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Le rendez-vous bien-être animal | Le système des cases de mise bas chez les truies

LLe rendez-vous bien-être animal | Le système des cases de mise bas chez les truies

Chaque semaine, la Chaire bien-être animal vous propose sur son site internet une nouvelle ressource en lien avec le bien-être animal ! Ce rendez-vous est relayé tous les mardis sur Facebook, Linkedin et Instagram avec le hashtag #LeRdvBEA. Suivez-nous !

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Alexis Nalovic est vétérinaire en porc au sein du cabinet Epidalis. Passionné d’éthologie, il est également référent bien-être animal et comportement pour le cabinet.

Dans cette vidéo, il présente différents systèmes de cases pour la mise bas chez les truies, dont les cases maternité liberté, qui constituent une alternative aux cages de mise bas permanentes utilisées habituellement en élevage standard.

Pour accéder à l’article, cliquez sur l’image :

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 CHAIRE Bien-être animal

 

 

L’idée reçue bien-être animal | Les caméléons changent-ils de couleur selon leurs émotions ?

LL’idée reçue bien-être animal | Les caméléons changent-ils de couleur selon leurs émotions ?

Chaque mois, la Chaire bien-être animal traite une nouvelle idée reçue sur  le bien-être animal et l’élevage! Ce rendez-vous est relayé à la fin de chaque mois sur Facebook, Linkedin et Instagram avec le hashtag #IdéereçueBEA et dans notre Newsletter. Suivez-nous ! 

La dernière idée reçue

Les précédentes idées reçues

Les insectes sont-ils capables de ressentir de la douleur et des émotions ? VRAI ou FAUX ?

Douleur, émotions et insectes

Tous les animaux peuvent être des animaux de compagnie, VRAI ou FAUX ?

Les prairies permettent de compenser une partie des émissions de gaz à effet de serre des vaches, VRAI ou FAUX ?

L’abandon concerne 100 000 animaux de compagnie chaque année avec un pic pendant l’été, VRAI ou FAUX ?

 

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Chaire Bien-être animal VetAgro Sup

Médiation animale et médiation par la nature : quand le pouvoir du vivant agit sur notre santé

MMédiation animale et médiation par la nature : quand le pouvoir du vivant agit sur notre santé

La médiation animale et la médiation par la nature sont des domaines en plein essor qui offrent un aperçu unique de la manière dont le vivant peut jouer un rôle central dans le processus de mieux-être des individus. A l’occasion de cette conférence Catherine Padovan, Docteure en psychologie, psychologue, psychothérapeute et référente en médiation animale partagera son expérience et ses connaissances. Elle rappellera notamment l’importance d’avoir recours à des professionnels formés aux techniques de la médiation, garants du bien-être des animaux et des personnes entrant en lien avec eux.

La médiation environnementale est un soin qui associe deux médias complémentaires : l’animal et l’environnement naturel (la nature, l’environnement de l’animal). Cette approche repose sur l’idée que les animaux et la nature agissent comme un levier thérapeutique puissant en mobilisant les capacités sensori-motrices, émotionnelles, cognitives, et relationnelles des patients.

Le modèle OREZA (Observer, Repérer, Élaborer, Zoom sur l’architecture fonctionnelle) structure cette pratique en mettant en lien les qualités naturelles du vivant et des scénarios/situations adaptés pour répondre aux besoins spécifiques des personnes concernées. Cette complémentarité du média animal avec le média nature favorise un mieux-être dans la vie quotidienne des bénéficiaires de ce nouveau type de soin.

Ce dispositif s’adresse à des personnes de tous âges et de tous horizons (scolaires, professionnels…) présentant des troubles émotionnels, affectifs et/ou cognitifs, à condition d’être mis en œuvre par des professionnels formés dans leur domaine et aux techniques spécifiques de la médiation.

>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :

BM PART DIEU

Rêves animal

RRêves animal

Le musée des confluences de Lyon vous invite à découvrir une exposition fascinante !

À travers réflexions, échanges et créations sonores, explorez comment l’animal rêve et comment l’homme rêve d’animal. Une rencontre inédite entre art, philosophie et neuroscience pour parler de rêves et d’animaux, d’évasion et de captivité…

Avec Arnaud Theval, artiste plasticien et créateur du projet « Histoire animale de la prison » et Paul-Antoine Libourel, ingénieur de recherche au centre de neurosciences de Lyon, spécialisé sur le sommeil animal.

Le projet « Histoire animale de la prison » est développé depuis 2022 en partenariat avec la Direction interrégionale des services pénitentiaires de Lyon, la DRAC Ara et le musée des Confluences.

>> Plus d’informations sur le site du :

MUSÉE DES CONFLUENCES

En forêt avec Vincent Munier

EEn forêt avec Vincent Munier

Du crépuscule à l’aube, la forêt est le décor d’une vie foisonnante. Photographe et cinéaste amoureux de la nature sauvage, Vincent Munier parcourt les forêts françaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec cette exposition, il nous propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familière, mais souvent méconnue. Cerfs, chouettes, lynx, grands tétras, pics-noirs… les images, fixes et animées, révèlent la faune qui peuple les forêts en nous invitant à observer, comme à l’affût, pour mieux nous émerveiller de cet univers grandiose et menacé.

Plus d’informations sur le site du :

MUSÉE DES CONFLUENCES

Pour boire, les dauphins doivent manger des poissons | The Conversation

PPour boire, les dauphins doivent manger des poissons | The Conversation

Pour tous les amoureux des animaux, le mois de septembre 2023 restera un mois noir. Sur les berges du lac Tefé, un affluent de l’Amazone au Brésil, 130 dauphins roses (Inia geoffrensis), 23 dauphins tucuxi (Sotalia fluviatilis), mais également des milliers de poissons ont été retrouvés sans vie.

Brésil : plus de 120 dauphins roses retrouvés morts (France 24).

Selon les propos des membres de l’Institut Mamirauá, un centre de recherche en partie financé par le ministère brésilien des Sciences, recueillis par le Parisien : « Il est encore tôt pour déterminer la cause de cet événement extrême, mais selon nos experts, il est certainement lié à la période de sécheresse et aux températures élevées du lac Tefé, dont certains points dépassent les 39 °C ».

Et si ces dauphins, véritables icônes de la faune brésilienne, étaient morts de soif ? Cela semble improbable, me diriez-vous, puisqu’ils ont accès à de l’eau en abondance. Mais, savez-vous comment les dauphins s’hydratent ? Boivent-ils réellement l’eau dans laquelle ils vivent ? La réponse est non, voyons donc comment ils maintiennent un niveau d’hydratation correcte.

Les dauphins vivant dans les océans ne boivent pas l’eau de mer

Pour les dauphins d’eau douce, c’est encore un mystère puisqu’aucune étude scientifique ne s’est, à l’heure actuelle, intéressée à la question. En revanche, nous possédons des informations précieuses sur la manière dont les dauphins vivant dans les océans s’hydratent.

Contrairement à ce que nous pourrions penser, les dauphins ne boivent pas l’eau salée dans laquelle ils vivent puisque pour eux, comme pour nous, un excès de sel peut être mortel. Dans notre étude récemment publiée dans la revue scientifique Journal of Experimental Biology, nous avons confirmé que les dauphins ne boivent pas de l’eau de mer contrairement aux poissons osseux (le thon, le hareng ou encore la sardine), aux tortues marines et aux oiseaux marins. En effet, boire de l’eau de mer nécessite de disposer d’un moyen de se débarrasser de l’excès de sel, et certains animaux marins disposent pour ce faire d’organes appelés glandes à sels.

Les dauphins en sont dépourvus, et leurs reins ne sont pas capables d’éliminer une quantité trop importante de sels. Mais alors, comment s’hydratent-ils ? Les dauphins ne boivent pas « volontairement » comme nous pourrions l’imaginer, ils s’hydratent de manière indirecte grâce à l’eau contenue au sein de leurs proies (entre 70 et 85 % de la masse totale chez les poissons) et de l’eau produite au niveau des mitochondries, des organites situés dans les cellules, qui produisent de l’eau, appelée eau métabolique, issue de la dégradation des molécules organiques ingérées par l’animal (glucides, protéines, lipides).

La question de l’hydratation chez les dauphins agitait l’esprit des scientifiques depuis près d’un siècle. Les premières études physiologiques réalisées au milieu du vingtième siècle avaient montré qu’ils ne buvaient pas, mais les expériences se basaient uniquement sur des dauphins à jeun et donc privé d’une source d’eau : la nourriture.

Aujourd’hui, c’est l’eau des proies et l’eau métabolique qui sont considérées comme les deux principales sources d’eau chez les dauphins, mais leurs contributions respectives restent inconnues, en particulier chez les animaux nourris. Pour déterminer la proportion respective d’eau provenant des proies, de l’eau métabolique et de l’eau salée environnante chez les Odontocètes (les cétacés à dents tels que les dauphins, les orques ou encore les cachalots en opposition aux Mysticètes, les baleines à fanons), nous avons analysé la composition isotopique de l’oxygène (18O et 16O, tous deux des atomes d’oxygène, mais dont la masse diffère par leur nombre de neutrons au sein de leur noyau) de l’eau contenue dans leur corps afin de déterminer son origine.

Les isotopes de l’oxygène comme traceurs des sources d’eau

Pour cela nous avons mesuré la composition isotopique de l’oxygène de l’eau contenue dans le plasma sanguin et de l’urine de quatre orques, Orcinus orca, et de neuf grands dauphins, Tursiops truncatus, nés et élevés en structure zoologique. Ces valeurs ont été comparées à celle de l’eau contenue dans leurs proies et celle de l’eau environnante (eau du bassin dans lequel ils vivent) et ceci pendant un an et à intervalles réguliers.

Prise de sang sur un grand dauphin, Tursiops truncatus.

Prise de sang sur un grand dauphin, Tursiops truncatus. / ©R.Amiot au Zoo Marineland, Fourni par l’auteur

Puis dans un second temps, ces données ont servi à alimenter un modèle mathématique permettant de prédire les contributions des différentes sources d’eau des cétacés.

Les résultats isotopiques obtenus et ceux de la modélisation indiquent que l’eau des proies constitue la source principale d’apport d’eau chez les orques et les grands dauphins (61–67 % des apports totaux), suivie par l’eau métabolique (28–35 % des apports totaux). La production d’eau métabolique étant significativement plus élevée chez les orques dont le régime alimentaire est plus riche en lipides. Le reste étant de l’eau de mer environnante ingérée accidentellement et de la vapeur d’eau inhalée lors de la respiration.

Contributions relatives de chacune des sources d’eau chez les orques et les grands dauphins.

Contributions relatives de chacune des sources d’eau chez les orques et les grands dauphins. / ©Nicolas Séon, Fourni par l’auteur

Nos recherches apportent de nouvelles informations sur la physiologie des cétacés, avec des implications majeures concernant les problématiques de conservation concernant ces organismes. En raison du fait que ces animaux tirent de leur nourriture l’eau permettant de les maintenir hydratés, la surpêche dans certaines régions du monde et le réchauffement climatique actuel qui affecte la distribution des proies des cétacés s’affichent comme des défis majeurs pour la préservation de la biodiversité marine.

>> Les auteurs :

Cet article a été coécrit par Isabelle Brasseur, Responsable Éducation – Recherche et Conservation à Marineland Côte d’Azur.

Nicolas Séon, Docteur en paléontologie, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN);

Peggy Vincent, chercheuse CNRS en paléontologie, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)

et Romain Amiot, Chargé de Recherche, Université Claude Bernard Lyon 1

Le projet OXYMORE est soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR), qui finance en France la recherche sur projets. Elle a pour mission de soutenir et de promouvoir le développement de recherches fondamentales et finalisées dans toutes les disciplines, et de renforcer le dialogue entre science et société. Pour en savoir plus, consultez le site de l’ANR.The Conversation

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.

>> Lire l’article original sur le site :

The conversation

Pister les créatures fabuleuses

PPister les créatures fabuleuses

D’après la conférence du philosophe Baptiste Morizot – Pauline Ringeade – L’IMAGINARIUM

Philosophe du vivant, Baptiste Morizot est aussi un pisteur d’animaux et ses récits en pleine nature aident à comprendre pourquoi l’humain doit mieux cohabiter avec la faune sauvage. Portés sur scène par une actrice en solo, ses mots vibrent avec les bruissements de la forêt et de ses habitants.

Approchez-vous, regardez, là ! Une empreinte. Celle d’un nanoulak, probablement, ce nouvel hybride entre une ourse polaire et un grizzly. Merci le réchauffement climatique ! Mais, chut, écoutez… Un loup ? Un renard ? À sa table sonore, la comédienne nous emmène découvrir les traces de ces animaux qu’on pensait cachés ou invisibles. Mais ils sont là, il suffit de scruter les indices. C’est ce qu’explique Baptiste Morizot, philosophe et pisteur, dont la conférence pour jeune public est ici adaptée pour le théâtre.

Apprendre à pister, c’est apprendre comment vivent les autres vivants. C’est une manière d’apprendre à vivre avec eux. Sans détruire leur monde parce qu’on ignore comment il est constitué. »

Grâce à la mise en scène inventive de Pauline Ringeade, on ne la voit pas sur le plateau, cette faune familière, du moins pas avec ses yeux. On la devine, on la perçoit dans le jeu de sons et d’objets qui se construit sur place et on ne manque pas de rire des contorsions de la comédienne pour l’imiter. On comprend surtout, à travers les mots de l’auteur, que ces animaux nous observent aussi, nous, bêtes curieuses, qui piétinons notre écosystème sans penser au lendemain. Il y a urgence à pister et à vivre ensemble.

Séance en LSF, le 20 décembre.

En savoir plus le spectacle : 

THÉÂTRE NOUVELLE GÉNÉRATION

©TNG

 

Podcast « Zootopique » | The Conversation

PPodcast « Zootopique » | The Conversation

« Zootopique » est une série de podcasts réalisés en partenariat avec l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) qui interroge nos relations avec les animaux au prisme de la santé. Après une première saison portant sur des thèmes aussi variés que le déclin des abeilles ou les maladies portées par les moustiques et les tiques, nous vous proposons une deuxième saison.

Grippe, un virus du passé qui a de l’avenir

Pour ce premier épisode, Béatrice Grasland, chef d’unité virologie, immunologie, parasitologie aviaires et cunicoles à l’Anses et Bruno Lina, directeur du centre national de référence pour les virus des infections respiratoires (ENS de Lyon) font le point sur la grippe, ou plutôt les grippes.

Depuis quand cette maladie existe ? Pourquoi cette maladie touche les humains, mais aussi les animaux ? Pourquoi revient-elle tous les ans ? Doit-on s’attendre à une prochaine pandémie ? Sommes-nous prêts ?

Crédits : Conception : Anses et The Conversation France. Réalisation : Moustic Studio. Animation : Benoît Tonson.The Conversation

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La résistance aux antibiotiques, une pandémie silencieuse

Pour ce troisième épisode, Jean-Yves Madec, directeur scientifique de l’axe antibiorésistance de l’Anses et Claire Harpet, anthropologue de la santé, ingénieur recherche à l’Université Jean-Moulin Lyon 3 nous éclairent sur un phénomène inquiétant : l’antibiorésistance. C’est le phénomène qui décrit la résistance des bactéries aux antibiotiques. En faisant reculer de nombreuses maladies bactériennes, les antibiotiques ont transformé les médecines humaine et animale. Mais leur utilisation s’est accompagnée de l’émergence de souches résistantes qui menacent aujourd’hui notre santé. Selon l’OMS, l’antibiorésistance sera à l’origine de 10 millions de morts par an dans le monde, à l’horizon 2050.

Demain, pourrons-nous toujours nous soigner ? Des infections banales pourront-elles devenir de graves menaces ? Est-il possible de lutter contre ce phénomène ?

Retrouvez notre entretien avec Claire Harpet dans le dossier Pop’Sciences – CNRS : « Résistance aux traitements :

« L’antibiorésistance est une conséquence du rapport dévoyé qu’entretient notre espèce avec le reste du vivant »

Crédits : Conception : Anses et The Conversation France. Réalisation : Moustic Studio. Animation : Benoît Tonson.The Conversation


 

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.

>> Retrouvez tous les épisode de Zootopique sur :

THE CONVERSATION

Formation de recensement des oiseaux

FFormation de recensement des oiseaux

Apprenez à recenser les oiseaux, afin de participer sereinement au grand comptage national des oiseaux des jardins, organisé par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO).

Accompagnés de Martine Desmolles bénévole LPO et Jonathan Jack, guides ornithologues, vous apprendrez à reconnaître les différentes espèces d’oiseaux et à les comptabiliser selon la méthode de la LPO.

Cette activité est accessible à partir de 12 ans. Les enfants doivent être accompagnés par un adulte.

Si vous possédez une paire de jumelles, nous vous invitons à les apporter.

 

>> Pour plus d’information et inscription :

SMIRiL

Les paysages sonores naturels dans l’anthropocène comme reflets de la biodiversité

LLes paysages sonores naturels dans l’anthropocène comme reflets de la biodiversité

Découvrez une science nouvelle, la bioacoustique, à l’aide du biologiste stéphanois Nicolas Mathevon…

Tout paysage sonore peut être décrit en termes de géophonie, biophonie et anthropophonie.

La géophonie est l’ensemble des bruits provoqués par les phénomènes naturels non vivants. Comme le coup de tonnerre, le bruissement du vent dans les arbres, le grondement d’une cascade.

La biophonie regroupe l’ensemble des productions sonores des êtres vivants. À l’exception de celles de l’espèce humaine qui constituent l’anthropophonie.

Phénomène nouveau à l’échelle des temps géologiques, l’anthropophonie est à considérer comme une pollution, au même titre que les pollutions chimiques. Elle affecte les communications des animaux, leur répartition dans l’environnement, leur comportement alimentaire et, bien sûr, leur état physiologique et leur survie. Tant dans l’air que dans l’eau. Évaluer l’impact de l’anthropophonie sur le monde vivant, utiliser les paysages sonores pour mesurer la biodiversité sont les défis actuels d’une science récente, la bioacoustique.

Avec :

  • Nicolas Mathevon, professeur à l’Université Jean Monnet, de Saint-Étienne et membre senior de l’Institut universitaire de France, ancien professeur invité à l’University of California-Berkeley (2008-2009) et à la City University of New York (2015-2016)
  • Arnaud Tételin, illustrateur scientifique, artiste.

La collection des « portraits d’espèces » présentés lors de la semaine « A l’École de l’Anthropocène 2022« , propose de découvrir des êtres vivants autrement : une façon inédite d’envisager la biodiversité :

>> Découvrir la collection complète

Pour aller plus loin