Pop’Sciences répond à tous ceux qui ont soif de savoirs, de rencontres, d’expériences en lien avec les sciences.

EN SAVOIR PLUS

Le livre face au numérique

LLe livre face au numérique

Soirée de lancement de l’ouvrage Le livre face au numériqueà paraître aux Presses de l’Enssib (collection Papiers), sous la coordination de Frédérique Giraud et Céline Guillot.

Cet ouvrage dirigé à deux mains par des maîtresses de conférences de l’Université Paris Cité, travaillant dans la filière Métiers du livre de l’IUT Paris – Rives de Seine, propose les contributions d’universitaires et de professionnels de renom. Il est le fruit de nombreux échanges avec les acteurs du monde des livres : éditeurs, libraires et bibliothécaires. Il offrira aux étudiants comme aux professionnels des analyses sur l’évolution rapide des métiers du livre et les réalités de terrain, dont les évolutions sectorielles et leurs transformations avec l’arrivée du numérique ont généré l’émergence de nouvelles compétences (créatives, digitales, commerciales) et opportunités, tant éditoriales qu’économiques.

Soirée inaugurée par Nathalie Marcerou-Ramel, directrice de l’Enssib.

Table ronde en présence de :
Frédérique Giraud , co-coordinatrice de l’ouvrage
Valérie Larroche, maîtresse de conférence (Enssib)

Modération assurée  par Florence Salanouve, directrice de la valorisation à l’Enssib

>> Possibilité également de suivre la table ronde à distance : connectez-vous ici

Pour en savoir plus :

Enssib

 

Festival Numérique

FFestival Numérique

Le Centre Inria de Lyon et la Bibliothèque Marie Curie de l’INSA Lyon  ont imaginé un Festival Numérique. De nombreux ateliers et conférences sont organisés à la Bibliothèque Marie Curie entre novembre 2023 et mi-janvier 2024 sur les thèmes de l’intelligence artificielle, de la protection des données, de la représentativité des femmes dans le numérique, etc.

Le festival a pour objectifs de susciter des vocations à poursuivre des carrières scientifiques et de sensibiliser les étudiants à la recherche dans le numérique.

Pour en savoir plus :

Festival Numérique

Présenter l’IA comme une évidence, c’est empêcher de réfléchir le numérique

PPrésenter l’IA comme une évidence, c’est empêcher de réfléchir le numérique

Au printemps dernier, des personnalités aussi diverses que Elon Musk, Yuval Noah Harari ou Steve Wozniak s’associaient à plus de 1 000 « experts » pour mettre en garde face aux « risques majeurs pour la société et l’humanité » que représente l’intelligence artificielle et demander une pause de six mois dans d’entraînement des modèles plus puissants que GPT-4. Du Monde au Figaro, en passant par FranceInfo ou Libération, les médias ont volontiers relayé les termes de ce courrier qui appelle à une pause pour mieux affirmer le caractère inéluctable et la toute-puissance des systèmes d’IA à venir.

Ce qui frappe dans la réception médiatique immédiate de ce courrier, c’est la myopie face à un processus théorisé depuis maintenant bientôt 30 ans : « l’impensé numérique » (ou informatique, avant lui). Ce concept d’« impensé » désigne les stratégies discursives par lesquelles la technologie est présentée comme une évidence, souvent sous l’influence des acteurs dont elle sert les intérêts économiques ou politiques.

La lettre ouverte de l’institut Future of Life en est un cas d’école : selon elle, l’intelligence artificielle est un outil puissant, il est déjà là, et il est appelé à être encore plus présent et plus puissant à l’avenir pour le plus grand bien de l’humanité.

Comment repérer l’impensé numérique ?

Sept marqueurs discursifs devraient vous mettre la puce à l’oreille. Pour illustrer cette « boîte à outils », la lettre ouverte d’Elon Musk et consorts, qui prétend pourtant appeler à faire une pause, présente avantageusement tous les marqueurs discursifs de l’impensé, quoique l’on puisse également l’appliquer au très sérieux rapport Villani qui plaidait en 2018 pour une stratégie nationale et européenne en matière d’IA :

©Freepik

Dans ce type de discours, l’objet technique se présente comme neutre : il revient à l’humanité de s’en servir à bon escient, sa seule existence lui sert de justification.

Pourtant, si l’on nous dit que l’IA représente des « risques majeurs pour l’humanité », n’est-ce pas la preuve que nous sommes devant une technique qui n’est pas neutre justement ?

Voilà sans doute le mécanisme le plus retors de l’impensé : diaboliser l’objet technique contribue à la fois à affirmer sa puissance et son potentiel lorsqu’il est utilisé à bon escient, et à alimenter le pseudodébat sans lequel l’intérêt médiatique retomberait. L’informatique, le numérique, l’IA sont déjà là, nul besoin de produire un travail historique sérieux à leur sujet, le storytelling des réussites entrepreneuriales suffit.

L’impensé forme un cercle vicieux avec le glissement de la prérogative politique…

L’impensé est indissociable de deux autres processus avec lesquels il forme un véritable cercle vicieux : le glissement de la prérogative politique et la gestionnarisation.

À la faveur de l’impensé numérique, des outils détenus par des acteurs privés sans légitimité électorale ou régalienne déterminent jusqu’à l’accès du public à l’information. Un exemple en est la plate-forme X (anciennement Twitter), qui est scrutée par les journalistes parce qu’elle est alimentée par les personnalités publiques et politiques, ainsi que par les institutions publiques. Lorsqu’une plate-forme privée porte une parole politique, nous sommes dans ce que l’on appelle le « glissement de la prérogative politique ».

En effet, lorsque des acteurs privés déploient des technologies de manière systématique, depuis les infrastructures (câbles, fermes de serveurs, etc.) jusqu’aux logiciels et applications, cela revient à leur déléguer des prises de décisions de nature politique. Ainsi, face à un moteur de recherche qui domine notre accès à l’information et occupe une place qui relèverait d’un véritable service public, nous sommes en plein dans un glissement de la prérogative politique.

On observe le même phénomène lorsque le gouvernement français préfère recourir aux cabinets de conseil plutôt qu’à l’expertise universitaire. Des cabinets, dont les recommandations privilégient volontiers le recours systématique aux technologies numériques et font le lit de la gestionnarisation.

… et avec la gestionnarisation

Aujourd’hui, les outils numériques ne nous permettent pas seulement de gérer diverses activités (banque, rendez-vous médicaux…), ils sont aussi et surtout devenus incontournables pour effectuer ces tâches. Nous n’avons pas d’autre choix que de nous fondre dans les catégories que ces outils nous imposent. Il n’est pas toujours facile de prendre rendez-vous avec un ou une secrétaire médical, par exemple, ou de faire sa déclaration d’impôts sur papier. C’est ce que l’on appelle la « gestionnarisation ».

Cette gestionnarisation témoigne aussi d’un glissement. Par exemple, l’outil d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup s’impose désormais aux lycéens et à leurs familles. Or cet outil porte une dimension politique aux conséquences critiquables, telles que l’exclusion de certaines catégories de bacheliers ou l’accentuation de la mise en concurrence des formations. Dans la gestion, l’outil est second par rapport à l’activité ; avec la gestionnarisation, l’outil devient premier : Parcoursup a pris le pas sur le besoin auquel il est censé répondre.

Dans notre quotidien, pour visiter une nouvelle région, choisir le menu de son dîner comme pour rencontrer l’âme sœur, chacun saisit docilement les informations attendues par les plates-formes de consommation numérique. Lorsque l’on mène une activité sportive en s’équipant d’un bracelet qui traite, mémorise et fait circuler un ensemble de données biométriques, celles-ci deviennent le modèle que l’on suit, plutôt que le ressenti de son corps, dans une sorte d’« auto-gestionnarisation ».

Dûment identifiés et profilés par nos outils, nous contribuons sans réserve aux profits économiques de firmes dont l’essentiel des revenus échappe à l’impôt… Et donc au pouvoir démocratique déjà ébranlé par le glissement de la prérogative politique.

Productivité du numérique et management numérique (Enjeux sociopolitiques du numérique, Dominique Boullier).

Critiquer… et agir

Le numérique n’est pas cet avenir tantôt infernal et tantôt radieux que nous promettent ses impenseurs : ce n’est qu’une catégorie pour désigner un ensemble d’objets techniques et de dispositifs sociotechniques qui doivent être interrogés et débattus au regard de leur action politique et sociétale.

Alors que l’impensé focalise notre attention sur l’IA, peut-être avons-nous davantage besoin outils nouveaux (dans lesquels il peut y avoir de l’IA) afin de mieux organiser l’expression (numérique) de notre intelligence face aux enjeux qui exigent des décisions collectives inédites. Climat, démocratie, environnement, santé, éducation, vivre-ensemble : les défis ne manquent pas.

Dans cette perspective, nous vous invitons à découvrir la nouvelle version du service de navigation web contributive Needle. Nourrie par le concept d’impensé, cette proposition radicalement différente d’accès et de partage de contenus numériques mise sur l’intelligence collective. Needle est une plate-forme de mise en relation qui matérialise l’espérance d’un environnement numérique riche du maillage et de l’exploration curieuse de toutes et tous, en lieu et place du réseau de lignes droites par l’entremise desquelles des intelligences artificielles devraient nous désigner quels documents consulter.

Cette technologie est désormais portée par une start-up, preuve qu’il est possible de concevoir des propositions concrètes qui tiennent compte de la nécessaire critique de la place accordée à la technique dans nos sociétés.The Conversation

Auteur : Julien Falgas, Maître de conférences au Centre de recherche sur les médiations, Université de Lorraine et Pascal Robert, Professeur des universités, École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques ; laboratoire elico, MSH Lyon Saint-Étienne, Université de Lyon

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.

>>> Lire l’article original

Intelligence artificielle : écosystèmes, enjeux, usages. Une approche interprofessionnelle

IIntelligence artificielle : écosystèmes, enjeux, usages. Une approche interprofessionnelle

La Biennale du numérique est une rencontre interprofessionnelle et scientifique qui questionne les problématiques émergentes relatives au développement du numérique pour les professionnels du livre, mais aussi les usages de la lecture, le devenir de l’édition (notamment numérique), les innovations en matière de production et de diffusion de contenus, ou encore les évolutions de l’accès à l’information.

L’édition 2023 de la Biennale du numérique est consacrée à la question des usages de l’Intelligence Artificielle : usages professionnels, usages publics, et comment usages professionnels et usages publics s’influencent mutuellement.

Consultez le programme sur le site de l’Enssib.

La journée du 13 novembre sera dédiée aux des écosystèmes et enjeux de l’intelligence artificielle (histoire, définition, controverses, enjeux), privilégiant une série de conférences données par des chercheurs et des professionnels très en pointe sur la question. Une perspective internationale sera également proposée. Nous reviendrons ensuite sur les questions d’éthique, de droit d’auteur, de valeur des produits de l’IA, de modèle économique, de politiques de l’IA.

La journée du 14 novembre sera consacrée aux usages de l’IA dans le monde des bibliothèques, des archives et de l’édition, entre incertitudes et opportunités.

La biennale sera inaugurée par Nathalie Marcerou-Ramel, directrice de l’Enssib et Malcolm Walsby, directeur de la recherche de l’Enssib.

 

INSCRIPTION

 

 

 

ALL INCLUSIVE : Accès au Livre et à la Lecture inclusive

AALL INCLUSIVE : Accès au Livre et à la Lecture inclusive

La journée d’études ALL INCLUSIVE : Accès au Livre et à la Lecture inclusive est un grand rendez-vous ouvert à tous, organisé par l’Enssib et la Fédération des Aveugles et Amblyopes de France, qui vise à rassembler l’ensemble des professionnels du secteur du livre et de la lecture, les chercheurs en sciences de l’information, des bibliothèques et de l’accessibilité, ainsi que le Ministère de la Culture .

Consultez le programme sur le site de l’Enssib.

Une matinée sera dédiée aux conférences autour de l’accessibilité numérique et une après-midi consacrée à des ateliers pratiques visant à faire découvrir des dispositifs d’accessibilité numérique.

La journée sera inaugurée par Nathalie Marcerou-Ramel, directrice de l’Enssib et Bruno Gendron, président de la Fédération des Aveugles et Amblyopes de France.

INSCRIPTION

 

Liberté, égalité, ubérisé

LLiberté, égalité, ubérisé

Le Rize-Villeurbanne accueille une exposition multimédia, issue d’un projet de recherche, dévoilant les expériences de travail de livreurs dans trois villes du monde. 

« Portant des sacs colorés, à moto ou à vélo, les livreurs de repas sont omniprésents dans toutes les villes. Derrière les petits points énergiques et dépersonnalisés qui bougent sur les écrans de nos smartphones, on découvre des histoires de migration, de précarité et de résistance. Faisant partie d’un projet de recherche scientifique, cette exposition rassemble des illustrations graphiques pour dévoiler les expériences de travail des livreurs de repas à Lyon, Manchester et Cluj-Napoca ».

En partenariat avec : le Leverhulme Trust

Vernissage et rencontre avec le chercheur le jeudi 5 octobre, de 18H30 à 20h – Sur invitation.

Pour en savoir plus :

RIZE

« On devrait moins se méfier de l’intelligence artificielle que de nous-mêmes » | Visages de la science

«« On devrait moins se méfier de l’intelligence artificielle que de nous-mêmes » | Visages de la science

David Wittmann enseigne la philosophie des sciences et des techniques aux futurs ingénieurs de l’INSA Lyon. Passionné par Hegel et sa dialectique du maître et de l’esclave, il pousse régulièrement ses étudiants à s’interroger sur le numérique. Pour lui, nous n’avons rien à craindre de l’intelligence artificielle ni des robots en tant que tels, puisqu’ils ne seraient que le reflet de notre société. Pour un numérique plus vertueux, il ne s’agit pas de s’intéresser au futur mais bien d’interroger le présent.

  • De la théorie la plus célèbre d’Hegel

« Sans numérique, serais-je une conscience ? ». Aujourd’hui, applications et algorithmes font partie intégrante de notre vie quotidienne. Et bien que ces outils numériques nous facilitent la vie et permettent de grandes avancées, ils posent également de nombreuses questions d’éthique et de justice sociale.

  • Pas que des inconvénients

« La technique nous permet de libérer du temps de cerveau disponible mais parfois, les outils transforment de manière immanente, nos intentions et la tâche que l’on est en train de faire (…). Mais attention, le numérique ça n’est pas que des problèmes ! Il est vrai que quand on interroge le sens éthique, on a tendance à voir uniquement les problèmes et à faire comme si les choses n’étaient pas régulées. »

  • Une extension de l’être humain

« Ce qui risque d’être fait à travers l’IA, c’est une automatisation de nos propres âneries. C’est plutôt ça le caractère inquiétant des choses. Si à chaque fois que j’appuyais sur un bouton, je me disais que derrière il y a des atteintes au droit du travail, qu’il y a des petits libraires qui meurent, qu’il y a une société qui s’effondre… Oui, peut-être que je ferais un peu attention, oui. Mais ça, c’est de notre propre réflexion individuelle. Il est grand temps de questionner nos usages, mais aussi les valeurs de notre société », souligne David Wittmann.

 

Portrait de David Wittman

David Wittmann, enseignant en philosophie des sciences, était l’invité du podcast « Les cœurs audacieux », un contenu audio proposé par l’INSA Lyon (Saison 2 – Épisode 6).

 

ÉCOUTER L’ÉPISODE

Le numérique est-il un progrès durable ?

LLe numérique est-il un progrès durable ?

Le monde évolue à une vitesse vertigineuse, façonné par les avancées technologiques qui définissent notre époque. Mais au-delà des promesses de progrès et de facilité, se cache une question cruciale : le numérique est-il vraiment durable ?

À travers son livret en ligne « Le numérique est-il un progrès durable », l’Inria offre des pistes de réflexion et propose des solutions pour construire un numérique plus responsable et durable. En explorant les différentes dimensions du numérique, il nous encourage à prendre conscience de notre rôle individuel et collectif dans cette transformation.

 

>> Découvrez le livret en ligne :

INRIA

 

>> Pour aller plus loin :

L’impact écologique du numérique | Une bd pop’sciences

L’impact écologique du numérique | Une BD Pop’Sciences

LL’impact écologique du numérique | Une BD Pop’Sciences

Saviez-vous que le numérique était responsable de 4% des émissions de gaz à effet de serre de la France chaque année ? Que les ressources nécessaires au tactile pourraient disparaître d’ici 15 ans ? Qu’il y a jusqu’à 70 matériaux différents dans votre smartphone ? Ou encore que la page que vous êtes en train de consulter est stockée dans au moins 6 data center autour du globe, chacun consommant 6 piscines olympiques d’eau par jour pour fonctionner ?

À travers le dispositif Pop’Sciences Jeunes reportages, deux classes de troisième de la Cité Scolaire René Pellet de Villeurbanne ont pu se plonger dans l’envers du décor du numérique et de ses usages. Plusieurs séances de travail ainsi que la rencontre avec trois chercheurs d’horizons différents (Romain Colon & Diana Martin de Argenta, enseignants à l’INSA de Lyon ; et Baptiste Mylondo, enseignant en sciences sociales) ont permis aux élèves de devenir des experts d’un sujet qui va prendre de l’importance dans nos sociétés, avec la place nouvelle accordé au numérique et l’explosion de ses impacts environnementaux.

Cette bande dessinée, illustrée par Mathieu Bertrand à partir des idées des élèves, dresse un panorama du sujet en trois grands axes : fabriquer le numérique, utiliser le numérique, arbitrer le numérique. Alors, quels choix pour notre société ?

>> Lire la BD :

 

>> Pour en savoir plus sur Pop’Sciences Jeunes Débat – Numérique et environnement :

 

 

 

« De(s)connexions » une journée autour du numérique

«« De(s)connexions » une journée autour du numérique

La Maison de l’Environnement organise le samedi 17 juin une journée pour aborder les enjeux et impacts, positifs et négatifs, du numérique ! En famille, entre amis ou en solo venez participez à cette journée festive, aux ateliers et temps inspirants qui seront proposés.

Au programme : des ateliers pour petits et grands sur l’économie de l’attention (association SERA), les dessous d’internet (Fréquences Écoles), pour devenir « Plus smart sans phone » avec l’association Conscience et Impact Écologique, pour faire attention aux cookies et à ses données personnelles (TUBA), et bien d’autres encore.

Mais aussi, un atelier de cuisine participative, un Repair Café, une fresque du numérique, une cabane à histoires et pour finir la journée en beauté une conférence-gesticulée sur « l’écran méchant-loup » !

Vous ne savez pas quoi faire de vos vieux ordis ? l’association Eisenia les récupère pour leur donner une seconde vie, venez leur déposer et profitez-en pour vous arrêter à leur Repair Café !

La journée se clôtura par une conférence gesticulée « L’écran méchant loup » proposée par Philippe Cazeneuve.

 

>> Programmation intégrale et inscription :

Maison de l’environnement