Pop’Sciences répond à tous ceux qui ont soif de savoirs, de rencontres, d’expériences en lien avec les sciences.

EN SAVOIR PLUS

Nous n’avons qu’un cerveau, protégeons-le !

NNous n’avons qu’un cerveau, protégeons-le !

©Left Right Brain Concept | Free Vector

Comment allonger notre durée de vie sans incapacité ? La moitié de la réponse se trouve dans notre propre comportement.

En effet, le cerveau humain construit l’identité de l’individu de par ses interactions avec l’environnement. Et cet environnement peut lui-même avoir directement ou indirectement des effets physiques sur le développement et la santé du cerveau.

Nous pouvons ainsi préserver notre avenir cérébral en choisissant nos aliments (le régime méditerranéen est toujours le plus efficace pour retarder les effets du temps), nos réseaux sociaux, en évitant les toxiques et les traumatismes, en veillant à notre santé cardiovasculaire. Aussi, une vie sociale riche et des activités stimulantes peuvent éviter ou retarder le vieillissement de notre cerveau, et prévenir par exemple la maladie d’Alzheimer.

Alors si vous souhaitez changer vos (mauvaises) habitudes, il faut connaître ce que la science nous enseigne et non pas ce que le neuro-marketing nous suggère tous les jours via les médias et la publicité.

>> Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site :

BM Part dieu

Swinging the brain

SSwinging the brain

« On dit souvent que la musique adoucit les mœurs, mais on est loin d’imaginer tous les effets qu’elle peut avoir sur le cerveau. » La Société Française d’Étude et Traitement de la Douleur – SFETD – organise son congrès annuel et le termine en beauté avec un opéra scientifico-rock en 3 actes, avec dans les rôles principaux l’oreille, la musique et le cerveau.

Récitatifs scientifiques et airs instrumentaux alternent ici pour expliquer et faire ressentir les effets de la musique sur votre cerveau. L’objectif est de partager sur un mode ludique et joyeux des informations scientifiques simples sur les bienfaits de la musique sur le cerveau. La musique et le spectacle y jouent un rôle important, mais sans concession avec la rigueur scientifique. 

La musique est au service de la science … la science est au service de la musique, dans un duo gagnant.

Concert soutenu par la Fondation APICIL.

> Le programme de la conférence concert :

  • Acte I : La musique : une symphonie neuronale

Pour se venger du cerveau, l’oreille a décidé de tronçonner les notes de musique en tout petits morceaux et de les envoyer dans le désordre au cerveau : c’est la panique dans le cortex auditif, et il va falloir être très intelligent pour résoudre ce puzzle sonore.

 

 

  • Acte II : La musique à l’origine du langage humain

Il y a plus de 40 000 ans, l’homme de Néandertal devait faire face à de nombreux défis. Pour quelles raisons s’est-il mis à faire de la musique ? Celle-ci a-t-elle pu transformer son cerveau et favoriser le développement d’aptitudes cognitives, le langage notamment ? La musique joue-t-elle un rôle comparable chez les nourrissons aujourd’hui ?

 

  • Acte III : La musique : si vous saviez tout ce qu’elle peut faire pour vous

Dans le hall d’un grand hôpital, des patients incapables de parler, de marcher, de se souvenir de leur vie attendent sans espoir une amélioration de leur état.  Un neurologue explique comment la musique contribue à développer les connexions entre neurones dans le cerveau. L’un des malades demande alors si la musique pourrait contribuer aussi à améliorer leur état.

>> Pour plus d’informations rendez-vous sur le site : 

swinging the brain

Le Rolling String Quartet :

©Rolling String Quartet

Club Pop’Sciences Mag : rendez-vous autour des Intelligences

CClub Pop’Sciences Mag : rendez-vous autour des Intelligences

 

Venez dialoguer avec l’équipe de rédaction du Pop’Sciences Mag, magazine de vulgarisation scientifique de l’Université de Lyon, ainsi qu’avec un chercheur et un journaliste qui ont participé à la réalisation de son numéro 15 « En quête de l’intelligence ».

Dans cette édition, à l’aide de travaux scientifiques variés (mathématiques, psychologie, philosophie, éthologie, biologie, neurosciences…), la rédaction propose d’explorer l’aventure de l’intelligence, à travers l’évolution de ce concept au cours de l’histoire, ses formes multiples dans le monde vivant et les défis qu’elle devra relever avec l’irruption de l’Intelligence Artificielle dans nos existences. Le lancement officiel du magazine, avec une soirée-débat, se déroulera le mardi 16 septembre, à 18h30, également à la Bibliothèque Municipale de la Part-Dieu.

 

Participants

Grégory Fléchet, journaliste scientifique.

Rémi Gervais, neurobiologiste et professeur émérite à l’Université Claude Bernard Lyon 1.

Samantha Dizier et Anne Guinot, rédactrices en chef du Pop’Sciences Mag.

 

Informations pratiques

Mardi 7 octobre 2025, 17h à 19h

Bibliothèque Municipale de la Part-Dieu (salle de la Découverte, niveau 4)

Entrée gratuite, sur inscription dès le 9 septembre, à partir du site web de la Bibliothèque Municipale de Lyon (rubrique les Rendez-vous, agenda culturel des bibliothèques).

 

inscription à partir du site de la Bibliothèque

 

Comment soulager les personnes autistes grâce à la neuro-architecture | Cortex Mag

CComment soulager les personnes autistes grâce à la neuro-architecture | Cortex Mag

©shutterstock

Neuroatypiques, les gens connaissant des troubles du spectre de l’autisme peuvent être fortement affectés par l’environnement bâti. A l’Institut des Sciences Marc Jeannerod (ISC-MJ), des travaux de recherche explorent une nouvelle discipline, la neuro-architecture, qui vise à concevoir des bâtiments favorisant le bien-être lorsqu’ils sont arpentés par les personnes autistes.

Firmitas, utilitas, venustas. Autrement dit « solidité, utilité et beauté ». Ces trois principes édictés par l’architecte romain Vitruve constitue, depuis deux millénaires, le fondement de toute conception architecturale qui doit, en outre, assurer le bien-être de ses futurs occupants. Lieu de travail, logement, administrations, espaces sportifs…  On estime que l’être humain passe 90% de son temps dans des espaces intérieurs dont la conception architecturale a une influence non négligeable sur sa santé mentale. Cette observation est essentielle lorsqu’on s’intéresse au bien-être des personnes concernées par des Troubles du spectre autistique (TSA) qui, à cause d’une perception de l’espace différente de la normale, peuvent souffrir, plus que d’autres, des stimulations sensorielles générées par l’environnement bâti.

[…]

Un article rédigé par Hager El Atti doctorante au sein de l’équipe Disorders of the brain de l’ISC dirigée par Angela Sirigu Directrice de l’Institut de sciences cognitives 

>> Article à lire en intégralité sur :

CORTEX MAG

Comme toute vérité subjective, le rêve a une portée politique | Cortex Mag

CComme toute vérité subjective, le rêve a une portée politique | Cortex Mag

L’exposition Le temps d’un rêve, qui se tient au musée des Confluences de Lyon, aborde une thématique méconnue du rêve : sa dimension collective. Pour Perrine Ruby, membre du comité scientifique de l’exposition, collecter des récits oniriques faits à un même moment historique permet de voir ce qui touche les individus de façon commune. Et dévoile les effets de la culture ou de la politique sur les psychés.

Combien y’a-t-il de manières d’aborder la question du rêve et de son importance dans nos vies ? Au moins huit, d’après l’exposition Le temps d’un rêve, à découvrir jusqu’au 24 août 2025 au Musée des Confluences, à Lyon. Passés l’entrée et le coup d’œil jeté à Heidi, la pieuvre filmée dans son sommeil et dont les changements de couleur reflétant des tentatives de camouflage témoignent sans doute de la vie onirique, on entre dans une première salle qui questionne le rêve sous l’angle de l’expérimentation scientifique et des neurosciences. Viennent ensuite plusieurs escales consacrées aux dimensions historique, médicale, ethnographique, anthropologique, artistiques, psychologique du rêve et à l’oniromancie.

Clôturant la visite, le dernier espace nous plonge dans des récits de rêves. Reproduits sur les murs blancs de la pièce et […]

Un article rédigé par Caroline Depecker, journaliste scientifique, avec l’expertise de Perrine Ruby, chercheuse (Inserm) au Centre de recherche en neurosciences de Lyon (CRNL).

>> Article à lire en intégralité sur :

CORTEX MAG

Arkangel : des perceptions sensorielles manipulées pour vivre dans un monde aseptisé | Cortex Mag

AArkangel : des perceptions sensorielles manipulées pour vivre dans un monde aseptisé | Cortex Mag

S’immerger dans un monde où la technologie permet de censurer, chez nos enfants, toute expérience possiblement traumatisante. C’est la proposition faite par Arkangel, l’un des épisodes de la quatrième saison de la série Black Mirror.
Des œuvres de science-fiction qui interrogent les neurosciences : épisode #1

Parce qu’elle est traumatisée d’avoir perdu de vue sa fille de trois ans brièvement dans un parc, Marie, mère célibataire surprotectrice, décide de recourir à Arkangel, un système révolutionnaire de surveillance pour enfants. Arkangel, qu’on peut traduire en français par « Archange » (qui veille sur) repose sur l’activation d’une puce électronique insérée dans le cerveau de la jeune Sarah et qui permet de suivre, en temps réel, la vie de l’enfant, grâce à l’utilisation d’une tablette numérique. On peut y lire ses constantes vitales, voir ce qu’elle voit et même filtrer les images, les sons et les émotions que la petite fille perçoit comme un stress important. C’est quand son taux de cortisol – une hormone caractéristique du stress qui est renseigné dans le film par la puce – atteint un niveau trop élevé, que la censure audio-visuelle se déclenche automatiquement, avec pour bénéfice supposé la protection de l’enfant.

[…]

Un article rédigé par et Pierre Bonnet, doctorant dans l’équipe Computation, Cognition et Neurophysiologie – COPHY, avec l’expertise de Mathilde Bonnefond, Chargée de recherche INSERM au sein de l’équipe COPHY.

>> Article à lire en intégralité sur :

CORTEX MAG

Destination : notre cerveau inconnu

DDestination : notre cerveau inconnu

À l’occasion de la résidence artistique de la Nième Compagnie sur le quartier du Tonkin, Destination : inconnu vous propose une rencontre avec notre cerveau.

Cette résidence à comme point de départ une question : comment on sait ce qu’on sait ? Qui en entraine d’autres : Comment on sait ce que l’on ne sait pas ? Comment on sait que ce que l’on sait c’est vrai ? Comment on a appris ce que l’on sait ?

À travers les générations, selon les cultures et les histoires particulières, les réponses à ces questions ont évolué…

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

Nième Compagnie

 

James Bonaiuto, médaillé du CNRS : les rythmes cérébraux et les troubles moteurs | Visages de la science

JJames Bonaiuto, médaillé du CNRS : les rythmes cérébraux et les troubles moteurs | Visages de la science

James Bonaiuto, chargé de recherche CNRS à l’Institut des sciences cognitives Marc Jeannerod, a reçu en 2024 la médaille de bronze du CNRS. Ses travaux, à l’interface entre modélisation de l’activité motrice et expérimentation, pourraient avoir des retombées potentielles dans la compréhension de troubles moteurs.

Il s’intéresse au système moteur et à la manière dont nous produisons des mouvements. Il développe des modèles à partir de données d’imagerie non-invasive dans le but d’imiter le fonctionnement des réseaux de neurones responsables de la planification et de l’exécution des mouvements manuels.

À l’occasion de cette distinction, il revient sur son parcours et ses travaux de recherche.

>> Découvrez les médailles du CNRS 2024 sur le site : 

CNRS

Le cerveau aux rayons X | Conférence immersive « Les Échappées inattendues »

LLe cerveau aux rayons X | Conférence immersive « Les Échappées inattendues »

Embarquez pour un voyage immersif à l’intérieur du cerveau ! Entre faisceaux de neurones et vaisseaux sanguins, visualisés en 3 dimensions, découvrez comment une nouvelle méthode d’imagerie médicale contribue à la recherche sur les maladies neurologiques. Les rayons X produits par un accélérateur de particules, le synchrotron, permettent de réaliser une dissection virtuelle, et fournissent de fabuleuses images du cerveau.

Cette conférence immersive des Échappées inattendues du CNRS a été enregistrée le 21 mars 2024 dans le cadre de la Semaine du cerveau, en partenariat avec le planétarium de Vaulx-en-Velin et RSA Cosmos. L’univers visuel a été réalisé par Alex Andrix. Embarquez pour les Échappées inattendues, des événements et des rencontres ouverts à toutes et tous à côté de chez vous pour débattre, expérimenter, explorer, échanger.

Intervenants :

  • Fabien Chauveau (CNRS), neuroscientifique et Joshua Gobé (Université Claude Bernard Lyon 1), doctorant en physique au Centre de recherche en neurosciences (CRNL – CNRS | Inserm | Université Claude Bernard Lyon 1)

 

Pour en savoir plus :
Les Échappées inattendues

Sciences et BD à l’Université Lumière Lyon 2

SSciences et BD à l’Université Lumière Lyon 2

La BD est un outil puissant pour transmettre des idées, raconter des découvertes et susciter l’intérêt d’un large éventail de lecteurs. Mêlant narration et illustration, elle offre un moyen ludique et innovant de vulgariser des recherches complexes, permettant ainsi de mieux transmettre les savoirs.

L’Université Lumière Lyon 2, par le biais de sa Direction Sciences et Société, a collaboré avec l’Épicerie Séquentielle et des chercheurs et chercheuses pour rendre la science accessible grâce à la bande dessinée. Chaque projet résulte d’un travail collectif entre scientifiques, scénaristes et illustrateurs alliant rigueur scientifique, narration visuelle et accessibilité.

>> Découvrez les BD :

  • AUTODRIVE : une étude du lien entre l’humain, la machine et son impact sur le cerveau.

Coordonné par Jordan Navarro, chercheur en psychologie ergonomique et illustré par Bastien Castres.

  • DYSSUCCESS : présente un modèle pour anticiper la réussite scolaire des lycéens dyslexiques.

Coordonné par Eddy Cavalli, chercheur en sciences cognitives et illustré par Léonore Stuckens.

  • RECUPERTE : explore comment récupérer la chaleur des industries pour l’utiliser en énergie urbaine.

Coordonné par Laurence Rocher, chercheuse en urbanisme et illustré par Camille Mertz.

  • REFLECTOR : une étude sur comment le cerveau gère et conserve les informations en mémoire.

Coordonné par Gaën Plancher, chercheuse en psychologie cognitive, scénarisé par Damien Martinière et dessiné par Alexandra Lolivrel.

  • REMEMUS : explore comment le partage de la musique intensifie le plaisir de l’écoute.

Cordonné par Laura Ferreri, chercheuse en psychologie et Neurosciences cognitives, scénarisé par Tam Jouvray et illustré par KiWeen.

  • TRAPLANUM :  une étude du phénomène du micro-travail (ou « crowd-working ») sous l’angle de droit du travail.

Cordonné par Emmanuelle Mazuyer, chercheuse en droit, scénarisé par Benoît Connin et illustré par Marianne Tesseraud.

Pour en savoir plus, consultez le site de :

Université Lumière Lyon 2