Pop’Sciences répond à tous ceux qui ont soif de savoirs, de rencontres, d’expériences en lien avec les sciences.

EN SAVOIR PLUS

Pharma, cosmétique… et si les déchets végétaux aidaient à développer l’économie circulaire ?

PPharma, cosmétique… et si les déchets végétaux aidaient à développer l’économie circulaire ?

La renouée du Japon (Fallopia japonica), une plante invasive, présente des propriétés intéressantes pour sa teneur en resvératrol, un polyphénol utilisé par l’industrie cosmétique. | ©CC BY SA harum.koh from Kobe city, Japan

Aujourd’hui considérés comme des déchets, les sous-produits de la biomasse – issus notamment de l’agriculture et de l’industrie agroalimentaire – pourraient pourtant jouer un rôle central dans la transition vers une économie circulaire.

Ces résidus, souvent compostés ou incinérés, renferment des molécules précieuses utilisables dans des secteurs aussi variés que la cosmétique, la pharmacie ou encore les bioplastiques.

Face à l’urgence environnementale et aux limites planétaires atteintes, réduire l’usage des ressources pétrochimiques devient indispensable. La valorisation de ces « déchets » végétaux permettrait non seulement de préserver les ressources naturelles, mais aussi de créer des filières locales et durables.

Certaines plantes invasives ou résidus alimentaires, comme le thé ou le marc de gingembre, sont riches en antioxydants et autres composés bioactifs. Leur transformation, grâce à des procédés innovants comme l’éco-extraction ou l’usage de solvants verts, ouvre la voie à une bioéconomie plus propre.

Au cœur de ce changement : les bioraffineries, qui optimisent chaque étape de valorisation pour atteindre l’objectif « zéro déchet ». Encore faut-il lever les freins technologiques, économiques et réglementaires.

Une analyse à découvrir dans un article écrit par :

>> Lire l’article :

THE CONVERSATION

Traitement contre le Covid-19 : faudra-t-il payer le prix fort ?

TTraitement contre le Covid-19 : faudra-t-il payer le prix fort ?

Dans les pays où le secteur public finance une grande partie de la recherche fondamentale et distribue au secteur privé des aides, l’État pourrait exiger, en échange, des prix modérés pour les médicaments issus de ces recherches.

C’est l’analyse d’Izabela Jelovac, directrice de recherche au Groupe d’analyse et de théorie économique Lyon-St Étienne – GATE-LSE (CNRS/Lyon1/Lyon2/UJM/ENSL).

Lire l’article intégral sur :

CNRS Le Journal