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EN SAVOIR PLUS

« Esthétiques du Care pour l’Anthropocène »

«« Esthétiques du Care pour l’Anthropocène »

« Cet ouvrage explore les dimensions imaginaires des diverses crises d’habitabilité qui façonnent l’époque désignée comme “Anthropocène”. Il propose une réponse esthétique à une question morale. Penser l’Anthropocène depuis une perspective morale implique de nous demander comment nos décisions sont modelées et prises, selon quelles échelles de valeur nous décidons ce qui compte et ce qui sera interprété comme secondaire, contextuel ou accessoire« .

L’Ecole urbaine de Lyon, les éditions deux-cent-cinq et Cité Anthropocène présentent le deuxième ouvrage issu d’un cours public de l’Ecole urbaine de Lyon, donné par María Grace Salamanca Gonzaléz, actrice de théâtre et docteure en philosophie.

María Grace Salamanca Gonzaléz est actrice de théâtre et docteure en philosophie. Son doctorat s’est réalisé dans le cadre d’une codirection entre l’Université de Lyon et le programme de recherche “Acteurs sociaux de la Flore médicinale au Mexique” de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH). Maîtresse de conférences en éthique, bioéthique et épistémologie, elle est spécialiste en épistémologies du Sud, praticienne des esthétiques décoloniales dans leur forme théâtrale, membre des comités d’éthique clinique et de la recherche (au Mexique).

>> En savoir plus et commander ce livre sur le site des Éditions deux-cent-cinq.

Ce livre résulte d’un cours public de l’École urbaine de Lyon, dispensé par María Grace Salamanca Gonzaléz, en 2022.

>> En savoir plus sur le cours public 2022 et revoir les vidéos des séances sur notre chaîne YouTube. 

 

Collection « À partir de l’Anthropocène »
Les ouvrages de la collection “À partir de l’Anthropocène”, coéditée par les Éditions deux-cent-cinq et l‘École urbaine de Lyon, dirigée par Michel Lussault et Valérie Disdier, revisitent la pensée et les phénomènes sociaux à partir de la reconnaissance de cette crise de l’habitabilité d’une ampleur inédite et proposent des pistes de réflexion et d’action pour que nous inventions collectivement de nouvelles manières de co-habiter.

>> Découvrir les ouvrages de la collection  sur le site :

édition 205

 

« Faire face à l’Anthropocène : les voies du droit » d’Isabelle Michallet

«« Faire face à l’Anthropocène : les voies du droit » d’Isabelle Michallet

Comment le droit peut-il répondre aux défis de notre époque anthropocène ?

L’Ecole urbaine de Lyon, les éditions deux-cent-cinq et Cité Anthropocène présentent le premier ouvrage issu d’un cours public de l’Ecole urbaine de Lyon, donné par Isabelle Michallet, enseignante à la Faculté de droit de l’Université Jean Moulin Lyon 3.

Dans cet ouvrage, la juriste Isabelle Michallet explore les voies par lesquelles le droit peut aujourd’hui répondre à l’urgence écologique. L’auteure parcourt 6 grandes propositions et esquisse ainsi les voies pour un droit qui protège, capable de répondre aux défis de l’Anthro­pocène :

  • Cesser de piller la biodiversité
  • Personnifier la nature
  • Incarner les générations futures
  • Imposer l’égalité des sexes
  • Criminaliser les destructions
  • Respecter le droit de l’environnement

Isabelle Michallet est enseignante à la Faculté de droit de l’Université Jean-Moulin Lyon 3 et chercheuse au sein du laboratoire EVS (CNRS – UMR 5600), spécialisée en droit de l’environnement (biodiversité, participation citoyenne, gouvernance environnementale, les fleuves internationaux).

En savoir plus et commander ce livre sur le site des Éditions deux-cent-cinq.

Les propositions faites dans ce livre résultent d’un cours dispensé par Isabelle Michallet, dans le cadre des Cours publics de l’Ecole urbaine de Lyon en 2021. Pour les besoins de l’ouvrage, ce cours a été retravaillé et actualisé, rédigé dans la perspective d’être accessible à tout lecteur.

En savoir plus sur le cours public 2021 et revoir les vidéos des séances sur la chaine YouTube :

cité anthropocène

 

Et maintenant, que faire ? Les possibles anthropocènes.

EEt maintenant, que faire ? Les possibles anthropocènes.

Une soirée de clôture du festival « A l’Ecole de l’Anthropocène » (janvier 2023), préparée par l’Ecole urbaine de Lyon, en partenariat avec le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB).

>> Avec la participation de :

Michel LUSSAULT, géographe et directeur de l’École Urbaine de Lyon
María MEDEM, artiste
Judit CARRERA, directrice du Centre de Culture Contemporaine de Barcelone
David BRAVO, architecte
Amaena GUÉNIOT, philosophe
Jordi COSTA, responsable des expositions du Centre de Culture Contemporaine de Barcelone

Animé par Valérie DISDIER, directrice adjointe de l’École urbaine de Lyon.

>> Regarder la vidéo de la soirée :

©photo : María MEDEM

>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :

lyon

Soin et fragilité : ressources insoupçonnées.

SSoin et fragilité : ressources insoupçonnées.

Une soirée dans le cadre de « A l’Ecole de l’Anthropocène » organisée par l’Ecole urbaine de Lyon en janvier 2023.

Nos modes de vies, et depuis longtemps, se sont construit sur un désir (une croyance ?) d’horizons infinis en matière de ressources et d’espèces. Mais voilà que tout part à vau-l’eau : fonte des glaciers, extinction massive des espèces, multiplication des mégafeux, etc. Et l’on comprend que ce dysfonctionnement global rend les conditions de vie de notre propre espèce, celle que l’on croyait définitivement au sommet de la chaîne alimentaire, incertaines et fragiles. Notre jouet – cette Terre prise pour une mine sans fond, les autres vivants pris pour des moins que rien – est fêlé, abîmé. Reste à faire avec, à le réparer, à en prendre soin. À le regarder pour la première fois.

>> Avec la participation :

  • Claudie HUNZINGER, romancière et artiste plasticienne
  • Sibylle GRIMBERT, éditrice et romancière
  • Eric DE THOISY, docteur en architecture
  • Animé par Valérie DISDIER, directrice adjointe de l’Ecole urbaine de Lyon
>> Regarder la vidéo de la soirée :

©Photo : Mélania Avanzato.
>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :
lyon

« Tisser la vie à travers les générations » : une soirée avec Tim Ingold

«« Tisser la vie à travers les générations » : une soirée avec Tim Ingold

L’avenir est-il sur le point de se refermer ou peut-être s’ouvre-t-il vers de nouveaux horizons ? L’origine de notre difficulté à faire face à l’avenir pourrait-elle résider dans notre façon de penser les générations ?

On a tendance à imaginer les générations comme des couches, se succédant comme des feuilles dans une pile. Bien qu’historiquement récente, cette vision multidimensionnelle constitue une toile de fond largement incontestée pour les discussions sur l’évolution, la vie et la mort, la longévité, l’extinction, la durabilité, l’éducation, le changement climatique et une foule d’autres sujets d’intense préoccupation contemporaine.

Et si nous devions plutôt penser aux générations comme s’enroulant les unes autour des autres sur leur longueur, plus comme des fibres dans une corde que des feuilles empilées ?

Dans cette discussion, nous suggérerons qu’un retour à l’idée que la vie se forge dans la collaboration de générations qui se chevauchent pourrait non seulement apaiser certaines de nos angoisses, mais aussi offrir une base durable pour une coexistence future. Mais cela pourrait signifier devoir abandonner notre foi à la fois dans le caractère inévitable du progrès et dans la capacité de la science et de la technologie à protéger l’humanité des impacts environnementaux. Un monde parfait n’est pas au coin de la rue, et nos ennuis ne finiront jamais. Néanmoins, tant que la vie continue, il y a de l’espoir pour les générations à venir.

Une soirée dans le cadre de « A l’Ecole de l’Anthropocène » organisée par l’Ecole urbaine de Lyon en janvier 2023.
>> Avec la participation de :
  • Tim INGOLD (Royaume-Uni), anthropologue et auteur
  • Stéphane FRIOUX, adjoint au maire de Villeurbanne (culture, universités et vie étudiante), qui représentera Cédric VAN STYVENDAEL, maire de Villeurbanne et vice-président à la Culture de la Métropole.
  • Animé par Michel LUSSAULT, géographe et directeur de l’École Urbaine de Lyon.
>> Regarder la vidéo de la soirée :

©Photo : Mélania Avanzato.

>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :
Lyon

La Terre comme horizon : 50 ans après Blue Marble

LLa Terre comme horizon : 50 ans après Blue Marble

Blue Marble est l’une des photographies les plus répandues dans le monde. La mise en perspective directe de la Terre dans l’espace continue de nous générer cet « effet de surplomb » décrit par Frank White dans The Overview Effect — Space Exploration and Human Evolution (1987).
Ce « point bleu pâle suspendu dans le vide » nous rappelle la finitude planétaire : une image choc qui a bouleversé notre rapport au monde.
À l’occasion du 50ème anniversaire de Blue Marble, la soirée multiplie les regards autour de cette icône. Des intervenant·e·s de différents horizons expliquent le rapport qu’ils entretiennent avec elle.
Dans le cadre de l’événement « A l’Ecole de l’Anthropocène », organisée en janvier 2023 par l’Ecole urbaine de Lyon.

>>Avec la participation :

  • Christoph WIESNER, directeur des Rencontres d’Arles
  • Michel LUSSAULT, géographe et directeur de l’École Urbaine de Lyon
  • Jindra KRATOCHVIL, artiste vidéaste
  • Gilles RABIN, conseiller spatial à l’Ambassade de France à Berlin
  • Isabelle SOURBÈS-VERGER, géographe
  • Simone FEHLINGER, designer graphique
  • Animé par Valérie DISDIER, directrice adjointe de l’École urbaine de Lyon.

 

>> Regarder la vidéo de la soirée :

©Photo : Mélania Avanzato.

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :

lyon

Vivre avec le danger : une soirée de littérature, philosophie et musique

VVivre avec le danger : une soirée de littérature, philosophie et musique

Littérature, philosophie, musique et sciences sont conviées au bal de tous les dangers.

Différentes épidémies ponctuent les crises climatiques, économiques et sociales. Dans l’époque anxiogène que nous traversons, le « risque » nous fait face à chaque instant. Mais de quel risque s’agit-il ? Quels sont les dangers omniprésents qui rôdent autour de nos consciences ?
Cette soirée invite plusieurs disciplines à converger autour de nos cohabitations avec le danger. Dans le cadre de « A l’Ecole de l’Anthropocène » organisée par l’Ecole urbaine de Lyon en janvier 2023. 
>> Avec la participation de :
  • Laurent DE SUTTER, philosophe
  • Brigitte GIRAUD, auteure
  • Hélène COLLONGUES, auteure et ethnologue
  • Laurence LOUTRE-BARBIER, éditrice et responsable de pompes funèbres
  • Géraldine KOSIAK, artiste
  • Bernard ALLAOUCHICHE, professeur de médecine
  • Stéphane FRIOUX, historien et adjoint au maire de Villeurbanne
  • Omaid SHARIFI, conservateur, artiviste, président de ArtLordsAccompagnement musical de François MARDIROSSIAN, pianiste
  • Animé par Michel LUSSAULT, géographe et directeur de l’École urbaine de Lyon
>> Regarder la vidéo :

©Photo : Mélania Avanzato.

>> Plus d’information sur le site :

Lyon

Chimies Situées : Quels avenirs aborder avec quelles chimies ? / Cours public 2023

CChimies Situées : Quels avenirs aborder avec quelles chimies ? / Cours public 2023

A partir de la chimie, comment appeler à de nouvelles façons de concevoir et réaliser des recherches scientifiques adaptées à la complexité des enjeux de notre époque Anthropocène ? Découvrez les vidéos des 5 séances du cours public de la chimiste Alessandra Quadrelli (IrceLyon CNRS, CPE Lyon).

>> Intervenante :

Alessandra Quadrelli travaille au CNRS, centre national de la recherche scientifique, depuis 2002. Je conduis mes recherches auprès de l’Institut de Recherches sur la Catalyse et l’Environnement de Lyon (UMR 5256 CNRS – Université de Lyon 1) en tant que directrice de recherche en chimie.

« La juxtaposition entre chimie, anthropocène et sciences sociales m’a semblé en beaucoup de points féconde, et en écho avec mon investissement à tenter d’élargir le champ de ce qui est évalué positivement pour le recrutement et l’évaluation des carrières des chercheuses et chercheurs au CNRS (v. rapport « Parité et évaluation non-discriminatoire au CNRS »). J’essaye de travailler cette sensation de fécondité en me formant à la complexité, à la transdisciplinarité, notamment grâce aux travaux de la Fabrique des Questions Simples et en développant le concept de « chimies situées » qui mobilise la chimie, l’analyse des systèmes complexes et les sciences humaines et sociales, en particulier la notion de savoirs situés de Donna Haraway. Le concept « chimies situées » est l’objet de mes cours de cette édition de À’ l’École de l’Anthropocène ».

 

>> Présentation :

Ce cours explore le couplage de la chimie, science de la transformation de la matière, avec la théorie de savoirs situés, issue des sciences sociales, en fondant le cadre de réflexion « Chimies Situées ». Plutôt que de tenter d’expliciter le lien, qui reste la plupart du temps impensé ou du moins dans l’ombre, entre la situation (au sens large) d’un.e chercheur.euse et la partialité de son évaluation des preuves scientifiques, le cadre des « Chimies Situées » se tourne résolument vers nos imaginaires : « Quel avenir voulez-vous aborder avec la chimie ? ». Entre exemples (et contre-exemples…) tirés de la littérature scientifique et données d’enquête auprès de collègues, ce cours tente de situer des recherches en chimie, en explorant un ensemble de moteurs d’action sur lesquels les chimistes interrogé.e.s souhaitent s‘appuyer (chimie pour la justice sociale, chimie pour sur la santé humaine, chimie pour la croissance économique, chimie pour le plaisir intellectuel de la recherche, chimie de réponse à l’effondrement, chimie frugale, chimie de réduction de dégâts,….).

Le cours se conclut sur une ébauche des limites imposées par l’enchevêtrement de ces « moteurs souhaités subjectifs » avec les intérêts, les statuts, les moyens, les systèmes techno-économiques et les pratiques qui se croisent et orientent le monde de la recherche. En posant une question-horizon : dans quelle mesure cette approche peut-elle accroître le pouvoir transformateur à la fois du.de la scientifique et de ses recherches ? Dans quelle mesure, en d’autres mots, cette démarche a-t-elle un potentiel politique ?

 

>> Vidéo de la 1ère séance / Introduction au cadre « Chimies Situées : les tableaux périodiques.

>> Vidéo de la 2ème séance : Questions à la frontière planétaire du cycle de l’azote.

>> Vidéo de la 3ème séance : Questions à la frontière planétaire du cycle du carbone.

>> Vidéo de la 4ème séance : Déconstruire des cadres apparemment neutres pour évaluer autrement des recherches en chimie.

>> Vidéo de la 5ème séance : Élargir aux sciences situées et élargir les sciences situées aux savoirs situés.

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la chaine YouTube :

cité anthropocène

Controverses à l’ère de l’Anthropocène. Période 1 : les rapports contrariés de l’homme à l’animal | Cours public 2023

CControverses à l’ère de l’Anthropocène. Période 1 : les rapports contrariés de l’homme à l’animal | Cours public 2023

>> Présentation

A l’occasion du cours public 2022 « Ruptures à l’ère de l’Anthropocène », qui caractérisaient le renouvellement des rapports de l’homme à l’environnement, nous interrogions la personnification de la nature, où l’animal se retrouvait sujet de droit, soustrait de sa condition d’objet de ce même droit. Dans le cadre des « Controverses juridiques » qui marquent cette ère vraiment très spéciale qu’est l’Anthropocène, nous poursuivons ce questionnement des rapports de l’homme à l’animal, qui restent marqués par une différenciation essentialiste, fruit des rapports particuliers de l’homme à la nature, une construction plutôt qu’une relation « naturelle ».

 

>> Intervenant

Philippe Billet, Professeur agrégé de droit public à l’Université Jean Moulin – Lyon 3, directeur de l’Institut de droit de l’environnement de Lyon (CNRS – UMR 5600 – EVS-IDE) et membre du Labex IMU. Spécialiste de droit de l’environnement, il s’intéresse plus particulièrement aux risques naturels, à la protection de la biodiversité et des espaces naturels, à la protection des sols et au régime juridique des services écosystémiques. Président d’honneur de la Société française pour le droit de l’environnement, il est par ailleurs Président de la Commission « Espaces protégés » du Conseil national de la protection de la nature, Vice-président du Conseil scientifique de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité et membre du Conseil scientifique du Comité de Bassin de l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée.

 

>> Vidéo de la 1ère séance : Introduction – Comment penser la Nature dans le droit de l’environnement ?

>> Vidéo de la 2ème séance : Espèces animales protégées.

>> Vidéo de la 3ème séance : Le retour des grands prédateurs.

>> Vidéo de la 4ème séance : La lutte contre les espèces exotiques envahissantes.

>> Vidéo de la 5ème séance : La régulation des espèces dites nuisibles.

>> Vidéo de la 6ème séance : L’animal, être sensible.

 

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la chaine YouTube :

Cité anthropocène

 

Inversion : naviguer à contre-courant dans un monde incertain | Cours public 2023

IInversion : naviguer à contre-courant dans un monde incertain | Cours public 2023

Alors que nous entrons dans l’ère du basculement prédit par le rapport Meadows au Club de Rome, les solutions du développement durable paraissent bien dépassées. Et si l’inversion ouvrait d’autres chemins créatifs, cachés ou contre-intuitifs, pour répondre aux grands défis de notre temps ?

Face à l’impasse de notre système socio-économique actuel, révélé par la multiplication des pénuries, des tensions géopolitiques et sociales, des turbulences écologiques, pourrait-on inverser notre économie, notre droit, nos traditions, notre culture… En un mot, notre monde, et parvenir à un autre équilibre ? En quoi les leçons du vivant peuvent-elles nous aider dans cette inversion ?

Découvrez les 3 vidéos du cours public 2023, proposé par le biologiste Olivier Hamant (ENS de Lyon).

>> Intervenant :

Olivier Hamant est chercheur au laboratoire de reproduction et développement des plantes (École Normale Supérieure de Lyon). A la frontière entre biologie, physique et modélisation informatique, il a publié une centaine d’articles scientifiques, notamment sur la forme des plantes et la biophysique associée. Il a obtenu de nombreux prix dont les lauriers « jeune chercheur » de l’Inra, le prix du magazine « La Recherche », le prix Paul Doisteau – Emile Blutet de l’Académie des Sciences, le prix de la fondation Schlumberger pour l’éducation et la recherche. Il est également chercheur invité à l’Université de Cambridge (Royaume-Uni). En parallèle de ce travail de recherche, Olivier Hamant conduit des actions de formation sur la nouvelle relation de l’humanité à la nature, dans le cadre de l’Institut Michel Serres.

>> Vidéo de la 1re séance : Un monde à l’envers

>> Vidéo de la 2e séance : Un futur déjà obsolète ? 

>> Vidéo de la 3e séance : Remède à la cohérence

 

>> Pour aller plus loin

Découvrir les séances du cours public 2021 de Olivier Hamant : Résilience des vivants

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la chaine YouTube :

Cité anthropocène