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Journalisme et science, quelles relations ? | Un dossier Pop’Sciences

JJournalisme et science, quelles relations ? | Un dossier Pop’Sciences

D’un côté, entre demandes extemporanées, ambivalence face aux publications scientifiques, souhait de répondre à l’attente des lecteurs, auditeurs, et, de l’autre, une temporalité de la recherche sur un temps long, la prise de recul, le temps de la réflexion, d’ajustements, de confrontations… journalistes et chercheurs ont malgré tout un objectif commun de production et de diffusion des savoirs. Quelles relations entretiennent-ils ? Quelles en sont limites ? Et comment les dépasser pour diffuser une information scientifique fiable et accessible ?

Pendant trois ans, Pop’Sciences a travaillé sur ces questions au travers d’une série d’actions mettant en relations régulières les communautés scientifiques et journalistiques sur les territoires de Lyon et Saint-Étienne. Au travers de rencontres avec du grand public, des classes de collège et lycée, et entre professionnels, ces acteurs ont débattu, interrogé la relation chercheur-journaliste. Retrouvez dans ce dossier la restitution de ces réflexions au travers de podcasts, vidéos, bandes dessinées et articles.

LLes articles du dossier

  • #1 – Résidence chercheur – journaliste 2023 : à la découverte du métier de l’autre 

© Muriel Florin

Pop’Sciences a organisé deux résidences croisées entre un journaliste et une chercheuse, en 2023 et en 2024. Cette résidence avait pour objectif de faire se rencontrer les deux professions, qui sont parfois en relation, mais dont les fonctionnements et impératifs différent largement. Grâce à plusieurs semaines de travail en binôme chercheur – journaliste, la résidence permet de mieux comprendre les problématiques de chaque corps de métier et ainsi faciliter la collaboration entre les deux professions dans un objectif commun de production et de diffusion des savoirs.

Découvrez la résidence 2023, avec un binôme de journalistes du Progrès et une chercheuse de l’Institut NeuroMyogène, au travers d’une bande dessinée, une vidéo, et une analyse de leur expérience par les résidentes.

Lire l’article #1

 

  • #2 – Résidence chercheur – journaliste 2024 : comment mieux travailler ensemble

© Vincent Noclin

Découvrez la résidence 2024, avec un journaliste de BFM Lyon et une chercheuse du Centre international de recherche en infectiologie, au travers d’une bande dessinée, d’une série de podcasts et d’un récit de leur expérience.

 

Lire l’article #2

 

  • #3 – La relation chercheur – journaliste : vécus et expériences, rédigé par Étienne Richard pour Pop’Sciences – Avril 2025

© Vincent Noclin

Au cours d’un séminaire Pop’Sciences rassemblant les acteurs de la culture scientifique et technique de Lyon et Saint-Étienne, une table-ronde a été organisée sur la thématique de la relation entre chercheur et journaliste. Comment les chercheurs conçoivent-ils leurs relations avec la presse ? Quand et comment les journalistes sollicitent-ils les chercheurs ? Comment travaillent-ils ensemble ? Pour explorer ces questions, trois chercheurs, trois journalistes et une directrice de la communication sont venus partager leurs expériences.

Lire l’article #3

 

ppour aller plus loin

Le jeu « En Quête de Science »

De toutes ces expérimentations, Pop’Sciences a choisi de réunir leurs enseignements dans un jeu pédagogique pour initier aux spécificités du journalisme scientifique. Un jeu autant à destination d’étudiants en journalisme et journalistes professionnels que de lycéens, ou encore de chercheurs, pour s’acculturer aux enjeux du traitement des sciences dans les médias.

Découvrez le jeu « En Quête de Science » :

ici

Chercheur – journaliste : le temps de se comprendre pour mieux faire ensemble | Récit – Dossier Pop’Sciences : Journalisme et science, quelles relations ?

CChercheur – journaliste : le temps de se comprendre pour mieux faire ensemble | Récit – Dossier Pop’Sciences : Journalisme et science, quelles relations ?

Faire se rencontrer chercheurs et journalistes pour davantage se connaître et collaborer ? Tel est le pari du dispositif de résidence croisée mis en place par l’équipe Pop’Sciences de l’Université de Lyon, dans le cadre du projet LYSiERES². Un défi relevé avec succès lors d’une première résidence en 2023. Retours sur la seconde édition qui révèle une nouvelle expérience féconde et l’envie d’une meilleure coopération aux bénéfices partagés.

210 heures, soit 30 jours : c’est le temps que Guillemin Rosi, en charge de la confection des programmes et des magazines thématiques sur BFM Lyon et Coralie Bouchiat, chercheuse au CIRI[1] , auront passé ensemble à la fin de cette seconde résidence croisée, débutée en octobre 2024. La chercheuse s’est rendue dans la rédaction de BFM, en binôme avec le journaliste, qui, par la suite, a rejoint la microbiologiste dans son laboratoire. Objectif : découvrir le métier de l’autre, « s’acculturer » à son univers, avec pour but de contribuer à améliorer les collaborations entre les deux professions. À l’issue de cette immersion, les deux acteurs vont créer des objets pour rendre compte de cette découverte mutuelle. Une bande dessinée ainsi qu’un podcast sont en projet.

À l’origine : une méconnaissance mutuelle et une certaine curiosité…

Avant de débuter l’aventure, Coralie Bouchiat et Guillemin Rosi partagent le même constat : les relations entre leurs deux métiers sont distantes, voire inexistantes pour la chercheuse : « Mon rapport avec les journalistes avant ? Aucun ! ». Le journaliste confirme que son lien avec la recherche est distendu et qu’il intervient plutôt selon les besoins de l’actualité. Travaillant dans un média grand public, il cherche à obtenir des informations facilement « vulgarisables » et accueillir un invité « bon client qui ne va pas ennuyer ou perdre le téléspectateur… ».

Qu’est-ce qui a poussé les deux participants à répondre à l’appel à projet LYSIERES² ? La curiosité ! La chercheuse avait envie d’un projet alternatif et le journaliste souhaitait comprendre les raisons des difficultés entre médias et sciences.

Souvenirs du premier jour de résidence : ça pique !

Les premiers moments de la résidence vont bien vite les faire renoncer à leurs préjugés sur la profession de l’autre… À son arrivée au siège de BFM Lyon, la chercheuse est frappée par la discrétion des locaux et la modestie des moyens : « La journaliste qui allait rentrer sur le plateau n’avait ni maquilleuse, ni coiffeuse. La jeune reporter partait sur le terrain seule, avec son iPhone et son trépied dans un sac à dos. J’imaginais cet univers avec un peu plus de paillettes ! ». Le journaliste n’est pas, non plus, épargné par la surprise, en entrant, pour la première fois, dans les locaux du CIRI (dont les membres sont partis en congrès). Il découvre un bâtiment immense quasiment vide, assez froid, alors qu’il pensait accéder à lieu très fréquenté et collaboratif : « Les chercheurs ne sont pas là physiquement, ils sont toujours à droite, à gauche. C’est l’inverse de ce que je connais dans mon quotidien ! ». Et puis, il prend conscience que l’activité de recherche n’est pas la seule qui occupe le scientifique : « Il y a plein de temps qui ne sont pas consacrés à la recherche pure : démarches administratives, enseignement ».

Des univers de travail aux antipodes

Chacun va connaître de nouvelles surprises, en approchant le milieu de son binôme. Coralie Bouchiat découvre six personnes réunies dans un open-space, qui se parlent du matin au soir et s’interrompent en permanence : une véritable ruche… « J’ai mis quelques jours à comprendre qu’ils coconstruisent (sur un reportage, l’un va couper les images un autre fait le liner[2] et un autre fait la voix off…) : et en fait, ça marche ! C’est à l’opposé de notre fonctionnement. Dans mon métier, chacun s’occupe de sa tâche de A à Z et il lui faut un minimum de concentration ». Guillemin Rosi confirme qu’il a perçu le métier de chercheur comme solitaire, penché sur sa paillasse ou devant l’ordinateur et conclut : « Je croyais que l’on faisait de la science comme moi je travaillais l’info ».

©Vincent Noclin – Séminaire Pop’Sciences mars 2025

« On n’a pas du tout le même espace-temps »

Ce qui semble aussi différencier radicalement l’univers de la chercheuse de celui du journaliste, c’est la conception du temps. Le journaliste fonctionne dans l’urgence permanente et son unité de temps, c’est l’heure ou la journée, pour préparer le programme de son JT. Il a ainsi du mal à comprendre pourquoi un chercheur ne parvient pas à se rendre disponible immédiatement car « dans l’actualité, un délai d’un mois, une semaine, un jour, ce sera trop tard en fonction du sujet » résume Guillemin Rosi. Dans ce contexte, le journaliste se voit remettre, chaque matin, une tâche à accomplir qui se termine à la fin de la journée. À l’inverse, le processus de travail du chercheur semble infini : pour Coralie Bouchiat, « on n’a jamais de sentiment d’achèvement dans la recherche (y compris quand l’on termine la rédaction d’un articleet l’on ne travaille pas dans l’urgence ». En effet, même si le chercheur est confronté aussi à des délais (congrès, publications), on parle de mois, d’années alors que pour le journaliste, il s’agit d’heures ou de journées.

Le sentiment d’illégitimité du chercheur : « je ne suis pas spécialiste de… »

Autre obstacle à la collaboration : la difficulté, pour les journalistes, à trouver des chercheurs qui répondent à leurs sollicitations. Guillemin Rosi admet que les volontaires sont rares, à part quelques personnalités habituées et disponibles rapidement. Une cause possible serait ce fameux « sentiment d’illégitimité » du chercheur qui l’empêche d’intervenir. Coralie Bouchiat l’exprime ainsi : « Je suis spécialiste en recherche biomédicale. Pas spécialiste de la coqueluche. J’aurais l’impression de voler la légitimité à l’expert de la coqueluche si j’intervenais sur ce sujet dans les médias. Cela serait très mal vu par mes pairs ». S’ajoute à cela la peur du chercheur de voir ses propos déformés, alors qu’il est attaché à la nuance, à la précision et que le journaliste peut être tenté de prendre des raccourcis. Comme le souligne Coralie Bouchiat : « Il y a du travail à faire pour que les chercheurs arrivent à vulgariser ».

Et l’avenir, ce serait mieux comment ?

Du côté du journaliste, les attentes ne manquent pas mais les solutions sont possibles : en matière d’accès à l’information, tout d’abord. Celles qui figurent dans les revues scientifiques étant trop techniques et peu accessibles. Il faut aussi pouvoir contacter facilement les chercheurs : « c’est indispensable d’avoir un numéro de mobile pour joindre quelqu’un dans la journée ». Enfin, les laboratoires doivent accepter de donner à voir et mettre à disposition des banques d’images ou des vidéos.

Qu’en est-il pour la chercheuse ? « Cette résidence m’a permis de découvrir le monde du journalisme, qui finalement ne fait pas si peur, et surtout de prendre conscience de notre incapacité dans la vulgarisation et communication de nos résultats, ce qui est bien dommage… ». Selon elle, il faut convaincre le chercheur que parler de son travail peut valoriser son activité. Cette sensibilisation doit intervenir au plus tôt, dans le cadre du doctorat, par exemple.

Enfin, le sentiment d’illégitimité du chercheur peut être vaincu avec l’aide du journaliste, qui, comme le rappelle Guillemin Rosi, peut cadrer son intervention, le mettre à l’aise sur sa légitimité pour aborder quelque chose de plus vaste que sa spécialité. À condition qu’il accepte de se placer à la portée du journaliste et du public. Comme le résume le physicien Patrice Abry, qui assiste à la restitution : « la vulgarisation scientifique, c’est peut-être renoncer à l’usage de la technique, mais pas renoncer à parler de la science ».

Un article rédigé par Anne Guinot,

co-rédactrice en chef Pop’Sciences Mag – 16 avril 2025

 

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Notes

[1] CIRI – Centre International de Recherche en Infectiologie : https://ciri.ens-lyon.fr/

[2] Liner : en communication, un liner est un court message écrit (à la TV) ou parlé (à la radio) permettant au destinataire d’identifier ce qui est présenté : nom de la chaîne, de l’émission, de l’artiste, de la personne interviewée, du titre, du produit, de la marque (source : Wikipedia).

 

 

 

 

 

 

Satellites de télécommunications et cybersécurité

SSatellites de télécommunications et cybersécurité

Dans l’espace gravitent une multitude d’objets. Parmi eux, des satellites de télécommunications, placés en orbite autour de la terre, jouent le rôle de messagers, fournissant entre autres, services Internet, téléphonie, télévision et assistance à la sécurité civile et à la Défense.

Parmi les menaces de cybersécurité guettant les satcoms, l’interception de données est reine. En 2020, un doctorant d’Oxford démontrait lors de la Black Hat Conf aux États-Unis qu’il était parvenu à intercepter les données de dix-huit satellites à l’aide d’un équipement bon marché. Cette expérience soulignait déjà la nécessité d’un renforcement urgent de mesures de cybersécurité, dans un secteur en pleine expansion.

C’est une affaire qui avait finalement causé peu de bruit dans les médias français, mais qui avait suscité autant l’admiration que le trouble chez les spécialistes des satcoms : en août 2020, James Pavur, jeune étudiant américain d’Oxford, avait démontré la vulnérabilité d’une quinzaine de satellites à haute orbite. À l’aide d’une antenne parabolique et d’un tuner satellite DVB-S achetés pour moins de 300 dollars en ligne, le jeune White hat1, montrait comment il était possible d’intercepter du trafic non-chiffré échangé par satellite, en temps réel.

« En interceptant certains des flux de ces satellites qui transitaient des informations non-sécurisées vers un fournisseur d’accès à internet, il a réussi à récupérer des données envoyées à des internautes, mais aussi à des avions et des bateaux. Cela a rappelé l’importance de renforcer les mesures de sécurité, et la marge de progression dans le domaine de la sécurité des télécoms par satellite », explique Nicolas Lepotier, élève-ingénieur au département télécommunications de l’INSA Lyon et passionné de cybersécurité.

©Nicolas Lepotier

Les satellites de télécommunications : kesako ?

Placé dans l’espace pour répondre à des besoins de communication, un satellite de télécommunications relaie des signaux diffusés par des stations émettrices, vers des stations réceptrices. Apparue dans les années 1960, cette technologie a d’abord été développée pour transporter des communications téléphoniques et télévisuelles sur de grandes distances, pour ensuite être étendue à la télévision et à internet.

>> Lire la suite de l’article sur le site :

Insa lyon 

Vulnérabilité(s). Réapprendre le commun face à la crise | Livre

VVulnérabilité(s). Réapprendre le commun face à la crise | Livre

©UCLy

Face aux défis globaux de notre époque – crise environnementale et politique, numérisation invasive, fragilisation des systèmes de santé et du monde du travail – le concept de vulnérabilité prend un sens nouveau et peut s’appliquer à des systèmes, voire à l’ensemble d’une collectivité.

Ce second volume issu des travaux de la Chaire d’Université Vulnérabilités de l’UCLy interroge la notion de « commun » à l’épreuve de ces multiples défis, et explore la dimension partagée de la vulnérabilité. Comment réorienter nos sociétés pour répondre à la fragilisation croissante de nos systèmes et milieux de vie ?

Les textes ici réunis tentent de répondre à cette question à travers les regards croisés de la philosophie, de la théologie, de la médecine, du droit, de l’éthique, de l’anthropologie, de la psychologie et de la sociologie.

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

Ucly

L’information échappe-t-elle à la question du genre ?

LL’information échappe-t-elle à la question du genre ?

L’École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques – Enssib, vous invite à suivre cette journée d’étude qui s’interroge sur ce qui se joue sur le plan du genre en matière de données et de systèmes d’information, et présentera des dispositifs de sensibilisation et de formation faisant le point sur les enjeux en lien avec ces questions. 

L’Éducation aux médias et à l’information (EMI) apparaît comme un enjeu majeur des problématiques sociétales contemporaines. Avec le soutien du ministère de la Culture, l’Enssib et l’Inspé de l’Académie de Lyon poursuivent leur cycle de journées d’étude autour des enjeux et perspectives de la littératie informationnelle.

> Le programme :

  • de 9h à 9h30 | Accueil café
  • de 9h30 à 10h30 |Les questions de genre liées à l’information et aux systèmes d’information
  • de 10h30 à 11h30 | Lutter contre la violence des données issues de la datafication : pour une littératie des données queer

Issue de certaines pratiques de datafication, une essentialisation des données fait subir aux personnes queer une invisibilisation de leurs quotidiens et des discriminations du fait de mauvais calibrages des jeux de données et des algorithmes associés. Cette conférence cherche à poser les bases d’une littératie des données queer afin de proposer des formes alternatives de données pour représenter au mieux les vies queer.

Intervenant : Ugo Verdi, docteur en Sciences de l’information et de la communication, ingénieur de recherche, Université de Bordeaux

  • 12h à 13h30 | Pause déjeuner
  • 13h30-14h | Présentation du projet Gender-Ed Coalition, porté par Savoir*Devenir

Ce projet porte sur la sensibilisation du grand public aux enjeux de l’éducation au genre en contexte de désinformation et vise à mettre en lumière les phénomènes de la désinformation sexiste et genrée et la violence qui en découle dans les médias sociaux.

Intervenante : Divina Frau-Meigs, professeur en Sciences de l’information et de la communication

  • 14h à 15h45 | Nouvelles prises de conscience, nouveaux enjeux : quelle prise en compte au sein des dispositifs de sensibilisation et de formation ?

Intervenantes :

> Céline Robert, responsable du fonds de recherche sur le genre ASPASIE, BU Éducation Lyon  ;
> Sylvie Tomolillo, responsable du Centre de ressources sur le genre, Bibliothèque Municipale de Lyon ;
> Association Mémoires minoritaires ;
> Aurélie Delmas, journaliste et formatrice au sein du Centre de formation des journalistes.

  • 15h45 à 16h | Synthèse grand témoin, par Divina Frau-Meigs

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

Enssib

Communiquer à l’ère du numérique

CCommuniquer à l’ère du numérique

Une histoire subjective des communications, les principaux fondamentaux d’Internet, les principes fondamentaux des réseaux mobiles depuis la 2G jusqu’à la tant attendue 6G.

Au cours de cette présentation, Fabrice Valois reviendra sur une histoire subjective de la communication chez les êtres humains, en quelques dates, pour illustrer notre quête visant à réduire le temps comme la distance pour accéder ou partager une information. Il s’attardera ensuite sur quelques innovations majeures du XXe siècle, en particulier Internet et terminera sa conférence par le fonctionnement des réseaux cellulaires, en tentant d’expliquer les idées clefs qui se cachent derrière la 5G puis la 6G.

> Consultez le programme des Soirées Scientifiques 2024-25

>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :

Université Ouverte Lyon 1

           

C’est à ce moment là que j’ai su que je voulais faire une thèse | Du Neuf Docteur ?

CC’est à ce moment là que j’ai su que je voulais faire une thèse | Du Neuf Docteur ?

Chaque parcours scientifique est unique. Ils sont faits d’échecs, de réussites, mais surtout d’opportunité. Nedjma Beldjoudi a du se battre pour pouvoir rentrer à l’université de son choix malgré l’algorithme de parcoursup. Grâce à sa détermination et ses efforts et l’aide d’un super professeur, elle fait aujourd’hui la thèse de ses rêves. Elle nous raconte son parcours inspirant dans cette vidéo Du Neuf Docteur!

Par : Du Neuf Docteur ? en collaboration avec Nedjma Beldjoudi du CP2M à l’Université Claude Bernard Lyon 1.

> Regarder la vidéo :

>> Pour plus d’information rendez-vous sur la chaine YouTube :

Du neuf docteur ?

Développer de l’encre en couleur pour les liseuses électroniques | Du Neuf Docteur ?

DDévelopper de l’encre en couleur pour les liseuses électroniques | Du Neuf Docteur ?

Les liseuses électroniques permettent de lire de nombreux livres avec l’impression de lire sur du papier. Cependant, ces liseuses ne sont pas toujours très rapide et surtout elles sont uniquement en noir et blanc. Nedjma Beldjoudi nous explique son projet de thèse su le développement d’une nouvelle encre pour les liseuses électroniques.

Par : Du Neuf Docteur ? en collaboration avec Nedjma Beldjoudi du CP2M à l’Université Claude Bernard Lyon 1.

> Regarder la vidéo :

>> Pour plus d’information rendez-vous sur la chaine YouTube :

Du neuf docteur ?

Une liseuse électronique, comment ça marche ? | Du Neuf Docteur ?

UUne liseuse électronique, comment ça marche ? | Du Neuf Docteur ?

Les liseuses électroniques sont de plus en plus répandues et permettent de lire des livres téléchargés sur une tablette électronique. La doctorante Nedjma Beljoudi nous explique comment fonctionnent ces écrans particuliers, et nous parle de la symphonie nécessaire pour faire apparaître votre roman.

Par : Du Neuf Docteur ? en collaboration avec Nedjma Beldjoudi du CP2M à l’Université Claude Bernard Lyon 1.

>> Regarder la vidéo :

>> Pour plus d’information rendez-vous sur la chaine YouTube :

Du neuf docteur ?

Sébastien Buthion, médaillé du CNRS : architecte de la médiation scientifique l Visages de la Science

SSébastien Buthion, médaillé du CNRS : architecte de la médiation scientifique l Visages de la Science

Sébastien Buthion, responsable de la communication de la délégation Rhône Auvergne du CNRS, a reçu la médaille de cristal 2024 de l’organisme. Il œuvre au quotidien pour une meilleure diffusion des connaissances scientifiques vers toutes les sphères de la société à travers des actions de communication plus collectives.

A la fin des années 90, Sébastien Buthion participe à l’organisation des cafés des sciences pour une association lyonnaise. Son engagement le rapproche du CNRS qu’il rejoint en 2001 en tant qu’adjoint technique au service de communication régionale. La communication scientifique est alors en pleine mutation, soutenue par une forte motivation de chercheurs et chercheuses à sortir leurs travaux des laboratoires. Au fil des années, il a su saisir de nouvelles opportunités pour œuvrer à des actions collectives d’envergure au travers desquelles il souhaite aller plus loin, vers des actions mieux ciblées, plus adaptées aux besoins des différents publics de notre société, afin de partager la bonne information, au bon moment et dans le bon format.

À l’occasion de cette distinction, il revient sur son parcours.

Découvrir les Médailles du CNRS 2024