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Le patrimoine hospitalier des HCL

LLe patrimoine hospitalier des HCL

Médecine, architecture, sciences, arts… Depuis des siècles, l’hôpital apporte des soins à toutes et à tous, et contribue à façonner la ville et son paysage comme à développer les sciences.

Dans le cadre du projet Réinventer la Chapelle, les Hospices civils de Lyon proposent de plonger dans huit siècles d’histoire dans et autour du Grand Hôtel-Dieu à travers des visites commentées. Menées par des guides conférencières professionnelles, elles s’appuient notamment sur les collections du Musée des HCL.

>> Les visites :

  • Mardi 29 octobre à 18h30 : Le Grand Hôtel-Dieu, haut-lieu de l’innovation médicale

©DR

Le Grand Hôtel-Dieu, principal hôpital de Lyon à partir de la Renaissance, a été un modèle hospitalier diffusé dans toute l’Europe et le théâtre de nombreuses innovations médicales à travers les siècles.
Parcourez son histoire médicale faite de recherches et de créativité, et rencontrez les acteurs d’un projet humaniste au service des plus pauvres puis de la santé de tous.

Durée : 1 heure / Tarifs : adulte 9,00 € – Moins de 26 ans, personnel HCL, RSA (justificatif de -6 mois) : 6,00 €. / RDV :  Place de l’Hôpital, sur le parvis de la Chapelle – Lyon 2   >> Sur réservation

 

  • Samedis 2 et 7 novembre à 10h : Le Grand Hôtel-Dieu et la Chapelle, entre arts et médecine

©DR

Le Grand Corps, les Quatre-Rangs, la façade et le grand dôme de Soufflot, le dôme de Pascalon… Du XVe au XIXe siècle, le Grand Hôtel-Dieu s’est développé à travers des architectures marquantes de l’histoire des soins et du paysage lyonnais.

Dès le XVe siècle, le principal hôpital de Lyon fait partie d’une politique d’embellissement de la ville, et des nouveaux repères du pouvoir laïc émergent avec l’Hôtel de Ville, la loge du Change et l’hôpital de la Charité.
Reconnu dans l’Europe entière pour son organisation remarquable, le Grand Hôtel-Dieu a été témoin de l’évolution hospitalière et des innovations médicales, chirurgicales et pharmaceutiques, depuis la Renaissance.

La Chapelle de l’Hôtel-Dieu, construite au VIIe siècle avec l’hôpital des Quatre-Rangs, restaurée au XIXe siècle et lieu de baptême pour de nombreux enfants nés à l’Hôtel-Dieu, est progressivement tombée dans l’oubli. Depuis le début de sa restauration, entreprise en 2012 par les Hospices civils de Lyon, on redécouvre son architecture baroque, la richesse de ses tableaux et de ses sculptures, et l’intérêt du décor peint en trompe-l’œil qui recouvre l’intégralité de ses murs et de ses voûtes.

Dans le Grand Hôtel-Dieu, « le corps peut guérir grâce aux soins prodigués et à la beauté de l’environnement ; l’âme du patient est enveloppée par une paix intérieure et spirituelle ; l’esprit s’ouvre à la recherche scientifique et à l’innovation architecturale » (Didier Repellin).

Durée : 2 heures / Tarifs : adulte : 15,00 € – Moins de 26 ans, personnel HCL, RSA (justificatif de -6 mois) : 10,00 €.   >> Sur réservation

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la page : 

HCL – Le Musée

Parlez-nous de… l’histoire de la douleur

PParlez-nous de… l’histoire de la douleur

Que sait-on de l’expérience de la douleur dans le passé ? Comment les historiens peuvent-ils l’approcher ?

Autour du webdoc Le médecin face à la douleur, 16e-18e siècles et du livre Le fer ou le feu. Penser la douleur après Descartes (Classiques Garnier, coll. « Les Anciens et les Modernes – Études de philosophie », 2024), la discussion partira de deux enquêtes réalisées dans le cadre du projet Une archéologie de la douleur, qui portait sur un ensemble de textes philosophiques, médicaux et littéraires, publiés entre 1500 et 1750 environ.

Résultat d’une vaste étude collective coordonnée par Raphaële Andrault et Ariane Bayle, le webdoc porte sur l’attitude des médecins face à la douleur aux 16e-18e siècles, dans un dialogue avec la neurologie contemporaine. La deuxième enquête, conduite par Raphaële Andrault, examine les débats philosophiques sur la nature et la fonction de la douleur après Descartes, et ce qu’elle nous apprend du rapport entre le corps et l’esprit.

Intervenantes :

  • Raphaële Andrault, chargée de recherche en philosophie et histoire des science, Institut d’histoire des représentations et des idées dans les modernités – ihrim
  • Ariane Bayle, professeure de littératures comparées, Faculté des Humanités, Lettres et Sociétés Université Jean Moulin Lyon 3, membre de l’Institut universitaire de France, responsable de l’équipe de site ihrim-Lyon 3.

Pour en savoir plus :

Bibliothèque Diderot

Rencontre : corps réparé, corps modifié

RRencontre : corps réparé, corps modifié

Les rendez-vous des bibliothèques municipales de Lyon – BML !
Entre réparation et régénération, les avancées scientifiques laissent présager des évolutions médicales impressionnantes dans un futur plus ou moins proche.

Quel corps voudrons-nous demain ?
Quelles transformations serons-nous prêts à accepter pour être en meilleure santé ?
Ces modifications relèveront-elles du strict domaine médical ou bien intègreront-elles l’envie personnelle et le choix individuel ?
Quel impact peuvent-elles avoir sur nous-mêmes, et sur les autres ?
Entre éclairage historique et innovation, entre réflexion scientifique et éthique, venez en débattre avec une équipe scientifique pluridisciplinaire.

La rencontre sera introduite par la nouvelle Faut-il réveiller les endormis ? lue par son auteur, Jean-Baptiste Cabaud.

Avec la participation de :

>> Cet événement est organisé en partenariat avec le CNRS.

En savoir plus

 

L’Université pour tous ! | Cycle de conférences

LL’Université pour tous ! | Cycle de conférences

L’Université Jean Monnet – UJM – propose un programme de conférences qui répond à la mission d’ouverture des savoirs vers la société qui est celle de l’université et qui reflète les grands champs disciplinaires de celle-ci. L’objectif est d’enrichir la culture générale et scientifique de chacun, mais aussi d’inviter à la réflexion sur de grands sujets de société. 

Les conférences sont assurées par des enseignants et chercheurs de l’Université Jean Monnet qui ont à cœur de partager les connaissances issues de leur recherche ou de leur domaine de spécialité. Elles s’adressent à tous les publics, sans condition d’âge ou de niveau d’études.

>> Devenir adhérent : cliquez ici

>> Programmes 2024-2025 :

Un cycle de 30 conférences sur 5 grands thèmes :  Arts et Littératures / Histoire, Philosophie, Patrimoine / Débats de Société / Sciences / Santé, Médecine.

Jours et horaires : Les vendredis de 14h30 à 16h30 du 4 octobre 2024 au 4 juillet 2025 (hors vacances scolaires).

Un cycle de 15 conférences sur 4 grands thèmes  : Arts et Littératures / Histoire, Philosophie, Patrimoine / Débats de Société / Santé, Médecine.

Jours et horaires : les jeudis de 14h à 16h du 3 octobre 2024 au 26 juin 2025 (hors vacances scolaires).

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

UJM

Soigner les cancers grâce à la médecine prédictive

SSoigner les cancers grâce à la médecine prédictive

Dans le cas de cancers, les prédictions cliniques pourraient être améliorées grâce à des modèles d’intelligence artificielle. Loïc Verlingue, chercheur et médecin au Centre Léon Bérard, ainsi que son équipe nous parlent du projet SMAD-CC (pour SMArt Data for improved machine learning in Cancer Care) : ils travaillent sur les données intelligentes dans le but d’améliorer l’apprentissage automatique en cancérologie.

L’équipe de SMAD-CC est installée dans une petite maison de ville attenante au Centre Léon Bérard à Lyon. Loïc Verlingue, Dounya Bourhani et Paul Minchella se sont prêté.es au jeu du questions/réponses dans une ambiance décontractée.

Est-ce que vous pouvez nous parler du projet en quelques mots ?
Paul Michella : « Notre problématique consiste à intégrer des multi-données dans nos modèles pour aider à améliorer nos objectifs cliniques. Peut-on améliorer la qualité de vie des patients en adaptant les traitements grâce aux outils d’intelligence artificielle ?

Loïc Verlingue : « L’objectif du projet est de montrer qu’en utilisant plus de données de diverses natures, on améliore les prédictions cliniques à partir de modèles d’intelligence artificielle. Les différents types de données sont entre-autres :

  • textuelles (narratives) donc les comptes rendus de consultation que les soignants génèrent.
  • structurées qui peuvent être soit cliniques (des informations cliniques structurées) soit biologiques (des prises de sang, par exemple) ;
  • moléculaires sur des biopsies et sur le plasma issu du séquençage des cancers de nos patients (données spécifiques à l’oncologie) ;
  • d’imageries comme les scanners ou les lames anatomopathologiques, ce qui est abordé par d’autres projets du Centre Léon Bérard.

On a une belle base de données moléculaires, avec à peu près 6000 patients qui ont été séquencés dans l’essai ProfilLER, c’est un essai du Centre Léon Bérard. Mais par rapport aux 140 000 patients dont on a les données textuelles, on se rend compte qu’il y a un différentiel.

Lire l’article complet

En 2022, le projet SHAPE-Med@Lyon (Structuring one Health Approach for Personnalized Medicine in Lyon), a été lauréat du Programme d’Investissement d’Avenir 4 « ExcellencES » de France 2030. 

SHAPE-Med@Lyon est avant tout une belle réussite collective qui fédère 12 partenaires : les universités Claude Bernard Lyon 1 (UCBL) et Lumière Lyon 2, les Hospices Civils de Lyon (HCL), le Centre Léon Bérard, le Centre hospitalier Le Vinatier, VetAgro Sup, CPE Lyon, avec les organismes nationaux de recherche Inserm, CNRS, INRAE, Inria et le Centre International de Recherche sur le Cancer de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

SHAPE-Med@Lyon vous propose ses « Inter-Med@Lyon » : des échanges informels avec les chercheurs-euses de ses projets lauréats. Ce mois-ci, l’Inter-Med est consacré au projet SMAD-CC porté par Loïc Verlingue, chercheur au Centre Léon Bérard et Guillaume Metzler du laboratoire ERIC.

 

Entre arts et médecine

EEntre arts et médecine

Médecine, architecture, sciences, arts… Depuis des siècles, l’hôpital apporte des soins à toutes et à tous, et contribue à façonner la ville et son paysage comme à développer les sciences.

>> Dates des visites :

  • Le Grand Hôtel-Dieu et la Chapelle, entre arts et médecine : samedi 6 avril, samedi 4 mai, samedi 29 juin >> Réserver
  • Du Grand Hôtel-Dieu à l’Université : médecine et sciences dans la ville : samedi 20 avril 2024, samedi 18 mai, samedi 15 juin 2024 >> Réserver

Pour en savoir plus :

Patrimoine hospitalier des HCL

Épidémies, prendre soin du vivant

ÉÉpidémies, prendre soin du vivant

Alors que nous venons de traverser collectivement la pandémie de la COVID-19, quelle mémoire conservons-nous des épidémies du passé et comment nous préparer à celles à venir ?

Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines mais aussi les autres espèces animales, sur tous les continents. En s’appuyant sur des collections de médecine, d’ethnographie, des spécimens d’histoire naturelle ou encore des œuvres contemporaines, l’exposition nous invite à envisager les épidémies comme un phénomène non seulement biologique mais également social, dans un monde où santé humaine, santé animale et santé environnementale sont liées.

Une exposition du musée des Confluences d’après un concept original du National Museum of Natural History, Smithsonian Institution de Washington

Plus d’informations sur le site du :

MUSÉE DES CONFLUENCES

Journée thématique : Épidémies, décrypter pour avancer

JJournée thématique : Épidémies, décrypter pour avancer

Si elles accompagnent les espèces animales depuis toujours, les récentes épidémies et notamment celle de coronavirus SRAS-CoV-2 ont replacé les maladies et les virus au cœur de notre société. Une journée pour parler sereinement des épidémies d’hier, d’aujourd’hui… et de demain.

En écho à l’exposition Épidémies, prendre soin du vivant.

>> Au programme le 25 mai :

  • À 14h, atelier « Viral » en réalité virtuelle
  • À 15h, projection de Pandémies de Sophie Bensadoun
  • À 16h, table ronde autour de la question : « Comment les épidémies transforment nos sociétés ? »

Plus d’informations sur le site du :

MUSÉE DES CONFLUENCES

Lutter pour avorter ?

LLutter pour avorter ?

Les mouvements pour la liberté de l’avortement et de la contraception – MLAC – ou l’histoire d’un combat qui a changé la société

Le livre de Lucile Ruault retrace la sociohistoire des mouvements pour la liberté de l’avortement et de la contraception (MLAC) dits «dissidents» de 1972 à 1984, ayant poursuivi la pratique de l’avortement entre femmes après la loi Veil en 1975.

Le film de Blandine Lenoir avec Laure Calamy suit le parcours d’Annie, ouvrière et mère de deux enfants, accueillie par ce mouvement unique fondé sur l’aide concrète aux femmes et le partage des savoirs. Elle va trouver dans la bataille pour l’adoption de la loi sur l’avortement un nouveau sens à sa vie.

« Mon histoire c’est un petit peu l’histoire de tout le monde. J’avais avorté une fois dans un truc dégueulasse, chez une concierge infecte, pour 50000 balles il y a 14 ans de ça. Il n’y avait pas la pilule, et 6 mois après je me suis retrouvée enceinte. »

Hélène, dans Le spéculum, la canule et le miroir, de Lucile Ruault, p. 45

>> Au programme :

  • 18H30 – DÉBAT

Avec la sociologue Lucile Ruault, auteure de l’ouvrage Le spéculum, la canule et le miroir. Avorter au MLAC, une histoire entre féminisme et médecine.

En la présence exceptionnelle de la cinéaste Blandine Lenoir.

Animé par Vanina Mozziconacci, maîtresse de conférences en philosophie à l’université Paul Valéry de Montpellier, codirectrice de la collection perspectives genre.

Avec la participation du Planning Familial du Rhône (69).

 

  • 20H – PROJECTION

Du film Annie Colère, lauréat du Prix du film de fiction historique aux Rendez-vous de l’histoire de Blois (2023).

Lucile Ruault a été conseillère historique sur le film de Blandine Lenoir Annie Colère.

Pour en savoir plus :

Festival 50 ans d’action du mlac à aujourd’hui

Diagnostic 2.0 : quand l’Intelligence Artificielle intervient | Un dossier Pop’Sciences

DDiagnostic 2.0 : quand l’Intelligence Artificielle intervient | Un dossier Pop’Sciences

Pour son dossier consacré aux nouvelles applications de l’Intelligence Artificielle (IA) à la santé, Pop’Sciences est allé à la rencontre des scientifiques et professionnels de la santé de la région Lyon Saint-Étienne pour mieux comprendre ce que ces nouvelles technologies peuvent apporter (ou pas) à la médecine, notamment en termes de diagnostic…

L’IA tend à se démocratiser dans de multiples domaines professionnels, dont ceux de la santé. Entre espoirs, fantasmes, peurs et applications réelles, cette nouvelle assistance nécessite aujourd’hui d’être mieux décryptée tant auprès des médecins que de leurs patients. Pop’Sciences vous propose de revenir sur quelques applications concrètes pour comprendre ce que l’IA, et ses capacités de calcul, peut faire pour aider les professionnels de la santé dans le diagnostic de la santé mentale, pour fluidifier la prise en charge des patients ou pour apporter toujours plus de précisions en imagerie médicale… mais aussi d’en percevoir les limites, car elle est encore loin de remplacer votre médecin.

 Les articles du dossier

©Freepik

Dans un monde en constante évolution, les chercheurs et médecins se tournent vers l’intelligence artificielle (IA) pour les aider dans la pratique médicale. Pop’Sciences vous dévoile les coulisses du processus de création d’une IA prête au diagnostic, une innovation qui repose sur la précision de la consultation médicale, la richesse des bases de données, et l’entraînement minutieux de modèles IA. En somme, quelle est la recette pour une bonne IA appliquée au diagnostic médical ?

 

Image générée par IA (Dall-E) ©Pop’Sciences

Se classant au deuxième rang des causes de mortalité en France après les accidents cardiovasculaires, les troubles liés à la santé mentale sont aujourd’hui une préoccupation majeure en termes de santé publique. Dans cette quête du « mieux prévenir pour mieux guérir », l’intelligence artificielle (IA) pourrait s’imposer comme un précieux allié dans le diagnostic des troubles mentaux.

 

 

Imagé générée par IA (Dall-E) ©Pop’Sciences

Alors que les avancées technologiques continuent de redéfinir la manière dont les professionnels de la santé prennent en charge les patients, l’IA s’insère de plus en plus dans la relation entre le patient et son médecin. Au cœur de cette transformation, Loïc Verlingue, médecin et chercheur au Centre Léon Bérard partage son expertise de l’IA dans le domaine des essais cliniques en cancérologie.

 

 

©Pexel

Améliorer l’interprétation de l’imagerie médicale (IM) pour en optimiser l’exploitation est au cœur des enjeux de l’intelligence artificielle (IA) au service de l’IM. L’IA n’est plus “seulement” un domaine de recherche en plein essor… mais ses utilisations en sont multiples.  Objectifs affichés : augmenter la précision du diagnostic afin d’améliorer la prise en charge thérapeutique, en évitant les erreurs potentiellement lourdes de conséquences. La guerre des algorithmes est ouverte pour aller toujours plus loin !

 

©Freepik

Entre confiance aveugle et méfiance absolue, comment l’IA doit-elle être éthiquement acceptée et utilisée ? Comment s’affranchir de potentiels biais humains dans les systèmes d’IA utilisés à des fins de diagnostic, ou même thérapeutiques ? Autant de questions qui ne sont plus l’apanage de débats scientifiques, mais doivent être au cœur de débats politiques et sociétaux.

 

 

©Freepik

Dans cette série de questions et réponses, les étudiants de première année du cycle d’ingénieur de l’EPITA, école d’ingénierie informatique, répondent à nos questions concernant l’IA. A-t-elle toujours raison ? Peut-elle développer des sentiments ? Ou, est-elle capable de réelles créations ? Les étudiants nous éclairent.

 

 

 

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MMerci !

Ce dossier a été réalisé grâce à la collaboration de chercheurs et médecins du bassin de recherche Lyon Saint-Étienne :

Ainsi qu’avec la participation de :

  • Maëlle Moranges, docteure en neuroinformatique, apportant son expertise de l’IA en tant que référente sur ce dossier
  • Pascal Roy, chercheur en biostatistique au Laboratoire de Biométrie et Biologie Évolutive – LBBE (Université Claude Bernard Lyon 1) et praticien hospitalier aux Hospices Civils de Lyon. Intervenu lors des rendez-vous professionnels LYSiERES² : « L’intelligence artificielle peut-elle remplacer le médecin ? »
  • Antoine Coutrot, chercheur en neurosciences computationnelles, cognitives et comportementales au Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’information – LIRIS (CNRS, INSA Lyon, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, École centrale Lyon). Intervenu lors des rendez-vous professionnels LYSiERES² : « L’intelligence artificielle peut-elle remplacer le médecin ? »
  • Les étudiants de première année du cycle d’ingénieur de l’École pour l’Informatique et les Techniques Avancées (EPITA) : Léo Arpin, Adrien Guinard, Arthur De Sousa, Raphaël Hatte, Pierre Raimondi, Maui Tadeja, Mehdi Ismaili, Gregoire Vest, Emil Toulouse, Todd Tavernier, Remi Decourcelle, Paul Gravejal, Aymen Gassem, Sandro Ferroni, Nathan Goetschy, Rémi Jeulin, Clovis Lechien, Garice Morin, Alice Cariou et Eliana Junker

Nous les remercions pour le temps qu’ils nous ont accordé.

Un dossier rédigé par :

  • Léo Raimbault, étudiant en Master 2 Information et Médiation Scientifique et Technique (IMST) à l’Université Claude Bernard Lyon 1, en contrat d’apprentissage à Pop’Sciences – (Introduction, articles #1, #2, #3 et co-écriture des articles #5 et #6)
  • Nathaly Mermet, journaliste scientifique – (Articles #4 et #5)