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Printemps du numérique | L’IA et moi

PPrintemps du numérique | L’IA et moi

©DR

Du 23 mars au 6 avril, le Printemps du numérique est de retour pour une première édition en format biennal autour de l’intelligence artificielle. Deux semaines pour explorer le fonctionnement des IA, ce qu’elles changent dans nos vies et les craintes qu’elles suscitent.

 

 

>> Participent à ce festival :

  • 10 bibliothèques de la Ville de Lyon, les départements de la Part-Dieu, le Guichet du Savoir, la Documentation régionale, le bibliobus et le Pôle Métropole,
  • les bibliothèques de Villeurbanne, Neuville sur Saône, Couzon-au-Mont-d’Or, Charly, Feyzin, Pierre-Bénite et Mions,
  • de nombreux partenaires extérieurs, dont la MMI, l’INRIA, le CNRS, l’UCLy, Planète Sciences, European Lab, le Grame …

>> En ouverture et en clôture du festival, deux temps forts :

  • samedi 23 mars à la Bibliothèque de la Part-Dieu : cercle de lecture, ateliers d’informatique débranchée, de génération d’image et d’initiation à la programmation avec un robot, rencontres « IA et éthique », « IA et géopolitique», « IA et création musicale ».
  • samedi 6 avril à la Bibliothèque du 6e : initiation au jeu de rôle, ateliers «  Découverte ludique de l’IA », « Deviens une IA » et « Dessine avec l’IA »

>> Au programme, quelque conférence notable:

Le programme papier est disponible dans les bibliothèques et chez les partenaires.

Sur le site du festival retrouvez les rendez-vous, des sélections documentaires, et participez à l’appel à créations Dessine avec l’IA et aux débats L’IA, on en fait quoi ?

>> Pour plus d’information sur les rendez-vous du festival :

Bibliothèque Municipale de Lyon

 

Sous surveillance : quelle protection des données dans un monde numérique ? | RDV UCLy Expert

SSous surveillance : quelle protection des données dans un monde numérique ? | RDV UCLy Expert

Reconnaissance faciale, protection de la voie publique, vidéosurveillance… les enregistrements vidéos s’immiscent dans nos vies quotidiennes et posent la question du respect des libertés fondamentales et de l’importance de protéger ses données personnelles.

C’est donc un vaste sujet, qui concerne chacun de nous aussi bien dans le cadre personnel que professionnel, dont nos experts vont se saisir. Ils vous proposent d’interroger, au regard du cadre réglementaire et légal, les multiples enjeux d’un monde sous surveillance.

Comment s’assurer de la conformité au RGPD de son installation de vidéosurveillance ou de vidéoprotection ?

Peut-on évaluer la capacité de ces technologies à répondre aux enjeux sécuritaires qu’elles servent ? Comment composer avec des législations qui diffèrent, entre le pays qui fabrique la technologie et celui qui l’utilise ?

Il sera également question des conflits de valeurs qui entourent le sujet :

> Peut-on conjuguer lutte contre l’insécurité et respect de la vie privée ?

> Quand il devient nécessaire de maintenir l’éclairage public nocturne pour que les caméras captent des images, comment concilier protection de l’environnement et vidéoprotection ?

> Photos de smartphones, enregistrements d’enceintes connectées… quel usage envisager pour ces données complémentaires, qui ne relèvent ni de la vidéosurveillance, ni de la vidéoprotection ?

UCLy Expert vous donne rendez-vous à la croisée des enjeux numériques, juridiques et éthiques, pour vous donner des clés et vous aider à mieux appréhender les risques et bénéfices liés à ces nouvelles technologies !

>> Pour en savoir plus :

UCLY EXPERT

 

Sermons et pixels. Le numérique éclaire la prédication médiévale

SSermons et pixels. Le numérique éclaire la prédication médiévale

Les prédicateurs sont des figures importantes de l’histoire des grandes religions monothéistes. Propagateurs de la parole divine, ils officient aujourd’hui jusque sur les réseaux sociaux. Au Moyen-Âge, des milliers de prédicateurs chrétiens sillonnaient les contrées européennes pour prononcer leurs sermons en public. Ces discours, conservés dans des manuscrits, font aujourd’hui l’objet d’analyses approfondies par les historiens. Un travail qui permet de révéler la réalité sociale, la culture et les enjeux de pouvoir de l’époque médiévale.

Explication de Marjorie Burghart, chargée de recherche au laboratoire Histoire, Archéologie, Littérature des mondes chrétiens et musulmans médiévaux.

>> L’intégralité de ce billet est disponible sur le blog :

Journée thématique : Amour et intelligence artificielle

JJournée thématique : Amour et intelligence artificielle

Après l’avènement des sites de rencontres il y a une vingtaine d’années, c’est au tour de l’intelligence artificielle de venir bouleverser les relations humaines et amoureuses. Nous sommes maintenant des millions à utiliser applications, chatbot ou robots sociaux et pour certains d’entre nous à en tomber amoureux… Aussi foisonnante et attrayante soit-elle, cette offre numérique soulève de nombreuses questions éthiques et comportementales.

Au programme :

  • à 14h, projection de Her de Spike Jonze, 2014, 2h06min (VOSTRFR)
  • à 16h15, table ronde sur le thème « Amour et intelligence artificielle : quelles réalités et quels futurs ? « 

Rendez-vous en écho à l’exposition À nos amours

Plus d’informations sur le site du :

MUSÉE DES CONFLUENCES

Éthique du Numérique pour les Enfants | Capsules vidéos

ÉÉthique du Numérique pour les Enfants | Capsules vidéos

©Fondation Blaise Pascal

Comme dans la vie, il faut une éthique du numérique qui permet de respecter la dignité humaine, la justice et la liberté. Le risque de manipulation est réel, et l’utilisation de l’intelligence artificielle peut encore augmenter ces risques.
­Vous voulez sensibiliser vos élèves aux enjeux du numérique et de l’intelligence artificielle ? 

Cela concerne autant les créateurs de contenu que les utilisateurs de tout âge, dans leur pratique des réseaux sociaux par exemple. La connaissance nourrit l’action : comprendre le positif du numérique comme ses risques de dérive participe à forger des comportements éthiques et responsables, et à déjouer les pièges. Pour cela, la fondation Blaise Pascal et la Chaire IA HUMAAINE du CNRS-LISN, ont décidé de créer une série de capsules vidéos destinée à sensibiliser les élèves du cycle 3 (CM1, CM2 et 6e) au numérique dans leur vie. Sans diabolisation ni angélisme, l’objectif est de les amener à réfléchir. Chaque capsule traite d’une thématique numérique qui est en lien avec les usages des enfants de cet âge, et est accompagnée d’une courte note ‘ressource’ pour les enseignants dans la préparation et l’animation pédagogique de leur classe.

Cet épisode aborde deux sujets : le temps que l’on peut passer sur les écrans et de manière corollaire la tentation de se laisser entrainer à y dépenser de l’argent. Les apprentissages sur l’usage des technologies numériques correspondants sont :

– Maîtriser le temps consacré aux écrans,

– Comprendre les mécanismes de notre cerveau qui peuvent produire un attachement affectif et progressif à l’écran,

– Être lucide sur l’objectif de nombreux développeurs et entreprises du numérique d’encourager la consommation et la dépense monétaire.

Cette capsule est accompagnée d’une courte note ‘ressource‘ pour les enseignants dans la préparation et l’animation pédagogique de leur classe.

Cette capsule aborde le sujet des données personnelles que l’on peut partager volontairement ou de manière moins visible et l’usage qui peut en être fait par les sites en ligne. Les thématiques abordées sont :

– Comprendre les informations que l’on donne en le sachant,

– Savoir qu’il y a des informations qui sont recueillies de manière non visible lorsqu’on utilise les sites et services en ligne,

– Être lucide sur l’objectif de nombreux développeurs et entreprises du numérique quant à l’utilisation qui peut être faite de ces données personnelles.

Cette capsule est accompagnée d’une courte note ‘ressource‘ pour les enseignants dans la préparation et l’animation pédagogique de leur classe.

>> Pour plus d’information rendez-vous sur la play-list :

Capsules

Sciences de l’information et des bibliothèques – Les Editions de l’Enssib

SSciences de l’information et des bibliothèques – Les Editions de l’Enssib

©enssib

Les soirées de lancement des Éditions de l’Enssib

L’Enssib organise, à chaque nouvelle parution d’un ouvrage des éditions de l’Enssib, une table ronde permettant l’échange et le débat, en présence des auteurs et d’enseignants chercheurs experts dans le domaine des sciences de l’information, du numérique et des métiers du livre.

Ces tables rondes ont lieu une fois par mois, les jeudi de 17h30 à 19h, à l’amphithéâtre de l’Enssib.

 

 

 

 

 

 

>> Regarder la vidéo :

>> Retrouvez l’ensemble des vidéos sur la :

chaîne youtube de l’Enssib

Intelligence artificielle : écosystèmes, enjeux, usages. Une approche interprofessionnelle | Biennale du numérique 2023

IIntelligence artificielle : écosystèmes, enjeux, usages. Une approche interprofessionnelle | Biennale du numérique 2023

La Biennale du numérique est une rencontre interprofessionnelle et scientifique qui questionne les problématiques émergentes relatives au développement du numérique pour les professionnels du livre, mais aussi les usages de la lecture, le devenir de l’édition (notamment numérique), les innovations en matière de production et de diffusion de contenus, ou encore les évolutions de l’accès à l’information.

L’édition 2023 de la Biennale du numérique a été consacrée à la question des usages de l’Intelligence Artificielle : usages professionnels, usages publics, et comment usages professionnels et usages publics s’influencent mutuellement.

 >> Consultez la playlist

>> Retrouvez l’ensemble des vidéos en playlist la chaîne YouTube :

l’Enssib

Le livre face au numérique

LLe livre face au numérique

Soirée de lancement de l’ouvrage Le livre face au numérique à paraître aux Presses de l’Enssib (collection Papiers), sous la coordination de Frédérique Giraud et Céline Guillot.

Cet ouvrage dirigé à deux mains par des maîtresses de conférences de l’Université Paris Cité, travaillant dans la filière Métiers du livre de l’IUT Paris – Rives de Seine, propose les contributions d’universitaires et de professionnels de renom. Il est le fruit de nombreux échanges avec les acteurs du monde des livres : éditeurs, libraires et bibliothécaires. Il offrira aux étudiants comme aux professionnels des analyses sur l’évolution rapide des métiers du livre et les réalités de terrain, dont les évolutions sectorielles et leurs transformations avec l’arrivée du numérique ont généré l’émergence de nouvelles compétences (créatives, digitales, commerciales) et opportunités, tant éditoriales qu’économiques.

Table ronde en présence de :

  • Frédérique Giraud, co-coordinatrice de l’ouvrage ;
  • Valérie Larroche, maîtresse de conférence – Enssib.

Modération assurée par : Florence Salanouve, directrice de la valorisation à l’Enssib.

Soirée inaugurée par : Nathalie Marcerou-Ramel, directrice de l’Enssib.

>> Possibilité également de suivre la table ronde à distance : connectez-vous ici

Pour en savoir plus :

Enssib

 

Festival Numérique

FFestival Numérique

Le Centre Inria de Lyon et la Bibliothèque Marie Curie de l’INSA Lyon  ont imaginé un Festival Numérique. De nombreux ateliers et conférences sont organisés à la Bibliothèque Marie Curie entre novembre 2023 et mi-janvier 2024 sur les thèmes de l’intelligence artificielle, de la protection des données, de la représentativité des femmes dans le numérique, etc.

Le festival a pour objectifs de susciter des vocations à poursuivre des carrières scientifiques et de sensibiliser les étudiants à la recherche dans le numérique.

Pour en savoir plus :

Festival Numérique

Présenter l’IA comme une évidence, c’est empêcher de réfléchir le numérique

PPrésenter l’IA comme une évidence, c’est empêcher de réfléchir le numérique

Au printemps dernier, des personnalités aussi diverses que Elon Musk, Yuval Noah Harari ou Steve Wozniak s’associaient à plus de 1 000 « experts » pour mettre en garde face aux « risques majeurs pour la société et l’humanité » que représente l’intelligence artificielle et demander une pause de six mois dans d’entraînement des modèles plus puissants que GPT-4. Du Monde au Figaro, en passant par FranceInfo ou Libération, les médias ont volontiers relayé les termes de ce courrier qui appelle à une pause pour mieux affirmer le caractère inéluctable et la toute-puissance des systèmes d’IA à venir.

Ce qui frappe dans la réception médiatique immédiate de ce courrier, c’est la myopie face à un processus théorisé depuis maintenant bientôt 30 ans : « l’impensé numérique » (ou informatique, avant lui). Ce concept d’« impensé » désigne les stratégies discursives par lesquelles la technologie est présentée comme une évidence, souvent sous l’influence des acteurs dont elle sert les intérêts économiques ou politiques.

La lettre ouverte de l’institut Future of Life en est un cas d’école : selon elle, l’intelligence artificielle est un outil puissant, il est déjà là, et il est appelé à être encore plus présent et plus puissant à l’avenir pour le plus grand bien de l’humanité.

Comment repérer l’impensé numérique ?

Sept marqueurs discursifs devraient vous mettre la puce à l’oreille. Pour illustrer cette « boîte à outils », la lettre ouverte d’Elon Musk et consorts, qui prétend pourtant appeler à faire une pause, présente avantageusement tous les marqueurs discursifs de l’impensé, quoique l’on puisse également l’appliquer au très sérieux rapport Villani qui plaidait en 2018 pour une stratégie nationale et européenne en matière d’IA :

©Freepik

Dans ce type de discours, l’objet technique se présente comme neutre : il revient à l’humanité de s’en servir à bon escient, sa seule existence lui sert de justification.

Pourtant, si l’on nous dit que l’IA représente des « risques majeurs pour l’humanité », n’est-ce pas la preuve que nous sommes devant une technique qui n’est pas neutre justement ?

Voilà sans doute le mécanisme le plus retors de l’impensé : diaboliser l’objet technique contribue à la fois à affirmer sa puissance et son potentiel lorsqu’il est utilisé à bon escient, et à alimenter le pseudodébat sans lequel l’intérêt médiatique retomberait. L’informatique, le numérique, l’IA sont déjà là, nul besoin de produire un travail historique sérieux à leur sujet, le storytelling des réussites entrepreneuriales suffit.

L’impensé forme un cercle vicieux avec le glissement de la prérogative politique…

L’impensé est indissociable de deux autres processus avec lesquels il forme un véritable cercle vicieux : le glissement de la prérogative politique et la gestionnarisation.

À la faveur de l’impensé numérique, des outils détenus par des acteurs privés sans légitimité électorale ou régalienne déterminent jusqu’à l’accès du public à l’information. Un exemple en est la plate-forme X (anciennement Twitter), qui est scrutée par les journalistes parce qu’elle est alimentée par les personnalités publiques et politiques, ainsi que par les institutions publiques. Lorsqu’une plate-forme privée porte une parole politique, nous sommes dans ce que l’on appelle le « glissement de la prérogative politique ».

En effet, lorsque des acteurs privés déploient des technologies de manière systématique, depuis les infrastructures (câbles, fermes de serveurs, etc.) jusqu’aux logiciels et applications, cela revient à leur déléguer des prises de décisions de nature politique. Ainsi, face à un moteur de recherche qui domine notre accès à l’information et occupe une place qui relèverait d’un véritable service public, nous sommes en plein dans un glissement de la prérogative politique.

On observe le même phénomène lorsque le gouvernement français préfère recourir aux cabinets de conseil plutôt qu’à l’expertise universitaire. Des cabinets, dont les recommandations privilégient volontiers le recours systématique aux technologies numériques et font le lit de la gestionnarisation.

… et avec la gestionnarisation

Aujourd’hui, les outils numériques ne nous permettent pas seulement de gérer diverses activités (banque, rendez-vous médicaux…), ils sont aussi et surtout devenus incontournables pour effectuer ces tâches. Nous n’avons pas d’autre choix que de nous fondre dans les catégories que ces outils nous imposent. Il n’est pas toujours facile de prendre rendez-vous avec un ou une secrétaire médical, par exemple, ou de faire sa déclaration d’impôts sur papier. C’est ce que l’on appelle la « gestionnarisation ».

Cette gestionnarisation témoigne aussi d’un glissement. Par exemple, l’outil d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup s’impose désormais aux lycéens et à leurs familles. Or cet outil porte une dimension politique aux conséquences critiquables, telles que l’exclusion de certaines catégories de bacheliers ou l’accentuation de la mise en concurrence des formations. Dans la gestion, l’outil est second par rapport à l’activité ; avec la gestionnarisation, l’outil devient premier : Parcoursup a pris le pas sur le besoin auquel il est censé répondre.

Dans notre quotidien, pour visiter une nouvelle région, choisir le menu de son dîner comme pour rencontrer l’âme sœur, chacun saisit docilement les informations attendues par les plates-formes de consommation numérique. Lorsque l’on mène une activité sportive en s’équipant d’un bracelet qui traite, mémorise et fait circuler un ensemble de données biométriques, celles-ci deviennent le modèle que l’on suit, plutôt que le ressenti de son corps, dans une sorte d’« auto-gestionnarisation ».

Dûment identifiés et profilés par nos outils, nous contribuons sans réserve aux profits économiques de firmes dont l’essentiel des revenus échappe à l’impôt… Et donc au pouvoir démocratique déjà ébranlé par le glissement de la prérogative politique.

Productivité du numérique et management numérique (Enjeux sociopolitiques du numérique, Dominique Boullier).

Critiquer… et agir

Le numérique n’est pas cet avenir tantôt infernal et tantôt radieux que nous promettent ses impenseurs : ce n’est qu’une catégorie pour désigner un ensemble d’objets techniques et de dispositifs sociotechniques qui doivent être interrogés et débattus au regard de leur action politique et sociétale.

Alors que l’impensé focalise notre attention sur l’IA, peut-être avons-nous davantage besoin outils nouveaux (dans lesquels il peut y avoir de l’IA) afin de mieux organiser l’expression (numérique) de notre intelligence face aux enjeux qui exigent des décisions collectives inédites. Climat, démocratie, environnement, santé, éducation, vivre-ensemble : les défis ne manquent pas.

Dans cette perspective, nous vous invitons à découvrir la nouvelle version du service de navigation web contributive Needle. Nourrie par le concept d’impensé, cette proposition radicalement différente d’accès et de partage de contenus numériques mise sur l’intelligence collective. Needle est une plate-forme de mise en relation qui matérialise l’espérance d’un environnement numérique riche du maillage et de l’exploration curieuse de toutes et tous, en lieu et place du réseau de lignes droites par l’entremise desquelles des intelligences artificielles devraient nous désigner quels documents consulter.

Cette technologie est désormais portée par une start-up, preuve qu’il est possible de concevoir des propositions concrètes qui tiennent compte de la nécessaire critique de la place accordée à la technique dans nos sociétés.The Conversation

Auteur : Julien Falgas, Maître de conférences au Centre de recherche sur les médiations, Université de Lorraine et Pascal Robert, Professeur des universités, École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques ; laboratoire elico, MSH Lyon Saint-Étienne, Université de Lyon

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.

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