OOrganoïdes et poissons, modèles d’une maladie rare À mi-chemin entre les modèles in vivo et in vitro, les « organoïdes » sont des modèles cellulaires ex vivo en trois dimensions qui dérivent de cellules souches (cellules indifférenciées). Ils peuvent être considérés comme de « mini-organes » ayant une architecture voire même une fonctionnalité représentative du vivant.En combinant cette approche des organoïdes cérébraux à celle du modèle poisson-zèbre, des scientifiques du Centre de recherche en neurosciences de Lyon visent à comprendre les origines d’une maladie génétique rare, le syndrome de Taybi-Linder qui se caractérise par une forme de nanisme associée à des anomalies cérébrales et squelettiques.>> Visionner le diaporama en ligne :CNRS LE JOURNALDécouvrez le reportage photos complet « Organoïdes et poissons, modèles d’une maladie rare » sur la médiathèque du CNRS.
LLe poisson zèbre : modèle clé pour l’étude des maladies musculaires La myopathie de Bethlem est une maladie génétique rare affectant les muscles et causant une faiblesse musculaire progressive. Pour mieux comprendre cette maladie, des équipes de recherche lyonnaises utilisent le poisson zèbre comme modèle animal.Ces travaux ont été réalisés par des membres du Laboratoire Pathophysiologie et génétique du neurone et du muscle (PNMG, unité CNRS | Inserm | Université Claude Bernard Lyon 1) et de l’Institut de génomique fonctionnelle de Lyon (IGFL, unité CNRS | ENS de Lyon)>> Visionner la vidéo en ligne sur le blog :focus sciences
RRegards d’artistes sur la fibromyalgie Enfermée dans un corps de douleurs, Virginie Zakarian Clavé a demandé à plusieurs artistes de l’aider à rendre visible l’invisible de la maladie dont elle est atteinte, la fibromyalgie.Exposition de photographies à découvrir à la BU Santé Rockefeller.Site de la BU Sciences