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Théâtre de femmes du XVIe au XVIIIe siècle : archive, édition, dramaturgie

TThéâtre de femmes du XVIe au XVIIIe siècle : archive, édition, dramaturgie

Il y a trente ans paraissait la première anthologie du théâtre de femmes à l’initiative de Perry Gethner : Femmes dramaturges en France (1650-1750), 1993. Depuis, l’entreprise éditoriale n’a cessé de s’étendre autour de cette anthologie fondatrice et la recherche sur la littérature française d’Ancien Régime s’est orientée, dans une proportion significative, vers la découverte ou la relecture d’œuvres dramatiques écrites et publiées par des femmes.

Celles-ci sont également remises à l’honneur sur la scène théâtrale depuis le début des années 2000 avec plusieurs types de performances : lectures, mises en scène, scènes filmées, etc.

Le festival international Théâtre de femmes du du XVIe au XVIIIe siècle : archive, édition, dramaturgie s’inscrit dans cette dynamique, et entend mettre en lumière des aspects de ce théâtre qui excèdent, tout en le fondant, son contenu textuel.

En cohérence avec cette attention portée aux conditions de vie et de survie des œuvres dramatiques écrites par des femmes du XVIe au XVIIIe siècle, le colloque accueille trois représentations théâtrales > sur inscription :

  • Le Mallade (v. 1535) de Marguerite de Navarre
    Par la compagnie Oghma sous la direction de Charles di Meglio
    Mercredi 15 novembre 2023 à 19h
    Université Jean Moulin Lyon 3, Amphithéâtre de l’IUT
  • La Folle Enchère (1691) de Madame Ulrich
    Dans la mise en scène d’Aurore Evain avec la compagnie « La Subversive »
    Jeudi 16 novembre 2023 à 20h
    ENS de Lyon, Théâtre Kantor
  • L’Amoureux extravagant (1657) de Françoise Pascal
    Mise en scène par le collectif Les Herbes Folles
    Vendredi 17 novembre 2023 à 12h
    Université Lumière Lyon 2, Grand amphithéâtre.

Pour en savoir plus et consulter le rogramme :

Théâtre de femmes

Dans la « fabrique » du rock alternatif

DDans la « fabrique » du rock alternatif

Dans les années 1980-1990, pendant une bonne décennie, un mouvement culturel indépendant et auto-organisé de la jeunesse est apparu sur le devant de la scène médiatique. Ce mouvement dit « rock alternatif » est né sur les décombres de l’explosion punk en France (1976-1979). Il s’est manifesté partout en France à travers des groupes musicaux, des productions musicales et artistiques, des concerts, des lieux autogérés souvent en marge du système classique.

En tant qu’acteur de cette scène punk depuis 1977, auteur-compositeur des groupes Bérurier Noir, Molodoï et Anges Déchus, François Guillemot, désormais historien et analyste de sources à l’Institut d’Asie Orientale, avait accumulé toute une documentation sur et autour de la « fabrique » de cet univers musical, à la fois politique et culturel. Il a fait don de ces précieuses archives à la BnF.

[…] « La constitution de ce fonds foisonnant est une invitation à ouvrir de nouveaux champs de recherche en musicologie, codicologie et, plus largement, en sciences humaines et sociales. » […] François Guillemot.

>> Pour lire l’article, rendez-vous sur le site :

cnrs

Foires, villes et marchands (1350 – 1600)

FFoires, villes et marchands (1350 – 1600)

À travers des documents d’archives variés (cartes, livres de comptes, calendriers de foire, délibérations municipales, etc.) et des objets d’époque (peintures, dessins, monnaies, abaque, poids de ville, etc.), c’est toute l’histoire des foires européennes qui est retracée, du cycle champenois à l’émergence des foires de change en passant par le succès des foires à Lyon.

Cette exposition présente le programme de recherche CoMOR « Configuration des foires européennes. Marchands, Objets, Routes (1350-1600) » (UMR 5648 CIHAM, ENS de Lyon, Université d’Erfurt) financé par l’ANR en France et la DFG en Allemagne.

Organisée avec les Archives départementales et métropolitaines, cette exposition bénéficie du concours des Archives municipales de Lyon, du musée des Beaux-Arts de Lyon et de Gadagne, musée d’histoire de Lyon.

Pour en savoir plus :

Foires, villes et marchands

Histoire de la Société Académique d’Architecture de Lyon

HHistoire de la Société Académique d’Architecture de Lyon

La Société Académique d’Architecture de Lyon est l’une des plus anciennes sociétés savantes encore en activité de France. Formée par des architectes majeurs du XIXe siècle, comme Antoine Marie Chenavard (1787-1883) et Louis-Pierre Baltard (1764-1846), elle a profondément marqué la scène architecturale lyonnaise.

Ces travaux historiques, ces concours et ses conférences en font une référence unique pour les architectes, dès son origine. Riche de plus de 190 ans d’histoire et d’archives, la Société Académie d’Architecture de Lyon est un sujet de recherche à part entière. Pourtant, l’histoire même de ce groupement est peu connue. Cette conférence est l’occasion d’éclairer la naissance de la Société, à la fin des années 1820, et sa vie jusqu’à l’aube de la Troisième République. Cette recherche inédite révélera le rôle majeur joué par le groupement dans l’institutionnalisation de la profession d’architecte.

 

>> Plus d’informations :

Archives Municipales de Lyon

Des ressources et des dieux. Remarques préliminaires sur les cultes et la géographie de Salamine de Chypre

DDes ressources et des dieux. Remarques préliminaires sur les cultes et la géographie de Salamine de Chypre

Le cycle des conférences Pouilloux 2021-2022, organisé par la Maison de l’Orient et de la Méditerranée, se poursuit avec : Des ressources et des dieux. Remarques préliminaires sur les cultes et la géographie de Salamine de Chypre

 » À en juger par son rayonnement politique et culturel, le royaume chypriote de Salamine fut sans doute l’un des plus riches et des plus influents du bassin oriental de la Méditerranée. Pourtant, la localisation, la caractérisation et la datation des sanctuaires situés dans son espace périurbain, et plus largement sur le vaste territoire du royaume demeurent floues, voire inexactes. Pour la plupart d’entre eux, on ne connaît pas davantage le caractère de la divinité qui y était installée. Alors que de nombreuses fouilles ont été effectuées dans la ville de Salamine et dans les campagnes alentour, la situation politique actuelle contribue à la fragilisation des données. L’interdiction d’accès aux terrains nord-chypriotes est souvent considérée comme une impasse, la communauté scientifique ayant parfois renoncé à poursuivre les recherches, faute de sources considérées fiables et exploitables.
Au travers de l’exemple salaminien, cette présentation questionnera l’apport de la documentation issue de fouilles anciennes en interrogeant notre rapport aux archives et à la mémoire du patrimoine archéologique.  »

Conférence présentée par : Pauline Maillard, post-doctorante à l’université Lumière Lyon 2, laboratoire HiSoMA – MOM.

> Consulter le programme de notre cycle de conférence sur notre site web, rubrique « Valorisation » :

MOM

Consultez les publications du musée des Confluences sur le portail Persée

CConsultez les publications du musée des Confluences sur le portail Persée

Au-delà d’une proximité géographique que souligne la passerelle Raymond Barre qui les relie, le musée des Confluences et l’École Normale Supérieure de Lyon partagent les mêmes ambitions autour de la recherche, de la transmission et de l’échange des savoirs.

Parmi les collaborations mises en place : la valorisation sur le web des publications scientifiques du musée. Ainsi, après un traitement documentaire et éditorial réalisé par Persée, l’ensemble de la revue scientifique du musée Confluences est aujourd’hui accessible librement et gratuitement en ligne.

A lire en intégralité sur le site du Musée des Confluences

Ce projet s’inscrit dans le cadre du partenariat avec l’ENS de Lyon, tutelle de Persée

Rayons X – Une autre image de la Grande Guerre

RRayons X – Une autre image de la Grande Guerre

« Rayons X. Une autre image de la Grande Guerre » est une exposition présentant une nouvelle façon de découvrir l’histoire de l’imagerie médicale et les transformations menées par quelques pionniers pour révolutionner les soins apportés aux blessés pendant la Grande Guerre. 

Coréalisée par le musée des Hospices Civils de Lyon  avec l’association Patrimoine Médecine Santé Lyon et les Archives municipales de Lyon, cette exposition avait été présentée aux Archives municipales de Lyon d’octobre à décembre 2017.

En 2018, en accompagnement de la commémoration de l’Armistice de la Guerre 14-18, elle devient une exposition virtuelle, pour visiter l’exposition comme si vous étiez, sans contrainte de temps ni d’espace : à l’aide de panoramas 360° où les œuvres et documents sont cliquables, intégrant les cartels d’information. 10 nouveaux panneaux reprennent le propos de l’exposition, les objets et documents présentés, et sont accompagnés des documents imprimés pour l’exposition.

Elle devient également une exposition itinérante, sous forme de panneaux (accueil possible : contacter les HCL).

Un ouvrage a été publié à l’occasion de l’exposition, aux Editions Libel.

 

Retrouvez l’ensemble de ces ressources sur le site de : 

Hospices civils de Lyon

Les archives de l’INSA racontent une histoire de La Doua

LLes archives de l’INSA racontent une histoire de La Doua

Les archives de la ville de Villeurbanne accueillent Emilie Poirson, archiviste de l’INSA, qui présentera les documents et maquettes qui racontent une histoire universitaire, autour de la pédagogie, de la recherche et de l’administration. Quelques maquettes vous plongeront à l’époque de la construction du campus.

Plus d’informationS sur le site 5717 de l’INSA Lyon

©INSA Lyon