LLes Échappées inattendues – Conférence immersive | Alliages métalliques : quand le désordre devient une force La deuxième saison des Échappées inattendues se poursuit au Planétarium de Vaulx-en-Velin !Âge du bronze, âge du fer… Ces alliages métalliques ont marqué des étapes clés de notre Histoire et continuent de façonner notre quotidien. Pourtant, nous ne maîtrisons pas encore tous les secrets de leur formation et de leur déformation.À travers des simulations numériques menées à l’échelle atomique, plongez au cœur de la matière pour explorer les mécanismes fondamentaux qui rendent certains alliages facilement déformables ou au contraire extrêmement résistants. Explorez comment les scientifiques repoussent les limites de la connaissance pour imaginer les alliages métalliques du futur, matériaux essentiels à la transition énergétique de demain !> Intervenants :Céline Varvenne et Pierre-Antoine Geslin, métallurgistes au Laboratoire Matériaux ingénierie et science (MateiS).>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :Les échappées inattenduesCette rencontre est réalisée en partenariat avec le Planétarium de Vaulx-en-Velin et RSA Cosmos.Ces recherches et cette conférence immersive ont été financées en tout ou partie par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR).>>> Suivez et partagez l’événement : #ÉchappéesInattendues
PPodcast « Qu’est-ce que tu cherches ? » : Au cœur de la savane africaine Qu’est-ce que tu cherches ? C’est le nom de la série de podcasts lancée par le CNRS. Au micro : des scientifiques racontent leurs quotidiens, expliquent leurs avancées, et vous font pénétrer dans les coulisses de la recherche. Prêts pour une immersion sonore inédite aux côtés de ces experts ?Au cœur de la savane africaine | Marion Valeix (CNRS) Embarquez pour un voyage sonore au cœur de la savane africaine, à la rencontre des grands carnivores pour découvrir comment ces communautés s’adaptent à l’effet des changements climatiques. Dans cet épisode de « Qu’est-ce que tu cherches ? » Marion Valeix, écologue CNRS au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive* explique comment elle analyse l’influence des conditions environnementales sur le succès et les tactiques de chasse du lion et de la hyène tachetée.* Elle a réalisé une grande partie de ses recherches au Laboratoire de biométrie et biologie évolutive (LBBE, CNRS / Université Claude Bernard Lyon 1 / Vétagro Sup) de Villeurbanne.>> Écoutez cet épisode sur votre plateforme préférée : QU’EST-CE QUE TU CHERCHES ? PPour aller plus loin:« Savane africaine : un monde en mutation » conférence réalisée au Musée des Confluences (Lyon) en mai 2022.
PPodcast « Qu’est-ce que tu cherches ? » Un vaccin qui fond sous la langue Qu’est-ce que tu cherches ? C’est le nom de la série de podcasts lancée par le CNRS. Au micro : des scientifiques racontent leurs quotidiens, expliquent leurs avancées, et vous font pénétrer dans les coulisses de la recherche. Prêts pour une immersion sonore inédite aux côtés de ces experts ?Un vaccin qui fond sous la langue ? | Avec Claire Monge (CNRS)© Céline CoiffierFin 2020, la France lançait sa campagne vaccinale contre la Covid-19. Au fur et à mesure de l’émergence de nouveaux variants, les stratégies vaccinales ont dû évoluer pour tenter de répondre à une crise sanitaire majeure. Dans cet épisode de Qu’est-ce que tu cherches ? Claire Monge, biologiste au CNRS au Laboratoire de biologie tissulaire et ingénierie thérapeutique (LBTI, CNRS / Université Claude Bernard Lyon 1) présente ses travaux sur le développement de vaccins administrables par voie muqueuse. Tout l’enjeu de ce nouveau dispositif serait de privilégier une vaccination sous la forme d’un patch qui fondrait sous la langue, plutôt que par injection.>> Écoutez cet épisode sur votre plateforme préférée : Qu’est-ce que tu cherches ?PPour aller plus loinDe la variole à la Covid, les vaccins : entre peurs, espoir et raison – Dossier Pop’Sciences – Juillet 2021
CComment enseigner les sciences autrement ? L’année scolaire 2023-2024 sera l’Année de la physique ! La prochaine année scolaire sera dédiée à la physique. À cette occasion différents organismes mettent en place des conférences, le CNRS nous propose de retrouver tous le programme sur le territoire et en ligne.A Lyon et pour célébrer les 20 ans du site CultureSciences Physique et conjointement avec les enseignants du Département de physique de l’ENS de Lyon, sont heureux de recevoir Julien Bobroff, Professeur à l’Université Paris-Saclay, chercheur au Laboratoire de physique des solides et co-fondateur de « La Physique Autrement« , pour une conférence le jeudi 7 décembre 2023 à l’ENS de Lyon.L’intervention sera diffusée en direct et enregistrée pour une rediffusion sur CultureSciences Physique.©logo CNRS année de la physiqueDepuis dix ans, au sein de l’équipe « La Physique Autrement », il collabore avec des designers pour développer de nouvelles façons d’enseigner la physique. Ils ont créé : des TPs frugaux et ouverts, des enseignements 100% smartphone, des fictions immersives, un enseignement en forêt, et même des défis olympiques (mais pas sportifs). Chaque fois, ils cherchent à encourager l’engagement des étudiants, le travail en groupe, la créativité, pour finalement tenter de changer leur vision des sciences. Enfin, il travaille à l’essaimage de ces pratiques, en créant des outils à disposition de tous. Venez découvrir ces nouvelles façons d’enseigner, leurs forces, leurs faiblesses, et, pourquoi pas, les dupliquer vous-mêmes !Pour en savoir plus :ENS ©Cyril Fresillon
ÉÉtonnante physique Pour l’année de la physique le CNRS vous propose un ouvrage collectif Étonnante physique . Plongez au cœur de cette discipline multi-millénaire qui accompagne notre quotidien avec ses développements dans les domaines des matériaux, de la santé, de l’énergie, du climat… Étonnante Physique est accessible à tous les curieuses et curieux de science souhaitant explorer les nombreux domaines couverts par cette discipline surprenante.Parmi tous les chercheurs et les ingénieurs, femmes et hommes de l’art se trouve des chercheurs de Lyon et Villeurbanne :Marie Le Merrer, médaille de bronze, 2020, ILM (Villeurbanne).Charlotte Rivière, médaille de bronze, 2021, ILM (Villeurbanne).Jacques Marteau, médaille de l’innovation, 2022, IP2IL (Lyon).Antoine Venaille, médaille de bronze, 2020, LPENSL (Lyon).Michael Bender, médaille d’argent, 2021, IP2IL (Lyon).Thierry Douillard, Bérangère Lesaint, Annie Malchère – Structures nano et micro-structures, médaille de cristal collectif, 2020, MatéiS (Villeurbanne).Laurent Pinard – Miroirs Ondes Gravitationnelles, médaille de cristal collectif, 2022, IP2IL-LMA (Lyon).>> La présentation du livre : >> Pour plus d’informations sur l’Année de la Physique :Année de la physique CNRS
DDécouvrez les lauréats 2023 de la médaille de l’innovation – CNRS | Visages de la science Patricia Rousselle, Marc Antonini, Jacques Gierak et Claire Hellio sont les quatre lauréats de la médaille de l’innovation 2023 du CNRS.Créée depuis une dizaine d’années, cette distinction honore des recherches issues des laboratoires placés sous la tutelle du CNRS qui ont conduit à des innovations marquantes sur le plan technologique, économique, thérapeutique et social.La médaille leur sera remise le mardi 14 novembre 2023.« Les chercheurs qui font le pari de la valorisation sont le point de départ de tout projet d’innovation pour la société. Il apparait donc primordial de récompenser cet effort consenti qui nait dans les laboratoires.Les médaillés de l’innovation représentent de véritables modèles d’inspiration pour leurs pairs, » explique Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l’innovation du CNRS.Cette médaille met en lumière le transfert d’innovations marquantes de la recherche publique vers le marché. Elle illustre la diversité des voies de valorisation qu’il est possible d’emprunter, tout en poursuivant des recherches de grande qualité.Intervenants :Patricia Rousselle : Des molécules pour régénérer la peau. Patricia Rousselle est spécialisée dans la cicatrisation et la régénération de la peau. Cette directrice de recherche CNRS au Laboratoire de biologie tissulaire et d’ingénierie thérapeutique1 étudie le dialogue entre les cellules, du derme comme de l’épiderme, et les protéines présentes dans leur microenvironnement. Ses travaux l’ont amenée à développer des traitements pour les grands brûlés, pour la cicatrisation post-chirurgie et sur les tumeurs qui touchent la peau.Patricia Rousselle a pour cela synthétisé de nombreuses molécules bio-inspirées, représentant onze brevets, qui ont suscité un fort intérêt de la part des industries pharmaceutiques et cosmétiques. Elle a ainsi mené de riches collaborations notamment avec Dior, Chanel, Symatèse, 3-D Matrix, Native, Nagase, ou encore les Laboratoires d’Anjou. Une molécule de sa création est par exemple au cœur de la gamme de baumes Cébélia, réputée pour son action de réparation, régénération et de rajeunissement de la peau.Marc Antonini : Utiliser l’ADN pour stocker des données. Directeur de recherche CNRS au Laboratoire d’informatique, signaux et systèmes de Sophia Antipolis2 où il dirige l’équipe MediaCoding, Marc Antonini est spécialisé dans la compression de données, qu’il s’agisse d’images, de vidéos ou de modèles 3D. Ses travaux de doctorat ont par exemple servi pour la norme JPEG 2000, et ses premiers travaux au CNRS, en collaboration avec le CNES, à un des systèmes embarqués dans les satellites Pléiades (couple de deux satellites optiques d’observation de la Terre). Auteur de treize brevets, Marc Antonini a régulièrementcollaboré avec différents industriels et cofondé la start-up Cintoo, consacrée à la capture et à la visualisation de nuages de points 3D.Son activité s’est depuis orientée vers le stockage sur ADN synthétique. Marc Antonini est ainsi à la tête du programme de recherche (PEPR) MoleculArXiv3, doté de vingt millions d’euros sur sept ans pour développer cette technologie d’avenir, et a participé au programme européen OligoArchive. Sur ce même thème, Marc Antonini a cofondé la start-up PearCode et préside la conception de JPEG DNA, une norme de compression d’images adaptée à l’ADN.Jacques Giérak : Contrôler les ions pour le spatial et la nanofabrication. Jacques Gierak est un expert mondial des faisceaux d’ions focalisés. Ses travaux ont des applications dans la propulsion spatiale, qui ont bénéficié des sources d’ions exceptionnellement stables, durables et contrôlables. Menées en collaboration avec le CNES et Airbus Defence and Space, ses recherches ont abouti à la fondation de Ion-X, une start-up spécialisée dans la propulsion de petits satellites.Cet ingénieur de recherche CNRS, également responsable de la plateforme Instrumentation et sources d’ions au Centre de nanosciences et de nanotechnologie4, Il a également œuvré dans la nanofabrication par faisceaux d’ions focalisés (FIB). Avec ses nombreuses avancées brevetées, il a notamment conçu l’outil FIB Nanowriter, capable de structurer du graphène, un matériau formé d’une seule et unique couche d’atomes de carbone dont les propriétés pourraient trouver des applications dans l’aéronautique, la médecine, les télécommunications ou encore la production d’énergie.Claire Hellio : S’inspirer de molécules naturelles pour des produits respectueux de l’environnement. Claire Hellio développe des solutions innovantes bioinspirées à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l’environnement marin5, ce travail de valorisation, à l’interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l’écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que cette professeur dirige.Son équipe répond aux problématiques et besoins en R&D des industriels, en développant des biotests spécifiques et des solutions biotechnologiques innovantes à partir de substances naturelles d’origines marines. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et conservateurs) et des revêtements antifouling (protection des coques des bateaux contre la colonisation). Ces solutions sont rendues les plus respectueuses possibles de l’environnement.Cette collaboration avec les entreprises a par exemple pris la forme d’un laboratoire commun appelé BiotechALg en partenariat avec Green Sea, leader européen de la production de microalgues. Pour plus d’information :vers le site
SSabine Fourrier, médaille d’argent du CNRS 2023 | Visages de la science Directrice de recherche au laboratoire Histoire et sources des mondes antiques1, archéologue et spécialiste de l’histoire des royaumes chypriotes.Sabine Fourrier s’intéresse aux questions de topographie urbaine et de contacts interculturels dans l’île de Chypre à l’époque des royaumes, entre le XIIe et le IVe siècle avant notre ère. Archéologue de terrain, elle a notamment dirigé les fouilles d’Amathonte entre 2004 et 2007, puis celles de Kition depuis 2008. Ses recherches ont permis de mieux comprendre l’entrelacement des identités culturelles — notamment grecques et phéniciennes — de l’île, et d’enrichir les connaissances sur l’organisation urbaine des villes et l’organisation territoriale des royaumes chypriotes. À travers les productions artisanales, céramiques ou figurines de terre cuite, ses travaux visent aussi à identifier les modes d’expressions identitaires des populations de Chypre. Sabine Fourrier a récemment coordonné le projet H2020 NETCHER2 , visant à constituer un réseau européen pour la préservation du patrimoine culturel et la lutte contre le trafic illicite des biens culturels. Depuis 2021, elle dirige également la Maison de l’Orient et de la Méditerranée Jean-Pouilloux3. >> Plus d’informations :CNRS
CCovid-19 : l’indispensable apport de la science des données Avec des milliers de publications, la bibliographie sur les traitements contre le Covid-19 n’est plus abordable sans l’aide de l’informatique. Le projet Covid-nma permet, en intégrant plusieurs sources de données, d’établir une carte dynamique et interactive des essais cliniques.A Lyon, cette démarche implique le Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’Information – LIRIS (CNRS / Université Claude Bernard Lyon1 / Université Lumière Lyon2 / INSA / ECL).Lire l’article intégral sur :CNRS Le Journal
FFESTIVAL INTERFÉRENCES CINÉMA DOCUMENTAIRE DÉBAT PUBLIC Les conditions dégradées dans lesquelles nous travaillons s’invitent dans notre hors travail, dans nos nuits. Elles envahissent nos rêves et font sourdre en ceux-ci images étonnantes et récits chargés d’étrangeté.LES FILMS :RÊVER SOUS LE CAPITALISMESOPHIE BRUNEAU2017 | BELGIQUE | 63 MINALTER EGO FILMSDouze personnes racontent puis interprètent le souvenir d’un rêve de travail. Ces âmes que l’on malmène décrivent, de façon poétique et politique, leur souffrance subjective au travail. Peu à peu, les rêveurs et leurs rêves font le portrait d’un monde dominé par le capitalisme néolibéral.T.E.U VOL.1LASSE NAERAA SMITH2018 | DANEMARK | 8 MINTHE OPEN WORKSHOPLa logistique de la conteneurisation est si complexe que, vue de loin, elle pourrait être un organisme à part entière. Un organisme qui façonne le monde tel que nous le connaissons et dont le but est proportionnel à la fascination de l’homme pour la croissance et la consommation.EN PRÉSENCE DEPHILIPPE SARNINProfesseur de Psychologie du Travail et des OrganisationsANNE JAKOWLEFFPsychologue du travail, prévention risques professionnels
CCNRS le journal CNRS Le journal est un magazine d’information scientifique destiné aux grand public. Ce média numérique vous propose de décrypter les recherches de pointe réalisées dans les laboratoires en vous donnant accès à des articles, des dossiers, des billets, des vidéos, des diaporamas et des infographies.Ce site est destiné à tous les amateurs de science, les professeurs et leurs élèves, les étudiants et tous les citoyens curieux. Contenus émanant de la communauté des agents du CNRS, chercheurs, ingénieurs et techniciens, ceux des labos comme ceux des bureaux.CNRSlejournal.fr