AAlgérie, Tunisie, Maroc : comment l’opéra est passé d’un héritage colonial à un outil diplomatique Longtemps symbole de domination coloniale, l’opéra connaît aujourd’hui une renaissance inattendue au Maghreb. Importé par les européens, réservé aux élites et longtemps perçu comme un art étranger, il se réinvente désormais comme vecteur de diplomatie culturelle et outil de rayonnement international.De l’Algérie, qui a transformé son ex-opéra colonial en scène nationale, à la Tunisie, où un réseau lyrique panarabe se construit, en passant par le Maroc, qui vient d’inaugurer son spectaculaire Grand Théâtre de Rabat, l’art lyrique devient un pont entre héritage et modernité. Mélangeant répertoire occidental, créations locales et adaptations en darija, il attire de nouveaux publics et s’ouvre à la jeunesse.Cette transformation raconte plus qu’une histoire musicale : elle révèle comment l’opéra, autrefois instrument d’influence, est devenu un outil de soft power au cœur des stratégies culturelles et diplomatiques nord-africaines.Une analyse à découvrir dans un article écrit par Frédéric Lamantia, Docteur en géographie et maître de conférences, UCLy – Institut catholique de Lyon>> Lire l’article :THE CONVERSATION
LLe paléontologue et Monsieur Ben Saïd Sans un nomade marocain et son coup d’œil hors du commun, nous n’en saurions pas autant sur les débuts de la vie sur Terre.>> Lire la suite sur le site : Sciences pour Tous
LLes grands fossiles marins montrent les dents Des géochimistes et paléontologues viennent de percer les secrets enfouis dans les isotopes du calcium de dents fossilisées. Grâce à une méthode inédite, ils proposent un nouveau scénario pour comprendre la disparition des grands reptiles marins lors de l’extinction massive survenue il y a 66 millions d’années.Deux études basées sur l’analyse des isotopes du calcium des dents viennent de faire l’objet d’un communiqué de presse, suite à deux publications.>> Pour consulter l’intégralité de l’article, rendez-vous sur le site :CNRS le Journal