AAnatomie comparée des espèces imaginaires : de Chewbacca à Totoro | ANNULE Le musée est fermé jusqu’à nouvel ordre.———————————————————————————————————————————————————Une invitation à découvrir la science autrement !Monstres manga, superhéros ou créatures geek, les êtres imaginaires empruntent souvent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Démonstration scientifique spectaculaire, illustrée en direct par un dessinateur naturaliste.Avec Jean-Sébastien Steyer, paléontologue au Muséum National d’Histoire Naturelle et au CNRS, et Arnaud Rafaelian, illustrateur.Plus d’informations sur le site du : Musée des Confluences
PPOROSITY : Connecter arts et sciences POROSITY est la première plateforme numérique qui vise à faciliter et à impulser les échanges et collaborations entre le milieu scientifique, le secteur des nouvelles technologies et la création artistique contemporaine – en France comme à l’international.POROSITY croit en le fait qu’artistes, scientifiques et ingénieurs ont en commun le goût de la recherche, du questionnement perpétuel et de l’innovation. En favorisant l’échange des savoirs et des savoir-faire, en croisant les compétences et les champs de recherches et de réflexion de chacun·e, POROSITY invite à décloisonner les pratiques et à créer une perméabilité entre celles-ci, afin d’ouvrir un nouveau champ des possibles.Artiste cherche scientifique/ingénieur pour collaboration.POROSITY répertorie d’une part les initiatives scientifiques et technologiques qui souhaitent accompagner et collaborer avec des artistes sur la production d’une oeuvre spécifique et le développement d’une pratique contemporaine. Un moteur de recherches à entrées multiples permet d’identifier un ou plusieurs interlocuteurs en croisant différents filtres.Scientifique/ingénieur cherche artiste pour collaboration.POROSITY dédie une rubrique aux « appels à artistes » émanant des corps scientifique et ingénieur, ou des entreprises de nouvelles technologies, qui souhaitent associer un artiste au développement d’un concept ou encore démocratiser autrement leurs recherches. Prenant la forme de petites annonces, ces appels s’adressent à l’ensemble des artistes membres de la plateforme. www.porosity-art.comPOROSITY : connecter arts + sciences autour de la création, est une association française de loi 1901 et à but non-lucratif, basée à Lyon, France. POROSITY a remporté, en novembre 2018, le Coup de Coeur du Jury aux Victoires de l’Innovation, organisées par la Métropole de Lyon. Pour exemple de projet Arts-Sciences, « Variations Physiques », fruit de la collaboration entre un artiste, Alex Andrix et le Laboratoire de Physique de l’ENS de Lyon.Découvrez le teaser.
VVariations physiques Exemple d’une résidence artistique, au Laboratoire de Physique de l’ENS de LyonLes Variations Physiques sont un ensemble de créations immersives inspirées des merveilles cachées de la recherche scientifique.Avec une scénarisation inspirée des structures musicales baroques en trois temps, cette première œuvre met en scène trois expériences de magnétohydrodynamique à travers un nuage de particules en mouvement perpétuel régi par des équations qui lui impriment des dynamiques surprenantes et esthétiques.Le voyage onirique évoque les étapes successives de la démarche scientifique : observation et description, compréhension et conceptualisation puis prévisions et découvertes. Fruit d’une résidence artistique d’un mois au Laboratoire de Physique de l’ENS de Lyon, Alex Andrix partage sa vision d’un monde où l’abstrait est émotion.Direction, Programmation, Animations, Equations : Alex ANDRIXScientifiques : Mickael BOURGOIN, Nicolas PLIHON, Jean LILENSTENMusique : Dorian MIGNERAT (Violon), Nicolas CHARTIER (Space music scène 1)Remerciements : Benoit ARBELOT, Arnaud CHEVALIER, Yves BROZAT, Jean-François ROBIN, Laboratoire de Physique de l’ENS de Lyon, École Normale Supérieure de Lyon, Université de Lyon, CNRS, IDEX Lyon, Theoriz Studio, ENS Mediawww.alexandrix.com
FFestival Interférences | Cinéma documentaire et débat public Fondé en 2006, le Sensory Ethnography Lab – S.E.L., propose des films originaux, à la croisée entre sciences humaines et sociales et arts visuels.Des propositions cinématographiques immersives qui circulent dans de nombreux festivals internationaux.Le S.E.L s’inscrit dans une tradition de l’ethnologie visuelle nord-américaine, que l’on pourrait faire remonter jusqu’à Robert Flaherty, en passant par Robert Gardner, figure majeure du genre. À l’image de Jeff Silva, d’anciens étudiants poursuivent désormais une oeuvre débutée au sein de ce laboratoire. Ce programme se propose de tracer une ligne, allant de Robert Gardner, jusqu’au dernier film de J.P. Sniadecki, réalisé en dehors du SEL.LLES FILMS14HFOREST OF BLISSRobert Gardner1986 | États-Unis | 90 minutesCycle de la vie et de la mort dans la cité sainte de Bénares, sur le Gange, en Inde.17HMANAKAMANAStéphanie Spray et Pacho Velez2013 | États-Unis – Népal | 118 minutesAu-dessus de la jungle du Népal, des pèlerins perpétuent un très ancien voyage, empruntant un téléphérique pour atteindre le temple de Manakamana.2OH30EL MAR LA MARJ.P. Sniadecki et Joshua Bonetta2017 | États-Unis | 94 minutesLe désert de Sonora, à cheval entre le Mexique et les États-Unis. Tourné en 16 mm, le film suit les traces des immigrants les plus démunis obligés de braver cet enfer de chaleur et de vide.Rencontres accompagnées par : Jeff Silva – RéalisateurFrancis Forge – Collectif MétéoritesJeanne Drouet – Centre Max WeberMaureen Burnot et Hugo Montero – Association Tillandsia Le site du festivalRéservez votre place Organisé par l’association Scènes Publiques
FFestival Interférences | Cinéma et débat public Renouer avec une nature sonore révélant l’invisible : craquements, grincements, sifflements, autant d’empreintes qui datent de la nuit des temps et peuvent nous procurer bien être et apaisement. Rencontre avec des explorateurs d’un nouveau genre, des amoureux du son, qui en font la matière première d’un travail musical. En repoussant les limites entre figuration et abstraction, ils nous font douter de la stricte fonctionnalité des merveilles de la Nature.LLes filmsL’ESPRIT DES LIEUXStéphane Manchematin et Serge SteyerFrance | 2018 | 91 minutes«Je vis au pays des sons», c’est ainsi que Marc résume sa quête existentielle. Héritée d’une pratique paternelle, sa passion l’a conduit à s’enraciner à la lisière d’un massif forestier, dans les Vosges, et à y fonder famille.VERS LE SILENCEJean-Stéphane BronFrance | 2018 | 9 minutesJean-Stéphane Bron accompagne au plus près l’actuel directeur musical de l’Opéra National de Paris, Philippe Jordan, dans les répétitions de La symphonie N°9 de Gustav Mahler.En présence de : Bernard FortCompositeur de musique électroacoustique.Cofondateur et responsable du Groupe musiques vivantes de LyonAnimé par :Frédérique Monblanc et Gaëtan Bailly Le site du festivalRéservez votre place Organisé par l’association Scènes Publiques
FFestival Interférences | Cinéma documentaire et débat public L’exercice des mathématiques en pleine nature pour se frotter au monde et déjouer les pièges du conservatisme. Dans la patrie de Thalès, Ali Nesin, mathématicien visionnaire, a impulsé une approche nouvelle de la discipline afin d’intriguer les élèves et mieux leur faire comprendre les enjeux. Une pédagogie alternative qui fait écho à la profusion d’initiatives de ce genre dans d’autres pays. La pensée rationnelle des mathématiques peut s’appliquer à de nombreux aspects de notre vie, la rendre plus accessible et cesser de l’apprendre sans la comprendre devient alors une priorité.LE FILM :KÖYTÜLAY DIKENOĞLUTURQUIE | 2018 | 53 MINUTES«Le Village» raconte l’histoire d’une communauté d’enseignement des mathématiques fondée dans un village montagnard en Turquie. Pillé par la police dès sa première année d’existence, «le village de mathématiques» a lutté pour sa survie depuis son commencement.Le film se concentre sur Serkan, un étudiant universitaire, dont la rébellion face à ses parents pour devenir un mathématicien fait écho à la lutte réelle du village : aimer les mathématiques dans un pays où cela est considéré comme une occupation inutile. Le film tisse un lien entre le village et les mathématiques à travers la liberté et la beauté.En présence de : VINCENT BORELLIMathématicien, maître de conférences àl’Université Claude Bernard Lyon 1Animé par Lucie Millon et Olga RomaskevichLe site du festivalRéservez votre placeENTRÉE LIBREOrganisé par l’association Scènes Publiques
FFestival Interférences – Cinéma documentaire et débat public Sous la pression de la population et des pouvoirs publics les zones blanches ou non couvertes se raréfient. La fin de la fracture numérique est en marche. Ignorées et repoussées aux marges de la société, les personnes électrosensibles en sont les premières victimes. Ne leur offrant que la perspective d’un retour à la grotte, ce progrès n’est pour eux q’un leurre.Le film :Ondes noiresISMAËL CHANDOUTIS2017 | FRANCE | 21 MINUTESUne société ultra connectée où les ondes ont envahi presque tous les espaces. Trois personnes intolérantes aux radiations électromagnétiques témoignent de leur survie au sein d’un monde qui leur semble de plus en plus inaccessible. La mise en scène explore l’idée d’une décélération du temps.Animé par Julien JayEN PRÉSENCE DEMAËL DIEUDONNÉDoctorants, post-doctorants CNRS / Université Lumière Lyon 2Équipe Dynamiques sociales et politiques de la vie privéeLe site du festivalRéservez votre placeENTRÉE LIBREOrganisé par l’association Scènes Publiques
FFestival Interférences | Cinéma documentaire et débat public Le Festival Interférences accueille pendant dix jours et dans une pluralité de lieux, du cinéma documentaire d’auteur allié à des temps d’échanges collectifs. En croisant l’approche sensible du cinéma, la parole citoyenne et l’actualité des chercheurs, le Festival permet de revisiter nos perceptions et notre compréhension du monde.A l’issue des projections, les spectateurs ont la possibilité de faire entendre leur voix, de dialoguer, de partager une expérience, de débattre…La soirée d’ouverture a lieu le mercredi 7 novembre à l’Université de Lyon avec un film d’Alessandro Cassigoli « Ce qui nous reste ». JOURNAL D’UN REPORTER©Festival Interférences 2018Caméra à la main et sac en bandoulière, auréolé des exploits des anciens, le Journaliste Reporter d’Images doit à la fois informer, émouvoir et distraire.Si le spectateur est rarement dupe de la distorsion entre réalité et image captée, il veut continuer à croire en cette « fenêtre sur le monde ». Jusqu’où le journaliste peut-il saisir le réel et s’accommoder de ce qu’il traverse ? De quelle manière son humanité est mise à l’épreuve dans la fabrication de l’information ?LE FILM :CE QUI NOUS RESTEALESSANDRO CASSIGOLI2017 | FRANCE | 74 MINUTES | VOSTCasey est reporter, il se rend dans des régions dangereuses du monde ; Alessandro est réalisateur, originaire de Rome. Raconté à travers leurs correspondances vidéos, “Ce qui nous reste” offre une vision peu conventionnelle, amusante et bouleversante des conflits majeurs de la dernière décennie : Moyen-Orient, crise migratoire et bouleversement économique s’entremêlent à l’histoire d’une amitié.INVITÉS:ISABELLE GARCIN-MARROUProfesseure en sciences de l’information et de la communication à l’IEP de Lyon.Directrice de la formation de master Journalisme, médias et territoiresÉRIC BOUVETPhotographe – Grand Reporter pour le Time, Life, Newsweek, Paris-Match. Récompensé par de nombreux prix nationaux et internationaux (Visa d’or et World Press photo awards)ANIMÉ PAR :Gaetan Bailly Le site du festivalRéservez votre placeENTRÉE LIBREOrganisé par l’association Scènes Publiques