ÉÉnergies Désespoirs, un monde à réparer L’ouvrage « Énergies Désespoirs, Un monde à réparer » explore deux faces de notre planète contemporaine qui s’opposent :– la crise de l’habitabilité de la Terre révélée par des signes de plus en plus nombreux et documentés par la science ;– les initiatives, à différentes échelles, qui témoignent des possibles réparations de ce monde abimé par l’impact des activités humaines.Cette recherche a donné lieu à une exposition, initiée et conçue par Encore Heureux Architectes et l’École urbaine de Lyon, au CENTQUATRE-PARIS du 29 mai au 1er août 2021 (dessins et peintures de l’artiste Bonnefrite). Les auteurs qui ont contribué à l’ouvrage :Frédérique Aït-Touati, Ikal Ang’elei, Jean-Christophe Bailly, Jeanne Burgart-Goutal, Julien Choppin, Mireille Delmas-Marty, Nicola Delon, Valérie Disdier, Matthieu Duperrex, Jean-Paul Engélibert, François Gemenne, José-Manuel Gonçalvès, Alice Gorman, Axelle Grégoire, Lou Herrmann, Tim Ingold, Catherine Larrère, Raphaël Larrère, Ronan Letourneur, Michel Lussault, Marielle Macé, Sébastien Marot, Mathieu Potte-Bonneville, Olivier Remaud, Ysé Sorel, Lucie Taïeb, Anna Tsing, Joëlle Zask. Paru dans la Collection “À partir de l’Anthropocène” aux Éditions deux-cent-cinq.Découvrir l’ouvrage sur le site des éditions deux-cent-cinq VIDEO – Présentation de l’ouvrage par le géographe Michel Lussault
EExposition « Dessiner le droit dans l’anthropocène » EXPOSITION : « Dessiner le droit dans l’Anthropocène » donne à voir, par le dessin, la force créative du droit, pour répondre aux multiples défis et enjeux contemporains lié à l’Anthropocène. À la fois artistique et juridique, l’exposition a mobilisé 93 juristes et artistes de plus de 20 pays. Dix des 51 œuvres sont exposées à l’université.Une exposition proposée par Cité Anthropocène. Dirigée par Jérémy Cheval (architecte, urbaniste), Lou Herrmann (docteure en urbanisme, dessinatrice, Cité Anthropocène), Natalia Kobylarz (juriste, greffe de la cour européenne des droits de l’Homme) et Isabelle Michallet (professeur à la Faculté de Droit, Université de Rennes).Découvrir l’intégralité des dessins du projet « Dessiner le droit dans l’Anthropocène ».En savoir plus sur la Fête de la Science 2023 à l’Université Jean Moulin Lyon 3 Programmation spéciale RADIO : en écho à cette exposition, mercredi 4 octobre, Radio Anthropocène installera son plateau en direct et en public, à l’Université Jean Moulin Lyon 3, pour une édition spéciale consacrée à la créativité du droit, dans le cadre de La Nuit du droit. Rendez-vous à partir de 12h, au Salon des Symboles Nord, sur le site de la Manufacture des Tabacs. Sur inscription Programme détaillé sur le blog de Radio Anthropocène dans Rue89Lyon
CComment le droit peut-il répondre à l’urgence écologique ? En résonance avec la Nuit du Droit, programmée par l’Université Jean Moulin Lyon 3, la librairie du Tramway accueille Isabelle Michallet, professeure de droit environnemental, auteure de l’ouvrage « Faire face à l’Anthropocène. Les voies du droit », paru aux Éditions deux-cent-cinq.Au siècle dernier, les règles juridiques, fondamentalement anthropocentrées, ont souvent traduit une logique généralisée de prédation et de destruction. Le droit doit désormais intégrer la fin de ce modèle préconise Isabelle Michallet. Considérant que l’instrument juridique n’est pas seulement construit par des instances dominées par le politique, elle montre qu’il est aussi l’expression de choix sociétaux et citoyens. Engagée dans une réflexion prospective ouverte, nourrie des apports d’autres disciplines et cultures juridiques, l’auteure parcourt six grandes propositions et esquisse ainsi les voies pour un droit qui protège, capable de répondre aux défis de l’Anthropocène :1. Cesser de piller la biodiversité2. Personnifier la nature3. Incarner les générations futures4. Imposer l’égalité des sexes5. Criminaliser les destructions6. Respecter le droit de l’environnement>>> Regarder la vidéo de présentation de l’ouvrage par son auteureIsabelle Michallet est professeure de droit public à l’Université de Rennes, spécialisée en droit de l’environnement et membre du Conseil d’administration de l’association Cité Anthropocène.Informations et réservation :Librairie du tramway
LLa ville de demain, une nouvelle biodiver-Cité ? Pendant longtemps, ville et biodiversité ont entretenu des relations difficiles. L’urbanisation, avec la densification dans certains territoires des populations humaines sous l’effet de leur démographie et de changements des organisations sociales, a engendré une perte toujours plus grande d’habitats naturels hébergeant chacun une biodiversité spécifique.Comment créer aujourd’hui des espaces plaisants à vivre pour toutes et tous, performants dans leur manière de rendre des services multiples, adaptables et résilients face aux défis de l’Anthropocène, qui ont démontré aux décideurs comme aux citoyens qu’un changement de paradigme est nécessaire. Il n’est plus possible de concevoir une métropole comme un territoire largement découplé de la nature, mais bien d’imaginer des territoires urbains et péri-urbains comme des socio-écosystèmes où humains et non-humains peuvent vivre en harmonie…Dans ce nouveau dossier Sciences pour tous, des chercheurs et des chercheuses posent un regard sur la ville de demain, et sur l’importance de renouer avec notre environnement, de lui faire de la place et de le faire durer.>> Pour lire l’article, rendez-vous sur le site :SCIENCES POUR TOUS
«« Esthétiques du Care pour l’Anthropocène » « Cet ouvrage explore les dimensions imaginaires des diverses crises d’habitabilité qui façonnent l’époque désignée comme “Anthropocène”. Il propose une réponse esthétique à une question morale. Penser l’Anthropocène depuis une perspective morale implique de nous demander comment nos décisions sont modelées et prises, selon quelles échelles de valeur nous décidons ce qui compte et ce qui sera interprété comme secondaire, contextuel ou accessoire« .L’Ecole urbaine de Lyon, les éditions deux-cent-cinq et Cité Anthropocène présentent le deuxième ouvrage issu d’un cours public de l’Ecole urbaine de Lyon, donné par María Grace Salamanca Gonzaléz, actrice de théâtre et docteure en philosophie.María Grace Salamanca Gonzaléz est actrice de théâtre et docteure en philosophie. Son doctorat s’est réalisé dans le cadre d’une codirection entre l’Université de Lyon et le programme de recherche “Acteurs sociaux de la Flore médicinale au Mexique” de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH). Maîtresse de conférences en éthique, bioéthique et épistémologie, elle est spécialiste en épistémologies du Sud, praticienne des esthétiques décoloniales dans leur forme théâtrale, membre des comités d’éthique clinique et de la recherche (au Mexique).>> En savoir plus et commander ce livre sur le site des Éditions deux-cent-cinq.Ce livre résulte d’un cours public de l’École urbaine de Lyon, dispensé par María Grace Salamanca Gonzaléz, en 2022.>> En savoir plus sur le cours public 2022 et revoir les vidéos des séances sur notre chaîne YouTube. Collection « À partir de l’Anthropocène »Les ouvrages de la collection “À partir de l’Anthropocène”, coéditée par les Éditions deux-cent-cinq et l‘École urbaine de Lyon, dirigée par Michel Lussault et Valérie Disdier, revisitent la pensée et les phénomènes sociaux à partir de la reconnaissance de cette crise de l’habitabilité d’une ampleur inédite et proposent des pistes de réflexion et d’action pour que nous inventions collectivement de nouvelles manières de co-habiter.>> Découvrir les ouvrages de la collection sur le site :édition 205
«« Faire face à l’Anthropocène : les voies du droit » d’Isabelle Michallet Comment le droit peut-il répondre aux défis de notre époque anthropocène ?L’Ecole urbaine de Lyon, les éditions deux-cent-cinq et Cité Anthropocène présentent le premier ouvrage issu d’un cours public de l’Ecole urbaine de Lyon, donné par Isabelle Michallet, enseignante à la Faculté de droit de l’Université Jean Moulin Lyon 3.Dans cet ouvrage, la juriste Isabelle Michallet explore les voies par lesquelles le droit peut aujourd’hui répondre à l’urgence écologique. L’auteure parcourt 6 grandes propositions et esquisse ainsi les voies pour un droit qui protège, capable de répondre aux défis de l’Anthropocène :Cesser de piller la biodiversitéPersonnifier la natureIncarner les générations futuresImposer l’égalité des sexesCriminaliser les destructionsRespecter le droit de l’environnementIsabelle Michallet est enseignante à la Faculté de droit de l’Université Jean-Moulin Lyon 3 et chercheuse au sein du laboratoire EVS (CNRS – UMR 5600), spécialisée en droit de l’environnement (biodiversité, participation citoyenne, gouvernance environnementale, les fleuves internationaux).En savoir plus et commander ce livre sur le site des Éditions deux-cent-cinq.Les propositions faites dans ce livre résultent d’un cours dispensé par Isabelle Michallet, dans le cadre des Cours publics de l’Ecole urbaine de Lyon en 2021. Pour les besoins de l’ouvrage, ce cours a été retravaillé et actualisé, rédigé dans la perspective d’être accessible à tout lecteur.En savoir plus sur le cours public 2021 et revoir les vidéos des séances sur la chaine YouTube :cité anthropocène
EEt maintenant, que faire ? Les possibles anthropocènes. Une soirée de clôture du festival « A l’Ecole de l’Anthropocène » (janvier 2023), préparée par l’Ecole urbaine de Lyon, en partenariat avec le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB).>> Avec la participation de :Michel LUSSAULT, géographe et directeur de l’École Urbaine de LyonMaría MEDEM, artisteJudit CARRERA, directrice du Centre de Culture Contemporaine de BarceloneDavid BRAVO, architecteAmaena GUÉNIOT, philosopheJordi COSTA, responsable des expositions du Centre de Culture Contemporaine de BarceloneAnimé par Valérie DISDIER, directrice adjointe de l’École urbaine de Lyon.>> Regarder la vidéo de la soirée :©photo : María MEDEM>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :lyon
CChimies Situées : Quels avenirs aborder avec quelles chimies ? / Cours public 2023 A partir de la chimie, comment appeler à de nouvelles façons de concevoir et réaliser des recherches scientifiques adaptées à la complexité des enjeux de notre époque Anthropocène ? Découvrez les vidéos des 5 séances du cours public de la chimiste Alessandra Quadrelli (IrceLyon CNRS, CPE Lyon).>> Intervenante :Alessandra Quadrelli travaille au CNRS, centre national de la recherche scientifique, depuis 2002. Je conduis mes recherches auprès de l’Institut de Recherches sur la Catalyse et l’Environnement de Lyon (UMR 5256 CNRS – Université de Lyon 1) en tant que directrice de recherche en chimie.« La juxtaposition entre chimie, anthropocène et sciences sociales m’a semblé en beaucoup de points féconde, et en écho avec mon investissement à tenter d’élargir le champ de ce qui est évalué positivement pour le recrutement et l’évaluation des carrières des chercheuses et chercheurs au CNRS (v. rapport « Parité et évaluation non-discriminatoire au CNRS »). J’essaye de travailler cette sensation de fécondité en me formant à la complexité, à la transdisciplinarité, notamment grâce aux travaux de la Fabrique des Questions Simples et en développant le concept de « chimies situées » qui mobilise la chimie, l’analyse des systèmes complexes et les sciences humaines et sociales, en particulier la notion de savoirs situés de Donna Haraway. Le concept « chimies situées » est l’objet de mes cours de cette édition de À’ l’École de l’Anthropocène ». >> Présentation :Ce cours explore le couplage de la chimie, science de la transformation de la matière, avec la théorie de savoirs situés, issue des sciences sociales, en fondant le cadre de réflexion « Chimies Situées ». Plutôt que de tenter d’expliciter le lien, qui reste la plupart du temps impensé ou du moins dans l’ombre, entre la situation (au sens large) d’un.e chercheur.euse et la partialité de son évaluation des preuves scientifiques, le cadre des « Chimies Situées » se tourne résolument vers nos imaginaires : « Quel avenir voulez-vous aborder avec la chimie ? ». Entre exemples (et contre-exemples…) tirés de la littérature scientifique et données d’enquête auprès de collègues, ce cours tente de situer des recherches en chimie, en explorant un ensemble de moteurs d’action sur lesquels les chimistes interrogé.e.s souhaitent s‘appuyer (chimie pour la justice sociale, chimie pour sur la santé humaine, chimie pour la croissance économique, chimie pour le plaisir intellectuel de la recherche, chimie de réponse à l’effondrement, chimie frugale, chimie de réduction de dégâts,….).Le cours se conclut sur une ébauche des limites imposées par l’enchevêtrement de ces « moteurs souhaités subjectifs » avec les intérêts, les statuts, les moyens, les systèmes techno-économiques et les pratiques qui se croisent et orientent le monde de la recherche. En posant une question-horizon : dans quelle mesure cette approche peut-elle accroître le pouvoir transformateur à la fois du.de la scientifique et de ses recherches ? Dans quelle mesure, en d’autres mots, cette démarche a-t-elle un potentiel politique ? >> Vidéo de la 1ère séance / Introduction au cadre « Chimies Situées : les tableaux périodiques. >> Vidéo de la 2ème séance : Questions à la frontière planétaire du cycle de l’azote. >> Vidéo de la 3ème séance : Questions à la frontière planétaire du cycle du carbone. >> Vidéo de la 4ème séance : Déconstruire des cadres apparemment neutres pour évaluer autrement des recherches en chimie. >> Vidéo de la 5ème séance : Élargir aux sciences situées et élargir les sciences situées aux savoirs situés. >> Pour plus d’information, rendez-vous sur la chaine YouTube :cité anthropocène
CControverses à l’ère de l’Anthropocène. Période 1 : les rapports contrariés de l’homme à l’animal | Cours public 2023 >> PrésentationA l’occasion du cours public 2022 « Ruptures à l’ère de l’Anthropocène », qui caractérisaient le renouvellement des rapports de l’homme à l’environnement, nous interrogions la personnification de la nature, où l’animal se retrouvait sujet de droit, soustrait de sa condition d’objet de ce même droit. Dans le cadre des « Controverses juridiques » qui marquent cette ère vraiment très spéciale qu’est l’Anthropocène, nous poursuivons ce questionnement des rapports de l’homme à l’animal, qui restent marqués par une différenciation essentialiste, fruit des rapports particuliers de l’homme à la nature, une construction plutôt qu’une relation « naturelle ». >> IntervenantPhilippe Billet, Professeur agrégé de droit public à l’Université Jean Moulin – Lyon 3, directeur de l’Institut de droit de l’environnement de Lyon (CNRS – UMR 5600 – EVS-IDE) et membre du Labex IMU. Spécialiste de droit de l’environnement, il s’intéresse plus particulièrement aux risques naturels, à la protection de la biodiversité et des espaces naturels, à la protection des sols et au régime juridique des services écosystémiques. Président d’honneur de la Société française pour le droit de l’environnement, il est par ailleurs Président de la Commission « Espaces protégés » du Conseil national de la protection de la nature, Vice-président du Conseil scientifique de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité et membre du Conseil scientifique du Comité de Bassin de l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée. >> Vidéo de la 1ère séance : Introduction – Comment penser la Nature dans le droit de l’environnement ? >> Vidéo de la 2ème séance : Espèces animales protégées.>> Vidéo de la 3ème séance : Le retour des grands prédateurs. >> Vidéo de la 4ème séance : La lutte contre les espèces exotiques envahissantes. >> Vidéo de la 5ème séance : La régulation des espèces dites nuisibles. >> Vidéo de la 6ème séance : L’animal, être sensible. >> Pour plus d’information, rendez-vous sur la chaine YouTube :Cité anthropocène
PPorter attention aux co-habitations anthropocènes : propositions pour une théorie politique du Care spatial | Cours public 2023 Que pourraient/devraient être les politiques de l’Anthropocène et l’éthique de l’habitation afférente ? Ce cours du géographe Michel Lussault – ENS de Lyon – clôture une série engagée en 2019, avec la volonté de donner de la consistance à l’hypothèse qui fut fondatrice de la mise en place du programme de travail de l’École urbaine de Lyon : le changement global et l’urbanisation planétaire constituent deux processus systémiques appariés et l’Anthropocène est le nom de la mise en lien de ces deux englobements.Nous avons ainsi à la fois examiné de grandes évolutions planétaires (saison 1 et 2) puis focalisé l’attention sur des aspects plus précis, le métabolisme (saison 3, cours public 2021), la question de l’air (saison 4, cours public 2022). Mais toujours avec la volonté de prendre au sérieux l’idée de l’Anthropocène comme moment urbain contemporain de l’anthropisation de la terre.Cette année, il paraît logique, en guise de conclusion ouverte, de se demander ce que pourraient/devraient être les politiques de l’Anthropocène et l’éthique de l’habitation afférente. Pour aborder ce problème délicat, on assumera un parti pris : considérer qu’il importe, en premier lieu, de changer totalement notre manière de regarder les phénomènes urbains et leurs devenirs, en développant un « care » géographique qui consisterait rien de moins à réviser totalement tant les cadres d’analyse des espaces de vie des humains en société, que les instruments et les procédures classiques des actions territoriales.>> Intervenant : Michel Lussault est géographe, professeur à l’Université de Lyon (ENS de Lyon), membre du laboratoire de recherche Environnement, villes, sociétés (UMR 5600 CNRS/Université de Lyon) et du LabEx IMU (Laboratoire d’excellence Intelligence des mondes urbains) de l’Université de Lyon. Dans son travail, il analyse les modalités de l’habitation humaine des espaces terrestres, à toutes les échelles et en se fondant sur l’idée que l’urbain mondialisé anthropocène constitue le nouvel habitat de référence pour chacun et pour tous. Afin de pouvoir amplifier de telles recherches qui exigent une véritable interdisciplinarité, il a créé en 2017 l’École urbaine de l’Université de Lyon. Expert reconnu du champ des études urbaines et urbanistiques, il est l’auteur, depuis 1990, de plus de 110 articles scientifiques et de nombreux ouvrages comme Hyper-lieux. Les nouvelles géographies de la mondialisation (Collection la Couleur des idées, Le Seuil, 2017) et Chroniques de géo’virale (Éditions 205, 2020). Plus récemment, il a contribué à l’ouvrage Néolithique Anthropocène. Dialogue autour des 12 000 dernières années (Éditions 205, 2021). Il co-dirige la collection À partir de l’Anthropocène aux Éditions 205.>> Vidéo de la 1re séance :>> Vidéo de la 2e séance :>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la chaine YouTube :Cité anthropocène