LL’archéologue sonore au chevet des sons de Notre-Dame de Paris | « Dis pourquoi ? » ©RCF radioDis Pourquoi ? est une chronique de vulgarisation scientifique de 5 minutes diffusée chaque mardi sur RCF Lyon à 11h50. Dis Pourquoi ? questionne et explore notre univers par les sciences. Chaque semaine, une ou un scientifique répond aux questions et dévoile ses travaux de recherche.> Émission du 24 décembre 2024Ses principaux outils de travail sont… son oreille ainsi que des dizaines de micros ! Mylène Pardoen, ingénieure de recherche CNRS en poste à la Maison des Sciences de l’Homme de Lyon Saint-Étienne, est archéologue du patrimoine sonore. Elle a notamment participé à la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris en tant qu’experte scientifique et travaille sur la sensorialité des métiers de l’artisanat.>>> Écoutez le podcast : >> Écouter les podcasts des autres intervenants Pop’Sciences :Épidémies : de la détection à l’alerteComprendre les concentrations de microplastiques dans les eaux de ruissellementQuelles questions éthiques soulève l’IA en santé ?Le génie végétal au service des villesComment transmettre la danse jazz aujourd’hui ?L’étonnante capacité des muscles à se régénérerLa reconstruction du paysage littoral de la cité étrusque de Populonia en BDPPour aller plus loinRetrouver le son de Notre-Dame, un article Pop’Sciences, juillet 2020.
FFête des Lumières et sciences Cette année, pour célébrer son vingt-cinquième anniversaire, la Fête des Lumières rallume quelques-unes des œuvres les plus marquantes de son histoire. L’occasion de raviver nos souvenirs et de les transmettre entre générations.> Parmi les événements proposés, des œuvres mêlant art et sciences :Laniakea horizon24©DRLe cosmos est à portée de main ! Dix ans exactement après sa première présentation au même endroit, Laniakea horizon24 est de retour pour célébrer les 25 ans de la Fête des Lumières. Son titre, aussi énigmatique qu’enchanteur, est emprunté à la langue hawaïenne et signifie « horizon céleste immense ». Une belle entrée en matière pour cette création inspirée par les travaux de l’astrophysicienne lyonnaise Hélène Courtois, qui a cartographié l’univers.Cette carte stellaire se retrouve à la fois au sol, avec une voie lactée en suspension constituée de 1 000 sphères lumineuses, et sur la façade de l’immeuble où sont projetées des images de méga-galaxies. Un big bang d’émotions ! La Manu fait son cinéma©DRPour la troisième année consécutive, la Fête des Lumières invite les étudiants de la licence pro « Conception et management en éclairage » de l’IAE Lyon (l’école de gestion et management de l’université Lyon 3) à montrer l’étendue de leurs talents. L’année 2025 marquera les 130 ans du cinématographe, c’est donc le 7e art que les étudiants ont choisi de célébrer sur le campus de la Manufacture des Tabacs.Trois soirs durant, la façade de la cour sud devient le théâtre de ces expérimentations étudiantes qui donnent vie aux célèbres briques rouges du bâtiment. Les techniques du cinéma et les émotions qu’il procure, ainsi que sa dimension patrimoniale ont inspiré l’écriture de cette création. >> Pour le programme, rendez-vous sur le site : fête des lumières
EEnquêter sur les espaces de savoir : croisement de perspectives en design et en sciences de l’information et de la communication Le séminaire Espaces-savoirs-identités se propose d’interroger les enjeux de médiation soulevés par les processus de transformation des espaces informationnels.Divers travaux en sciences humaines et sociales insistent sur l’importance d’étudier les relations à l’espace pour appréhender les modes d’élaboration et de partage des connaissances sur le plan individuel et collectif. De plus, de nombreuses initiatives récentes menées par des acteurs des secteurs public et privé visent à faciliter ou à réorienter les modes de circulation des savoirs à différentes échelles : par la conception ou la reconfiguration d’espaces documentaires qu’ils soient physiques ou virtuels ; par le réaménagement des espaces d’apprentissage pour faciliter des activités de création, d’étude ou de co-working, entre autres.Le séminaire répond à trois objectifs : il s’agit d’appréhender les pratiques sociales de l’espace en lien avec les cultures informationnelles de publics variés ; de cerner les conditions de possibilité de la mise en place de nouveaux environnements de partage des connaissances en réponse à des défis sociétaux variés d’ordre pédagogique, institutionnel, politique, économique, territorial ; et de questionner les imaginaires de la relation aux connaissances à travers l’étude des lieux de savoir en mutation.Dans le cadre de ce séminaire, cette séance vous propose une réflexion critique sur l’apport des approches conceptuelles et méthodologiques en Design et en Sciences de l’information et de la communication (SIC) pour appréhender les relations de différents acteurs (étudiants et élèves, professionnels de l’information) aux « espaces de savoir » physiques et virtuels (de documentation, d’apprentissage…). La séance débutera par une mise en perspective des travaux sur l’espace du sociologue et philosophe Henri Lefebvre (1901-1991). Il s’agira ensuite de faire un bilan critique des méthodes d’investigation déployées en SIC pour saisir les rapports des individus à l’espace dans divers situations de la vie quotidienne, notamment dans le contexte de projets récents de réaménagement ou de construction de lieux de savoir au sein des territoires.Organisée par : Susan Kovacs, professeure des universités en Sciences de l’information à l’Enssib.>>>> Séance retransmise en directe sur la chaîne youtubede l’Enssib.Consultez le programme
BBalade mathématique et architecture | MMI Lyon Partez pour une balade mathématique à travers le quartier Confluence ! Découvrez la géométrie et les symétries cachées dans les façades urbaines. À travers des jeux et des énigmes amusantes, venez porter un nouveau regard sur l’architecture !Dates : les samedis 21 et 28 septembre, le samedi 12 octobre.> En savoir plus : Balade Mathématique et Architecture
RRepenser l’espace urbain pour les personnes autistes AutiSenCité est un projet de recherche participative en faveur de l’inclusion des personnes autistes dans la ville. Nous avons interviewé Marie PIÉRON, élue à la Ville d’Ivry pour qu’elle nous présente ce projet qui a reçu le financement l’Agence Nationale de Recherche. Ce projet vise à favoriser l’autonomie et améliorer la qualité de vie des personnes autistes dans la ville, ainsi qu’à comprendre et atténuer les difficultés qu’elles rencontrent lors de leurs déplacements urbains.>> Retrouvez l’interview complète de Marie Piéron, la coordinatrice du projet, sur le site iMIND
VVille et vivant, une question d’équilibres | Pop’Sciences Mag #13 ©Visée.A et Flor LabancaLe Pop’Sciences Mag #13 Ville et vivant, une question d’équilibres paraîtra le 20 juin prochain. Dans ce 13e numéro, venez découvrir comment mieux inclure la nature dans nos villes, au bénéfice mutuel de tous les êtres vivants. Avec les regards croisés d’historiens, géographes, urbanistes, architectes, biologistes, écologues, juristes, philosophes, interrogeons-nous sur notre rapport au vivant et nos manières de cohabiter. Retrouvez des enquêtes, interviews, reportages-photos et dessins qui éclaireront cette problématique. ÉditoUne récente analyse des Nations Unies* anticipe que deux personnes sur trois habiteront probablement dans des villes ou d’autres centres urbains d’ici 2050. Ce contexte d’accroissement de la population urbaine s’entrechoque avec d’autres enjeux environnementaux majeurs : changement climatique, pollutions environnementales, menaces sur la biodiversité… Le monde urbain doit prendre en compte son espace, et au-delà, pour préserver une ville et ses alentours habitables.La cité devra réfléchir à ses propres organisation et aménagements, quitte à concevoir de nouvellesmanières d’habiter la ville. Une relation équilibrée avec le vivant peut faire partie de la solution et engagera l’évolution de nos modes d’existence, individuels et collectifs.C’est dans cette époque déterminante pour l’évolution et l’avenir des villes que ce Pop’Sciences Mag a choisi de se poser la question suivante : comment mieux inclure le vivant dans nos villes, au bénéfice mutuel de tous les êtres vivants, et permettre le développement de tous ? Grâce à la diversité des approches scientifiques, la richesse des travaux issus des laboratoires et établissements de la ComUE Université de Lyon, vous découvrirez des pistes de réflexion et d’action, dans l’optique d’une relation renouvelée avec le vivant au sein de nos cités.De nombreuses questions apparaîtront au fil de votre lecture : la définition du vivant, les relations entre la nature et l’homme tout au long de son histoire, le vivant en ville, et comment lui imaginer une autre place urbaine, qui lui bénéficiera autant qu’à ses cohabitants…À ces multiples interrogations, de multiples réponses sont proposées grâce à l’expertise de nos chercheurs.Alors merci à eux, et surtout bonne lecture !Frank DebouckPrésident de la ComUE Université de Lyon*Source : ONU Info – Département des affaires économiques et sociales – Organisation des Nations Unies. Ce numéro a été réalisé grâce à la contribution de scientifiques issus des établissements et instituts suivants :Université Claude Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, Université Jean Moulin Lyon 3, Université Jean Monnet Saint-Étienne, École normale supérieure de Lyon (ENS de Lyon), Institut national des sciences appliquées Lyon (INSA Lyon), École nationale supérieure d’architecture de Lyon (ENSAL), VetAgro Sup, Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE), emlyon business school, Cergy Paris Université. > Pour découvrir les articles du magazine :POP’SCIENCES MAG #13POP’SCIENCES MAG #13 : Soirée de lancement 20 juin à 18h >> Pour télécharger la version en pdf :©Visée.A et Flor Labanca
LL’art dans tous ses états | Scène 27 Pour son dernier événement de la saison, la Scène 27 vous donne rendez-vous le 27 juin pour aborder cette thématique grâce à des ateliers artistiques, au jeu Point of View et à un débat grand format dans une ambiance décontractée et bienveillante ! L’occasion de remettre en question sa vision du sujet et de rencontrer de nouvelles personnes autour d’un verre.L’art est omniprésent dans nos vies : que ce soit par notre propre processus créatif en écrivant, dansant, innovant, ou dans la construction de notre identité à travers toutes les œuvres (musicales, visuelles ..etc) qui nous influencent et nous façonnent chaque jour.Toutes ces créations artistiques provoquent des émotions, des aspirations ou encore des actions sociétales. L’art peut faire débat lorsqu’il devient politique, on s’en sert alors parfois de propagande ou d’outil de dénonciation.Il est le reflet de problématiques sociales quand son accès est inégalitaire, que les IA sont capables de remplacer les artistes, ou lorsqu’il est question de distinguer ou non l’œuvre de l’artiste.Finalement l’art est un domaine universel, constituant chaque culture, influençant chaque époque historique et en créant une connexion entre des personnes du monde entier. Le programme : 19h – 21h : IMMERSION – Jeu P.O.V / Stand partenaires20h30 – 22h : L’AGORA – Grand débat version Scène2722h – 23h30 : L’AFTER – Concert et débat chill>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Scène 27
AAdapter nos villes au changement climatique avec le vivant ? | Rencontre-débat Pop’Sciences Mag Organisée à l’occasion du lancement du 13e numéro du Pop’Sciences Mag « Ville et vivant, une question d’équilibres » (parution 20 juin), cette rencontre aura pour ambition de discuter des aménagements possibles permettant de rendre la ville de demain plus habitable. Il s’agira d’évoquer les actions diverses pour adapter la cité au changement climatique (végétalisation, conception des bâtiments en fonction des éléments naturels, baisse de l’artificialisation des sols…) mais aussi permettre à l’ensemble du vivant de mieux habiter la ville (trames vertes et bleues…).La rencontre-débat proposera un éclairage sur ces questions grâce aux regards croisés de : Karine Lapray, Ingénieure énergie et environnement, enseignante-chercheuse à l’École nationale supérieure d’architecture de Lyon, co-gérante du bureau d’études Tribu, spécialisé sur les questions environnementales ;Hugues Mouret, Directeur Scientifique de l’association ARTHROPOLOGIA.À la Maison du livre, de l’image et du son – François Mitterrand (MLIS) de Villeurbanne : jeudi 20 juin 2024, de 18h à 20hPROGRAMMATION18h00 – Présentation du 13e numéro du Pop’Sciences Mag « Ville et vivant, une question d’équilibres ».18h15 – Rencontre-débat avec Karine Lapray et Hugues Mouret.19h15 – Discussion avec le public.Gratuit, sur inscription via le formulaire ci-contre (en haut à droite de la page, ou ci-dessous sur mobile).Un événement Pop’Sciences/Université de Lyon organisé en collaboration avec la Maison du Livre, de l’Image et du Son – Villeurbanne.Le Pop’Sciences Mag « Ville et vivant, une question d’équilibres » a été :Réalisé grâce à la contribution de chercheurs issus des établissements et instituts suivants : Université Claude Bernard Lyon 1 / Université Lumière Lyon 2 / Université Jean Moulin Lyon 3 / Université Jean Monnet Saint- Étienne / École normale supérieure de Lyon (ENS de Lyon) / INSA Lyon / VetAgro Sup / Centre national de la recherche scientifique (CNRS) / Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) / emlyon business school / Cergy Paris Université.Développé avec le soutien de la Métropole de Lyon, de la Région AURA, du projet LYSiERES²– Sciences avec et pour la société et de la CASDEN.Directeur de la publication : Frank Debouck, Président de la ComUE Université de Lyon (jusqu’au 18 juin 2024) – Madame Nathalie Dompnier succède à Monsieur Debouck à partir du 18 juin. © UdL
NNouvel an lunaire Comme chaque année l’École Normal Supérieur de Lyon (ENS), à l’initiative de l’Institut d’Asie Orientale du CNRS, l’École fête le Nouvel An Lunaire.En 2024, la nouvelle année lunaire est placée sous le signe du dragon.>> Programme de la soirée (télécharger en PDF)17h45 : Accueil du public18h00 : Ouverture du Nouvel An Lunaire, mot de bienvenue par Béatrice Jaluzot (directrice de l’IAO)18h15 : « Exil, désert et arts martiaux » : introduction par Laurent Chircop-Reyes (maître de conférences en études chinoises, Université Bordeaux Montaigne, D2IA).18h45 : Projection du film de King Hu, Dragon Inn [Lóngmén kèzhàn 龍門客棧]. Durée : 111 min (1967).>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :ENS de Lyon
DDes constructions éco-touristiques en sac de terre Maxime Feugier, Bastien Delaye et Lucas Gehin sont trois jeunes ingénieurs diplômés de l’INSA Lyon à l’origine du projet « Rewall ». Avec leur idée, lancée au sein de la filière d’entrepreneuriat étudiant de leur école, les trois jeunes ingénieurs souhaitent prouver que la construction peut allier esthétique, résistance et impact écologique positif à partir d’une idée née dans les années quatre-vingt : l’écodôme en Super Adobe. Ce type de construction bioclimatique sur mesure, couplée à un outil d’Intelligence Artificielle développé par leurs soins, pourrait déployer tout son potentiel.©Rewall « Rewall One » : une habitation écologique et hors du commun, offre la possibilité d’accueillir deux personnes en autonomie totale sur le plan thermique et électrique. Avec ses 16m2, cet habitat dispose d’une kitchenette et d’une salle de bain.De la terre et des déchets plastiquesC’est de l’esprit de Nader Khalili, architecte irano-américain, que la technique du Super Adobe est née : une construction en forme de calotte qui semble être tout droit sortie de la planète Tatooine dans Star Wars. Pourtant, sous ses allures de maison de hobbit, l’écodôme offre des possibilités architecturales infinies et une efficacité énergétique très performante. « Le Super Adobe consiste à empiler des sacs en polypropylène tissés remplis de terre et de déchets plastiques, en remplacement des parpaings. Empilés très rapidement et une fois enduits de chaux et de chanvre, ce type de construction présente des propriétés isolantes et mécaniques très intéressantes, avec une empreinte carbone très réduite », introduit Lucas Gehin. La forme conique assure à la construction une stabilité et une résistance capable de résister aux séismes et aux vents violents. Originellement développé pour les activités de la NASA, le Super Adobe pourrait même résister aux tempêtes de poussière lunaire. Quant à son efficacité énergétique, elle est sans appel. « Pour une surface de 20m2 construite en Super Adobe, on trouve une moyenne de 22 degrés de température en été, pour 35 fois moins de C02 émis par rapport à une construction en béton », ajoute l’ingénieur. Face à ce constat, le groupe engagé dans le projet « Rewall » a vu une occasion concrète de faire rimer « génie civil » et « environnement ». Mais comment tirer parti de l’impact positif de cette technique capable d’allier esthétique, résistance et réutilisation des déchets ?(…)>> Lire la suite de l’article sur le site :Insa Lyon