Pop’Sciences répond à tous ceux qui ont soif de savoirs, de rencontres, d’expériences en lien avec les sciences.

EN SAVOIR PLUS

Objectif Lune

OObjectif Lune

En cette année anniversaire des premiers pas de l’Homme sur la Lune, l’INSA Lyon a monté toute une programmation événement pour célébrer la conquête spatiale. L’occasion de passer des messages aux futurs diplômés dans un contexte actuel où l’enjeu serait bien de sauver la planète.

50 ans. Cinquante années se sont écoulées depuis que l’Humanité a retenu son souffle, des minutes durant, devant son téléviseur ou à l’écoute de son transistor. Le temps suspendu, elle gardera, imprimé à jamais dans sa mémoire, l’image folle de Neil Armstrong posant le pied sur la Lune.

50 ans plus tard, l’heure est à la célébration. À l’INSA Lyon, l’occasion de fêter l’anniversaire des possibles humains et technologiques s’est présentée comme une évidence, pour se souvenir mais pas seulement.

AAu programme

  • Un cycle de conférences | Sur inscription
  • Des animations pour tous
  • Des expositions

 le programme complet 

 

L’inscription est obligatoire pour ces 2 conférences :

Affiche Objectif Lune-Insa Lyon

Pop’Sciences Mag #4 | Le meilleur est-il à venir ?

PPop’Sciences Mag #4 | Le meilleur est-il à venir ?

Pop’Sciences Mag propose des contenus originaux et vulgarisés sur ce que la recherche scientifique peut apporter comme clés de compréhension à des enjeux de société prégnants. En variant les formats (vidéos, textes et photos) et les dimensions (enquêtes, interviews, actus, reportages, …), ce Mag satisfait de nombreux niveaux de lecture et d’engagement avec les savoirs scientifiques. Il adopte un ton non-technique, mais « sérieusement vulgarisé », où la signature esthétique est fondamentale pour parvenir à faire plonger le lecteur aux cœur de la recherche scientifique.

Pop’Sciences Mag #4

Le meilleur est-il à venir ?

C’était mieux avant ! Le refrain du mythe de l’Âge d’or revient régulièrement lorsque, face aux grands défis sociétaux du présent, nous en revenons au passé et réglons nos comptes sur son dos.

Les échos d’un certain déclinisme ambiant retentissent alors : avant nous étions une Nation puissante ! Lorsqu’il s’agissait de poser un pied sur la Lune, avant on y arrivait ! Avant nous n’étions pas perdus dans des univers numérisés ! Révélée en juillet 2016, une étude de la Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques précise que 46 % des français  interrogés considèrent leur situation globalement moins bonne que celle de leurs parents. Cette vision d’une société en déclin économique et culturel se cristallise dans certains discours politiques ou médiatiques.

C’est avec verve et générosité que le philosophe des sciences, Michel Serres, s’est plongé dans la problématique du C’était mieux avant ! Dans son ouvrage  éponyme, il tord le cou aux relents passéistes des « grands papas ronchons (qui) créent une atmosphère de mélancolie sur les temps d’aujourd’hui. » Ça tombe bien, avant, Michel Serres y était ! Du haut de ses 87 ans, il rappelle qu’au début du XXe siècle « les pauvres mouraient sans soin, qu’avant sans contrainte, les usines répandaient leurs déchets dans l’atmosphère ou la mer » et que l’hygiène était déplorable. Qu’avant signifie aussi tuberculose, famines… Hiroshima.

Pop’Sciences Mag se prête au jeu de savoir comment les sciences appréhendent le monde qui vient.

Pour ce nouveau numéro, Pop’Sciences ne donne ni dans la mélancolie, ni dans l’euphorie insouciante du progrès scientifique absolu. Nous proposons un regard sur les avancées techniques, socio-économiques et sanitaires qui forgent le monde contemporain et préparent celui qui vient. Nous donnons à voir comment nos chercheurs contribuent à produire de nouvelles connaissances pour répondre aux défis climatiques ou encore démographiques du XXIe siècle. Ces enjeux qui nous imposent de repenser nos modes de production, de consommation et d’innovation.

Au plus près de la recherche scientifique, vous évaluerez l’intérêt et la portée des progrès en médecine d’augmentation. Vous analyserez également les courants sociologiques et économiques qui repensent la place du travail dans nos vies futures. Notre rédaction s’est aussi intéressée aux chercheurs qui tentent de définir un modèle agricole durable, répondant au défi de devoir nourrir 10 milliards de bouches d’ici 2100. Vous identifierez les conséquences à venir du changement climatique en cours, et enfin vous vous interrogerez : a-t-on raison de vouloir aller sur Mars ?

Ce magazine vous invite à prendre position ! Était-ce mieux vraiment avant, ou le meilleur est-il à venir ?

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La conquête spatiale a-t-elle un sens ?

LLa conquête spatiale a-t-elle un sens ?

Les stratégies spatiales des grandes puissances reprennent des forces et promettent pour les prochaines décennies des alunissages en série ou des explorations martiennes plus nombreuses. Allons-nous vers l’installation permanente de l’homme en dehors de la Terre ?

Nous assistons à l’augmentation généralisée des fonds dédiés à l’exploration spatiale depuis et au delà de notre planète. En quoi cette course aux étoiles est-elle utile ou rentable pour nos sociétés ? Ce ciné débat vise à comprendre la formidable épopée spatiale, depuis les programmes américains et russes de la guerre froide, jusqu’aux récentes découvertes sur les trous noirs en passant par les mission à destination de Mars.

Invités :

  • Ghaouti Hansali. Maître de conférences, astrophysicien (ENISE, Centre de Recherche Astronomique de Lyon).
  • Patrick Thollot. Enseignant-chercheur, géologue (Laboratoire de Géologie de Lyon, ENS de LYON)
  • Modération : Florence Belaën (Université de Lyon)

Extraits :

  • First Man. Le Premier homme sur la Lune (Damien Chazelle, 2018)
  • Seul sur Mars (Ridley Scott, 2015)
  • Interstellar (Christopher Nolan, 2014)

Pop’Sciences Mag #4 | Le meilleur est-il à venir ?

PPop’Sciences Mag #4 | Le meilleur est-il à venir ?

C’était mieux avant ! Le refrain du mythe de l’Âge d’or revient régulièrement lorsque, face aux grands défis sociétaux du présent, nous en revenons au passé et réglons nos comptes sur son dos.


Les échos d’un certain déclinisme ambiant retentissent alors : avant nous étions une Nation puissante ! Lorsqu’il s’agissait de poser un pied sur la Lune, avant on y arrivait ! Avant nous n’étions pas perdus dans des univers numérisés ! Révélée en juillet 2016, une étude de la Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques précise que 46 % des français  interrogés considèrent leur situation globalement moins bonne que celle de leurs parents. Cette vision d’une société en déclin économique et culturel se cristallise dans certains discours politiques ou médiatiques.

C’est avec verve et générosité que le philosophe des sciences, Michel Serres, s’est plongé dans la problématique du C’était mieux avant ! Dans son ouvrage  éponyme, il tord le cou aux relents passéistes des « grands papas ronchons (qui) créent une atmosphère de mélancolie sur les temps d’aujourd’hui. » Ça tombe bien, avant, Michel Serres y était ! Du haut de ses 87 ans, il rappelle qu’au début du XXe siècle « les pauvres mouraient sans soin, qu’avant sans contrainte, les usines répandaient leurs déchets dans l’atmosphère ou la mer » et que l’hygiène était déplorable. Qu’avant signifie aussi tuberculose, famines… Hiroshima.

Pop’Sciences Mag se prête au jeu de savoir comment les sciences appréhendent le monde qui vient.

Pour ce nouveau numéro, Pop’Sciences ne donne ni dans la mélancolie, ni dans l’euphorie insouciante du progrès scientifique absolu. Nous proposons un regard sur les avancées techniques, socio-économiques et sanitaires qui forgent le monde contemporain et préparent celui qui vient. Nous donnons à voir comment nos chercheurs contribuent à produire de nouvelles connaissances pour répondre aux défis climatiques ou encore démographiques du XXIe siècle. Ces enjeux qui nous imposent de repenser nos modes de production, de consommation et d’innovation.

Au plus près de la recherche scientifique, vous évaluerez l’intérêt et la portée des progrès en médecine d’augmentation. Vous analyserez également les courants sociologiques et économiques qui repensent la place du travail dans nos vies futures. Notre rédaction s’est aussi intéressée aux chercheurs qui tentent de définir un modèle agricole durable, répondant au défi de devoir nourrir 10 milliards de bouches d’ici 2100. Vous identifierez les conséquences à venir du changement climatique en cours, et enfin vous vous interrogerez : a-t-on raison de vouloir aller sur Mars ?

Ce magazine vous invite à prendre position ! Était-ce mieux vraiment avant, ou le meilleur est-il à venir ?

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