LLUMINA à bord de l’ISS Pour la toute première fois, un dosimètre à fibre optique va être envoyé au sein de la Station Spatiale Internationale. Ce projet, appelé LUMINA, est coordonné par Sylvain Girard, enseignant-chercheur de l’Université Jean Monnet, au laboratoire Hubert Curien (UJM/CNRS/IOGS) et responsable scientifique du LabH6 (UJM, CNRS et la société française de hautes technologies iXblue).<UNE TECHNOLOGIE DÉVELOPPÉE PAR DES CHERCHEURS DE L’UNIVERSITÉ JEAN MONNET SAINT-ÉTIENNE EMBARQUERA PROCHAINEMENT À BORD DE L’ISS !L’optimisation de la tenue aux radiations des fibres optiques fait partie des différents axes de recherche menés au sein du laboratoire Hubert Curien. La qualité des résultats obtenus a permis à ses chercheurs d’acquérir une reconnaissance au niveau européen et même mondial.C’est ainsi que le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales) a souhaité que le dosimètre à fibres optiques conçu par les chercheurs de l’UJM en étroite collaboration avec iXblue et le CERN, puisse intégrer la Station Spatiale Internationale (ISS) grâce au projet LUMINA. Cette opération se fera dans le cadre (si le calendrier ne bouge pas d’ici-là) de la mission ALPHA menée par le célèbre astronaute de l’Agence Spatiale Européenne, Thomas Pesquet.L’utilisation de la fibre optique permet de détecter de très faibles niveaux de radiation. En effet, les radiations créent des défauts dans la fibre qui affaiblissent sa capacité à propager la lumière. Petit à petit, la fibre s’opacifie et la puissance détectée en sortie de fibre diminue… Avec le dosimètre à fibres optiques, on peut corréler la perte de cette puissance lumineuse au niveau de radiation reçue par la fibre.LUMINAtest@CosimoCampanellaConcrètement, des données seront récoltées en temps réel pendant plusieurs mois. Thomas Pesquet, ou un autre astronaute, pourra se connecter en Bluetooth sur le dosimètre, récupérer les données et les renvoyer sur terre pour analyse.Le challenge de LUMINA est de pouvoir détecter des niveaux de radiation extrêmement faibles…Il faut savoir que le niveau de radiation, fort heureusement pour les astronautes, est plutôt bas au sein de l’ISS. C’est un niveau de radiation presque comparable à celui que l’on peut recevoir sur un vol Paris-New-York.Mais ce niveau peut fortement varier dans l’espace et en fonction des missions envisagées d’où l’importance du dosimètre à fibre optique. A terme, cette technologie pourrait être intégrée dans de futures missions spatiales et permettre de prévenir les astronautes de l’imminence d’une tempête solaire très fortement chargée en radiations et donc très dangereuse.La reconnaissance des travaux menés au sein du laboratoire Hubert Curien permettra l’application d’autres expériences à mener dans l’espace. Une belle réussite à suivre dans les mois à venir !
LLes mondes transneptuniens Pluton et Arrokoth dévoilés par la sonde spatiale ’New Horizons’ aux confins du système solaireL’exploration aux confins du système solaire de Pluton et ses 5 lunes le 14 juillet 2015, puis le 1er janvier 2019 du premier petit objet de la Ceinture de Kuiper « Arrokoth » (provisoirement nommé Ultima Thulé) a fait rentrer la sonde New Horizons dans la légende des grandes missions d’exploration comme les Pioneer et Voyager.Les images de Pluton que nous a dévoilées la sonde montrent un monde extraordinairement varié et actif malgré les très basses températures (-235°C) qui y règnent. Des glaciers issus d’une vaste étendue d’azote solide soumise à une convection active y côtoient des montagnes, des canyons et des cratères de « roche d’eau » et de glace de méthane, ainsi que de vastes zones sombres et rougeâtres recouvertes de matière organique. Ses satellites n’en sont pas moins inhabituels.Nous ferons ensemble un voyage à travers les âges et paysages de Pluton et de son cortège avant de partir survoler « Arrokoth » dont les observations apportent des éléments important pour la compréhension de la formation de ces objets et sur celle du système solaire.Intervenant : Bernard Schmitt, directeur de recherches à l’IPAG de Grenoble>> Suivre la conférence en ligne : Les mondes transneptuniensEn savoir plus :Société Astronomique de Lyon
LLes origines de l’Univers D’où venons-nous ? La connaissance des origines de l’Univers a connu ces dernières années des développements spectaculaires permettant de remonter le temps jusqu’au big-bang, il y a plus de 13 milliards d’années !Par Roland Bacon, astrophysicien et directeur de recherche au CNRS.Plus d’informations sur le site du : Musée des Confluences
AAstronomie, astrophysique et spatial | La chaîne Youtube du Planétarium Dans le cadre de la Space Academy @home : entraîne-toi comme un.e astronaute ! initiée par le Planétarium dès le 19 mars 2020 avec la participation de l’Agence spatiale européenne (ESA), du Centre national d’études spatiales (CNES) et de nombreux autres partenaires, le Planétarium a proposé un nouveau projet : Astronomer@home.Dans un contexte de confinement, le Planétarium donnait rendez-vous, à domicile, avec une personnalité scientifique : astronome, astrophysicien.ne ou astronaute, pour partager leur passion avec le public autour d’un thème.Revivez les moments de Astronomer@home – les vidéos sont accessibles via la chaîne Youtube du Planétarium :Astronomer@home
LLes astéroïdes Certains astéroïdes peuvent être considérés comme potentiellement dangereux à cause du risque de collision avec la Terre. Ces corps célestes sont régulièrement surveillés par des systèmes automatisés et des études sont menées sur les possibilités de les détourner en cas de menace affirmée.Cette conférence vous dévoilera les différents aspects des astéroïdes: menace, détection et contremesures, sans exclure les moyens spatiaux de déviation/destruction.Intervenant : François Sibille, astronome, enseignant à l’Université Claude Bernard Lyon 1Pour en savoir plus :Société astronomique de Lyon
VVeille anthropocène Chaque semaine, l’Ecole urbaine de Lyon propose une veille généraliste sur les mondes urbains anthropocènes.Celle-ci livre de nombreuses ressources utiles sur l’anthropocène et ses dimensions urbaines. Ce rendez-vous fait le point sur les articles, parutions, événements qui explorent les mondes urbains anthropocènes. De nombreux champs de réflexion et de création sont désormais investis par la question de l’anthropocène : urbain, planète, alimentation, économie, politique, énergie, numérique, idées, arts et culture, mode, et bien d’autres encore, sont les thèmes que vous pouvez explorer.Toutes les veilles hebdomadaires de l’Ecole urbaine de Lyon, depuis septembre 2019, sont consultables sur :Le blog Anthropocène 2050
LLes Mercredis de l’Anthropocène – Saison 2 Les Mercredis de l’Anthropocène, créés et mis en oeuvre par l’Ecole urbaine de Lyon, aux Halles du Faubourg, invitent à mieux comprendre le monde urbain anthropocène. Chercheurs et spécialistes de tous horizons, à partir de sujets précis, croisent leurs paroles, pointent des problématiques et mettent au jour des solutions.En partenariat avec Rue89Lyon, Lyon Capitale, Le Petit Bulletin et Lyon City Crunch.Les Mercredis de l’anthropocène sont accompagnés par la permanence de la Ruche Qui Dit Oui. Cette association crée un réseau de producteurs locaux, qui fixent eux-mêmes leurs prix, afin de favoriser le circuit court. Elle garantit la qualité des produits et accompagne une transition agricole qui tend vers une logistique réinventée, faisant rimer proximité et durabilité. Elle sera présente chaque mercredi aux Halles du Faubourg, de 18h à 19h30.S’inscrire à la Ruche qui dit OuiPROGRAMMATION DE LA SAISON 218 SEPTEMBREL’ESPACE AU CINÉMAS’il est incontestablement un art du temps, le cinéma est avant tout et fondamentalement un art de l’espace. Sans ce dernier, point d’image et, partant, point de film. Sans lui aussi, point de spectateur, car aller au cinéma n’est-ce pas d’abord prendre place dans l’espace, celui de la salle bien sûr, mais aussi, au-delà, au sein du dispositif prévu par l’institution cinématographique ?Intervenants :– André GARDIES : ancien professeur d’études cinématographiques et audiovisuelles à l’université Lumière Lyon2, spécialiste de sémio-narratologie, il a publié de très nombreux articles ainsi qu’une dizaine d’ouvrages. En mars 2019, il publie « L’espace au cinéma » aux éditions Klincksieck, préfacé par Alfonso Pinto et Bertrand Pleven.– Bertrand PLEVEN : professeur à l’IUFM de Paris université Paris-IV, il mène actuellement une thèse de géographie sur les territoires urbains dans le cinéma contemporain et les fictions audiovisuelles. Il est responsable de la rubrique cinéma des Cafés géographiques et de la revue Géographie et cultures.25 SEPTEMBRELES MATÉRIAUX BIOSOURCÉSLes engagements pris par les États lors de la COP21, pour endiguer les dérèglements climatiques, appellent une forte réduction de l’empreinte environnementale des bâtiments existants et futurs. Mettre en œuvre des matériaux à base de plantes à croissance rapide répond à cette exigence.Intervenants :– CHEN Haoru est architecte, fondateur de l’Atelier CHEN Haoru, professeur associé à la China Academy of Art de Hangzhou, et professeur invité à l’Université de Nankin. Il figure parmi les finalistes du FIBRA Award 2019.– Romain ANGER est ingénieur et docteur spécialiste des architectures de terre, directeur scientifique d’amàco, l’atelier matières à construire.2 OCTOBREESPACE ET PERCEPTION DU SACRÉComment l’anthropocène permet-il de repenser l’articulation entre perception de l’espace et construction du sacré ?Intervenants :– Benoît VERMANDER, sinologue et politologue, est professeur à l’université Fudan de Shanghai où il dirige le Centre de recherche Xu Guangqi-Matteo Ricci pour le dialogue. Il a longtemps dirigé l’institut Ricci de Taipei (Chine), dont il reste directeur de recherche.– Christophe BOUREUX, frère dominicain du Couvent de La Tourette. Docteur en théologie et en anthropologie religieuse, il enseigne la théologie systématique à l’Université Catholique de Lyon. Parallèlement, il travaille sur la gestion paysagère et forestière de La Tourette.9 OCTOBREPOUR UNE BIODIVERSITÉ CULTIVÉELe plus grand conservatoire de semences du monde est russe, et c’est à Charly près de Lyon que s’ouvre en 2019 sa première antenne à l’étranger. Son enjeu est de développer la biodiversité cultivée, afin de repérer les plantes résistantes à la sécheresse et aux maladies.– Stéphane CROZAT, ethnobotaniste et historien d’art des jardins, directeur scientifique du Centre de Ressources de Botanique Appliquée (CRBA). Il est à l’origine d’une méthodologie unique et transversale appliquée à la connaissance, la protection et les valorisations de la biodiversité végétale domestique locale.– Alain ALEXANIAN, chef lyonnais iconoclaste, qui depuis longtemps agit contre la malbouffe. Son credo : manger bio, consommer local sans forcément mettre la main au porte-monnaie. Il rédige en 2009 la charte de Développement Durable pour les cuisiniers avec le concours du WWF ; il publie en 2011 « L’art de bien manger bio : iFood » chez Utovie.16 OCTOBREL’IMPACT DES RESSOURCES NATURELLES SUR LE DÉVELOPPEMENTLes ressources naturelles sont, avec les populations et les territoires, un des trois enjeux principaux du pouvoir et constituent, à ce titre, une source importante de défis économiques. La relation entre ressources naturelles au sens large – biologiques, minérales et énergétiques, matières premières et produits agricoles – et développement, est un des grands paradoxes de la macro-économie du développement.– Jérémie CHOMETTE, directeur général de la Fondation Danièle Mitterrand – France Libertés. Avant cette fonction, il était chargé des programmes au Kurdistan ainsi que du partenariat entre la Fondation France Libertés et la Fédération d’éducation populaire Léo Lagrange.– Mathieu COUTTENIER, économiste, actuellement en poste à l’École Normale Supérieure de Lyon, il est nominé parmi les meilleurs jeunes économistes 2019. Ses recherches se situent à l’intersection entre l’économie et les sciences politiques, et elles intègrent les questions culturelles, institutionnelles et géographiques. Il se concentre sur les questions microéconomiques, en particulier dans le domaine de l’économie politique appliquée.23 OCTOBREUNE SECONDE VIE POUR LES OBJETS ET LES MATÉRIAUX USAGÉSLes crises économiques, les conséquences de la surexploitation des ressources naturelles, et l’émergence d’une conscience environnementale ont partout favorisé l’apparition de pratiques de récupération et de réutilisation d’objets et de matériaux usagés.Intervenants :– Joanne BOACHON, architecte, directrice-fondatrice de Minéka, matériaux de construction à (Ré)utiliser– Nathalie ORTAR est directrice de recherche à l’École Nationale des Travaux Publics de l’État, ses recherches portent sur habiter et mobilité / l’énergie / recyclage et récupération.13 NOVEMBREFORMES URBAINES ET BACTÉRIESQuels sont les liens entre les morphotypes urbains, industriels, péri-urbains et la persistance de certaines espèces bactériennes pathogènes ? Ou comment mieux comprendre l’écologie des bactéries pathogènes en ville, afin de définir des points-clés sur lesquels agir pour éviter la dissémination, l’exposition ou le développement de résistance par ces bactéries.Intervenants :– Benoît COURNOYER est directeur de recherche au sein du Laboratoire Écologie Microbienne – Université Claude Bernard Lyon 1 / VetAgro Sup. Ses recherches portent sur l’écologie et l’évolution des bactéries pathogènes opportunistes de l’homme.– Laurent MOULIN est directeur de recherche au Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains – École des Ponts Paris Tech / Université Paris-Est Créteil / AgroParis Tech. Ses recherches portent sur les risques sanitaires des eau de consommation.20 NOVEMBRECOMPRENDRE ET ÉVITER LES MENACES ENVIRONNEMENTALESLes bouleversements provoqués par les activités humaines pourraient faire sortir l’humanité des conditions favorables et relativement stables de l’Holocène. Des pistes s’offrent à nous pour limiter les processus à l’oeuvre.Intervenants :– Bruno CHARLES, Vice-président de la Métropole de Lyon – Développement durable, Biodiversité, Trame verte et Politique Agricole.– Natacha GONDRAN, ingénieure, enseignante et chercheuse au sein du laboratoire Environnement Ville Société / composante Mines Saint-Etienne. Co-auteur, avec Aurélien Boutaud, du rapport « Limites planétaires : comprendre (et éviter) les menaces environnementales de l’anthropocène ».27 NOVEMBREEXPÉRIENCE ESTHÉTIQUE ET IMAGINAIRE DE L’ANTHROPOCÈNEL’entrée dans l’anthropocène donne naissance à de nouveaux imaginaires sociaux, de nouvelles formes de création, de nouvelles esthétiques, à d’autres façons de raconter des histoires du Monde et de la mondialisation, de la planète et de son avenir, des individus et de leurs désirs et volontés.Animateur : Alfonso PINTO– Elise DOMENACH, philosophe, est maîtresse de conférences en études cinématographiques à l’Ecole normale supérieure de Lyon. Critique de cinéma (membre du comité de rédaction des revues Positif et Esprit), elle a édité et traduit plusieurs ouvrages, notamment « Stanley Cavell, le cinéma et le scepticisme » (PUF, 2011).– Matteo MESCHIARI, professeur associé à l’Université de Palerme depuis 2015, où il enseigne la géographie et l’anthropologie de la communication. Ancien chercheur en patrimoine démo-ethno-anthropologique, il a enseigné l’anthropologie culturelle et l’anthropologie du paysage. Il a également enseigné en France dans les universités de Lyon, Avignon et Lille.4 DÉCEMBRELA LUMIÈRE À L’HEURE ANTHROPOCÈNELa lumière, naturelle et artificielle, est indispensable à l’humanité. Elle est tout autant objet de recherche que de rêverie. La bioluminescence, c’est-à-dire l’émission de lumière par des organismes vivants, est-elle une piste d’avenir ? Et comment les artistes s’en saisissent-ils à l’heure de la ludification généralisée des villes ?Intervenants :– David AMANS est physicien, enseignant-chercheur au laboratoire l’Institut Lumière Matière, en co-tutelle CNRS et Université Claude Bernard Lyon 1.– Anna-Eva BERGE : artiste plasticienne, dissimulée derrière l’acronyme A.I.L.O (Atelier d’Immersion Lumineuse et Obscure), expérimente les processus d’interaction entre lumière et obscurité, palpable et impalpable, réalité et reflet, pour créer des volumes, des installations ou des sculptures.11 DÉCEMBREVERS UNE PROSPECTIVE ANTHROPOCÈNEAfin de relever les enjeux du monde urbain anthropocène, quels sont les dispositifs de réflexion prospective et stratégique que l’État et les collectivités puissent mettre en oeuvre ?Intervenants :– Stéphane CORDOBES : chercheur et enseignant en prospective territoriale et urbaine, il est conseiller « recherche et prospective » au Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET). Il interroge, en particulier, l’expérience prospective et la façon dont cette pratique pourrait contribuer à relever les enjeux du monde urbain anthropocène.– Christophe VANDEPOORTAELE, est Directeur Général Adjoint des services du Grand Annecy (démarche en cours : « Imagine le Grand Annecy en 2050 »).18 DÉCEMBRETEMPS GÉOLOGIQUE ET TEMPS HISTORIQUELes différentes évolutions dépendent de la durée de la période considérée. Différentes échelles de temps sont étudiées : le siècle, le millénaire, le million d’années etc. Par exemple, comment les variations climatiques s’apprécient-elles à ces différentes échelles ? Quelles en sont les causes et les conséquences ?Intervenants :– Pierre CORNU est historien, professeur d’histoire contemporaine à l’Université Lumière Lyon 2 et membre du Laboratoire d’Etudes Rurales. Ses recherches développent une approche historique de la question de la domestication du vivant et de son effet retour sur l’ordre social, politique et symbolique.– Pierre THOMAS est géologue, professeur à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon. Son laboratoire de référence est le Laboratoire de Géologie de Lyon : Terre, Planète, Environnement. Outre la planétologie, il enseigne aussi l’histoire de la Terre et des climats, l’origine de la vie… Son implication dans la diffusion des connaissances auprès du grand public et dans la formation initiale et continue des enseignants de lycée est reconnue.
FFestival » L’exploration spatiale, défi d’hier et de demain » | #FDS2019 🚩 Le Planétarium de Vaulx-en-Velin ouvre ses portes pour un festival scientifique exclusivement consacré à l’astronomie et à l’exploration spatiale !👉 Séances de projection, labos et visite libre des expositions Il y a 50 ans, le premier Homme foulait le sol d’un autre monde et ouvrait la voie à l’exploration d’autres corps du Système solaire. Venez assister au passé et au futur de l’astronomie en visitant le Planétarium lors d’un festival qui vous verra voyager loin !PProgrammationTout public : samedi 12 octobre et dimanche 13 octobre de 10h30 à 18h| Public visé : à partir de 4 ansScolaires : jeudi 10 octobre et vendredi 11 octobre de 9h à 16h| Public visé : primaires, collégiens, lycéens | Inscription obligatoire——————————————————————————————————————————————————————————————ANIMATIONS TOUT PUBLIC ET SCOLAIRES – Participer à un concours intergalactique de création de fusée pour devenir l’astronaute vedette du Planétarium !– Revivez les temps forts de l’exploration spatiale et les rêves qui les ont nourris.– Glissez-vous dans la peau d’un ingénieur et essayer de faire décoller votre propre fusée à eau.– Découvrez le Big Bang et ses théories, ainsi que les objets célestes peuplant le cosmos.– Venez visualiser la trajectoire et entendre les particules cosmiques qui traversent constamment notre planète… et bien plus encore ! Séances de projection : Samedi 12 octobre – 11h à 12h | L’intrépide Petite Taupe | De 4-7 ansPlaton la petite taupe va-t-elle oser sortir de son refuge pour explorer les milles et une merveilles qu’elle aperçoit à l’extérieur ? Le Soleil, le ciel nocturne et les astres scintillants n’attendent plus qu’elle…—Samedi 12 octobre – 17h à 18h | Trous noirs | À partir de 14 ansQue se passerait-il si vous vous approchiez d’un trou noir ? Le temps s’arrêterait-il ? Pour le savoir, initiez-vous à la physique des trous noirs, véritables puits de l’espace-temps et énigmes pour la science…—Samedi 12 octobre et Dimanche 13 octobre – 14h à 16h30 | Objectif : Lune | À partir de 8 ansQue savons-nous réellement sur le satellite naturel de la Terre ? Profitez d’une immersion unique dans les paysages lunaires et un retour en images sur les missions Apollo pour un dépaysement assuré !—Dimanche 13 octobre – 11h à 12h | Vacances sur Altaïr | De 4 à 7 ansLum la luciole et Bog décide d’entreprendre un voyage à bord d’un vaisseau spatial pour partir à la découverte de ces drôles de lumières qui brille dans le ciel.—Dimanche 13 octobre – 17h à 18h | Explorer l’Univers | À partir de 14 ansL’astronome d’aujourd’hui collabore avec des équipes internationales, et utilise des outils d’observation de haute technologie… Plongez dans un voyage au cœur de la recherche, pour en connaître les passionnants enjeux. ——————————————————————————————————————————————————————————————ANIMATIONS PROPOSÉES AUX SCOLAIREPendant 2 jours, le Planétarium de Vaulx-en-Velin ouvre ses portes gratuitement aux groupes scolaires de la Ville de Vaulx-en-Velin et des environs en proposant une séance de Planétarium et une visite libre des expositions. ————————————————————————————————————————————————————————————— CONSULTEZ LE PROGRAMME COMPLET SURLA MÉTROPOLE DE LYON ET LE DÉPARTEMENT DU RHÔNESur la Métropole de Lyon et le Rhône, la Direction Culture, Sciences et Société de l’Université de Lyon coordonne la Fête de la Science.
VVillage des Sciences des Monts du Lyonnais | #FDS2019 🚩 Le Club d’Astronomie des Monts du Lyonnais vous proposeun Village des Sciences dédié à l’espace et au numérique ! 👉 Découvrir et comprendre l’Univers en famille Sur 3 journées, venez discuter avec des passionnés et revivre les avancées astronomiques des 50 dernières années ! Ateliers, jeux et expositions vous exposeront tous les secrets du cosmos !PProgrammationTout public : jeudi 10 octobre à samedi 12 octobre de 9h à 12h et de 13h30 à 18h | Public visé : à partir de 6 ansScolaires : jeudi 10 octobre et vendredi 11 octobre de 9h à 12h et de 13h30 à 18h| Public visé : primaires, collégiens, lycéens | Inscription obligatoire————————————————————————————————————————————————————-ANIMATIONS TOUT PUBLIC ET SCOLAIRES Vendredi 11 octobre de 16h à 21h | (Maison de Pays) | AtelierScience et numérique | À partir de 8 ans Tests et expérimentations numériques vous feront découvrir la robotisation, la réalité augmentée et les objets connectés de votre quotidien de manière ludique et en famille ! Jeudi 10 octobre à samedi 12 octobre | (Salle des Arcades) | Atelier Pourquoi les satellites tombent sur la Terre ? | À partir de 6 ansÀ la manière de Newton, venez découvrir l’attraction gravitationnelle, la microgravité et l’importance de l’atmosphère terrestre sur notre planète !—| Atelier Observation du Soleil | À partir de 6 ansVenez observer la surface du soleil, ses protubérances et ses tâches solaires à l’aide de différents instruments comme le Coronographe ou la lunette Lunt !—| JeuTableau Périodique des Éléments de Mendeleïev | À partir de 6 ansPour fêter la création du tableau périodique, venez participer à une animation autour des atomes et éléments et parcourez 150 années de découverte chimique.—| Jeu Découverte de notre système solaire | À partir de 6 ansVenez vous rendre compte des distances et des tailles de notre système solaire au cours un jeu de parcours à travers le village de Saint-Martin-en-Haut.—| Atelier Exposition sur l’exploration spatiale | À partir de 6 ansVenez découvrir des maquettes de matériels d’explorations spatiales historiques ! Admirez Sputnik le premier satellite mis en orbite ou le radiotéléscope ALMA !—| Atelier Visualiser la Gravité | À partir de 6 ansEntrez dans un simulateur d’espace-temps pour assister à l’impact de la gravitation dans la création d’une étoile, d’un système planétaire… Le cosmos n’aura plus aucun secret pour vous !—| Atelier Découverte du transit des planètes | À partir de 6 ansÀ l’occasion du transit de la planète Mercure devant le Soleil le 11 novembre prochain, venez comprendre la complexité de cet évènement astronomique.—| Jeu Se peser dans le système solaire | À partir de 6 ansVenez découvrir votre poids en 3 lieux du système solaire. De la Terre à Mars en passant par la Lune, vous risquez de perdre quelques kilos !—| Exposition Exposition astrophotographique | À partir de 6 ansVenez vous émerveiller devant la beauté de l’espace à travers cette exposition de photos réalisée par le Club d’Astronomie des Monts du Lyonnais. Samedi 12 octobre | (Salle des Arcades) | Atelier Simulateur alunissage – 50 ans après Apollo 11 | À partir de 6 ans À l’aide d’un simulateur, venez revivre la descente vers la Lune de la mission Apollo 11 : De quoi dire « C’est un petit pas pour l’Homme mais un grand pas pour l’Humanité ». ————————————————————————————————————————————————————————————— CONSULTEZ LE PROGRAMME COMPLET SURLA MÉTROPOLE DE LYON ET LE DÉPARTEMENT DU RHÔNE Sur la Métropole de Lyon et le Rhône, la Direction Culture, Sciences et Société de l’Université de Lyon coordonne la Fête de la Science.
LL’homme, une espèce à part Film documentaire de Clément Morin et Franck Courchamp, 2019, 30 minDe l’infiniment grand à l’infiniment petit, Franck Courchamp observe l’humanité à la loupe et replace l’Homme dans un univers dont il n’a jamais été le centre. Il questionne notre rapport à la nature, notre impact sur les écosystèmes et nous invite à contempler l’univers de l’extérieur de notre nombril !Projection suivie d’un entretien avec Franck Courchamp, écologue – directeur de recherche au CNRSAnimé par Anne-Cécile Bras, journaliste (RFI)Plus d’informations sur le site du : Musée des Confluences