage réalisée et commentée, suivie d’une visite de l’exposition.Intervenante : Lucile Jorland alias MacBernik, tatoueuse lyonnaise Mardi 9 avril, de 12h15 à 13h45 |Médiathèque Paul Zech, Faculté de Médecine Lyon Est et en ligne sur YouTube©DRDébats du Campus : Le tatouage post-opératoire : comment aimer son corps après la maladie ?Après un accident ou une lourde maladie, la peau conserve les marques de l’épreuve traversée. Le tatouage est utilisé comme un moyen de se réapproprier un corps altéré, en reprenant le contrôle sur son image. Dans cette optique, quelles spécificités comporte le tatouage réalisé sur des cicatrices ou des brûlures ? Comment les malades abordent-ils cet outil thérapeutique d’un nouveau genre ?Intervenants :> Nathalie Kaïd, plasticienne et photographe, directrice générale de l’association Sœurs d’Encre> Philippe Liotard, sociologue et maître de conférences à l’Université Claude Bernard Lyon 1> Aurélie Matias Ferreira alias Vulpera, tatoueuse à l’Atelier Tattoo Shop de Lyon et membre de l’association Sœurs d’Encre.Modératrice : Muriel Salle, historienne et maîtresse de conférence à l’Université Claude Bernard Lyon 1.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :BU Lyon1
JJ’aime pas les fleurs L’exposition titrée « j’aime pas les fleurs » fait référence avec humour au passé de l’École des Beaux-Arts de Lyon, qui a formé depuis 1795, sous le nom d’« école de la fleur », des dessinateurs destinés aux fabriques de soierie. Elle ne se veut pas forcément en rupture, comme le titre pourrait le suggérer, avec cette tradition. Elle montre le champ élargi aujourd’hui des supports d’expressions et des sujets abordés par ses étudiants graphistes textiles, dans une formation de design existant au sein de notre école d’art.Ces futurs designers, actuellement en formation, présentent leurs recherches et leurs travaux en cours, démontrant l’étendue des techniques (dessin, sérigraphie, impression numérique, gravure laser, volume…) et des supports (papiers peints, textiles, céramiques…) qui s’offrent à eux dans un milieu en mutation permanente.L’arrivée de l’IA qui déjà accompagne leurs pratiques ne semblent pas détrôner pour cette génération l’envie de se confronter à la matière, aux textures et aux pratiques manuelles. Serait-ce pour mieux en éprouver une autre forme d’intelligente réalité ?« J’aime pas les fleurs » est une exposition proposée par l’option design textile du premier cycle des étudiants de troisième année de la Classe préparatoire de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon – Ensba Lyon.Deux carrés de soie ont été conçus par deux étudiantes en Design textile, Eva Mutin et Laure-Anne Rouillé à l’occasion de cette exposition. Ils seront édités par Ames Soeurs, maison d’édition textile lyonnaise. Précommandes pendant toute la durée de l’exposition sur place et sur Instagram .>> Le programme :Exposition | 20 au 30 mars 2024Vernissage | 19 mars à partir de 18hOuverture publique | 20 mars au 23 mars 2024 et du 27 mars au 30 mars 2024, de 13h à 19h.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :ENSBA