AArt & Science Expérience : Voyages aux confins de l’interdisciplinarité L’Institut Rhône-alpin des systèmes complexes – IXXI – en partenariat avec l’Institut d’Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités – IHRIM – et le département de philosophie de l’ENS de Lyon, vous invitent à découvrir, comprendre, expérimenter les processus de recherche-création en science et en art.Issu d’une rencontre entre une dizaine de chercheurs et autant d’artistes, le projet de recherche-création Art & Science Expérience est né de la volonté d’observer et rendre visible les processus de co-création qui rendent possibles une production interdisciplinaire. D’une première journée d’échanges ont émergé spontanément quatre sujets de recherche.Deux années de travaux conjoints ont abouti aux co-créations présentées dans l’exposition. Les interactions ont été observées avec des étudiants en philosophie de l’ENS de Lyon. Une démarche tout à la fois créative, sensible et réflexive que vous êtes invités à partager.>> Le programme du 5 novembre (ici) : À partir de 13h : accueil et ouverture de l’expositionDe 13h50 à 18h : journée d’études, restitution de l’expérimentation entre chercheurs et artistes.À partir de 19h : deux performances sur les projets Pensées en équation et Dynamiques.À l’issue des performances et du vernissage : cocktailL’exposition restera dans les locaux de l’ENS de Lyon jusqu’à fin février 2025, avant d’être présentée ailleurs.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :IHRIM
LLe patrimoine hospitalier des HCL Médecine, architecture, sciences, arts… Depuis des siècles, l’hôpital apporte des soins à toutes et à tous, et contribue à façonner la ville et son paysage comme à développer les sciences.Dans le cadre du projet Réinventer la Chapelle, les Hospices civils de Lyon proposent de plonger dans huit siècles d’histoire dans et autour du Grand Hôtel-Dieu à travers des visites commentées. Menées par des guides conférencières professionnelles, elles s’appuient notamment sur les collections du Musée des HCL.>> Les visites :Mardi 29 octobre à 18h30 : Le Grand Hôtel-Dieu, haut-lieu de l’innovation médicale©DRLe Grand Hôtel-Dieu, principal hôpital de Lyon à partir de la Renaissance, a été un modèle hospitalier diffusé dans toute l’Europe et le théâtre de nombreuses innovations médicales à travers les siècles.Parcourez son histoire médicale faite de recherches et de créativité, et rencontrez les acteurs d’un projet humaniste au service des plus pauvres puis de la santé de tous.Durée : 1 heure / Tarifs : adulte 9,00 € – Moins de 26 ans, personnel HCL, RSA (justificatif de -6 mois) : 6,00 €. / RDV : Place de l’Hôpital, sur le parvis de la Chapelle – Lyon 2e >> Sur réservation Samedis 2 et 7 novembre à 10h : Le Grand Hôtel-Dieu et la Chapelle, entre arts et médecine©DRLe Grand Corps, les Quatre-Rangs, la façade et le grand dôme de Soufflot, le dôme de Pascalon… Du XVe au XIXe siècle, le Grand Hôtel-Dieu s’est développé à travers des architectures marquantes de l’histoire des soins et du paysage lyonnais.Dès le XVe siècle, le principal hôpital de Lyon fait partie d’une politique d’embellissement de la ville, et des nouveaux repères du pouvoir laïc émergent avec l’Hôtel de Ville, la loge du Change et l’hôpital de la Charité.Reconnu dans l’Europe entière pour son organisation remarquable, le Grand Hôtel-Dieu a été témoin de l’évolution hospitalière et des innovations médicales, chirurgicales et pharmaceutiques, depuis la Renaissance.La Chapelle de l’Hôtel-Dieu, construite au VIIe siècle avec l’hôpital des Quatre-Rangs, restaurée au XIXe siècle et lieu de baptême pour de nombreux enfants nés à l’Hôtel-Dieu, est progressivement tombée dans l’oubli. Depuis le début de sa restauration, entreprise en 2012 par les Hospices civils de Lyon, on redécouvre son architecture baroque, la richesse de ses tableaux et de ses sculptures, et l’intérêt du décor peint en trompe-l’œil qui recouvre l’intégralité de ses murs et de ses voûtes.Dans le Grand Hôtel-Dieu, « le corps peut guérir grâce aux soins prodigués et à la beauté de l’environnement ; l’âme du patient est enveloppée par une paix intérieure et spirituelle ; l’esprit s’ouvre à la recherche scientifique et à l’innovation architecturale » (Didier Repellin).Durée : 2 heures / Tarifs : adulte : 15,00 € – Moins de 26 ans, personnel HCL, RSA (justificatif de -6 mois) : 10,00 €. >> Sur réservation >> Pour plus d’information, rendez-vous sur la page : HCL – Le Musée
TTant de fleuves se démêlent sous un caillou Entre les plis du relief, les courants convergents et divergents de la Saône sont propices à penser à la rencontre. Cinq artistes provenant de rivages disparates se retrouvent sur la presqu’île au sein du post-diplôme art de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon – ENSBA.Pendant une année, ils se sont invités à penser ensemble en s’impliquant dans l’écumage de leurs recherches respectives. Ils se sont attachés à suivre les lisières troubles émergeant de la collision de contradictions qui enveloppe certaines vérités. Sensible à ces discordances fécondes d’une réalité qui se partage, il s’agit alors de reconnaître que chacun n’existe pas seul dans un vide stérile. Et ainsi, de garder les pieds ancrés dans un espace fertile que la décrue dévoilera provisoirement à nouveau.Les cinq artistes de la promotion 2023-2024 du Post-diplôme Art présentent sous la forme d’installations, les pièces inédites développées cette année.Le Post-diplôme art consiste en une année de formation de haut niveau pour cinq artistes, de toute nationalité, aux parcours singuliers dans le domaine des arts visuels. Il fait partie des dispositifs d’accompagnement des artistes portés par l’Ensba Lyon depuis 25 ans.>> Les cinq artistes :Tin Ayala examine les réponses post-coloniales andines, se basant sur le Cholo (mot d’origine Quechua utilisée pendant la colonie pour catégoriser les descendantes d’indigène et espagnol) comme identité frontalière capable de resignifier les notions coloniales de race.Parisa Babaei interroge la manière dont les images et les textes nous traversent par le langage, les rapports sociaux, politiques et culturels. Son travail de recherche prend comme point de départ le langage, les techniques pour lui faire porter des visions du monde et les formes plastiques qui les incarnent souvent de façon invisible. Elle s’intéresse plus particulièrement aux arguments fallacieux, aux adages, aux slogans et à la langue technique.Emma Ben Aziza : frôlant l’approche documentaire, l’écriture poétique ou fictionnelle, elle s’intéresse au potentiel transformateur du récit. En explorant les enjeux botaniques en prise avec la fabrication de l’Histoire, elle travaille à des modalités narratives en relation à ce qui est détruit de certaines cultures par l’impérialisme occidental. Les petites histoires font la grande, et sont donc les compagnes de l’Histoire collective.Maéva Conderolle propose de considérer le cacao comme un contenant d’archives sensorielles afin d’explorer les différentes histoires que cette plante véhicule. Intéressée par la nature relationnelle des récipients de stockage historique du cacao, elle explore ainsi la résonance des gestes initiés par et autour d’une même plante.Simon Gabourg : en réinterprétant le réel animal et végétal à travers le prisme des matériaux, il examine la diversité des mécanismes de mondialisation, inscrits dans des objets techniques et des matériaux industriels. Observer conjointement l’essor des technologies et des entreprises impérialistes et coloniales révèlent des connexions insoupçonnées entre les époques passées, le présent et les horizons futurs.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la page : ENSBA©Tin Ayala
FFestival Arts Sciences et Sociétés de l’INSA Lyon : FASSIL Ouverture du premier Festival Arts Sciences et Sociétés de l’INSA Lyon : FASSIL.À partir du 5 novembre, se tiendra un nouveau rendez-vous dédié aux Arts et à la Culture sur le campus LyonTech-la Doua : le Festival Arts Sciences et Sociétés de l’INSA Lyon. FASSIL est porté par le Service Culturel, le Centre des Humanités, mais aussi l’Institut Gaston Berger, la Bibliothèque Marie Curie et d’autres composantes de l’INSA Lyon comme les sections artistiques, les associations étudiantes, certains laboratoires…Pour cette première édition, ouverte sur la ville, l’équipe a décidé de porter son regard sur « l’intime ».Intimes, pour cette première édition, questionne notre rapport aux autres, à la technologie, aux sciences, dans une société plurielle, en perpétuel ou impossible mouvement. Quels changements ? Quels futurs ? Intimes s’empare aussi de nos rapports ambivalents aux dérèglements socio-écologiques et aux réponses qui sont apportées.Une thématique explorée avec un programme de spectacles, conférences, ateliers, projections. Pendant près de deux mois, ce grand événement offre une expérience inédite à l’intersection de la culture des sciences, de la recherche et de la vie de campus. Une première édition qui fait déjà un pas vers la métropole puisque ce rendez-vous est proposé sur le campus, mais aussi dans plusieurs espaces culturels de Villeurbanne et de Lyon.PROGRAMME DU FESTIVAL FASSIL : ici >> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : INSA Lyon©Clémence Estingoy – Photographie 05
LLe Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon s’expose ! Le Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon – CRCL – s’expose ! Cette exposition vise à offrir une perspective inédite sur le monde de la recherche scientifique.En mêlant science, art et espace public, cette exposition à ciel ouvert offre aux passants une expérience visuelle et informative. Elle permet d’observer, depuis la rue, l’univers fascinant des laboratoires, un monde qui regorge d’objets atypiques et d’une atmosphère unique. L’imagerie scientifique, souvent esthétique et singulière, révèle une autre facette des travaux de recherche.Cette exposition est également un moyen de montrer les efforts des équipes de recherche dans cette lutte quotidienne contre le cancer. En exposant ces images et ces visages, le CRCL souhaite non seulement souligner leur engagement, mais aussi révéler la richesse du travail scientifique qui se cache derrière les grilles du centre.Photographe : Éric Le Roux, photographe de l’Université Claude Bernard Lyon 1>> Le site : CRCL©Eric Le Roux / Université Claude Bernard Lyon 1
11925 Cecilia et l’astrophysique Une histoire de femme et de sciences !On apprend que juste après le Big Bang et encore maintenant, l’univers visible ne contient quasiment que de l’hydrogène, que nous ne sommes que des « poussières d’étoiles », issues d’une lente transformation de l’hydrogène des étoiles. Mais qui a réalisé cette découverte de l’omniprésence de l’hydrogène ? Une anglaise de 25 ans, Cecilia Payne-Gaposchkin, en 1925.Le spectacle raconte cette aventure humaine et scientifique. Humaine, car, en tant que femme, Cecilia a dû gravir non pas seulement des montagnes, mais plusieurs Everest pour réaliser son rêve de devenir astronome.Cette évènement s’adresse autant aux passionnés des sciences ainsi qu’à ceux qui ne connaissent rien à l’astronomie !Organisé en partenariat avec : la troupe Divine Émilie, un spectacle théâtral suivi d’une conférence au Centre culturel et de la vie associative – CCVA – de Villeurbanne.>> Programme :Ouverture et accueil à 19hSpectacle de 19h30 à 20h30Conférence de 20h30 à 21h30Échanges avec le public de 21h30 à 22h>> Découvrez le teaser : >> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : CALA
AAmis du musée de l’imprimerie et de la communication graphique | Cycle de conférences 2024-2025 L’association des Amis du musée de l’Imprimerie et de la Communication graphique contribue à la diffusion de son patrimoine historique, artistique et technique. Elle vous invite à découvrir le cycle de conférences pour la saison 2024-2025, où interviendront de nombreux spécialistes issus de divers horizons.Parmi les intervenants, vous aurez l’occasion d’entendre :La conservatrice générale des bibliothèques et directrice des bibliothèques et de la documentation du Muséum national d’histoire naturelle,Un professeur de l’ENSSIB et directeur de recherche au Centre de recherche Gabriel Naudé,Un directeur de recherche en biochimie à l’Institut de chimie et biochimie moléculaire et supramoléculaire – ICBMS – de l’Université Claude Bernard Lyon 1Et bien d’autres !>> L’intégralité du programme en PDF>> Pour plus d’information, rendez vous sur le site : musée de l’Imprimerie et de la Communication graphique
SSaisons romaines ©DRVenez découvrir Saisons romaines, la nouvelle exposition temporaire du musée, organisée en partenariat avec le musée d’Archéologie nationale – Domaine national de Saint-Germain-en-Laye.La mosaïque des SaisonsDatée du IIIe siècle, la mosaïque dite des Saisons, représente des activités agricoles ou des rituels regroupés autour de personnifications des quatre saisons.Découverte sur le site archéologique de Saint-Romain-en-Gal en octobre 1890, elle a été acquise par le musée du Louvre en 1892.Conservée au musée d’Archéologie nationale depuis 1935, elle a fait l’objet d’une importante restauration par l’atelier de restauration de mosaïques et d’enduits peints du musée de Saint-Romain-en-Gal en 2022 et en 2023. À la suite de cette restauration, un groupe d’experts a été chargé d’étudier ce pavement.La mosaïque des Saisons sera présentée pour la première fois sur son lieu de découverte.Une exposition sensorielleLes différentes séquences de l’exposition présenteront :L’histoire de la mosaïque, de sa découverte et de son parcours muséographiqueUn accrochage inédit des panneaux de la mosaïque, au fil des saisonsUn laboratoire de restauration, présentant les travaux menés par l’atelier de restauration des mosaïques du muséeUn film d’animation dans lequel les principales scènes de la mosaïque seront animéesDe nombreux dispositifs accompagneront la visite. Ils solliciteront les sens : le toucher, l’odorat, l’ouïe, la vue. Un espace immersif et ludique sera dédié aux familles.>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :Musée Gallo-Romain Saint-Romain-En-Gal
LLa manifestation des autres L’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon vous invite à l’exposition : La manifestation des autres, imaginée par l’artiste Sophie Lamm dans le cadre de la soutenance du Diplôme supérieur de recherche en art — DSRA — au sein de l’unité de recherche Art contemporain et temps de l’histoire — ACTH .L’exposition collective présente les œuvres d’artistes de générations différentes partageant une attention particulière aux autres et la création de formes qui, avec des approches diverses, répondent à l’im-pensée, au surgissement de ce qui pour l’artiste est au seuil de l’atelier.L’exposition a été pensée comme un éclairage sur ce qui dans la pratique picturale est souvent abordé comme une énigme, résultat d’une confrontation complexe de l’auteur avec des sources se référant à de multiples images déjà produites comme à des faits sociaux et politiques.Sophie Lamm revisite dans sa recherche la notion de métamorphose, présentée dans l’ouvrage anthropologique, poétique et politique Masse et Puissance d’Elias Canetti, pour étudier et rendre intelligible la relation qui se noue entre l’élaboration de sources et le travail de stratification de la matière peinte et sa qualité organique propre.Elle construit le dialogue avec les œuvres des artistes convoqués à partir de deux projets se situant au départ et à la conclusion du parcours de recherche au sein de l’unité Art contemporain et temps de l’histoire : l’installation La Ronde à l’intérieur, (2020), œuvre produite par le Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA avec le soutien de CDA-Développement et du Programme Résidence en entreprises du ministère de la Culture et la dernière série de peintures À la mémoire des sans noms.Remerciements : Galerie Papillon (Paris), IAC-Institut d’art contemporain (Villeurbanne), Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA (Bordeaux), pour les prêts d’œuvres accordés.>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :ENSBA
LL’art dans tous ses états | Scène 27 Pour son dernier événement de la saison, la Scène 27 vous donne rendez-vous le 27 juin pour aborder cette thématique grâce à des ateliers artistiques, au jeu Point of View et à un débat grand format dans une ambiance décontractée et bienveillante ! L’occasion de remettre en question sa vision du sujet et de rencontrer de nouvelles personnes autour d’un verre.L’art est omniprésent dans nos vies : que ce soit par notre propre processus créatif en écrivant, dansant, innovant, ou dans la construction de notre identité à travers toutes les œuvres (musicales, visuelles ..etc) qui nous influencent et nous façonnent chaque jour.Toutes ces créations artistiques provoquent des émotions, des aspirations ou encore des actions sociétales. L’art peut faire débat lorsqu’il devient politique, on s’en sert alors parfois de propagande ou d’outil de dénonciation.Il est le reflet de problématiques sociales quand son accès est inégalitaire, que les IA sont capables de remplacer les artistes, ou lorsqu’il est question de distinguer ou non l’œuvre de l’artiste.Finalement l’art est un domaine universel, constituant chaque culture, influençant chaque époque historique et en créant une connexion entre des personnes du monde entier. Le programme : 19h – 21h : IMMERSION – Jeu P.O.V / Stand partenaires20h30 – 22h : L’AGORA – Grand débat version Scène2722h – 23h30 : L’AFTER – Concert et débat chill>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Scène 27