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Éthique du Numérique pour les Enfants | Capsules vidéos

ÉÉthique du Numérique pour les Enfants | Capsules vidéos

©Fondation Blaise Pascal

Comme dans la vie, il faut une éthique du numérique qui permet de respecter la dignité humaine, la justice et la liberté. Le risque de manipulation est réel, et l’utilisation de l’intelligence artificielle peut encore augmenter ces risques.
­Vous voulez sensibiliser vos élèves aux enjeux du numérique et de l’intelligence artificielle ? 

Cela concerne autant les créateurs de contenu que les utilisateurs de tout âge, dans leur pratique des réseaux sociaux par exemple. La connaissance nourrit l’action : comprendre le positif du numérique comme ses risques de dérive participe à forger des comportements éthiques et responsables, et à déjouer les pièges. Pour cela, la fondation Blaise Pascal et la Chaire IA HUMAAINE du CNRS-LISN, ont décidé de créer une série de capsules vidéos destinée à sensibiliser les élèves du cycle 3 (CM1, CM2 et 6e) au numérique dans leur vie. Sans diabolisation ni angélisme, l’objectif est de les amener à réfléchir. Chaque capsule traite d’une thématique numérique qui est en lien avec les usages des enfants de cet âge, et est accompagnée d’une courte note ‘ressource’ pour les enseignants dans la préparation et l’animation pédagogique de leur classe.

Cet épisode aborde deux sujets : le temps que l’on peut passer sur les écrans et de manière corollaire la tentation de se laisser entrainer à y dépenser de l’argent. Les apprentissages sur l’usage des technologies numériques correspondants sont :

– Maîtriser le temps consacré aux écrans,

– Comprendre les mécanismes de notre cerveau qui peuvent produire un attachement affectif et progressif à l’écran,

– Être lucide sur l’objectif de nombreux développeurs et entreprises du numérique d’encourager la consommation et la dépense monétaire.

Cette capsule est accompagnée d’une courte note ‘ressource‘ pour les enseignants dans la préparation et l’animation pédagogique de leur classe.

Cette capsule aborde le sujet des données personnelles que l’on peut partager volontairement ou de manière moins visible et l’usage qui peut en être fait par les sites en ligne. Les thématiques abordées sont :

– Comprendre les informations que l’on donne en le sachant,

– Savoir qu’il y a des informations qui sont recueillies de manière non visible lorsqu’on utilise les sites et services en ligne,

– Être lucide sur l’objectif de nombreux développeurs et entreprises du numérique quant à l’utilisation qui peut être faite de ces données personnelles.

Cette capsule est accompagnée d’une courte note ‘ressource‘ pour les enseignants dans la préparation et l’animation pédagogique de leur classe.

>> Pour plus d’information rendez-vous sur la play-list :

Capsules

EcoIndex : que vaut cet outil qui mesure le score environnemental des sites web ? | The Conversation

EEcoIndex : que vaut cet outil qui mesure le score environnemental des sites web ? | The Conversation

En 15 ans, le trafic Internet a été multiplié par environ 500 de 2002 à 2017. Les émissions de CO2 associées ont été évaluées à 762 millions de tonnes en 2018.

Imaginons donc qu’à l’image du Nutri-score, nous disposions, pour mesurer notre empreinte environnementale lorsque nous cliquons sur une page web, d’un outil permettant d’attribuer une note entre A et G à la requête HTTP. Supposons également que ces requêtes soient archivées, année après année, dans une base de données publique comme le HTTParchive. En explorant régulièrement cette base, nous pourrions suivre l’évolution de l’empreinte environnementale des requêtes HTTP.

C’est l’ambition que poursuit EcoIndex, créé en 2014 et qui fait référence à la fois à un ensemble de bonnes pratiques pour construire un site web et à un outil logiciel qui permet d’évaluer plusieurs facteurs pour une URL donnée : son efficacité environnementale absolue à l’aide d’une fonction de score sur une échelle de 0 à 100 (plus le score est élevé, meilleur c’est) ; sa performance écologique relative à l’aide d’une note allant de A à G comme ce que l’on connaît pour les dispositifs ménagers ou alimentaires (Nutri-Score) ; l’empreinte technique de la page (poids, complexité, etc.) ; et l’empreinte environnementale associée (gaz à effet de serre générés, ressources en eau consommées).

Son objectif est d’aider le plus grand nombre à prendre conscience de l’impact environnemental des requêtes HTTP et de proposer des solutions concrètes pour le réduire. Si ce modèle fondé sur les métriques techniques de la page évoquées précédemment est plutôt simple à comprendre, il a aussi ses limites.

LL’empreinte environnementale d’une requête HTTP

Tentons d’abord de comprendre en quoi consiste ledit modèle. Il faut savoir qu’estimer l’empreinte carbone des activités humaines ne peut pas se faire directement : la méthode employée repose en général sur un modèle d’activité ciblée, relatif au domaine étudié. C’est le cas pour EcoIndex, qui ne concerne que les requêtes HTTP et pas l’ensemble des activités du web. Cette métrique s’appuie sur le concept « 3-tiers » qui considère trois paramètres : client, serveur et réseau.

La vidéo en ligne, compatible avec une sobriété numérique ? (Maxime Efoui-Hess, The Shift Project, 5 juillet 2019).

La version « historique » d’EcoIndex consiste en un plug-in à installer sur le navigateur et fonctionne de la manière suivante : l’usager fournit une URL à EcoIndex, qui la transfère du côté serveur. Celui-ci retourne au navigateur une page HTML contenant les réponses à la requête. Le plug-in mesure l’empreinte de l’application, en nombre d’éléments de la page web (le nombre de balises HTML, noté dom), en nombre de requêtes dans la page renvoyée (requests) et enfin calcule le nombre d’octets de la page HTML retournée (size) et qui ont transité dans le réseau.

Ces valeurs sont introduites dans l’algorithme d’EcoIndex pour mesurer les performances et l’empreinte environnementale.

LLe « modèle 3-tiers » et ses limites

L’analyse complémentaire d’un expert est indispensable pour une évaluation opérationnelle complète et fiable de la performance environnementale. En effet, EcoIndex ne prend pas en compte l’impact de l’ordinateur qui effectue la requête ou d’un parcours utilisateur. Seule une requête isolée de tout usage est analysée, comme le Nutri-score ou les machines à laver.

De même, quand la requête est résolue du côté du serveur dans un centre de données (par exemple chez Google quand l’URL est http://www.google.com, EcoIndex ne prend pas en compte l’impact environnemental de ce serveur au sens classique des analyses de cycle de vie (ACV), ni des différents équipements réseau qui sont traversés entre le terminal utilisateur et le centre de données.

Cependant, il permet de discuter des modèles et de leurs attributs qui caractériseraient de manière significative l’impact environnemental du web, réduit à la dimension des requêtes HTTP. Les autres côtés positifs d’EcoIndex sont que le chargement, la création et l’affichage de la page dans le navigateur ne sont pas simulés et que les trois paramètres dom, requests et size rendent compte d’une architecture qui gouverne le fonctionnement macroscopique d’une requête sur le web, donc EcoIndex fait sens.

UUn outil aux calculs imparfaits

Dans le cadre du dispositif, la performance environnementale est calculée sur la base normalisée de valeurs constantes fixées une fois pour toutes et cachées dans le modèle sans tenir compte de variations dans le temps – par exemple d’une période à l’autre comme un confinement, des vacances, etc., ni de la localisation géographique de l’utilisateur.

De plus, ce ne sont pas directement les paramètres dom, requests et size qui sont considérés mais des valeurs correspondant à des quantiles, c’est-à-dire un petit nombre de valeurs qui ont été déterminées en récupérant les trois paramètres sur les URL d’une base de données d’URL qui fait référence, le HTTParchive.

On peut s’interroger sur la stabilité dans le temps de ces quantiles : sont-ils les mêmes en 2023 qu’en 2020, date de leur détermination pour l’EcoIndex historique ? A priori les sites web sont régulièrement revus pour adopter, au fil du temps, de meilleures pratiques d’écoconception – il n’y a pas de raison pour que les quantiles soient fixés une fois pour toutes.

DDes notes arbitraires ?

Autre remarque mineure, pour certains sites comme ceux des grands média, qui sont dynamiques, la valeur d’Ecoindex a de grandes chances d’évoluer de jour en jour, mais sans doute pas de manière trop brutale en passant par exemple de la note de A à G.

En effet, un site web, même dynamique, respecte toujours peu ou prou le même gabarit constitué d’éléments modifiables (texte, images, fond, couleurs). On remplace un texte par un autre, une image par une autre, sans modifier fondamentalement les choses… Vis-à-vis de ce phénomène, EcoIndex nous semble robuste car ce « gabarit » ne change pas.

Cependant, les notes A-G correspondent aux plages d’EcoIndex 100-81 pour A, et 10-0 pour G, sans que l’on sache vraiment de quoi il s’agit : comment ces différentes bornes ont-elles été déterminées ? Équivalent-elles aux quantiles pour les mesures d’EcoIndex du HTTParchive ? Elles en sont proches mais ne coïncident pas exactement.

DD’autres paramètres à introduire

Enfin, le modèle historique ne se prête pas, a priori, à l’introduction de nouveaux attributs autres que les 3-tiers dans le modèle.

Nous pourrions pourtant envisager d’y ajouter des notions de mix énergétique et proposer un nouvel indicateur EcoIndex+ qui fournit des notes tournées vers A pour les énergies décarbonées utilisées côté client et côté serveur et des notes autour de G si les énergies mises en jeu sont carbonées. Si la requête HTTP passe par un mobile 4/5G, on pourrait également agréger l’impact en CO2 de l’opérateur, ce qui conduirait à une vision plus riche de l’EcoIndex+.

Pour être plus exhaustif dans les attributs à injecter dans EcoIndex+, il est nécessaire que la communauté s’accorde sur ces nouveaux critères et ensuite d’établir des méthodes de calcul capables de traiter un grand nombre d’attributs à l’aide de l’apprentissage automatique.

UUn indicateur qui reste à améliorer

Sous l’angle des métriques d’impact environnemental et des bonnes pratiques d’écoconception des sites web, EcoIndex est une démarche simple qui participe à la compréhension des problématiques relatives à la place du numérique dans le réchauffement climatique. L’indicateur est particulièrement intéressant dans la logique d’amélioration des versions successives des sites web.

Du chemin reste cependant à parcourir pour, d’une part, approfondir nos connaissances et mieux saisir les relations entre les différents modèles de haut niveau de type architecture 3-tiers et les analyses de terrain de type cycle de vie d’un produit ou équipement numérique.

D’autre part, il conviendrait de questionner le modèle initial par des approches de sciences des données, c’est-à-dire, explorer ces dernières, les analyser pour obtenir une nouvelle métrique plus fine.The Conversation

 

Publié  sur The Conversation le 15 mai 2023

Auteurs : Denis Trystram, Professeur des universités en informatique, Université Grenoble Alpes (UGA); Christophe Cérin, Professeur des universités, Université Sorbonne Paris Nord et Laurent Lefèvre, Chercheur en informatique, Inria

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.Lire l’article original :

the conversation

Quand l’Internet des objets grappille de l’énergie

QQuand l’Internet des objets grappille de l’énergie

Mobiles ou éloignés des prises, les capteurs communicants sans fil qui composent l’Internet des objets ont des besoins particuliers. Le grappillage de l’énergie ambiante, qu’elle soit thermique, mécanique ou encore lumineuse, peut leur permettre de s’alimenter de manière autonome.

Toujours plus petits et bavards, les appareils électroniques s’étendent en véritables réseaux d’objets communicants. En croissance exponentielle, cet Internet des objets dépasse l’usage domestique et concerne maintenant tous les secteurs d’activité : les transports, l’industrie, la médecine, l’armée, l’aérospatial… On estime qu’il existe cinquante milliards d’objets connectés dans le monde, pour un marché d’environ cinq cents milliards de dollars.
Mais comment tous les alimenter ? À quoi brancher un pacemaker ou une balise posée sur le dos d’une baleine ? Le grappillage d’énergie propose de puiser directement dans l’environnement immédiat. « On essaye d’alimenter ces appareils sans avoir à passer par des piles ou des batteries, qu’il faudrait changer régulièrement, souligne Romain Bachelet, chargé de recherche CNRS à l’Institut des nanotechnologies de Lyon (INL).

L’intégralité de l’article disponible sur :

CNRS LE JOURNAL

Les pionniers du web : aux origines du premier site internet français

LLes pionniers du web : aux origines du premier site internet français

Il y a 30 ans, à quelques kilomètres de Genève (Suisse), au CERN, naissaient les bases du Web, une technologie de partage d’informations permettant de naviguer de contenu en contenu. En France, ce sont deux ingénieurs du CNRS, Wojciech Wojcik et Daniel Charnay, travaillant au Centre de calcul de l’IN2P3 (CC-IN2P3) à Lyon, qui montèrent le premier serveur, et donc la première page web.

Internet est né dans les années 1960 dans les laboratoires de l’armée américaine, mais c’est l’invention du Web par la communauté des physiciens des particules qui popularise son utilisation. En mars 1989, à Genève, le Britannique Tim Berners-Lee, alors informaticien au CERN, pose les premières bases du Web, un concept qualifié par son supérieur de « vague mais prometteur ». Son objectif : proposer une technologie permettant le partage aisé d’une même information entre des physiciens travaillant dans des universités et instituts situés aux quatre coins du monde. Avant cette invention, il était possible d’envoyer des fichiers et de correspondre par courrier électronique, mais pas d’avoir un exemplaire unique de référence stocké à un endroit donné et consultable par tous.

Le World Wide Web naît véritablement en 1991, lorsque le premier site devient consultable hors du CERN. Le CNRS étant un partenaire historique du CERN, les ingénieurs du CC-IN2P3 travaillent déjà régulièrement avec Tim Berners-Lee et son équipe, en particulier sur le traitement des données des grandes expériences de physique des particules.

À gauche : Wojciech Wojcik, ingénieur informatique au CNRS à Lyon et pionnier du web. À droite : NeXT, premier serveur web français, visible au Musée de l’informatique du CC-IN2P3. © Patrick DUMAS/CEA/CNRS Photothèque

En septembre 1992, Tim Berners-Lee présente pour la première fois son invention lors d’une conférence scientifique à Annecy. À la suite de cette conférence, Wojciech Wojcik, ingénieur en développement et assistance aux utilisateurs, revient au CC-IN2P3 avec la technologie en poche et installe le serveur info.in2p3.fr (sur le modèle de celui du CERN, info.cern.ch) sur une station NeXTcube, le même ordinateur que celui utilisé par Berners-Lee. Le premier serveur Web français est né.

Il crée ensuite, avec Daniel Charnay, ingénieur réseaux, la première page Web du premier site Internet français, le cinquième mondial. Elle contient alors quelques informations sommaires sur le CC-IN2P3, une photo du bâtiment et les liens vers les premiers autres sites Web dans le monde.

Pensé comme un outil ouvert, qui répondait parfaitement aux besoins de la communauté des physiciens et soumis à aucune licence, le Web a largement contribué à la diffusion d’Internet auprès du grand public et connu l’essor fulgurant que l’on sait. Le 12 mars 2019, la communauté scientifique fête le trentième anniversaire de cet outil devenu incontournable.

Consultez le site internet anniversaire :

Les 30 ans du web

FESTIVAL : Expériences Numériques #21 | #FDS2018

FFESTIVAL : Expériences Numériques #21 | #FDS2018

Cet événement phare de l’Espace Public Numérique vous proposera de découvrir la pratique du numérique et ses nombreuses facettes à travers différents outils numériques, en privilégiant les logiciels libres.

AAnimations proposées

  • Exploration collective de nos mondes et cartographie interactive
    De 9h30 à 12h30

Altercarto vous propose de mettre en pratique, sous forme d’enquête collective, les usages de la cartographie interactive (uMap, SuiteCairo) à des fins de mobilisation et de croisement de différents types de données, qu’elles soient de nature statistique, expérientielle ou documentaire.

Intervenant : Jordan Parisse

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • Install Party
    De 10h à 18h

Profitez du savoir-faire de l’ALDIL et de ce temps de rencontre pour tester des logiciels libres (bureautique, internet, infographie) et l’environnement Linux. Envie d’aller plus loin ? N’hésitez pas à apporter votre ordinateur personnel !

Intervenant : Membre de l’ALDIL

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • Comment évaluer la qualité d’un article Wikipédia ?
    De 14h à 15h

Classé parmi les 10 sites les plus fréquentés au monde, Wikipédia constitue un vecteur incroyable de connaissances, sciences comprises. C’est une encyclopédie qui permet à des milliers de personnes chaque jour de trouver ou vérifier une information. Comment ce projet arrive à la fois à permettre à toutes et à tous d’écrire des articles, quel que soit l’âge, le genre ou le niveau d’expertise tout en garantissant une qualité ?

Assistez à une conférence très intéressante sur ce sujet ! 

Intervenant :  Olivier Kawak

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • Dessinez vos personnages avec Krita
    De 14h à 15h

Envie d’apprendre à dessiner, mais vous n’arrivez à rien sur du papier ? Vous êtes plutôt un adepte de la souris ? Venez découvrir le logiciel Krita ! Celui-ci vous permettra d’utiliser de la peinture, des feutres, des pastels,… tout ça sur votre écran !

Intervenante : Coralie Ballerau

Public visé : 11 ans + | Entrée libre

 

  • Devenez un mini-gone
    De 14h à 15h

Envie d’apprendre les rudiments d’un logiciel de retouche et de création d’images numériques ? Venez découvrir Gimp !

Intervenante : Chantal Mazallon

Public visé : 8 ans + | Entrée libre

 

  • Atelier audio avec Audacity
    De 14h à 15h

Venez découvrir l’éditeur audio Audacity. Il permet d’effectuer de très nombreuses opérations de traitement sur vos fichiers audio et enregistrements.

Intervenant : Alain Imbaud

Public visé : 15 ans + | Entrée libre

 

  • Drawbot
    De 14h à 16h

Bonjour Monde, collectif d’art numérique, fondé par deux designers, vous propose de dessiner vos stickers ou cartes postales grâce à leur table traçante, spécialement dépoussiérée pour vous ! Ce sera pour vous l’occasion de découvrir le principe des tracés vectoriels ainsi que quelques notions de programmation pour les plus curieux.

Intervenant : Arman Mohtadji

Public visé : 11 ans + | Entrée libre

 

  • Atelier Elec’Art
    De 14h30 à 16h30

Aujourd’hui notre société génère des montagnes de déchets électroniques. Alors quand il n’est pas possible de les réparer, pourquoi ne pas essayer de les détourner !? Cet atelier pour petits et grands, vous propose de récupérer différents objets défectueux : cartes électroniques, petits équipements électriques et électroniques, composants isolés, carters… afin d’assembler une création unique et originale ! Votre rapport au déchet aura définitivement évolué !

Intervenant : Françoise Sorlin

Public visé : 11 ans + | Entrée libre

 

  • Création d’hologramme en lightpainting
    De 14h30 à 16h30

Venez découvrir le lightpainting, un art à part entière qui vise à « déplacer la lumière afin d’exprimer et d’explorer l’intérieur et l’invisible ». Jouez avec la lumière et observez votre création grâce à un hologramme.

Intervenants : Audrey Clément et Clément Marmet

Public visé : 11 ans + | Entrée libre

 

  • Ça cartonne pour les cartoons !
    De 14h à 18h

Découvrez comment créer de petits films d’animation à partir de la technique du papier découpé transposée au… carton !

Intervenant : François Bardier

Public visé : 7 ans + | Entrée libre

 

  • Google et votre vie, où en est-on ?
    De 15h à 16h

Nous l’utilisons pour gérer notre agenda, pour une recherche internet, pour envoyer un courriel, pour regarder une vidéo… Google est devenu omniprésent dans notre quotidien. Quelle est aujourd’hui sa place dans notre vie privée ? Profitez de cette conférence pour en apprendre plus sur le sujet.

Intervenant : Nicolas Dubois

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • PeerTube : le remplaçant de YouTube
    De 15h à 16h

Si aujourd’hui tout le monde connaît les grosses plateformes de vidéos en ligne, telles que YouTube, Dailymotion, Vimeo… PeerTube est encore méconnu. Pourtant il pourrait révolutionner le marché du streaming. Loin du modèle des géants et de leurs dérives (publicités, algorithme de recommandation, censure…), PeerTube innove et dispose de très nombreuses qualités et avantages sur ses concurrents. Venez découvrir cette plateforme avec les membres de l’Association Lyonnaise pour le Développement de l’Informatique Libre.

Intervenant : Quentin Lavorel

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • Imprimante 3D et démonstrations de gravure laser sur bois
    De 15h à 18h

En compagnie du Laboratoire Ouvert Villeurbannais, venez libérer votre imagination et créativité à travers l’impression 3D et la gravure sur bois. Vous pourrez repartir avec vos propres objets.

Intervenant : Jean François Mourgues

Public visé : 16 ans + | Entrée libre

 

  • CREE TA BANDE-DESSINEE !
    De 15h à 16h

Grâce au logiciel libre Cartoon Story Maker, crée ta BD en quelques clics, et imagines les histoires de tes héros et héroïnes favoris, sans avoir besoin de dessiner !

Intervenante : Laura Klein

Public visé : 11 ans + | Entrée libre

 

  • Onde radio, Linky et internet des objets : points sur des légendes urbaines
    De 16h à 17h

De nos jours, nous sommes de plus en plus entourés par des objets dits intelligents. L’« expérience utilisateur » permet alors d’identifier la façon dont un objet connecté, une application ou encore un site web, est perçue et ressentie par ses utilisateurs en fonction de ses qualités ergonomiques, de navigation, et de contenu. Quel est l’impact de ces objets sur notre santé, notre vie privée ?

Intervenant : Jérôme Leignadier-Paradon

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • Concepts de base sur la contribution à Wikipédia
    De 16h à 17h 

Durant cet atelier, découvrez les concepts de base de la contribution sur Wikipédia, puis commencer à contribuer vous-même !

Intervenant : Olivier Kawak

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • World of Padman : que le meilleur gagne !
    De 16h30 à 18h

Avec ton pistolet de peinture affronte tes adversaires et monte sur les plateformes et évite de perdre des points de vie.

Intervenante : Anaïs Vidal

Public visé : 11 ans + | Entrée libre

 

  • Pourras-tu t’échapper ?
    De 16h30 à 18h

Participez à un escape game, tentez de trouver la solution et essayez de vous échapper.

Intervenante : Laura Klein

Public visé : 11 ans + | Entrée libre

 

  • Construire Internet
    De 17h à 18h

En 2018, internet est-il accessible pour tous ? S’agit-il d’un réseau neutre et ouvert, respectueux de ses utilisateurs et de leur vie privée ? Venez rencontrer l’association Illyse, fournisseur d’accès à Internet sur la région lyonnaise et stéphanoise, pour en savoir plus sur cet outil (presque ?) universel.

Intervenant : Sébastien Dufromentel

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

  • Top 10 des meilleures applications libres
    De 17h à 18h30

Venez libérer votre Android avec notre florilège d’applications : celles-ci sont toutes libres et respectueuses de vos données, et disponibles au sein de F-Droid, l’alternative au Google Play Store.

Intervenant : Paul Pedretti

Public visé : 18 ans + | Entrée libre

 

Espace public Numérique des Rancy

 

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