Biologie - santé Galeries CNRS OOrganoïdes et poissons, modèles d’une maladie rare © CNRS - Simon Bianchetti À mi-chemin entre les modèles in vivo et in vitro, les « organoïdes » sont des modèles cellulaires ex vivo en trois dimensions qui dérivent de cellules souches (cellules indifférenciées). Ils peuvent être considérés comme de « mini-organes » ayant une architecture voire même une fonctionnalité représentative du vivant.En combinant cette approche des organoïdes cérébraux à celle du modèle poisson-zèbre, des scientifiques du Centre de recherche en neurosciences de Lyon visent à comprendre les origines d’une maladie génétique rare, le syndrome de Taybi-Linder qui se caractérise par une forme de nanisme associée à des anomalies cérébrales et squelettiques.>> Visionner le diaporama en ligne :CNRS LE JOURNALDécouvrez le reportage photos complet « Organoïdes et poissons, modèles d’une maladie rare » sur la médiathèque du CNRS.