PProduire une énergie renouvelable à partir de déchets, la biométhanation | « Dis pourquoi ? » ©RCF radioDis Pourquoi ? est une chronique de vulgarisation scientifique de 5 minutes diffusée chaque mardi sur RCF Lyon à 11h50. Dis Pourquoi ? questionne et explore notre univers par les sciences. Chaque semaine, une ou un scientifique répond aux questions et dévoile ses travaux de recherche. > Émission du 17 juin 2025Et si nos poubelles devenaient une source d’énergie ? Julie Figueras effectue des recherches sur la biométhanation au Département Génie Énergétique et Environnement et au Laboratoire DEEP – Déchets, Eau, Environnement, Pollution – de l’INSA Lyon. Cette technique vise à produire de l’énergie renouvelable à partir de déchets solides comme des tables en bois ou des chaises en plastiques, en utilisant des micro-organismes qui permettent de produire du méthane.Julie intervient régulièrement lors de rencontres en médiation scientifique avec des jeunes et le grand public, et elle a participé à la 5e édition du Festival Pop’Sciences qui a eu lieu du 16 au 18 mai 2025 à Belleville-en-Beaujolais.Écoutez le podcast :>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :RCF Lyon
LLe poids des choses La gravité, ce n’est peut-être pas si grave ! Bien sûr, elle nous cloue au sol et nous empêche de nous prendre pour des oiseaux. Elle nous crée aussi un curieux vertige au ventre quand on redescend du sommet du grand huit. Mais si toute cette lourdeur était oubliée, l’instant d’un spectacle, où le temps et toutes ses pesanteurs étaient suspendus ?Entre cirque et illusion, Camille Boitel et ses complices se jouent de la pesanteur et de la logique physique. Le poids des soucis s’évapore alors au contact de la poésie d’une enclume à hélium et la magie opère : la gravité n’est plus qu’un lointain souvenir, et le vertige sera celui de l’émerveillement.En savoir plus :TNG-Vaise
MMathématiciennes à travers le monde L’exposition Mathématiciennes à travers le monde est consacrée à 23 femmes engagées dans les mathématiques à l’échelle internationale. Réalisée par la photographe Noel Tovia Matoff à partir d’entretiens menés par la mathématicienne Sylvie Paycha, cette exposition met en lumière des parcours riches, diversifiés et inspirants. L’objectif est de valoriser la diversité dans les sciences et encourager une meilleure visibilité des femmes dans les disciplines scientifiques.L’exposition est visible pendant une semaine à la BU de Mathématiques, puis sera diffusée dans les espaces de l’Institut Camille Jordan, sur le campus LyonTech – la Doua.Inauguration vendredi 23 mai : rencontre avec Sylvie Paycha, suivie du vernissage de l’exposition | De 9h30 à 12h30 à l’amphi Camille Jordan & BU Mathématiques – Bât. Braconnier, Campus LyonTech – la Doua.Pour en savoir plus :Mathématiciennes à travers le monde
LLa recherche au service de la santé | Micro-Conférence « Les Échappées inattendues » Découvrez, à l’aide d’exemples concrets présentés par trois scientifiques, comment la mise au point de nouvelles approches technologiques en recherche fondamentale pourrait contribuer de manière significative aux avancées médicales futures dans le domaine de la cancérologie.Les 15, 16 et 17 novembre 2024, Les Échappées inattendues du CNRS ont investi le Collège Truffaut, lieu de vie créatif dédié à la bande dessinée en plein cœur des Pentes de la Croix-Rousse à Lyon. À ceux qui affirment ne pas raffoler de science, le CNRS a relevé le défi avec ce festival scientifique teinté de BD en proposant l’exploration, la découverte, l’émerveillement, la rencontre et le partage ! Cette micro-conférence a été enregistrée le 17 novembre 2024.Intervenants :00:00 Quand la physique s’en mêle par Benjamin Audit, est chercheur CNRS en physique au Laboratoire de physique de l’ENS de Lyon (LPENSL, CNRS | ENS de Lyon) 11:24 Traiter les cancers par signaux électriques par Théo Le Barre, est doctorant en ingénierie pour la santé au Laboratoire Ampère (Ampère, CNRS | École Centrale de Lyon | INSA Lyon | Université Claude Bernard Lyon 1) et au Laboratoire de génie électrique et ferroélectricité (LGE, INSA Lyon) 19:46 Et la lumière soigne ! par Cyrille Monnereau, est enseignant-chercheur en chimie à l’École Normale Supérieure de Lyon et rattaché au Laboratoire de chimie de l’ENS de Lyon (LCH, CNRS | ENS de Lyon)>> Pour en savoir plus :Les Échappées inattendues
LLe calcul differentiel et le calcul integral : expliqués et appliqués à la geometrie | Livre numérisé ©BU Lyon 1La bibliothèque universitaire de l’Université Claude Bernard Lyon 1 propose de découvrir en ligne l’ouvrage de l’abbé Deidier intitulé « Le calcul differentiel et le calcul integral : expliqués et appliqués à la geometrie », qui appartient au fonds Itard sur l’histoire et l’enseignement des mathématiques.Auteur d’ouvrages sur les méthodes de fortification, l’abbé Deidier (1698-1746) a enseigné à l’école d’artillerie de la Fère dans l’Aisne et publié plusieurs traités de mathématiques, dont celui-ci, qui a été édité à Paris par l’imprimeur-libraire Charles-Antoine Jombert en 1740.Il a également écrit un mémoire contre Émilie du Châtelet, fervente partisane de la « querelle des forces vives », célèbre controverse scientifique de l’époque des Lumières, sur la mesure de la force des corps en mouvement.>> Pour feuilleter cet ouvrage en ligne : BU LYON 1
SStatistique et société, le rôle des scientifiques Quel est le rôle des scientifiques, statisticiennes et statisticiens ? Seulement produire de la connaissance ? Ou la possibilité et/ou le devoir de prendre position dans le débat public ?À l’occasion du 50e café statistique à Lyon, trois membres du comité d’organisation vous proposent de réfléchir ensemble au rôle du scientifique dans la société. À travers leur prisme de statisticiennes et statisticiens, il sera question de leurs convictions et leurs doutes sur l’évolution des sciences et technique au sein de la société.Une rencontre proposée dans le cadre des cafés de la Statistique, « Comment la statistique peut éclairer le débat public ».> Intervenants :Anne-Laure Fougères, enseignante-chercheuse en mathématiques à l’Université Claude Bernard Lyon .Jean-Baptiste Aubin, enseignant chercheur et maître de conférences en statistique Institut Camille Jordan et INSA Lyon.Antoine Rolland, maître de conférences en statistique au sein de l’IUT de l’Université Lumière Lyon 2.>> Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site : Université Lumière LYON 2
NNouvelles perspectives pour le dépistage précoce des maladies neurodégénératives Nous connaissons toutes et tous, de près ou de loin, une personne âgée ayant subi des pertes sévères de mémoire de plus en plus importantes, des troubles du raisonnement, de l’apprentissage ou des fonctions cognitives.L’une des maladies dégénératives les plus connues est la maladie d’Alzheimer. Selon l’INSERM, près de 225 000 nouveaux cas sont dépistés chaque année. Il s’agit d’ailleurs de la principale cause de dépendance lourde du sujet âgé.Explication de Marion Girod, chimiste à l’Institut des sciences analytiques.>> L’intégralité de ce billet est disponible sur le blog :Focus science
RRoses : sur la piste des molécules au parfum enivrant Pourquoi une fleur de rose sent-elle… la rose ? Des scientifiques ont analysé la composition chimique de parfums de fleurs, dont les composés volatils servent à plaire, mais aussi à se défendre.Plante ornementale la plus cultivée du monde, prisée depuis l’Antiquité pour sa beauté et son parfum, la rose n’a pourtant pas encore livré tous ses secrets. Car, si les composants de ses effluves sont analysés depuis plusieurs décennies par les chimistes, leurs liens avec la perception de l’odeur de rose par les humains n’avaient été que très peu étudiés.Pourquoi certaines fleurs exhalent-elles une fragrance plus typique de la rose que d’autres ? Quelles molécules rendent leurs parfums agréables ? attractifs ? floraux ? fruités ? La collaboration scientifique française interdisciplinaire qui s’est attelée à ces questions épineuses vient de publier ses résultats dans la revue iScience. Ces travaux impliquent le Centre de recherche en neurosciences de Lyon et le Laboratoire de biotechnologies végétales appliquées aux plantes aromatiques et médicinales.>> Lire l’article complet sur le site :CNRS le journal
KKarine Monier, médaillée du CNRS : nanoscopie et biologie pour une meilleure compréhension des cellules Karine Monier, ingénieure de recherche CNRS au laboratoire Pathophysiologie et génétique du neurone et du muscle, a reçu en 2024 la médaille de cristal du CNRS. Seule dans sa bulle ou en équipe, Karine Monier aime réfléchir à la création de nouvelles expériences qui aideront à la compréhension de mécanismes scientifiques complexes. Ses travaux, à l’interface entre biologie, physique et chimie, ont notamment mené à l’élaboration d’un tampon de clignotement spécifique à la technologie d’imagerie de super-résolution dSTORM qui représente une avancée majeure dans la localisation de molécules uniques. Ce tampon consiste en un agent chimique réducteur contenu dans un environnement dépourvu d’oxygène.>> Découvrez les médailles du CNRS 2024 sur le site : CNRS
AAnis Tlili, médaillé du CNRS : les nouvelles applications du fluor Anis Tlili a reçu la médaille de bronze 2024 de l’organisme.À l’Institut de chimie et biochimie moléculaires et supramoléculaires, où il est directeur de recherche, Anis Tlili explore la catalyse et la chimie du fluor. Il valorise et remplace ainsi des molécules qui impactent l’environnement.À l’occasion de cette distinction, il revient sur son parcours et ses travaux de recherche.>> Découvrez les médailles du CNRS 2024 sur le site : CNRS