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LLa nuit des données mortes-vivantes : quand nos données survivent à notre mort

©Circe Denyer / CC0 Public Domain

Les divers systèmes d’IA tendent à s’imposer dans notre quotidien pour améliorer notre confort. Tout y passe : aide à la réflexion, à la rédaction avec suggestions de propos ou reformulations de propos déjà existants, aux recherches sur internet, aide à la génération ou l’analyse d’images, à la création de vidéos, etc. Il devient de plus en plus difficile de fournir une liste exhaustive de tous les domaines dans lesquels l’IA peut apporter son concours. En revanche, il est possible de dire de façon objective qu’il existe des systèmes d’IA dangereux pour les individus. C’est le cas des systèmes qui exploitent les données post-mortem et qui aujourd’hui ne sont pas véritablement encadrés par le droit.

Dans son roman dystopique Transparence, Marc Dugain évoquait une start-up dont le projet est de recueillir et transplanter le maximum de données numériques d’un individu décédé pour le faire « revivre » dans un corps artificiel. Dans son nouvel article, Jordy Bony, docteur en droit privé et sciences criminelles, nous propose justement un état des lieux sur la question des données post-mortem  : qu’est ce qu’une donnée post-mortem (en droit) ? quel est leur cadre légal ? ont-elles une valeur ?

Un article passionnant et instructif sur un sujet de plus en plus d’actualité avec la vague de l’IA.

Cet article est la synthèse d’une étude plus détaillée publiée le 24 octobre 2025 dans La semaine juridique – Edition générale et intitulée « La nuit des données mortes-vivantes : des traces numériques qui refusent de mourir ».

Un article de Jordy Bony, docteur en droit privé et sciences criminelles, professeur de droit, emlyon business school.

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