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Ma Thèse en 180 secondes – Édition 2024 | Finale locale Université de Lyon

MMa Thèse en 180 secondes – Édition 2024 | Finale locale Université de Lyon

Concours international francophone lancé au Québec, Ma Thèse en 180 secondes est de retour en France pour sa 11e édition. Inspiré de Three Minute Thesis (3MT®), il est porté, en France, par France Universités et le CNRS, et est décliné en local par les regroupements universitaires volontaires.

Sur le site Lyon Saint-Étienne, c’est l’Université de Lyon qui organise le concours au nom de l’ensemble de ses membres. La finale locale Université de Lyon du concours se déroulera mardi 19 mars 2024.

Ma Thèse en 180 secondes propose aux doctorants de présenter, devant un jury et un auditoire profane et diversifié, leur sujet de recherche en termes simples. Douze doctorantes et doctorants du site Lyon Saint-Étienne exposeront, en 3 minutes, de manière claire, concise et néanmoins convaincante, leur projet de recherche. Un jury composé de chercheurs, journalistes et représentants du monde socio-économique décernera trois prix. Vous aurez également la possibilité de décerner le prix du public en assistant à la finale !

Le 1er prix du jury et le prix du public seront les deux lauréats Université de Lyon qui accéderont à l’étape nationale du concours.

Découvrez les 12 candidats ici

>>> À suivre en présentiel ou en direct sur YouTube et Facebook.

TikTok & la science, la belle rencontre ?

TTikTok & la science, la belle rencontre ?

Avec 67 % des jeunes de 13 à 17 ans qui utilisent TikTok, ce réseau social de vidéos de formats courts fait partie des trois applications les plus téléchargées en France en 2022. Devenu aujourd’hui incontournable, il déclare rassembler plus d’un milliard d’utilisateurs et d’utilisatrices dans le monde.

Comment les sciences, la recherche, la culture scientifique s’emparent-elles de ce réseau social ? Le pari de la diversification des publics est-il relevé ? La science peut-elle trouver un espace entre divertissements et activités sportives ? Quels effets, quelles incidences sur la jeunesse en termes d’acquisition de connaissances et compréhension de la complexité du monde ? Quels engagements ces modalités de communication impliquent-ils pour le monde de la culture scientifique ?

C’est à ces quelques questions que nos invité·es répondront à l’aune de leur analyse, mais aussi de leurs usages et pratiques de ce réseau social qui, aujourd’hui, attire les plus jeunes et parfois, suscite le questionnement, voire inquiète, leurs aîné·es.

Intervenants :

  • Julien Bobroff – Physicien, professeur à l’Université Paris-Saclay dans le groupe de recherche « La Physique Autrement »
  • Irène Cristofori – Institut des Sciences Cognitives Marc Jeannerod – CNRS, Université Claude Bernard Lyon 1
  • Julien Picard Monnet – directeur du média Curieux

>>> À suivre en live sur la chaîne YouTube de La Rotonde > Cliquez ici

 

Pour en savoir plus :

La Rotonde

Ateliers BARCamp

AAteliers BARCamp

Le principe des ateliers BARCamp – Bienvenue à la Recherche – est de permettre aux doctorants ou jeunes chercheurs de présenter en une dizaine de minutes leur sujet de thèse à un public non initié et de valoriser l’activité de recherche auprès du public étudiant, dans un format moins conventionnel que les séminaires ou journées d’étude.

Dans le cadre d’un partenariat entre le Laboratoire de Biométrie et de Biologie Évolutive (LBBE) et l’entreprise lyonnaise IZInovation :

  • Chloé Haberkorn effectue une thèse CIFRE qui a pour objectif de décrypter la résistance aux insecticides chez la punaise de lit.
  • Layla Lavallé en 3e année de thèse au Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon (CNRS, INSERM) travaille sur les corrélants neuro biologiques du déficit de mémoire de réalité dans la schizophrénie.

Proposé par : la BU Sciences Lyon 1

En savoir plus :

BU Sciences

> Pour voir ou revoir les ateliers BARCamp : cliquez ici

 

Ma thèse en 180 secondes

MMa thèse en 180 secondes

Concours international francophone lancé au Québec, Ma thèse en 180 secondes propose aux doctorants de présenter, devant un jury et un auditoire profane, leur sujet de recherche en termes simples et de façon vulgarisée. Chaque année, les regroupements universitaires participant présentent, après une finale locale, deux candidats à la demi-finale nationale.

Découvrez les présentations des lauréats de l’Université de Lyon des différentes éditions…

MMT 180 | édition 2022

Jeudi 24 mars 2022, ce sont quatorze doctorants du site Lyon Saint-Étienne qui ont ainsi exposé, en trois minutes, leur projet de recherche devant un jury attentif composé, pour l’édition 2022, de :

  • Christine Détrez, Professeure à l’ENS de Lyon, directrice du Centre Max Weber
  • Florence Ruggiero, Directrice de recherche CNRS, IGFL
  • Raphaële Baïetto-Grivel, Directrice développement RH, Arkema
  • Sylvain Guillot, Responsable événement « Villeurbanne, capitale française de la culture 2022 », Mairie de Villeurbanne
  • Eloi Thiboud, Journaliste, Lyon Capitale
    Près de 350 personnes étaient présentes pour soutenir leur candidat favori ; un large public a également suivi la finale locale en ligne sur la page Facebook de la ComUE Université de Lyon.

>> Les finalistes :
C’est Bastien Marguet qui a remporté le 1er prix du jury, pour sa thèse sur la Modélisation de la naissance des joints de grains dans les matériaux bidimensionnels : application au graphène, menée à l’Université Claude Bernard Lyon 1 au sein du laboratoire Institut Lumière Matière (ILM).

Arthur Guerin-Turcq, doctorant à l’ENTPE a, quant à lui, remporté le prix du public après une très belle prestation pour sa thèse en sciences humaines et sociales intitulée Forêts et communs. La forêt périurbaine française entre bien commun et bien club.

Gersende Fernandes, de l’ENTPE (LEHNA), a remporté le 2e prix avec sa thèse Développement d’approches infiltrométriques et modélisatrices pour la quantification des fonctions infiltration et filtrations des sols urbains.
Enfin, le 3e prix du jury a été décerné à Juliette Gelebart, de l’Université Claude Bernard Lyon 1, avec sa thèse sur Étude électrophysiologique de la perception subjective de la douleur chez l’Homme par enregistrement intracérébral.

MMT 180 | Édition 2021

La finale locale 2021 Université de Lyon du concours s’est déroulée le mardi 23 mars dans le Grand amphithéâtre de l’Université de Lyon (UdL). Sans public en présentiel, elle a pu être suivie en direct par près de 300 internautes. Les 13 candidats, issus des établissements du site UdL ont présenté leurs sujets de thèse, entre humour et appréhension, avant l’attribution des trois prix du jury et du prix des internautes.

Le jury était composé de : Audrey Mazur-Palandre, Ingénieure de Recherche, ENS de Lyon ; Pascale Giraudon, Directrice de recherche, INSERM ; Thomas Breban, Bibliothécaire, responsable du département Sciences et techniques, Bibliothèque Municipale de Lyon ; Alexandre Valt, Directeur Recherche & Innovation, Nouvelles Générations d’Entrepreneurs ; Guillaume Lamy, Journaliste, Lyon Capitale.

Prix du jury

  • 1er prix : Éric Sergent  pour sa thèse en Sciences humaines et sociales sur Cimetières et sépultures en France, 1848-1914. L’art funéraire à travers les exemples de Paris, Lyon et Dijon , menée à l’Université Lumière Lyon 2 (laboratoire LARHRA). | A noter : Eric Sergent a également été sélectionné pour participer à l’édition 2021 de Sciences en bulles, collection de sciences illustrées en BD pour la Fête de la science.
  • 2e prix : Arsène Chemin, doctorant à l’Université Claude Bernard Lyon 1 – Institut Lumière Matière pour sa thèse intitulée Phénomènes de nucléation dans les plasmas générés par ablation laser.
  • 3e prix : Sihem Sayah, de l’Université Claude Bernard Lyon 1 – LMA plateforme nationale de l’IP2I, pour sa thèse Caractérisation des défauts ponctuels pour les miroirs hautes performances des détecteurs d’ondes gravitationnelles | A lire ou relire : l’article La traque des ondes gravitationnelles grâce aux supers miroirs que Sihem Sayah avait écrit pour Pop’Sciences.

Prix du public : prix des internautes

  • Valentin Baron, jeune Docteur à l’INSA Lyon – laboratoire CREATIS a par ailleurs remporté le prix des internautes après une très belle prestation autour de sa thèse Méthodes d’identification de sources acoustiques paramétriques par mesures d’antennerie. | A découvrir : Des bruits plein la thèse de Pierrick Chilloux, à la rubrique Visages de la science de Pop’Sciences, un duo art-sciences qui raconte les coulisses de MT 180…

>> Visionner les présentations :

MMT 180 | Édition 2020

La finale locale 2020 Université de Lyon du concours n’a pas pu avoir lieu, mais 14 doctorants avaient été sélectionnés.

Qui auriez-vous choisi ?

Les 14 candidats :

  • BARON Valentin, Identification de sources acoustiques paramétriques par mesures d’antennerie
  • BESNARD Benjamin, Les prévisions nationales de la demande de transport de voyageurs
  • CAILLAUD Kilian, Synthèse et caractérisation de polymères dynamiques glycosylés à effet antibactérien
  • CHEMIN Arsène, Phénomènes de Nucléation de Nanoparticules dans de Plasmas Générés par Ablation Laser
  • DI FOLCO Maxime, Apprentissage statistique des interactions entre forme et déformation cardiaques
  • FIGL Marianne, Dépendance de la réplication virale à la glycolyse cellulaire
  • LEONCE Camille, Caractérisation des mécanismes moléculaires de la tolérance aux inhibiteurs de tyrosine kinase chez les patients présentant un adénocarcinome pulmonaire
  • MANTEL Marylou, Différences inter individuelles dans l’expérience olfactive, une approche interdisciplinaire
  • REQUEDAT Nicolas, La réception d’Athalie de Jean Racine dans les champs scolaires de sa rédaction à nos jours
  • SANCHEZ-CID Concepcion, Effet de la pollution environnementale par des antibiotiques sur le développement et la dissémination de résistances
  • SAYAH Sihem, Caractérisation des défauts ponctuels des miroirs hautes performances pour les détecteurs d’ondes gravitationnelles
  • SERGENT Eric, Cimetières et sépultures en France, 1848-1914. L’art funéraire à travers les exemples de Paris, Lyon et Dijon
  • SOHIER Thibaut, Mise au point d’une structure de protection contre les attaques physiques en face arrière sur puces sécurisées
  • ZROUNBA Clément, Étude et conception de liens optiques sur puce pour processeurs many-core

>> Visionner les présentations :

Crédits photographiques : Université de Lyon

 

Des bruits plein la thèse | Visages de la science

DDes bruits plein la thèse | Visages de la science

Histoire d’un duo art-sciences

L’histoire commence avec celle de Pierrick Chilloux…

« Après une licence Arts du spectacle et un cycle de théâtre à l’Université et au Conservatoire Régional de Poitiers, je suis entré en Master Cinéma et audiovisuel à l’Université Lyon 2, avec l’intention de m’orienter dans la réalisation de documentaires scientifiques. À mon arrivée à Lyon, j’ai du choisir le sujet de mon court métrage de Master 1. J’avais entendu parler de Ma Thèse en 180 secondes (MT 180) lors de ma formation au Conservatoire, et je souhaitais déjà écrire un film autour du concours. La diversité et l’importance de l’activité de recherche Lyonnaise promettait une expérience d’autant plus enrichissante que je ne connaissais pas du tout le milieu doctorant et scientifique, même si ce dernier m’a toujours fasciné. Mon professeur référent, Jacques Gerstenkorn était également très enthousiaste lorsque je lui ai fait part de mon idée.

J’ai donc commencé à rencontrer des doctorants qui n’étaient pas forcément candidats au concours, afin d’en apprendre plus. L’évènement Ma Thèse pour les Nuls organisé lors de la Fête de la Science par des LabEx de l’Université de Lyon, m’a conforté dans le choix de mon sujet. Ce concours, permet à une dizaine de doctorants de présenter son sujet de thèse en trois minutes, comme pour MT 180, mais de manière à parler aux plus jeunes. Après avoir reçu l’autorisation de l’Université de Lyon, le Conseil des Présidents d’Université et le CNRS, j’ai pu suivre la formation d’écriture et de jeu théâtral proposée par l’Université. Je souhaitais construire mon documentaire comme un journal de bord commun avec un doctorant candidat, en le suivant dans sa préparation au concours et en lui proposant mon aide pour la réalisation de la vidéo de pré-selection.

De novembre à février 2019, j’ai d’abord suivi Suzanne Bussod, doctorante en imagerie médicale au LabEx PRIMES et au laboratoire CREATIS, que j’avais rencontré de sa participation à Ma Thèse pour les Nuls. Elle m’a beaucoup aidé pour mon projet, et le film tient beaucoup de la confiance qu’elle m’a donné. En février, Suzanne n’a pas été sélectionnée pour la finale locale sur scène, et elle m’a proposé de suivre un de ses collègues de CREATIS, Valentin Baron. J’ai alors décidé de filmer la suite de l’aventure avec lui, son sujet de thèse, et son approche du travail m’aillant paru très intéressants. Travaillant sa thèse en partie en entreprise et en partie en laboratoire, Valentin avait choisi de s’entraîner pas seulement à la Ligue d’Improvisation Lyonnaise, ou se tenait la partie théâtrale de la formation, mais aussi devant ses collègues et ses amis. Il voulait faire de sa présentation un outil tout-terrain. Cette façon d’amener son sujet – et le théâtre – partout m’a beaucoup plu.

Chacun de nous deux proposait des idées pour se préparer au mieux à la scène. Au fil des tournages, Valentin en oubliait presque la caméra. Quelques jours avant la finale locale, le Président de la République a annoncé le confinement pour freiner l’épidémie de Coronavirus, annulant du même coup la suite du concours. Valentin et moi avons été obligés de dépasser les enjeux du concours et de réfléchir autrement ce que nous avions vécu. C’est ce que j’ai cherché à faire sentir dans mon essai documentaire de vingt minutes. Le Coronavirus a permis, paradoxalement, d’apprécier à sa juste valeur le travail de Valentin, et de penser la place du scientifique dans la cité. Je pense en effet qu’il revient à chacun de créer sa propre scène. »

… Et se poursuit avec Valentin Baron

« Mon travail de thèse consiste à utiliser des mesures issues d’antennes de microphones pour chercher à décrire des sources acoustiques (des objets bruyants). A partir de plusieurs microphones dont on connait le positionnement, il est possible de retrouver la position d’une source de bruit dans l’espace, par exemple.

Ces techniques dites de traitement d’antenne, je les applique dans deux projets complètement différents. Le premier, en acoustique sous-marine, cherche à prédire l’impact que des machines minières utilisées en grande profondeur causent sur leur environnement. Une fois que je les ai localisées, je calcule leur niveau sonore pour établir des seuils à ne pas dépasser. Le deuxième est quant à lui tourné vers l’acoustique aérienne, et cherche à détecter des drones aux abords de sites sensibles. Après une première étape de localisation d’une source de bruit, une étape d’identification permet de déterminer s’il s’agit d’une menace potentielle (un drone) ou non (un oiseau, par exemple). Une fois cette identification effectuée, des mesures de neutralisation proportionnées à la menace peuvent être mises en œuvre.

Ce travail de thèse appliqué à des domaines variés (l’acoustique sous-marine et aérienne), traduit bien la transversalité de la spécialité que j’ai apprise durant ma formation en école d’ingénieur : le traitement du signal. Cette matière, souvent difficile à définir même au sein des écoles, me passionne grâce aux nombreuses possibilités applicatives qu’elle offre, qui vont des télécommunications à la science des données, en passant par l’imagerie médicale ou encore le multimédia. »

Valentin faisait partie des 14 candidats sélectionnés au concours MT 180 de 2020 dont la finale lyonnaise devait se tenir en mars. Le concours n’a pas eu lieu en raison du confinement imposé par l’épidémie de Covid-19. Non découragé, Valentin Baron s’est représenté pour la finale locale Université de Lyon 2021, qui s’est déroulé en mars (suivie en ligne et en direct par le public) où a remporté le prix des internautes !

Le court métrage Des bruits plein la thèse a été nominé en 2021 au Festival Traces de Vies dans la catégorie Premier Geste Documentaire.

>> A découvrir !

 

>> La prestation finale de Valentin Baron au concours MT180 de l’Université de Lyon – édition 2021 :

Ma thèse en 180 secondes – Édition 2021

MMa thèse en 180 secondes – Édition 2021

Finale locale Université de Lyon

Ma Thèse en 180 secondes propose aux doctorants de présenter, devant un jury composé de chercheurs, journalistes, représentants de la CPU et du CNRS, et un auditoire profane et diversifié, leur sujet de recherche en termes simples.
Chaque doctorant doit exposer, en 3 minutes, de manière claire, concise et néanmoins convaincante, son projet de recherche.

3 prix du Jury et 1 prix des internautes seront décernés lors de la finale locale.

Concours international francophone lancé au Québec, Ma Thèse en 180 secondes est de retour en France pour sa sixième édition. Inspiré de Three Minute Thesis (3MT®), il est porté, en France, par la Conférence des présidents d’université (CPU) et le CNRS, et est décliné en local par les regroupements universitaires volontaires.

>> Découvrez les 13 candidats :

Ma Thèse en 180 sec

>> Suivre la finale locale en direct sur le Facebook de l’Université de Lyon

  C’était en 2019 :

EEt la suite : 1/2 finale et finale nationales, puis finale internationale

  • Les épreuves nationales du concours se dérouleront en deux étapes :

3 jours en avril 2021 pour la demi-finale avec l’ensemble des lauréats issus des finales locales. A l’issue des 3 jours, seize candidats seront sélectionnés pour accéder à la finale nationale.
En juin 2021 aura lieu la finale nationale avec les 16 candidats sélectionnés.

  • La finale internationale à l’automne 2021

Les lauréats des différents pays participant au concours Ma thèse en 180 secondes seront départagés par un jury prestigieux lors de la finale internationale en automne 2021 à Paris.

Plus d’informations sur :

mt180.fr

ViruScience | La science en langue des signes

VViruScience | La science en langue des signes

ViruScience est une chaîne vidéo où chacun peut découvrir la science, une science amusante et simple à comprendre. En 3 à 15 min, la science prend corps grâce à la LSF (langue des signes française), une langue visuelle, expressive et spatiale qui passe par les mains et le visage.

Toutes les vidéos sont sous-titrées en français. Elles s’adressent à tout le monde : entendants et sourds, adultes et enfants. Elles sont disponibles au choix sur Viméo et Youtube. Venez vite découvrir une science à portée de mains !

ViruScience

Vulgarisation, formations, traduction, ViruScience propose aussi une sélection des chaînes vidéos scientifiques accessibles à la population sourde :

Vidéos pour sourds et malentendants

 

>> Un exemple de vidéo :

Ma thèse en un clin d’œil

MMa thèse en un clin d’œil

Pollution sonore et invasions biologiques : réponses multi-échelles des communautés aquatiques aux stress multiples. Dynamique structurale de l’interaction laser ultrabref-solide à l’échelle atomique par des méthodes ab initio… Ouf ! Quand on prépare une thèse, il est parfois difficile d’expliquer son sujet tant il est pointu et spécialisé.

Si ces énoncés ne vous évoquent rien (et cela est bien normal), alors venez à la rencontre de leurs auteures, Emilie Rojas et Leïla Ben Mahfoud. Doctorantes à Lyon et Saint-Étienne, elles ont relevé le défi, chacune à leur manière, d’expliquer leurs travaux de recherche tout en captivant le public. L’une a travaillé avec un auteur et un dessinateur pour adapter son sujet en bande dessinée. La seconde a participé au concours « Ma thèse en 180 secondes ».

Elles viendront nous parler de leur parcours et de leur intérêt pour la vulgarisation des sciences.

A l’issue de la rencontre, des exemplaires de la bande dessinée Sciences en bulles, édité par le SNE, seront distribués aux participants inscrits.

Un événement organisé dans le cadre de la Fête de la Science 2020

Pint of Science | Édition 2020 en distanciel

PPint of Science | Édition 2020 en distanciel

Le festival Pint of Science revient pour la 7e année consécutive à Lyon, dans les bars lyonnais.
Pendant trois jours, des chercheurs locaux sortent de leurs labos pour exposer leurs recherches au grand jour et partager leurs connaissances avec le grand public. L’objectif est de comprendre la science en s’amusant !

Plus qu’une conférence ou une table ronde, le festival permet de faire se rencontrer les chercheurs des laboratoires et le grand public dans l’ambiance détendue des bars, et de parler de sujets aussi divers que les neurosciences, la médecine ou l’astrophysique. Une occasion parfaite de rencontrer les acteurs de la science, d’aujourd’hui et de demain, en chair et en os !

 

A propos de Pint of Science

Le festival international Pint of Science a lieu chaque année en mai pendant 3 jours. La 1re édition a eu lieu en 2013 dans 3 villes d’Angleterre. Le concept a été importé l’année suivante en France et s’est largement répandu : en 2019, nous avons organisé 380 évènements dans 53 villes !

 

 

Le festival se déroulera pour la 1re fois cette année en distanciel.

 

Pint of Science

>>>>> A suivre sur :

PintofscienceFR

Anthropologie, Science & Société

AAnthropologie, Science & Société

L’École Émile Cohl et l’Université Lumière Lyon 2 mettent l’image et la création numérique au service de l’enquête en sciences sociales. Un travail de valorisation et de vulgarisation scientifque.

Tout au long de l’année universitaire, des étudiants de Licence SHAE – Sciences de l’Homme, Anthropologie, Ethnologie – et de DUAIN – Diplôme Universitaire Anthropologie et Image Numérique – ont travaillé sur des thèmes et des terrains variés, en lien avec des acteurs institutionnels ou associatifs :

  • les alimentations spécifiques (végan, sans gluten…), avec le centre de recherche de l’Institut Paul Bocuse,
  • la mémoire de la défaite de 1940 avec le Centre d’histoire de la Résistance et de la Déportation,
  • le paysage industriel de la Vallée de la chimie avec le Centre de ressources en botanique appliquée,
  • la transformation d’un site urbain avec le CCO de Villeurbanne,
  • le commerce de proximité dans deux quartiers de Villeurbanne avec le Rize – cultures, mémoires, échanges,
  • et le portrait de trois groupes de musiques du monde accompagnés par le Centre des musiques traditionnelles Rhône-Alpes.

Cette journée vous propose la restitution de leurs travaux. Une journée hors les murs pour célébrer la créativité scientifique.

Organisé dans le cadre : du programme Anthropologie, Science et Société co-organisé par l’Université et la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) Auvergne Rhône-Alpes

En savoir plus :

Université Lumière Lyon 2