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Et si les plantes pouvaient parler | Visages de la Science

EEt si les plantes pouvaient parler | Visages de la Science

« J’ai besoin de comprendre la nature et de pouvoir la faire comprendre aux autres. Les faire s’émerveiller comme moi je m’émerveille ». Voici comment Florence Nicolè, chercheuse en écologie au Laboratoire de Biotechnologies Végétales (LBV-pam) de l’Université Jean Monnet, décrit sa passion pour la Nature et les plantes.

C’est à travers l’étude de la communication chimique des plantes que l’on peut entrevoir qu’elles sont capables de s’entraider, d’avoir de la mémoire, de communiquer les unes avec les autres… Pour Florence, « chercher à comprendre cette hyper-sensibilité des plantes, c’est remettre l’humain à sa juste place, comme un maillon de la chaine. Les plantes survivront sans les humains, pas l’inverse ».

Découvrez son parcours et sa recherche à travers son portrait.

Et si les plantes pouvaient parler …

Redonner la parole | Visages de la science

RRedonner la parole | Visages de la science

« Je voulais lui permettre de s’exprimer pleinement »

Comment favoriser la communication avec une personne qui ne sait ni parler, ni écrire ? La réponse est donnée par Alexandros Sidiras Galantes, étudiant en 5e année du département télécommunications, services et usages de l’INSA Lyon et créateur de l’application « PicTalk », qui permet aux personnes non-verbales de communiquer avec leur entourage grâce à un simple smartphone.

La solution de communication alternative qu’il a imaginé en mettant en œuvre ses compétences de futur ingénieur a largement séduit le jury des Coups de Pouce Passion de la Fondation INSA Lyon.

Alexandros a créé cette application mobile pour permettre à son petit frère handicapé de dialoguer avec son entourage, au plus juste de sa pensée.

>> Lire l’interview sur :

INSA Lyon

Langage : et si la parole et le cerveau communiquaient par le rythme ?

LLangage : et si la parole et le cerveau communiquaient par le rythme ?

Dans une étude récente, le linguiste François Pellegrino a montré que, quel que soit le débit de parole propre à chaque langue et chaque locuteur, le débit moyen d’information, lui, reste sensiblement le même : 39 bits par seconde.

Comment lier cette valeur universelle avec la synchronisation des rythmes cérébraux sur la parole, s’interroge Véronique Boulenger avec son approche de neuroscientifique ?

À lire dans son intégralité sur :

CORTEX Mag