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Les prescriptions optimisées des chercheurs en pharmacie clinique

LLes prescriptions optimisées des chercheurs en pharmacie clinique

Et si les pharmaciens cliniciens pouvaient révolutionner la prise en charge médicamenteuse des personnes âgées ?

La Professeure Christelle Mouchoux et le Docteur Teddy Novais mènent des recherches de pointe sur l’optimisation des prescriptions, en particulier pour les patients atteints de troubles neurocognitifs. Moins d’effets indésirables, plus d’efficacité, et une prise en compte inédite des aidants : leur approche humaine, scientifique et collaborative ouvre la voie à une nouvelle vision du médicament chez les seniors.

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HCL 

Samedis de la Découverte | Ébulliscience

SSamedis de la Découverte | Ébulliscience

Les Samedis de la Découverte sont des animations thématiques organisées par ÉbulliScience avec des médiateurs scientifiques.

Les visiteurs sont invités à se comporter en chercheurs. Face à d’étonnantes expériences, ils et elles devront mobiliser leurs capacités d’observation et de raisonnement, formuler des hypothèses qu’ils et elles pourront ensuite tester par des expériences. À l’instar des véritables scientifiques, ils et elles seront également invités à partager et à communiquer aux autres leurs découvertes.

©Ebulliscience

Comment différencier une plante d’une autre ?
Quels éléments sont nécessaires à la vie d’une plante ?
Comment font-elles pour se reproduire ?
Toutes ces questions et bien d’autres encore vous intriguent ?!
Venez découvrir des expériences hautes en couleurs !
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©ÉbulliScience

D’où viennent les ombres ?Pourquoi voit-on des arcs-en-ciel ? Les chercheurs et les chercheuses pourront manipuler la lumière et les ombres, tester leurs hypothèses, et ainsi décomposer la lumière, voir la réflexion et la déviation de la lumière à travers des objets, ou encore mélanger des couleurs et bien d’autres découvertes !
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ébulliscience

La recherche au service de la santé | Micro-Conférence « Les Échappées inattendues »

LLa recherche au service de la santé | Micro-Conférence « Les Échappées inattendues »

Découvrez, à l’aide d’exemples concrets présentés par trois scientifiques, comment la mise au point de nouvelles approches technologiques en recherche fondamentale pourrait contribuer de manière significative aux avancées médicales futures dans le domaine de la cancérologie.

Les 15, 16 et 17 novembre 2024, Les Échappées inattendues du CNRS ont investi le Collège Truffaut, lieu de vie créatif dédié à la bande dessinée en plein cœur des Pentes de la Croix-Rousse à Lyon. À ceux qui affirment ne pas raffoler de science, le CNRS a relevé le défi avec ce festival scientifique teinté de BD en proposant l’exploration, la découverte, l’émerveillement, la rencontre et le partage ! Cette micro-conférence a été enregistrée le 17 novembre 2024.

Intervenants :

  • 00:00 Quand la physique s’en mêle par Benjamin Audit, est chercheur CNRS en physique au Laboratoire de physique de l’ENS de Lyon (LPENSL, CNRS | ENS de Lyon)
  • 11:24 Traiter les cancers par signaux électriques par Théo Le Barre, est doctorant en ingénierie pour la santé au Laboratoire Ampère (Ampère, CNRS | École Centrale de Lyon | INSA Lyon | Université Claude Bernard Lyon 1) et au Laboratoire de génie électrique et ferroélectricité (LGE, INSA Lyon)
  • 19:46 Et la lumière soigne ! par Cyrille Monnereau, est enseignant-chercheur en chimie à l’École Normale Supérieure de Lyon et rattaché au Laboratoire de chimie de l’ENS de Lyon (LCH, CNRS | ENS de Lyon)

>> Pour en savoir plus :
Les Échappées inattendues

Prothèses de membres : quand l’objet technique s’invite dans l’intimité des corps

PProthèses de membres : quand l’objet technique s’invite dans l’intimité des corps

Il existe aujourd’hui une grande diversité de prothèses, qui varient en matière de matériaux, de formes et d’usages. Mais comment ces dispositifs s’intègrent-ils réellement dans le quotidien, la mobilité et l’intimité de ceux et celles qui les portent ? L’appropriation de la prothèse, c’est-à-dire l’intégration aux sensations, aux mouvements et aux habitudes de vie, ne va pas toujours de soi. Lucie Dalibert, chercheuse au laboratoire S2HEP (1), dans le cadre du projet de recherche « Amélioration du parcours d’appropriation des dispositifs prothétiques » (APADiP), explore cette relation complexe entre les corps et les technologies. Dans ce lien, elle appelle à remettre plus « de soin ».

Vos travaux de recherche s’intéressent aux prothèses et aux liens entre les corps et la technique. Comment pourriez-vous les résumer ?
Mes travaux se positionnent à la croisée de la philosophie des techniques plus spécifiquement dans le champ Science and Technology Studies [STS – études sur les sciences et les technologies], en lien avec les approches féministes. En d’autres termes, je m’intéresse à ce que fait la technique aux corps, aux normes et standards qu’elle véhicule. On peut dire que je suis une philosophe de terrain car je me base sur des enquêtes de type ethnographiques, que je mène la plupart du temps avec d’autres collègues. Je vais interroger ou observer les personnes dans leur environnement et leur intimité. En cela, mon objectif est de questionner le lien, de plus en plus fort, entre les corps et les technologies, en particulier quand ceux-ci sont transformés. À travers mes travaux, j’analyse ce que peut être une prothèse dite « adaptée » ou en adéquation avec les personnes amputées que l’on appareille. Je souhaite interroger un type de soin particulier qu’est le soin technologique (2). Avec le projet APADiP, nous nous sommes concentrés avec Paul-Fabien Groud et Valentine Gourinat, sur ce qui fait qu’une prothèse est « adaptée » ou « inadaptée ». Et la réponse n’est pas si binaire. (…)

 

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(1) Le laboratoire S2HEP (Sciences, Société, Historicité, Éducation, Pratiques), est une unité de recherche (UR 4148) qui a pour tutelle l’Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL).

(2) Cette notion a été développée par la chercheuse Mathilde Lancelot, Maîtresse de conférences en philosophie, épistémologie de la médecine à Nantes.

Anxiété préopératoire : une infirmière anesthésiste mène une recherche innovante !

AAnxiété préopératoire : une infirmière anesthésiste mène une recherche innovante !

Chantal Charrion, infirmière anesthésiste aux Hospices Civiles de Lyon – HCL, se lance dans sa première recherche paramédicale… et innove !

Inspirée par la médecine orientale, elle explore les effets de la résonance sous-cutanée (RESC) sur l’anxiété et la douleur en chirurgie cardiaque. Une première aux Hospices Civils de Lyon, portée par 25 ans d’expérience et une vision intégrative du soin.

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HCL 

Bienvenue dans le monde incroyable des animaux ! | Atelier enfants

BBienvenue dans le monde incroyable des animaux ! | Atelier enfants

Partout sur notre planète, les animaux jouent un rôle très important pour que la vie existe et puisse continuer. Des plus petits insectes jusqu’au grands mammifères, ils ont tous des « superpouvoirs » qui les aident à s’adapter à leur environnement. Certains nettoient, d’autres soignent la terre, les plantes…

À travers des jeux, des histoires et des illustrations, cet atelier permet de découvrir à quel point les animaux sont précieux et que protéger la nature c’est prendre soin de tous.

Pour en savoir plus :

Musée de sciences biologiques – Dr Mérieux

La conscience, un mystère à décoder

LLa conscience, un mystère à décoder

Qu’est-ce que la conscience ? Quand commence-t-elle ? Comment la mesurer ? L’IA en est-elle douée ? Le point sur un phénomène intime, universel mais mystérieux, que les neurosciences commencent tout juste à décrypter.

D’un point de vue subjectif, la conscience semble être une notion simple : c’est l’état dans lequel nous sommes lorsque nous sommes éveillés. Pourtant, sa nature scientifique reste difficile à cerner. Le principal problème réside dans sa mesurabilité : comment déterminer si un être, humain ou non, est conscient ? À Lyon, Jean-Rémy Hochmann, directeur de recherche CNRS à l’Institut des sciences cognitives Marc-Jeannerod, explore les origines développementales de capacités humaines uniques telles que le langage et la logique, en étudiant la cognition chez les nourrissons.

>> Lire l’article complet sur le site :

CNRS le journal

Les règles, on en parle ?

LLes règles, on en parle ?

©débats du Campus 2025

Les règles, sont un phénomène biologique naturel qui concerne environ la moitié de la population. Pourtant cela reste un sujet souvent mal compris, entouré de tabous et de fausses croyances.

À travers trois approches :

  • les recherches effectuées par René Ecochard, médecin au CHU de Lyon et enseignant-chercheur, et Claude Gronfier, chercheur Inserm Lyon, sur les cycles lunaires et menstruels,
  • le travail de Muriel Salle, chercheuse Université Claude Bernard Lyon 1, sur la santé des femmes (Règles et sport : un sujet qui fait tache ?Éditions les Sportives),
  • les actions que mène le Service de Santé Etudiante pour accompagner les personnes menstruées,

les intervenants tenteront de faire le point sur ce que l’on sait sur le sujet, ce qu’on croit savoir et ce que l’on ignore.

Modérateur : Nicolas Lechopier, maître de conférences en philosophie, épistémologie et éthique à la faculté de médecine Lyon Est.

> À suivre en ligne aussi sur la chaine YouTube Université Claude Bernard Lyon 1

>> Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site : 

BU LYON 1 

Différences de longévité entre les sexes : le chromosome Y sous la loupe

DDifférences de longévité entre les sexes : le chromosome Y sous la loupe

Les femmes ont une durée de vie plus longue que les hommes, un phénomène que l’on observe également chez de nombreux animaux. Le chromosome Y (ou son équivalent chez d’autres animaux) serait-il responsable ?
Entretien avec Miriam Merenciano, généticienne au Laboratoire de Biométrie et biologie évolutive.

>> L’intégralité de ce billet est disponible sur le blog :

Dire la folie | Journée d’études Meraki #4

DDire la folie | Journée d’études Meraki #4

« Dire la folie » peut renvoyer à plusieurs gestes. C’est d’abord réfléchir à la nomination des maladies et à leur taxinomie : comment a-t-on historiquement nommé et catégorisé les maladies psychiatriques ? C’est aussi s’interroger sur l’annonce de la maladie, sur le rapport entre diagnostic et identité : comment s’énonce le diagnostic ? Est-il nécessairement stigmatisant ? Quelle place joue-t-il dans la manière qu’aura le patient de parler de soi et de se présenter aux autres ?

« Dire la folie », c’est encore comprendre comment la formulation d’un diagnostic peut avoir des conséquences juridiques et conduire à la privation de liberté. Enfin, « dire la folie », c’est l’écrire, faire un récit clinique pour parfois le détourner dans le texte littéraire ; ou encore « faire jouer » la maladie, lui donner une figuration et tenter de la traiter par le jeu scénique, comme le fait l’approche psychodramatique.

Toutes ces perspectives seront abordées lors de cette journée pluridisciplinaire, qui est conçue dans un esprit de diffusion des savoirs pour tous. Étudiants, soignants, personnels enseignants et administratifs de l’université, ainsi que tout personne intéressée par cette thématique, sont les bienvenus : joignez-vous à cette journée d’études pluridisciplinaire sur les représentations de la maladie mentale. Dans le cadre du festival MERAKI #4.

> Le programme : 

  • 9h30 | Parler de la maladie mentale à l’université aujourd’hui

Intervenantes : Ariane Bayle, professeure de littératures comparée à l’Université Jean Moulin Lyon 3, et Marion Sindezingue, médecin et directrice du Service de Santé des Étudiant (SSE) à l’Université Jean Moulin Lyon 3.

  • 10h | Le vécu du patient dans l’écriture du cas psychiatrique au lendemain de la seconde guerre mondiale

Intervenante : Louise Mai, doctorante en littérature française, Sorbonne Université.

  • 10h50 | Diagnostics et « outfit » : trouble(s) en santé mentale de la jeunesse

Intervenant : Yannis Gansel, psychiatre et anthropologue.

  • 11h40 | Déjouer le récit de cas dans « Le licencié de verre » (1613) de Cervantès

Intervenante : Ariane Bayle, professeure de littératures comparée à l’Université Jean Moulin Lyon 3.

  • 14h | Qu’est-ce que la pair-aidance ?

Intervenant : Espairs, association de pair-aidance en santé mentale dans le Rhône).

  • 14h45 | L’hôpital psychiatrique, lieu de privation de liberté

Intervenante :Karine Bérard, docteur en droit, Université Jean Moulin Lyon 3 et directrice d’établissement de santé.

  • 15h30 | Présentation de Psychodrame (2024) et visionnage d’une séquence filmée de la pièce.

Intervenante : Lisa Guez, autrice et metteuse en scène.

  • 16h-17h30 | Table ronde

Animée par : Agnès Curel, maîtresse de conférences à l’Université Jean Moulin Lyon 3.

Intervenants :  Karine Berard, Espairs, Yannis Gansel, Lisa Guez, Louise Mai, Marion Sindezingue, une psychologue du SSE de Lyon 3.

 

Avec le soutien de l’Institut universitaire de France, de l’IHRIM (UMR 5317), de la Faculté des Humanités, Lettres et Sociétés et du Service de Santé Étudiante, Université Jean Moulin Lyon 3

> Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site :

Université Jean Moulin Lyon 3