FFESTIVAL INTERFÉRENCES CINÉMA DOCUMENTAIRE DÉBAT PUBLIC En matinée, le Festival Interférences propose des ateliers d’analyse de l’image. Le premier s’appuie sur deux courts-métrages documentaires qui explorent les possibilités infinies du « geste documentaire ». En brouillant la frontière entre le naturel et l’artificiel, croisant le réel à l’imaginaire, deux jeunes cinéastes convoquent la puissance de l’image et du montage pour nous plonger à l’orée d’un nouveau jour, à l’aube d’un nouveau monde.LES FILMS :BODYCAM.STÉPHANE MYCZKOWSKIFRANCE | 2017 | 17 MINUTES | VOSTDepuis le début des années 2010, de nombreusesvilles américaines équipent leurs officiers de policede caméras corporelles, petits appareilsd’enregistrement qui se fixent sur la poitrine. Lesagents portant une caméra ont le devoir de l’allumerau début de chacune de leurs interventions.Rêvent-elles de robotsastronautes ?SARAH DEL PINOFRANCE | 2017 | 25 MINUTESSous l’esthétique d’une science fiction la caméraabandonne peu à peu le monde des humains pourpénétrer dans un monde parallèle. Nous découvronsun microcosme fabriqué par l’Homme etpourtant déserté par ce dernier.ACCOMPAGNÉ PAR L’ASSOCIATIONKINOKS, COLLECTIF D’ÉTUDIANTSEN CINÉMA DE L’UNIVERSITÉLUMIÈRE LYON 2 INFOS PRATIQUESLe site du festivalRéservez votre placeOrganisé par l’association Scènes Publiques