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Pourquoi la recherche sur la synapse reste essentielle

PPourquoi la recherche sur la synapse reste essentielle

Maladie de Parkinson, autisme, épilepsie, myasthénies : la synapse est impliquée dans de nombreuses maladies. Mieux comprendre sa structure et la nature de ses dysfonctionnements est essentiel pour proposer de nouveaux traitements aux personnes atteintes par ces pathologies.

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Quand la dépression n’arrive pas seule

QQuand la dépression n’arrive pas seule

La dépression ne se manifeste pas toujours seule. Accidents cardio-vasculaires, maladies neurodégénératives, troubles du sommeil, douleur chronique… lui sont régulièrement associés. Pourquoi cette concomitance ? Qu’est-ce qui, du trouble physique ou de la dépression, provoque l’autre ?

À Lyon, une équipe de l’Institut des sciences cognitives Marc Jeannerod s’intéresse plus particulièrement à la maladie de Parkinson. Si elle est bien connue pour ses symptômes moteurs (troubles du mouvement, tremblements, rigidité musculaire et troubles posturaux), des symptômes non moteurs peuvent aussi se manifester, au premier rang desquels les troubles anxieux et la dépression. « Cela fait environ quinze ans que les chercheurs s’y intéressent, confirme Léon Tremblay, neurophysiologiste à l’Institut des sciences cognitives Marc Jeannerod, et spécialiste des ganglions de la base, une structure du cerveau impliquée dans cette maladie neurodégénérative. On a d’abord pensé que les symptômes dépressifs étaient la résultante du stress induit par le handicap chez les patients parkinsoniens, mais on sait désormais qu’ils sont constitutifs de la maladie, au même titre que les troubles moteurs. »

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cnrs le journal

Maladie de Parkinson : que penser de l’implantation de cellules souches iPS dans le cerveau ?

MMaladie de Parkinson : que penser de l’implantation de cellules souches iPS dans le cerveau ?

Pierre Savatier, spécialiste des cellules souches au Stem cell and Brain Research Institute, commente l’essai clinique lancé par une équipe japonaise qui a implanté des cellules souches pluripotentes induites, dites iPS, dans le cerveau d’un patient atteint de la maladie de Parkinson. Une première mondiale!

C’est une première dans le traitement de la maladie de Parkinson. Des chercheurs de l’université de Kyoto ont implanté des cellules souches pluripotentes induites, dites iPS, dans le cerveau d’un patient atteint de cette pathologie dégénérative. L’objectif recherché est que ces cellules iPS se développent en neurones producteurs de dopamine, un neurotransmetteur qui intervient dans le contrôle de la motricité. Rappelons que la maladie de Parkinson entraîne la dégénérescence de ces neurones et se traduit par des symptômes qui s’aggravent progressivement : tremblements, rigidité des membres et diminution des mouvements du corps.

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Atelier de danse DaPoPa

AAtelier de danse DaPoPa

Cet atelier explore la façon dont la danse peut être utilisée comme un outil pour éveiller les connaissances physiques que nous avons chez des personnes avec des expertises, des âges et des capacités différentes. Basé sur quatre années de recherche collaborative entre danseurs, scientifiques et personnes atteintes de la maladie de Parkinson, cet atelier portera sur l’incarnation par l’acte de prendre soin, sur la générosité et l’interactivité en vue de transformer la capacité physique d’autrui et se confronter à l’impact que peut avoir un diagnostic sur l’identité.

Animation proposée par l‘album-Abc Danse et Audrey Maillet, au CRNL, dans le cadre de la Semaine du cerveau.

Consultez l’ensemble du programme sur le SITE NATIONAL DE LA SEMAINE DU CERVEAU