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De l’assiette à l’océan | Ciné-débat

DDe l’assiette à l’océan | Ciné-débat

Et si notre alimentation pouvait sauver l’océan ?

C’est la question à laquelle répond ce documentaire produit par l’association Blutopia qui veut encourager les citoyens à agir pour préserver l’océan depuis leur assiette.

Avec ce documentaire et différents outils pédagogiques, elle apporte des solutions concrètes pour allier plaisir de bien manger et préservation du vivant.

  • Projection du documentaire « De l’assiette à l’océan » : De Malaury Morin et Julien Gerbet, 2022, 1h30.
  • Débat : en présence du réalisateur Julien Challandes, co-fondateur de Blutopia et d’Axelle Durand, diététicienne comportementale.

Organisé par : Ciné Mourguet

En partenariat avec :  l’AGUPE

>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :

Agupe

Les Rencontres Montagnes et Sciences 2024 à Lyon

LLes Rencontres Montagnes et Sciences 2024 à Lyon

Les Rencontres Montagnes et Sciences, c’est le festival de films d’aventures scientifiques en montagne qui vous offre une bouffée d’air frais. Au programme : une sélection de films d’aventures scientifiques, choisis pour leur qualité visuelle, scientifique et récréative.

Après Grenoble, Valence ou encore Chambéry, la tournée régionale de Montagnes et Sciences continue, pour proposer au public lyonnais un rendez-vous unique combinant défi scientifique et aventure en montagne. Pour cette 10e édition, l’événement vous propose cinq films, qui vous mèneront des volcans islandais aux grottes de Chartreuse. Les projections seront suivie par des temps d’échanges avec des scientifiques locaux, des réalisateurs ou des spécialistes de certaines thématiques.

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Le processus de co-création artistique

LLe processus de co-création artistique

Créer de l’art à l’université n’est pas un acte anodin. La parole d’enseignants-chercheurs et d’artistes ouvrent quelques pistes de réflexion à ce sujet au travers du documentaire LE PROCESSUS DE CO-CRÉATION ARTISTIQUE réalisé par Vincent Noclin.

Accueillir un artiste à l’université est bien plus que la mise à disposition d’un lieu : il s’agit d’accompagner l’artiste avant, pendant et après sa résidence. Cet accompagnement redistribue les cartes du projet initial, de sa réalisation et in fine de la création artistique. De nombreuses parties prenantes internes et externes à l’institution accueillante interviennent dans la mise en place du projet : les services supports techniques (immobilier & logistique, informatique, audiovisuel & multimédias, édition, sécurité, évènementiel) mais aussi administratifs (juridiques, financier, etc), le service coordinateur (affaires culturelles  &  équipe d’étudiants médiateurs) et pour ce dernier, sa capacité à fédérer toutes ces énergies. Mais si le projet existe grâce au soutien politique et institutionnel, il ne saurait exister sans l’engagement individuel des femmes et des hommes ; ils sont le socle et les leviers indispensables. Ce sont elles et eux qui font le projet.

L’accueil d’un artiste à l’université se pense, s’organise, se réoriente et se co-construit. Ce que les regardeurs, de l’ objet final, matériel ou immatériel, n’a pas obligatoirement conscience et ne voit pas nécessairement. Accueillir l’artiste consiste donc à lui faciliter l’accès à des espaces, mais surtout à créer du lien, à mettre en relation et travailler avec des étudiants, des enseignants, des enseignants-chercheurs, à mobiliser les différentes forces vives de l’université : politique, pédagogique, juridique, technique, administrative… Cet accueil est donc protéiforme, multitâche, spécifique et exigeant.

En résidence à l’université Jean Moulin Lyon 3 durant l’année universitaire 2021-22, dans le cadre du partenariat de l’établissement à la Biennale Hors Normes – 9e édition, Catherine Ursin a investi le campus universitaire de la Manufacture des Tabacs et partagé son univers artistique, ses œuvres et performances aux étudiants, aux personnels et au grand public devenus spect(acteurs) des installations, performances et créations.

Durant un an et demi, Vincent Noclin s’est immergé dans l’univers de Catherine Ursin, afin de retranscrire à travers ce documentaire le processus de co-création artistique qui s’est construit durant cette résidence à l’Université Jean Moulin Lyon 3. De son atelier à Paris à la salle d’exposition de la Manufacture des Tabacs, ce film évoque les questionnements, doutes et engagements de l’artiste qui s’est lancée dans cette aventure mouvementée avec une grande bienveillance et générosité.

Le documentaire est accompagné d’un livret rédigé par le professeur Lawrence GASQUET, conçu et réalisé par Catherine URSIN qui invite à prolonger et élargir la réflexion à travers écrits, croquis, notes et photographies, CATHERINE URSIN, L’EMPRISE DES SENS :

 

« Sans relâche, Catherine Ursin questionne le vivant. Au-delà du bien et du mal, aux prises avec la matière, l’artiste plasticienne interroge ses sensations, ses intuitions et sa raison. Les corps qu’elle façonne sont des corps souffrants, désarticulés, fragmentés, désublimés ; à la fois singuliers et universels, ils semblent s’abîmer dans la douleur, avant qu’elle puisse les réparer, les suturer, et les faire revivre. Catherine Ursin sculpte, peint, pratique l’art vidéo et la performance, et donne à voir ce qu’il y a de plus secret en nous, ce qui nous habite, ce qui nous hante, ce que nous incorporons et ce qui paradoxalement nous incorpore. »

Lawrence GASQUET

Article rédigé par Vincent Noclin

>> Retrouvez le documentaire ici :

Dans les bois

DDans les bois

De la grotte des loups au nid d’une cigogne noire, de l’abri d’une famille de chouettes au terrier d’une minuscule souris : des images incroyables filmées au plus près des habitants d’une des dernières forêts primaires du nord de l’Europe.

Documentaire ‘hors-normes’ et multi récompensé, « Dans les bois » nous offre une immersion fascinante dans la vie sauvage…

Projection du film documentaire de Minaudas Survila (2017), suivie d’une discussion avec Francis Hallé, botaniste.

Plus d’informations sur le site du :

Musée des Confluences

Chauve-souris, mon amour

CChauve-souris, mon amour

Rendez-vous Cosmos Film & Rencontre

« Les sans grades du monde animal sont rarement sous les feux de la rampe, l’objectif de l’appareil photo ou de la caméra préfère ce qui est majestueux et spectaculaire. J’ai décidé de m’intéresser à ce qu’il y a à côté et autour de nous, à ce qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas et qu’on ne considère pas, à l’infra-animal. C’est comme cela que je suis tombée dans l’univers des chauve-souris, et de ceux qui les étudient et les protègent. » Pauline Horovitz

Une comédie documentaire, avec la participation des conservateurs du Muséum de Bourges, d’une éducatrice spécialiste des soins aux bébés chauves-souris, d’un bricoleur logeur de chauves-souris et d’un dentiste de Transylvanie…

Documentaire français, 2018, 52 min, couleurs, production : Squawk

La séance sera retransmise à la Maison de l’écologie, 4 Rue Bodin, Lyon 1er, même date, même heure. La diffusion du documentaire sera suivi d’un échange avec le public.

Intervenants :

  • Pauline Horovitz, diplômée de l’École nationale des chartes, de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, et ancienne pensionnaire de la Casa Velázquez à Madrid, a réalisé une vingtaine de films courts, et récemment le formidable Papa s’en va, portrait drolatique de son père (à découvrir actuellement sur la plateforme Tënk).
  • Samy Mezani, naturaliste à la SHNA-OFAB (Société d’Histoire naturelle d’Autun – Observatoire de la faune de Bourgogne), spécialisé en ornithologie, et passionné par les chauves-souris depuis plus de vingt ans. Il aime transmettre son regard et son amour pour les chiroptères auprès d’un public large et de tous âges.

Avec le soutien de : la Métropole de Lyon.

En partenariat avec : la SHNA-OFAB – Société d’Histoire naturelle d’Autun – Observatoire de la faune de Bourgogne.

 Pour en savoir plus, consultez le site de :

Cosmos – Culture & écologie

> Nous vous invitons à organiser une projection collective en retransmettant cette séance dans un lieu culturel, association, tiers-lieu… Nous vous invitons à nous contacter pour en parler si vous le souhaitez. 

 

Festival Interférences

FFestival Interférences

Cinéma documentaire & débat public

Le Festival Interférences, porté par l’association Scènes publiques, propose dans différents lieux culturels de Lyon de faire découvrir des films documentaires de création, portant des questions de science et de société, dans une dynamique de débats publics

La démarche de Scènes Publiques est de mettre en résonance la programmation documentaire avec l’actualité de la recherche. Ce croisement de domaines, de disciplines et d’acteurs favorise la multiplicité des points de vue, le croisement des regards portés sur l’image et invite chercheurs, cinéastes et citoyens à dialoguer autour des questions et enjeux abordés dans les différents films et séances.

La programmation du festival est construite autour de parcours thématiques, d’une compétition internationale de films documentaires, d’ateliers de lecture d’images. Nous défendons et partageons l’idée que le cinéma, par sa capacité à rendre compte de la réalité, est un réel vecteur de transmission des connaissances et un objet artistique à même de nous interroger sur notre relation au monde.

Consulter le programme :

Festival Interférences

Les ports perdus des Étrusques

LLes ports perdus des Étrusques

Antérieure aux Romains, la civilisation étrusque garde encore de nombreux secrets. Pour percer les mystères de cette thalassocratie, une équipe pluridisciplinaire composée d’archéologues, d’historien.nes, d’épigraphistes, de géographes et de géophysicien.nes a conduit des fouilles et des recherches autour des ports étrusques de Pyrgi (dans la région du Latium, en Italie). Elles visent à identifier leur localisation et à comprendre pourquoi ils ont disparu.

A la suite de la projection d’un reportage sur les recherches et fouilles menées sur ce site archéologique, une présentation du projet et de ses premiers résultats sera proposée au public.

Intervenants :

  • Jean-Philippe Goiran, géoarchéologue au CNRS, Archéorient (MOM)
  • Gilles Van Heems, maître de conférences en langue et littérature latines à l’Université Lumière Lyon2, HiSoMA (MOM)
  • Christophe Benech, archéologue et géophysicien au CNRS, Archéorient (MOM)

En savoir plus :

Ou sont les mystérieux ports étrusques ?

Quinoa, prenez-en de la graine ! | Festival AlimenTERRE

QQuinoa, prenez-en de la graine ! | Festival AlimenTERRE

©Wikimedia Commons

Depuis 20 ans, les consommateurs occidentaux découvrent les vertus nutritives du quinoa et la consommation de cette graine a littéralement explosé. Dans les grandes surfaces, aux cartes des restaurants, elle fait désormais partie du quotidien.

Aujourd’hui, une partie est toujours produite dans la cordillère des Andes, à près de 4 000 mètres d’altitude. Sa culture s’effectue dans la pure tradition andine, à la main et sans produit chimique, car c’est une plante ultrarésistante. Mais son succès a fait des envieux. Il y a 10 ans, le Pérou s’est lancé dans la course et les modes de production ont évolué…

Voir la bande annonce

De : Clémentine Mazoyer  Production : STP production
En partenariat avec : Artisans du monde Villeurbanne

Théâtre Astrée

 

 

 

Festival Interférences | Cinéma documentaire et débat public

FFestival Interférences | Cinéma documentaire et débat public

Il y a deux manières de percevoir et définir le handicap. La première comme un état diminué du corps conduisant à une infériorité. La seconde comme un empêchement, une situation subie en raison des obstacles entre l’individu et son environnement. Faire émerger cette deuxième approche permet de changer le regard social sur le handicap, participe à lever la double peine de ceux qui le vivent, et enrichit la vie relationnelle de tous. Un combat qui ne se fait pas au nom d’une minorité, mais autour d’un principe commun d’égalité.

LE FILM :

ANNE SARAH K

MATHIEU SIMONET
FRANCE | 2017 | 51 MINUTES
Portrait d’Anne-Sarah Kertudo, militante élégante et drôle de la cause des sourds. Anne-Sarah Kertudo est juriste et écrivaine. Malentendante,
elle a monté la première permanence juridique de France pour la communauté sourde. Aujourd’hui Anne-Sarah perd progressivement la
vue. Mathieu Simonet , son ami d’enfance, décide alors de la filmer et d’observer comment les obstacles physiques peuvent se métamorphoser en forces intimes, familiales et politiques.

INVITÉ :
MATHIEU SIMONET
Réalisateur

Audio-Description
Débat à l’issue du film traduit en LSF

Animé par Jean-Marc Grefferat

Le site du festival

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Organisé par l’association Scènes publiques

 

Festival Interférences | Cinéma documentaire et débat public

FFestival Interférences | Cinéma documentaire et débat public

Le Festival Interférences a pour objet la programmation de films et l’organisation de débats publics ouvrant à une délibération sur les enjeux sociétaux des sciences. Le cinéma d’auteurs et autrices de création, par sa proposition subjective et le rapport étroit qu’il entretient avec le réel, possède un fort pouvoir de questionnement. Il est un formidable levier pour produire une discussion publique autour des enjeux historiques et contemporains des sciences et pour tenter de redéfinir ce qui se joue entre les citoyens, les décideurs et les chercheurs. 

LES FILMS :

09H15

ZÉRO FIGURE

FRANÇOIS ZABALETA
FRANCE | 2018 | 38 MINUTES

Méditation sur le visage, la peau, l’apparence et ses mutations, transformations, malformations, détériorations et autres opérations chirurgicales, nécessaires ou non, qui en corrigent les aspérités de l’âge ou de la maladie. Mêlant histoires personnelles, faits divers, citations, digressions, l’auteur nous offre un collage cinématographique autour de la figure humaine et de son propre imaginaire.

10h

MA’OHI NUI, AU COEUR DE L’OCÉAN MON PAYS

ANNICK GHIJZELINGS
BELGIQUE | 2017 | 112 MINUTES
IOTA PRODUCTION

Tahiti, Polynésie française. Entre la piste de l’aéroport international et une petite colline de terre s’étend le quartier du Flamboyant. Là, on dit «quartier» pour ne pas dire «bidonville». Ces quartiers sont les lieux que l’histoire coloniale française et les trente années d’essais nucléaires ont rempli d’un peuple aliéné, fatigué. À l’image de la radioactivité qu’on ne peut ni sentir, ni voir, mais qui persiste pour des centaines de milliers d’années, la contamination des esprits s’est lentement et durablement installée. Aujourd’hui le peuple Ma’ohi est un peuple dominé qui a oublié sa langue, qui ignore son histoire et qui a perdu le lien à sa terre et son rapport au monde. Pourtant là, dans ce quartier de baraques colorées, quelque chose survit, quelque chose de ténu, d’enfui, de presque invisible, et qui résiste à la disparition.

14h

APNÉES STATIQUES INTERDITES

CÉLIA PENFORNIS
FRANCE | 2017 | 19 MINUTES
LES CHOSES DU KOLKHOZE

Dans le bassin d’une piscine, des corps en mouvement enchaînant les longueurs, des corps en apesanteur. Une voix raconte la fin de vie d’un homme, condamné par une maladie évolutive et incurable, baladé dans un système de santé inadapté. Cet homme était mon père, je nage et je me souviens.

14h30

RÊVER SOUS

LE CAPITALISME
SOPHIE BRUNEAU
BELGIQUE | 2017 | 33 MINUTES
ALTER EGO FILMS

Douze personnes racontent puis interprètent le souvenir d’un rêve de travail. Ces âmes que l’on malmène décrivent, de façon poétique et politique, leur souffrance subjective au travail. Peu à peu, les rêveurs et leurs rêves font le portrait d’un monde dominé par le capitalisme néolibéral.

15H30

L’ESPRIT DES LIEUX.
STÉPHANE MANCHEMATIN ET SERGE STEYER
FRANCE | 2018 | 91 MINUTES
Héritier d’une pratique paternelle, Marc consacre l’essentiel de son temps à sa passion : « Je vis au pays des sons ». Cette quête existentielle l’a conduit à s’enraciner à la lisière d’un massif forestier, dans les Vosges, et à y fonder famille. À la tombée du jour, il camoufle ses micros dans un sous-bois, déclenche la prise de son, puis s’éloigne jusqu’à se fondre dans la nature. Toute la nuit, le dispositif capte des ambiances sonores : souffles, cris, chants, grattements… Curieuse et intriguée par ses activités nocturnes, sa fille Lucie manifeste l’envie de l’accompagner. Elle est souvent la première auditrice des tableaux sonores que crée son papa. Son travail commence à faire parler de lui, dans les écoles, les milieux artistiques, la scène musicale…

INFOS PRATIQUES

Le site du festival

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ENTRÉE LIBRE

Organisé par l’association Scènes publiques