JJournée Élisée Reclus : rencontre lecture à la librairie des PUL Les Presses universitaires de Lyon (PUL) pour une journée exceptionnelle autour de l’ouvrage Les Histoires d’Élisée Reclus en présence de son auteur, Benoît Bodlet !> Programme : 12h30 – 13h30 | Rencontre-lecture à la librairie des PULLors d’une rencontre modérée par Emmanuel Taïeb, professeur de science politique à Sciences Po Lyon, Benoît Bodlet entrera en dialogue avec des lectures d’extraits de son texte lus par Isabelle Paquet (Compagnie Chiloé) et les étudiantes de l’atelier « De la lecture au jeu théâtral » proposé par le service culturel de l’Université.19h | Café géo au PériscopeDurant ce Café Géo intitulé « Géographie et pensée anarchiste : entre science et émancipation », Benoît Bodlet échangera avec Thomas Zanetti, maître de conférence en géographie urbaine, lors d’une discussion modérée par Hélène Chauveau. Ils exploreront les liens entre géographie, pensée anarchiste et engagement, à travers l’héritage intellectuel d’Élisée Reclus, sa pratique de divulgation scientifique et les perspectives contemporaines qu’il inspire. La soirée se conclura sur un temps d’échange avec le public.(Gratuit sous réserve d’une consommation) >> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :Lyon 2
GGéographie et pensée anarchiste: entre science et émancipation ©PULLa Géothèque débute l’année 2025 sur une touche politique, puisque le prochain café géo sera autour du thème « Géographie et pensée anarchiste, entre science et émancipation » à l’occasion de la sortie de l’ouvrage Les histoires d’Elisée Reclus, divulgation scientifique et émancipation, nouvel opus de la collection Espaces critiques aux Presses universitaires de Lyon.Ce café géo sera l’occasion d’un moment d’échange entre :Benoit Bodlet, auteur de l’ouvrageThomas Zanetti, maître de conférences en géographie urbaine (Lyon 3).Il explorera les liens entre géographie, pensée anarchiste et engagement, à travers l’héritage intellectuel d’Élisée Reclus, sa pratique de divulgation scientifique et les perspectives contemporaines qu’ils inspirent. Une occasion unique de discuter de l’articulation entre savoirs scientifiques et projets d’émancipation dans les pratiques géographiques, d’interroger les liens entre élaboration de savoirs spatiaux et perspectives politiques. La soirée se conclura sur un temps d’échange avec le public.Ne manquez pas une première rencontre avec Benoît Bodlet à la librairie des Presses Universitaires de Lyon, le même jour à 12h30.>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site Périscope
«« Teaching Maps » : sur les traces de la cartographie L’approche cartographique a accompagné les mutations de l’enseignement de la géographie depuis le XIXe siècle. Toujours présente, sa place s’est peu à peu affirmée au sein de l’Université de Lyon.C’est par le biais des productions et collections cartographiques des différents géographes et cartographes qui se sont succédé au sein des différentes universités de Lyon que nous vous proposons de suivre 150 ans d’analyses géographiques, parfois locales, parfois lointaines élaborées sur place.L’exposition « Teaching Maps : sur les traces de la cartographie à l’Université de Lyon » à la Bibliothèque Universitaire de la Manufacture des Tabacs est organisée en résonance avec le colloque « Conférence internationale sur l’histoire de la cartographie » mis en place par l’ICHC. Elle retracera l’évolution de l’enseignement de la cartographie et permettra de découvrir de nombreuses cartes, ainsi que des objets spécifiques de cette discipline.>> Découvrez l’exposition.>> Découvrez le colloque international organisé par l’ICHC.Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Univ. Jean Moulin Lyon 3
«« Teaching Maps » : les cartes postales anciennes de Lyon Pendant l’exposition « Teaching Maps : sur les traces de la cartographie », nous vous donnons rendez-vous le 20 juin pour la masterclass « Les cartes postales anciennes de Lyon (fin XIXe – milieu XXe siècle) ».Les cartes postales sont des documents encore peu étudiés, alors qu’elles constituent l’une des premières couvertures d’ensemble du territoire français à la fin du XIXe siècle. Depuis 2019, un projet d’indexation et de spatialisation des cartes postales anciennes de Lyon est mené dans le cadre d’un partenariat entre le musée d’histoire de Lyon (Gadagne) et le département Géographie & Territoires de l’Université Jean Moulin Lyon 3. Plusieurs étudiants de licence 3 Géographie-aménagement et histoire ont participé à ce projet, à travers des stages au musée.Cette masterclass à plusieurs voix est l’occasion de présenter le contexte du projet, ses objectifs, sa méthodologie (constitution d’une base de données, spatialisation dans un système d’information géographique, rephotographie sur le terrain) et ses résultats en termes de valorisation (carte interactive, open data). Animée par : Enali de Biaggi, Université Jean Moulin Lyon 3, Michaël Douvégheant, Musée Gadagne et Damien Petermann, Université Jean Moulin Lyon 3.>> Plus d’information sur le site :Univ. Jean Moulin Lyon 3
CChemins de papier, cartes et images du voyage en France et ailleurs, XIXe-XXIe siècle | Exposition Cartes et itinéraires de voyages s’exposent à la Bibliothèque Diderot de Lyon : suivez le guide !À partir du XVIIIe et surtout au cours du XIXe siècle, les mobilités individuelles connaissent un développement considérable en Europe, caractérisé par la place croissante du tourisme. Ces pratiques viatiques s’accompagnent d’une production imprimée renouvelée, œuvre d’acteurs variés, aux objectifs complémentaires. Les cartes et les guides en particulier, instruments indissociables du voyage et de sa représentation, connaissent de nombreuses évolutions, reflets des techniques et des cultures de leur temps.L’exposition articule objets, documents d’archives, relations de voyage et publications commerciales en une mise en scène chronologico-thématique. Celle-ci permet d’illustrer l’évolution des pratiques et des représentations associées aux mobilités depuis le début du XIXe siècle jusqu’au XXIe.>> Les visites commentées:23 mai lors de la soirée-conférence » Parlez-nous de… cartes et de voyages » : 17h30-19h3011 juin : 12h-13h>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :Bibliothèque DIDEROT
22CV, Trolleybus, Vélo, Concorde : entre passé et présent, les mobilités en France Cette intervention évoque, à partir des enjeux contemporains liés aux transports et aux mobilités (véhicule connecté et autonome, hyperloop, Zone à faible émission, RER métropolitain) le poids de l’histoire. Revenir aux débuts du XIXe siècle permet d’évoquer des débats encore présents aujourd’hui, d’avoir une discussion apaisée et relativement dépolitisée sur les modes de transport. Il sera donc question de mobilités touristiques, de valorisation patrimoniale, des défis liés à la mobilité dans les espaces urbains denses et dans les espaces périphériques peu denses. Animée par : Étienne Faugier est maître de conférences en histoire, au département tourisme, à l’Université Lyon 2. Il est l’un des trois coordinateurs de cet ouvrage collectif (Claire Pelgrims, Louis Baldasseroni). Il est spécialiste d’histoire des transports et des mobilités. Président de l’association passé-présent-mobilité (P2M), il coordonne avec d’autres des séminaires relatifs aux enjeux passés et contemporains des transports et des mobilités. Damien Petermann est docteur en Géographie-Aménagement et actuellement ingénieur d’études au sein du département d’appui à la recherche des BU Lyon 3. Ses principales recherches portent sur les représentations de Lyon aux époques moderne et contemporaine (iconographie, cartographie, guides de voyage), avec une approche croisant géographie, histoire, patrimoine et numérique. Il a soutenu sa thèse en avril 2022, sur l’image de Lyon dans les guides de voyage aux XIXe et XXe siècles, sous la direction de Bernard Gauthiez.Pour en savoir plus : https://bit.ly/ConfFaugierPetermann
DDes tableaux pour comprendre les transformations du littoral français ? Connaître les transformations intervenues sur les littoraux au cours des derniers siècles est essentiel pour mieux aménager ces espaces particulièrement touchés par l’urbanisation et les changements environnementaux. Mais comment étudier ces évolutions sans savoir à quoi ressemblaient les rivages il y a plusieurs siècles, à l’époque où les instruments scientifiques capables de fournir des données précises n’étaient pas aussi perfectionnés qu’aujourd’hui ? Des géographes ont eu une idée originale : utiliser les peintures de paysages maritimes pour découvrir et expliquer l’évolution des zones côtières de Bretagne et de Normandie, qui ont subi ces dernières années des mutations très rapides. Oui, les peintres peuvent nous aider à retracer l’histoire du littoral breton !>> À lire dans son intégralité sur le site :PAPIER-MÂCHÉ
EEt maintenant, que faire ? Les possibles anthropocènes. Une soirée de clôture du festival « A l’Ecole de l’Anthropocène » (janvier 2023), préparée par l’Ecole urbaine de Lyon, en partenariat avec le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB).>> Avec la participation de :Michel LUSSAULT, géographe et directeur de l’École Urbaine de LyonMaría MEDEM, artisteJudit CARRERA, directrice du Centre de Culture Contemporaine de BarceloneDavid BRAVO, architecteAmaena GUÉNIOT, philosopheJordi COSTA, responsable des expositions du Centre de Culture Contemporaine de BarceloneAnimé par Valérie DISDIER, directrice adjointe de l’École urbaine de Lyon.>> Regarder la vidéo de la soirée :©photo : María MEDEM>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :lyon
LLa Terre comme horizon : 50 ans après Blue Marble Blue Marble est l’une des photographies les plus répandues dans le monde. La mise en perspective directe de la Terre dans l’espace continue de nous générer cet « effet de surplomb » décrit par Frank White dans The Overview Effect — Space Exploration and Human Evolution (1987).Ce « point bleu pâle suspendu dans le vide » nous rappelle la finitude planétaire : une image choc qui a bouleversé notre rapport au monde.À l’occasion du 50ème anniversaire de Blue Marble, la soirée multiplie les regards autour de cette icône. Des intervenant·e·s de différents horizons expliquent le rapport qu’ils entretiennent avec elle.Dans le cadre de l’événement « A l’Ecole de l’Anthropocène », organisée en janvier 2023 par l’Ecole urbaine de Lyon.>>Avec la participation :Christoph WIESNER, directeur des Rencontres d’ArlesMichel LUSSAULT, géographe et directeur de l’École Urbaine de LyonJindra KRATOCHVIL, artiste vidéasteGilles RABIN, conseiller spatial à l’Ambassade de France à BerlinIsabelle SOURBÈS-VERGER, géographeSimone FEHLINGER, designer graphiqueAnimé par Valérie DISDIER, directrice adjointe de l’École urbaine de Lyon. >> Regarder la vidéo de la soirée :©Photo : Mélania Avanzato.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :lyon
PPorter attention aux co-habitations anthropocènes : propositions pour une théorie politique du Care spatial | Cours public 2023 Que pourraient/devraient être les politiques de l’Anthropocène et l’éthique de l’habitation afférente ? Ce cours du géographe Michel Lussault – ENS de Lyon – clôture une série engagée en 2019, avec la volonté de donner de la consistance à l’hypothèse qui fut fondatrice de la mise en place du programme de travail de l’École urbaine de Lyon : le changement global et l’urbanisation planétaire constituent deux processus systémiques appariés et l’Anthropocène est le nom de la mise en lien de ces deux englobements.Nous avons ainsi à la fois examiné de grandes évolutions planétaires (saison 1 et 2) puis focalisé l’attention sur des aspects plus précis, le métabolisme (saison 3, cours public 2021), la question de l’air (saison 4, cours public 2022). Mais toujours avec la volonté de prendre au sérieux l’idée de l’Anthropocène comme moment urbain contemporain de l’anthropisation de la terre.Cette année, il paraît logique, en guise de conclusion ouverte, de se demander ce que pourraient/devraient être les politiques de l’Anthropocène et l’éthique de l’habitation afférente. Pour aborder ce problème délicat, on assumera un parti pris : considérer qu’il importe, en premier lieu, de changer totalement notre manière de regarder les phénomènes urbains et leurs devenirs, en développant un « care » géographique qui consisterait rien de moins à réviser totalement tant les cadres d’analyse des espaces de vie des humains en société, que les instruments et les procédures classiques des actions territoriales.>> Intervenant : Michel Lussault est géographe, professeur à l’Université de Lyon (ENS de Lyon), membre du laboratoire de recherche Environnement, villes, sociétés (UMR 5600 CNRS/Université de Lyon) et du LabEx IMU (Laboratoire d’excellence Intelligence des mondes urbains) de l’Université de Lyon. Dans son travail, il analyse les modalités de l’habitation humaine des espaces terrestres, à toutes les échelles et en se fondant sur l’idée que l’urbain mondialisé anthropocène constitue le nouvel habitat de référence pour chacun et pour tous. Afin de pouvoir amplifier de telles recherches qui exigent une véritable interdisciplinarité, il a créé en 2017 l’École urbaine de l’Université de Lyon. Expert reconnu du champ des études urbaines et urbanistiques, il est l’auteur, depuis 1990, de plus de 110 articles scientifiques et de nombreux ouvrages comme Hyper-lieux. Les nouvelles géographies de la mondialisation (Collection la Couleur des idées, Le Seuil, 2017) et Chroniques de géo’virale (Éditions 205, 2020). Plus récemment, il a contribué à l’ouvrage Néolithique Anthropocène. Dialogue autour des 12 000 dernières années (Éditions 205, 2021). Il co-dirige la collection À partir de l’Anthropocène aux Éditions 205.>> Vidéo de la 1re séance :>> Vidéo de la 2e séance :>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la chaine YouTube :Cité anthropocène