LLe rendez-vous bien-être animal | Fiche pédagogique – Focus sur les bonnes pratiques au pâturage ®-Chaque semaine, la Chaire bien-être animal vous propose sur son site internet une nouvelle ressource en lien avec le bien-être animal ! Ce rendez-vous est relayé tous les mardis sur Facebook, Linkedin et Instagram avec le hashtag #LeRdvBEA. Suivez-nous !Le RDVBEA de la semaineVous êtes intéressé par la pratique du pâturage et envisagez de la mettre en place dans votre élevage ? Vous souhaitez connaître les avantages et les points d’attention ? Cette fiche pédagogique issue de notre MOOC sur le bien-être des bovins laitiers est là pour vous aider !Le MOOC sur le bien-être des bovins laitiers a été élaboré par Danone, Institut de l’Elevage (Idele), Phylum et la Chaire bien-être animal de VetAgro Sup : il est gratuit et accessible à tous sur inscription sur notre plateforme iciRejoignez-nous et venez vous former sur le bien-être des bovins laitiers et plus largement sur le bien-être des animaux en 2 heures (et plus si affinités) ! Pour voir l’article, cliquez sur l’image : Les précédents RDVBEAVidéo – Céline Tellier, une ministre belge engagée pour le bien-être animal ici Vidéo – Klimaco : accompagner les éleveurs bovins au changement climatique iciArticle – Le CowToilet : des WC pour vaches pour réduire les émissions d’ammoniac et mieux valoriser l’azote ? iciVidéo – L’enseignement du monde animal à l’école primaire iciArticle – Concilier élevage et environnement ici Pour retrouver tous les rendez-vous BEA
ZZoostories, où suis-je ? | Exposition en ligne Des bêtes et des HommesLes collections naturalistes sont des lieux particuliers de la relation de l’humain avec la nature. Chaque espèce animale et végétale, précieusement conservée, est à la fois une ressource, et donc un certain avenir de la recherche scientifique, mais aussi la mémoire de ce qui était. Par la photographie naturaliste, l’exposition en ligne Zoostories interroge cette relation intime qui se tisse entre l’homme et l’animal. Faunes naturalisées européennes ou exotiques, issues des collections de zoologie de l’Université Claude Bernard Lyon 1, interrogent leur place dans l’écologie humaine. Une conversation imaginaire entre les animaux eux-mêmes, se posant la question de leurs destins parmi les humains.Sur le campus universitaire de la Doua, lieu de cohabitation entre la nature étudiée et la nature qui y habite, cette fois c’est la nature qui étudie son environnement.Cette exposition photographie, pensée comme une narration, donne, en quelques sortes, la parole aux bêtes.>> Découvrir l’exposition :Zoostories, où suis-je ?
LL’idée reçue bien-être animal | Le cheval n’a pas besoin de se coucher pour se reposer : VRAI ou FAUX ? Chaque mois, la Chaire bien-être animal traite une nouvelle idée reçue sur le bien-être animal et l’élevage! Ce rendez-vous est relayé à la fin de chaque mois sur Facebook, Linkedin et Instagram avec le hashtag #IdéereçueBEA et dans notre Newsletter. Suivez-nous ! La dernière idée reçueLe cheval n’a pas besoin de se coucher pour se reposer : VRAI ou FAUX ? Les précédentes idées reçuesLes croquettes végétaliennes sont bonnes pour mon chien ou mon chat : VRAI ou FAUX ?Les animaux d’élevage sont nourris avec des aliments contenant des antibiotiques, VRAI ou FAUX ?Les chiens catégorisés sont plus méchants que les autres, VRAI ou FAUX ? Il faut 15 000 litres d’eau pour produire 1 kg de viande de bœuf, VRAI ou FAUX ?Rien n’est fait pour protéger les animaux en abattoirs, VRAI ou FAUX ?Il faut laisser les chats errants vivre leur vie, VRAI ou FAUX ?Cheval au pré, cheval heureux, VRAI ou FAUX ?Les animaux utilisés en expérimentation finissent leur vie en laboratoire, VRAI ou FAUX ?L’amélioration du bien-être des animaux est toujours une contrainte pour les éleveurs, VRAI ou FAUX ?Les colliers électriques et étrangleurs sont positifs pour les chiens et leur éducation, VRAI ou FAUX ?La proportion de personnes adoptant des régimes sans viande est de plus en plus importante, VRAI ou FAUX ?Les poissons ne ressentent pas la douleur, VRAI ou FAUX ?Les haies sont indispensables au bien-être des animaux vivant en plein air, VRAI ou FAUX ?Seuls les taureaux ont des cornes, VRAI ou FAUX ?Les animaux au pâturage sont forcément heureux, VRAI OU FAUX ?Un chat qui ronronne est un chat heureux, VRAI ou FAUX ? Quand on mange de la viande de bœuf on mange vraiment du bœuf, VRAI ou FAUX ? Le bien-être est le même pour tous les animaux, VRAI ou FAUX ? En France, les animaux d’élevage sont nourris avec du soja issu de la déforestation, VRAI ou FAUX? : Le bien-être est meilleur dans les élevages de petite taille ! VRAI ou FAUX ? : Il faut nourrir les oiseaux l’hiver, VRAI ou FAUX ? en partenariat avec la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) : Tondre un mouton, ça lui fait mal ! VRAI ou FAUX ? : Le chat peut boire du lait de vache, VRAI ou FAUX ? :Le froid arrive : il faut vite mettre les vaches à l’abri ! VRAI ou FAUX :Faut-il un coq pour qu’une poule ponde des œufs? VRAI ou FAUX :Les vaches laitières produisent spontanément du lait toute l’année, VRAI ou FAUX ? :>> Pour plus d’information rendez-vous sur la page :Vetagro sup
ÉÉmotions, quand elles cessent d’être le propre de l’humanité Est-il possible qu’une femelle poisson ressente des émotions pour son partenaire ? La question des émotions chez les animaux non-humains a longtemps été considérée comme un sujet tabou, car elle était jugée trop anthropomorphique. Elle revient maintenant sur le devant de la scène avec des découvertes scientifiques récentes en biologie du comportement. La composante subjective des émotions est délicate à explorer chez les animaux. Contrairement aux êtres humains, ils ne peuvent pas verbalement exprimer leurs expériences intérieures. Mais il est néanmoins possible de définir et quantifier objectivement les émotions chez les animaux. Elles se retrouvent non seulement chez les primates ou les mammifères, mais aussi chez les oiseaux, les poissons ou les insectes. Ces découvertes interrogent l’idée que les émotions seraient un caractère de notre espèce, et elles soulèvent d’importantes questions éthiques : comment penser notre rapport à l’animal en promouvant des pratiques plus respectueuses ?A l’occasion de cette conférence, François-Xavier Dechaume-Moncharmont, spécialiste en biologie du comportement animal à l’université Lyon 1, viendra nous éclairer sur toutes ces questions passionnantes.Pour en savoir plus :BM Part Dieu
LLe biomimétisme pour ré-émerveiller les gens | Visages de la science Saviez-vous que les technologies GPS s’inspiraient directement du comportement des fourmis ? Jean-Matthieu Cousin, ingénieur INSA Lyon, est chargé d’études industrielles au Ceebios, le centre d’expertise et d’études en biomimétisme en France. Sa mission ? Mobiliser le plus d’acteurs à prendre la voie du biomimétisme pour proposer des innovations durables. Passionné par le biomimétisme qu’il considère comme une vraie philosophie, il souligne l’importance de reconsidérer le vivant, de se reconnecter avec les écosystèmes qui nous entourent afin de s’en inspirer, mais surtout de les préserver. S’inspirer du vivant ou faire avec le vivant ?« Beaucoup de mots gravitent autour de cette discipline : biomimétique, biomimétisme, bio-inspiration… In fine le dénominateur commun est qu’il s’agit surtout de s’inspirer du vivant pour innover », explique l’ingénieur. Mais plus encore, Jean-Matthieu Cousin considère que l’engouement autour du biomimétisme doit être également considéré comme un appel à challenger notre rapport au vivant.L’inspiration, oui. Mais la préservation avant tout.Santé, énergie, logement, mobilité, alimentation… Les organismes vivants et la nature deviennent depuis plusieurs années une source d’inspiration importante. Jean-Matthieu souligne l’importance de reconsidérer le vivant et les écosystèmes qui nous entourent afin de s’en inspirer, mais surtout de les préserver.De l’importance de se reconnecter avec le vivant« Apprenez de la nature, vous y trouverez le futur », avait dit Léonard de Vinci. Une vision que partage l’expert en biomimétisme et qui voit en la nature un formidable réservoir de la nature dont il est urgent de s’inspirer pour innover dans une perspective durable. « Je voudrais que ma discipline aille plus loin et invite les gens à reconsidérer le vivant différemment. Il est important d’aller au-delà d’une approche très utilitariste », confie-t-il au micro des « Cœurs Audacieux ». Jean-Matthieu Cousin, diplômé du département de génie mécanique de l’INSA Lyon était l’invité du podcast « Les cœurs audacieux », un contenu audio proposé par l’INSA Lyon (Saison 2 – Épisode 8). ÉCOUTER L’ÉPISODE
SSemaine du Cerveau – Édition 2024 Venez découvrir votre cerveauPour sa 26e édition, la Semaine du Cerveau 2024 dans la Métropole de Lyon se place sous le thème : « Mon cerveau : une affaire sensible ». En effet, nos cinq sens ne se limitent pas à identifier les stimuli, mais leurs attribuent également une valeur émotionnelle. De plus, l’interprétation que fait le cerveau des informations qu’il capte dépend également de son niveau de conscience et de l’évaluation du stimulus pour le bien-être futur de l’individu. Par exemple, que se passe-t-il dans notre cerveau lorsque nous tombons amoureux lors d’une rencontre imprévue, ou bien lorsque que nous succombons à certaines addictions comme à la vue de notre téléphone portable ou d’un paquet de cigarettes ? Les mécanismes mis en jeu sont-ils les mêmes dans tous ces cas de figure ?La mise en lumière par la recherche des mécanismes qui sous-tendent ces fonctions exige notamment une excellente connaissance de l’architecture neuronale, tant au niveau cellulaire qu’au niveau de la connectivité de l’ensemble du cerveau. C’est sur la base de ces connaissances issues de la recherche fondamentale que reposent en grande partie les approches thérapeutiques autour de pathologies comme la dépression, l’autisme ou la schizophrénie.Les animations de la Semaine du Cerveau aborderont plusieurs de ces thèmes qui font l’objet de recherches particulièrement développées dans la Métropole de Lyon. Les rencontres se veulent interactives et nous comptons sur votre participation. Les chercheurs et chercheuses en neurosciences de notre communauté ont préparé des interventions destinées au grand public. Au nom du Comité d’organisation et de nos sponsors je les remercie chaleureusement pour leur engagement.À toutes et à tous, bonne Semaine du Cerveau 2024Rémi Gervais, Professeur émérite, Université Claude Bernard Lyon 1, Conseiller scientifique de la Semaine du CerveauCentre de Recherche en Neurosciences de Lyon (Lyon 1 / CNRS / Inserm) LLa programmation DANS L’AGGLOMÉRATION LYONNAISE (et au-delà…)Retrouvez tous les détails de la programmation sur le site de la Semaine du CerveauLundi 4 marsSea Hero Quest : quand le jeu vidéo devient un outil pour les neurosciences | À 19h30 à Tire-toi une bûche-bar à jeux, Lyon 6e – AtelierMardi 5 marsVoir la santé du cerveau à travers les yeux : regards croisés de la recherche clinique et de l’orthoptie | De 17h à 19h à la BU Sciences de l’Université Lyon 1, Villeurbanne – ConférenceJeudi 7 marsLe cerveau en action : perception et conscience | À 19h30 à la médiathèque de Vaise, Lyon 9e – ConférenceSamedi 9 mars Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille !” | À 16h, Cinéma Les Templiers, Montélimar – Ciné-débatLundi 11 marsÀ la découverte de notre cerveau : les cinq sens | dans des établissements scolaires de l’agglomération – Atelier [COMPLET]Mardi 12 marsL’odorat : un sens émotionnel caché et omniprésent | De 18h30 à 20h30 à la bibliothèque municipale de la Part-Dieu, Lyon 3e – ConférenceL’architecture au service des personnes autistes | De 18h30 à 20h à la bibliothèque municipale Jean Macé, Lyon 7e – ConférenceComment mieux vivre avec les écrans ? | De 18h à 19h30 au Centre hospitalier Le Vinatier, Bron – ConférenceÀ l’ère des machines qui parlent : plongée au cœur l’intelligence artificielle | De 18h30 à 19h30 à la médiathèque MédiaLune, Tassin-La-Demi-Lune – ConférenceMercredi 13 marsExplorons les mystères de notre cerveau, une visite guidée pour les grands et les petits ! | De 13h30 à 17h30 à l’Institut IDEE, Bron – Visite de laboratoireSensibilisation aux maladies rares du neuro-développement | De 16h à 18h à la médiathèque du Bachut, Lyon 8e – AtelierDu neuro-enchantement aux neuromythes, et si on parlait sciences plutôt ? | À 18h30 au café-librairie Carbone, Villeurbanne – RencontreMercredi 13 et jeudi 14 marsÀ la rencontre de l’équipe de recherche en neurosciences et psychiatrie, PsyR² | Plusieurs visites de 1h30 au Centre hospitalier Le Vinatier, Bron – Visite de laboratoireJeudi 14 marsInnovations en psychiatrie : à la découverte de nouveaux médicaments | De 18h30 à 20h à la mairie de Lyon 8e – ConférenceQuand le cerveau tombe amoureux | de 19h à 20h30 au musée des Confluences, Lyon 2e et en direct sur Facebook et Youtube – ConférenceVendredi 15 marsJournée du sommeil : Manger Bouger Dormir | De 14h à 17h au Centre hospitalier Le Vinatier, Bron – ConférencesSamedi 16 marsLe cerveau dans tous ses sens | De 10h à 12h et de 14h à 16h à la médiathèque MédiaLune, Tassin-La-Demi-Lune – Atelier« Wrong », entre rêve et réalité | À 11h au cinéma Le Comoedia, Lyon 7e – Ciné-débatLundi 18 marsComprendre les difficultés d’interaction sociale | De 18h30 à 20h au CNRS, Villeurbanne – Table-ronde – Traduction LSFJeudi 21 marsLe cerveau aux rayons X | De 19h30 à 20h au Planétarium de Vaulx-en-Velin – ConférenceThe Voices | À 20h30 à l’Aquarium ciné-café, Lyon 4e – Ciné-débatLundi 25 marsNaviguer parmi les distractions : comment maîtriser son attention ? | À 19h30 à la MJC Monplaisir, Lyon 8e – Conférence – Traduction LSFMercredi 27 marsAccessibilité numérique et santé mentale | À 16h à la médiathèque du Bachut, Lyon 8e – AtelierJeudi 28 marsCerveau biologique et intelligence artificielle : quels rapports ? | De 18h30 à 20h à la bibliothèque du Point du Jour, Lyon 5e – Conférence Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :Semaine du cerveau à Lyon et agglomérationPPour aller plus loinVous pouvez consulter les :Ressources Pop’Sciences sur le cerveau et les neurosciences
ÉÉpidémies, prendre soin du vivant Alors que nous venons de traverser collectivement la pandémie de la COVID-19, quelle mémoire conservons-nous des épidémies du passé et comment nous préparer à celles à venir ? Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines mais aussi les autres espèces animales, sur tous les continents. En s’appuyant sur des collections de médecine, d’ethnographie, des spécimens d’histoire naturelle ou encore des œuvres contemporaines, l’exposition nous invite à envisager les épidémies comme un phénomène non seulement biologique mais également social, dans un monde où santé humaine, santé animale et santé environnementale sont liées.Une exposition du musée des Confluences d’après un concept original du National Museum of Natural History, Smithsonian Institution de WashingtonPlus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
QQuand le cerveau tombe amoureux Disponible également en direct et en replay sur Facebook et YouTubeDopamine, endorphine, ocytocine… L’amour ne serait-t-il que le résultat de l’action de diverses molécules et hormones ? Les neurosciences et la biologie expliquent le rôle fondamental du cerveau dans une relation amoureuse et lèvent une part de mystère sur ce sentiment universel.Par Bernard Sablonnière, médecin biologiste, professeur de biologie moléculaire à la Faculté de médecine de l’Université de Lille, chercheur à l’Inserm et auteur de La chimie des sentiments.Plus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCESEn partenariat dans le cadre de la Semaine du cerveau
JJournée thématique : Épidémies, décrypter pour avancer Si elles accompagnent les espèces animales depuis toujours, les récentes épidémies et notamment celle de coronavirus SRAS-CoV-2 ont replacé les maladies et les virus au cœur de notre société. Une journée pour parler sereinement des épidémies d’hier, d’aujourd’hui… et de demain.En écho à l’exposition Épidémies, prendre soin du vivantAu programme le 25 mai :à 14h, atelier « Viral » en réalité virtuelleà 15h, projection de Pandémies de Sophie Bensadounà 16h, table ronde autour de la question : « Comment les épidémies transforment nos sociétés ? »Plus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
«« J’essaie de comprendre comment les forces de sélection naturelle modifient le sommeil dans le règne animal. » | Visages de la science Ingénieur de recherche au Centre de recherche en neurosciences de Lyon, Paul-Antoine Libourel vient d’obtenir son habilitation à diriger des recherches. L’occasion de revenir sur son parcours atypique, sa passion pour le sommeil des animaux et de découvrir sa dernière étude sur le sommeil des manchots de l’Antarctique.Paul-Antoine Libourel est ce qu’on pourrait appeler une vocation tardive. Issu d’une famille de médecins, le jeune homme s’oriente après son bac vers des études de mécanique et productique, avant de se spécialiser dans l’instrumentation médicale et de compléter sa formation par un master en traitement d’images. C’est en commençant à chercher du travail qu’il réalise que, s’il lui apporte de nombreuses satisfactions sur le plan intellectuel, son parcours éclectique le dessert pour décrocher un emploi. C’est alors qu’il passe un concours du CNRS pour un poste d’ingénieur d’étude au Museum d’histoire naturelle de Paris…>> Pour lire l’article complet, rendez-vous sur le site :Cortex mag