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« De 5 sur 20 à doctorant » – Retour d’expérience d’études supérieures ! | Visages de la science

«« De 5 sur 20 à doctorant » – Retour d’expérience d’études supérieures ! | Visages de la science

Cinq sur vingt est la note que j’ai obtenu au baccalauréat blanc de mathématique ! Aujourd’hui, près de dix ans plus tard, je suis doctorant en tribologie (un sous-domaine de la mécanique dans lequel les mathématiques sont très présentes). Dans cet article je vous raconte mon parcours en études supérieures, du lycée à la thèse. Il est à lire tel un retour d’expérience « postbac » qui je l’espère, inspirera les lycéens incertains de leur avenir (tel que je fus).

5 sur 20 en maths, et pourtant…

Les sciences m’ont toujours intéressé. Depuis mon plus jeune âge je suis curieux de comprendre le fonctionnement des objets et de la vie qui nous entourent. Au collège, mes notes dans les matières scientifiques étaient nettement meilleures que dans les autres matières. Je me suis donc naturellement dirigé au lycée vers une seconde générale option sciences de l’ingénieur (dénommée à l’époque ISI pour « Initiation aux Sciences de l’Ingénieur »).

C’est au cours de cette année de lycée que mes lacunes en mathématiques sont devenues problématiques. Pour compenser mes difficultés et pouvoir prétendre à une première scientifique, j’ai été poussé à suivre des heures hebdomadaires de soutien scolaire en mathématiques1. A l’époque je vivais ces heures supplémentaires comme une contrainte, aujourd’hui avec le recul je m’aperçois de la chance que j’ai eue.

En année de terminale et malgré le travail fournit en soutien scolaire, je reçus la faible note de cinq sur vingt au baccalauréat blanc de mathématiques. J’étais peu impliqué dans la matière, vraisemblablement parce que je n’avais pas d’objectif précis pour ma poursuite d’étude. J’étais alors persuadé de ne pas pouvoir poursuivre vers une école d’ingénieur à cause de mes mauvais résultats2.

C’est peu de temps après, que j’appris l’existence de « passerelle » en études supérieures. Les passerelles sont des voies alternatives qui permettent de naviguer entre les différentes catégories de formations3. Elles permettent notamment d’intégrer une école d’ingénieur à partir d’un IUT (i.e. Institut Universitaire Technologique) qui sont plus accessible postbac avec des résultats moyens que la voie « traditionnelle » des classes préparatoires aux grandes écoles.

Motivé par ce nouvel objectif et après plusieurs mois de révision, j’obtins avec mention mon baccalauréat.

Après le bac…

Sélectionné sur dossier, j’ai donc intégré un IUT en génie mécanique. Ce choix a été déterminant pour le reste de mes études et cela pour deux raisons. Premièrement parce que les méthodes d’enseignement employées en IUT correspondent à ma méthode d’apprentissage, ce qui m’a permis d’avoir un bon niveau. Deuxièmement parce que cet IUT m’a permis via une passerelle d’intégrer une école d’ingénieur prestigieuse.

Cette juste orientation je la dois notamment à mes parents, qui étaient correctement informés sur les parcours en études supérieures. Je la dois également à l’administration et aux enseignants de l’IUT qui m’ont accompagné tout au long de mes études.

Pour ces raisons, mes deux années en IUT ont été mes meilleures années d’études. Ce sont celles durant lesquelles j’ai le plus appris mais avant tout celles durant lesquelles j’ai aimé apprendre.

Par la suite, le DUT (i.e. Diplôme Universitaire Technologique) obtenu m’a ouvert la voie vers une école d’ingénieur qui m’était post baccalauréat inaccessible. Grâce à cette passerelle je possède aujourd’hui un diplôme d’ingénieur en mécanique.

Suite à ces cinq années et grâce à mon stage de fin d’étude, j’ai travaillé trois ans en tant que chargé d’étude et de recherche en BE4 acoustique et vibration. Cette expérience fut très enrichissante et m’a permis d’acquérir une maturité professionnelle. Cependant, frustré de la perpétuelle course au profit du monde industriel ne m’offrant pas le temps de résoudre dans le détail les problématiques rencontrées, je pris la décision de recentrer mon objectif de carrière sur la recherche et l’enseignement. Pour cela, j’ai pu compter sur les contacts que j’avais noué en école d’ingénieur. En plus de répondre à mes questions quant à mon orientation de carrière, l’école m’a également aidé à trouver un partenariat laboratoire-entreprise pour ma thèse.

En route pour le doctorat

Aujourd’hui je suis à mi-parcours de mon doctorat. Je suis heureux de l’expérience professionnelle, personnelle, humaine et scientifique que je vis. Je conseille cette expérience à toutes les personnes qui sont intéressées de près ou de loin à la recherche. Et pour les personnes qui appréhendent l’aspect « théorique » d’un doctorat, sachez que les thèses peuvent aussi être « pratiques » et appliquées à des sujets concrets (notamment en partenariat avec une entreprise5).

Par mon parcours, je souhaite montrer que même avec des lacunes et des difficultés au collège ou au lycée (et même plus tard dans les études), il est possible d’obtenir les diplômes que l’on souhaite.

De l’université aux grandes écoles, en passant par les écoles spécialisées et les lycées professionnels, le schéma français des études supérieures est varié et accessible. Chaque institution propose des méthodes d’apprentissages distinctes adaptées à chaque étudiant et une multitude de passerelles existe pour changer de formation au besoin. Il ne faut pas hésiter à prendre contact avec ces institutions et par la suite garder le contact, car elles sont là pour vous aider pendant et après vos études.

De mon expérience, il est important de choisir une voie dont les méthodes d’enseignement nous correspondent. C’est pour moi la clé d’études supérieures réussies et appréciées.

Alors, lancez-vous !

Article écrit par Thomas LUBRECHT, ancien lycéen, aujourd’hui doctorant au Laboratoire IREIS (Institut de Recherches En Ingénierie des Surfaces) –
LaMCoS (Laboratoire de Mécanique des Contacts et des Structures).

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Notes

(1) Heures de soutien scolaire dispensées par les enseignants en mathématiques du lycée, sur leur temps libre.

(2) A cette époque, une majorité des sélections postbac dépendaient du dossier de l’élève en année de terminale.

(3) Se référer au schéma des études supérieures

(4) Bureau d’Etude

(5) Thèse CIFRE

ViruScience | La science en langue des signes

VViruScience | La science en langue des signes

ViruScience est une chaîne vidéo où chacun peut découvrir la science, une science amusante et simple à comprendre. En 3 à 15 min, la science prend corps grâce à la LSF (langue des signes française), une langue visuelle, expressive et spatiale qui passe par les mains et le visage.

Toutes les vidéos sont sous-titrées en français. Elles s’adressent à tout le monde : entendants et sourds, adultes et enfants. Elles sont disponibles au choix sur Viméo et Youtube. Venez vite découvrir une science à portée de mains !

ViruScience

Vulgarisation, formations, traduction, ViruScience propose aussi une sélection des chaînes vidéos scientifiques accessibles à la population sourde :

Vidéos pour sourds et malentendants

 

>> Un exemple de vidéo :

Mathématiques et Informatique | Appel à projet de la Fondation Blaise Pascal

MMathématiques et Informatique | Appel à projet de la Fondation Blaise Pascal

La Fondation Blaise Pascal a pour vocation de structurer, promouvoir, soutenir, développer et pérenniser l’ensemble des actions de diffusion scientifique en mathématiques et en informatique à destination de toute personne en France et plus spécifiquement envers la jeunesse.

La Fondation Blaise Pascal poursuit quatre objectifs majeurs :

  • Atténuer les disparités sociales et géographiques
  • Lutter contre les préjugés et les stéréotypes sociaux et de genre qui empêchent certains jeunes de se
    lancer dans des études en informatique et en mathématiques
  • Améliorer la perception générale des sciences fondamentales par le grand public et notamment par les
    jeunes scolarisés, en améliorant la compréhension de leur impact, de leur utilité et de leur vitalité
  • Augmenter globalement le flux d’étudiantes et étudiants effectuant des études longues dans en
    informatique et en mathématiques.

Chaque année, la Fondation Blaise Pascal lance deux appels à projets par an (un concernant des thématiques ouvertes en médiation maths et informatique – lancé généralement en automne, un 2nd concerne un appel à écoles d’été, stages et clubs).

En 2020, le soutien de la FBP ira à deux types d’actions :
> Les écoles d’été ou stages en mathématiques et/ou informatique ;
> les clubs de mathématiques et/ou d’informatique

Date limite du dépôt des dossiers : lundi 16 mars 2020

Informations complémentaires :

Fondation Blaise Pascal

Les Savanturiers

LLes Savanturiers

Les Savanturiers à Lyon / LabEx IMU

 

 

 

 

 

 

 

Les Savanturiers–Ecole de la recherche est un programme éducatif développé par le Centre de Recherches Interdisciplinaires qui œuvre pour la mise en place de l’éducation par la recherche dans l’École : primaire, collège et lycée.

L’ambition du dispositif est de sappuyer sur les méthodes et enjeux de la recherche pour construire des apprentissages rigoureux et productifs. L’éducation par la recherche développe l’esprit critique de l’élève, sa volonté d’explorer l’inconnu et de travailler en coopération.

Les Savanturiers ont une triple vocation :

  • la mise en place de projets d’éducation par la recherche dans les classes avec des mentors scientifiques,
  • la formation des enseignants, en présentiel et en ligne,
  • les actions de recherche et d’études dans le domaine éducatif.

Chaîne YouTube Savanturiers – Ecole de la recherche

Appel à participation 2019-2020

LLes savanturiers des villes

En juin 2017, en collaboration avec le LabEx IMU-Université de Lyon, Les Savanturiers lancent, pour la première fois à Lyon, leur appel à projets auprès des chercheurs, doctorants et post-doctorants. En cohérence avec les orientations du LabEx, une nouvelle thématique est proposée : « Les Savanturiers des Villes » (la thématique « urbanisation » est prise au sens large du terme : aménagement, architecture, génie civil, géographie, énergie, données, etc.).

La communauté du LabEx IMU (chercheurs, doctorants, post-doctorants – appelés « mentors » dans le programme) est sollicitée pour répondre à cet appel à projets.

 

Les Savanturiers a lyon

 

©TiphaineRivière

 

©TiphaineRivière

Examens : pour bien réviser, testez-vous !

EExamens : pour bien réviser, testez-vous !

Article paru dans The Conversation – 12/06/2019

Auteurs : Mathilde Lamotte, Université Clermont Auvergne; Céline Darnon, Université Clermont Auvergne et Marie Izaute, Université Clermont Auvergne

Quand on parle d’examens, de contrôles ou de devoirs, on pense aussitôt bulletins de notes, moyennes et admissions dans des formations. Mais si les tests sont un format pratique pour évaluer des performances, leur utilité ne s’arrête pas là. La recherche montre en effet qu’il s’agit d’outils particulièrement efficaces pour apprendre.

En effet, lorsque l’on est testé, on doit produire un effort de récupération en mémoire, c’est-à-dire qu’on doit rechercher activement, dans sa mémoire, l’information précédemment apprise pour la réactiver, la rendre accessible et mobilisable.

Les révisions telles qu’on les conçoit traditionnellement s’arrêtent souvent à la relecture d’un cours ou la rédaction d’une fiche, c’est-à-dire à une exposition plus ou moins fréquente au contenu à apprendre. Or, de nombreuses études ont mis en évidence que c’est justement l’effort de récupération, présent dans le test, non dans la répétition, qui améliore la capacité des individus à se rappeler ultérieurement les informations.

EEfforts de récupération en mémoire

Même si le test est un outil souvent méconnu des élèves, ses effets bénéfiques sont connus des chercheurs depuis longtemps. En 1992, une étude montrait déjà que les étudiant·e·s qui avaient été plus fréquemment testé·e·s sur du matériel à mémoriser (une série de 60 images) obtenaient de meilleures performances une semaine plus tard à une tâche de rappel de ces images.

Ainsi, les étudiant·e·s ayant bénéficié de trois tests immédiatement après la présentation du matériel se souvenaient de plus d’items que ceux n’ayant bénéficié que d’un seul test, lesquels se rappelaient plus d’items que ceux n’ayant pas bénéficié de test du tout. En outre, l’effet du test demeure bénéfique lorsque la performance des étudiant·e·s ayant suivi le test est comparée à celle d’étudiant·e·s s’étant contenté·e·s de révisions classiques.

Dans le même ordre d’idées, des recherches ont montré que, lorsqu’en révisant, on se pose la question « serais-je capable de répondre à cette question lors de l’examen ? », on réalise un « jugement d’apprentissage » qui implique de faire des efforts de récupération en mémoire pour y répondre.

Les études ont montré que ce « jugement d’apprentissage » pouvait s’avérer tout aussi efficace que le test, à condition de se poser la question après un petit délai, généralement de quelques minutes de l’apprentissage. Autrement dit, c’est bien l’effort de récupération en mémoire et non l’exposition répétée aux informations à retenir qui facilite l’apprentissage.

En résumé, se tester régulièrement représente un bénéfice direct indéniable sur l’apprentissage, particulièrement pour la rétention à long terme, au contraire d’une révision sous forme de répétition, dense et condensée, sans test, tel que le « bachotage », dont le contenu risque fort d’être oublié aussitôt l’examen terminé.

DDes erreurs bénéfiques

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, on ne retient pas mieux une information quand elle est facile ou simple à mémoriser. Quel que soit le degré de complexité d’un message, produire un effort est nécessaire pour favoriser un apprentissage de qualité, sur le long terme, c’est-à-dire au-delà de la journée voire plusieurs jours ou semaines après l’apprentissage. Alors, comment faire en sorte de rendre ses révisions efficaces ?

Prenons l’exemple d’un cours ou d’une matière dont on sait qu’il ou elle fera l’objet d’un contrôle de connaissance en fin de semestre ou trimestre, comme c’est le cas lors des examens à l’université ou des épreuves du baccalauréat ou du brevet.

  1. Au fur et à mesure des séquences d’enseignement, nous vous conseillons de vous créer, non pas des fiches de révision, mais des fiches de questions ou « tests » que vous pourrez utiliser lors de votre prochaine séance d’apprentissage.
  2. Ensuite, nous vous conseillons de faire autre chose pendant un moment (pause, travail sur une autre matière…). En effet, le délai est nécessaire pour que l’information soit stockée en « mémoire à long terme ».
  3. Puis, vous allez reprendre les questions créées dans la phase 1 et tout simplement essayer d’y répondre en faisant un véritable effort de récupération en mémoire.
  4. Enfin, vous pourrez reprendre le cours et les réponses données aux questions afin d’en faire une correction. Cette ultime étape permet d’étendre encore le bénéfice du test sur l’apprentissage.

Ce même processus peut être répété pour chaque cours ou leçon. Se tester ne prend donc pas plus de temps que de faire des fiches ou relire son cours. Pourtant, c’est une stratégie beaucoup plus efficace !

En outre, l’usage régulier de tests va présenter des bénéfices indirects. Par exemple, les recherches ont montré que le test permet aux élèves ou étudiant·e·s d’adapter leurs stratégies d’apprentissage ou révisions ultérieures, par exemple en choisissant de travailler préférentiellement les éléments les moins bien retenus.

Notons enfin, que cet usage du test consiste à le considérer comme un véritable outil d’apprentissage. Par conséquent, il ne faut pas craindre de faire des erreurs aux tests. Contrairement à ce que l’on peut parfois penser, les erreurs vont justement contribuer à l’apprentissage.The Conversation

Mathilde Lamotte, Docteure en psychologie cognitive et sociale, Université Clermont Auvergne; Céline Darnon, Professeure de psychologie sociale, Université Clermont Auvergne et Marie Izaute, Professeure de Psychologie Cognitive, Université Clermont Auvergne

 

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.

Lire l’article original

Formation – démarche expérimentale et médiation scientifique

FFormation – démarche expérimentale et médiation scientifique

Forte de son savoir-faire reconnu, l’association ÉbulliScience® met à profit ses compétences en médiation scientifique, pédagogie active et expériences de terrain pour proposer des formations à la démarche d’investigation et à l’animation scientifique.

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objectif

  • Découvrir la pédagogie active et la démarche d’investigation
  • Être en capacité d’animer une activité scientifique
  • Concevoir des cycles de séances à contenu scientifique et technique
  • Prendre plaisir à faire des sciences
  • Adapter la démarche d’investigation à d’autres domaines de l’animation

> Modalités

Nos formations sont destinées aux animateurs-trices, directeurs-trices d’accueils de loisirs ou toute personne qui souhaiterait découvrir l’animation scientifique et mettre en place des cycles de séances adaptées à son public et contexte de travail.

Nos formations ont lieu dans nos locaux à Vaulx en Velin ou au sein de l’école Olympe de Gouges dans le 8ème arrondissement de Lyon. En fonction de vos contraintes, nous pouvons également nous déplacer dans votre structure.

Pour faciliter la mise en place des activités scientifiques à l’issue de la formation, il est également possible de constituer des kits de matériel qui seront remis aux participant-e-s.

 

  • Formation d’initiation à l’animation scientifique et à la démarche d’investigation

Cette formation s’articule en deux temps et dure au total deux journées complètes (qui peuvent être réparties en plusieurs demi-journées si nécessaire) :

Découverte de la démarche d’investigation : ce temps permettra aux participant-e-s de découvrir la démarche d’investigation, la pédagogie active et les activités de découvertes scientifiques que propose EbulliScience®. Un travail de réflexion autour du rôle du-de la médiateur-trice scientifique sera également effectué et permettra de comprendre comment accompagner le public dans ses expérimentations.

Concevoir et animer une activité scientifique : cette deuxième partie permettra aux participant-e-s de préparer une animation scientifique et se mettre en situation de l’animer face aux autres participant-e-s de la formation qui joueront le rôle de public. Des retours seront faits sur les mises en situation pour les évaluer et proposer des pistes d’amélioration.

Enfin, les participant-e-s prépareront individuellement ou en groupes un scénario d’activités pour un cycle de plusieurs séances adaptées à leur public et contexte de travail.

 

  • Formations sur-mesure

La durée ainsi que le contenu de nos formations peuvent être adaptés en fonction des objectifs poursuivis.

Des formations courtes (à partir d’une demi-journée) peuvent être proposées pour permettre une découverte de l’animation scientifique.

Dans le cas d’une formation plus longue, il sera possible de faire un retour sur la pratique après la formation d’initiation pour permettre aux participant-e-s de revenir sur les activités scientifiques qu’ils-elles ont pu mettre en place face à leur public et les éventuelles difficultés rencontrées.

Pour les personnes qui auraient déjà une certaine connaissance de l’animation scientifique ou qui aurait suivi notre formation d’initiation, des formations thématisées peuvent être mises en place comme par exemple : Art et Sciences (Photographie et cinéma, Son et musique), Chimie, Architecture, Electricité et énergies, Numérique…

N’hésitez pas à nous contacter pour toute demande spécifique !

 

 

  • Sensibilisation à l’animation scientifique et à la démarche d’investigation

Des actions de sensibilisation à l’animation scientifique et à la démarche d’investigation sont également mises en place avec des habitant-e-s de quartiers Politique de la Ville.

Les outils que nous développons dans le cadre de la formation sont repris et adaptés pour ces ateliers. A travers la manipulation d’expériences et des mises en situation d’animation, les participant-e-s peuvent découvrir l’animation scientifique, développer leur esprit critique et leurs connaissances en sciences, mais aussi s’approprier des expériences scientifiques pour être capable de les diffuser autour d’eux-elles (et notamment à leurs enfants). Pour certain-e-s d’entre eux-elles, ces ateliers peuvent agir comme un levier leur permettant de retrouver une dynamique professionnelle.

 

ebulliScience

En quête d’histoire

EEn quête d’histoire

Que faire après des études en Histoire ?

Les études d’histoire ne débouchent pas exclusivement sur les métiers de l’enseignement, elles apportent un solide bagage culturel pour une insertion professionnelle réussie, qui conduit à de nombreux métiers du patrimoine, de la culture, de la documentation et des archives.

 

Les services d’information, d’orientation et d’insertion professionnelle (SCUIO-IP) des universités Lumière Lyon 2, Jean Moulin Lyon 3, Jean Monnet Saint-Étienne présentent un web-documentaire à destination des lycéen.nes et des étudiant.es apportant des clés pratiques et concrètes sur ce qu’est « faire des études en Histoire ».

En quête d’histoire – Université Lumière Lyon 2

Ce web-documentaire est composé de 29 vidéos pour lesquelles vous trouverez un complément d’information sur les descriptifs des formations en Histoire proposées par les 3 universités, les compétences acquises pendant les études d’Histoire, le métier exercé, l’insertion professionnelle des étudiant.es en Histoire …

 

En quête d’histoire

Ateliers de médiation et critique

AAteliers de médiation et critique

L’Atelier médiation et critique est un espace de ressources pour partager et consulter des contenus qui abordent au travers de différentes disciplines le sujet “Science, culture, croyance, comment en parler ?”.

Pour proposer une montée en compétences des professionnel·le·s, quatre parcours d’apprentissages répondent aux problématiques :

  • Comment gérer des situations conflictuelles de manière apaisée ?
  • Quels sont les fondement théoriques de la distinction entre le savoir et le croire ?
  • Quels sont les biais cognitifs que nous produisons et auxquels nous sommes confrontés ?
  • Comment s’établit une croyance ?

Ces cours s’adressent à tous les professionnel.le.s qui sont en relation avec des publics : médiateur·rice·s culturel·le.s, enseignant·e·s, personnels scientifiques, journalistes…

 

Atelier médiation

Formations à l’animation scientifique

FFormations à l’animation scientifique

Planète Sciences Auvergne-Rhône-Alpes encadre un ensemble de formations à destination des animateurs et des enseignants souhaitant mettre en place des activités scientifiques avec des jeunes autour des thématiques de l’astronomie, la robotique, l’environnement, la météo, l’espace, dans le cadre scolaire ou de loisirs.

Retrouvez le programme de formation sur le site de Planète Sciences :

Planète Sciences

 

ASTEP – Accompagnement en sciences et technologie à l’Ecole primaire

AASTEP – Accompagnement en sciences et technologie à l’Ecole primaire

©La Rotonde – Mines Saint-Etienne

L’ASTEP – ou Accompagnement en Science et Technologie à l’Ecole Primaire – est un dispositif de la Main à la Pâte, qui permet à un enseignant d’être accompagné par un ou deux étudiants pour mettre en place un projet scientifique. 

Ensemble, ils conçoivent et conduisent des séquences de classe permettant aux élèves de construire des connaissances scientifiques dans une démarche d’investigation. L’étudiant s’engage à être présent sur l’ensemble du projet et se déplace en classe une fois par semaine pendant une période de deux mois.

Dans le département de la Loire, l’ASTEP est coordonné par la Rotonde, Centre Pilote Main à la Pâte, en partenariat avec l’Education Nationale

Les projets ASTEP se déroulent en novembre/décembre, janvier/février ou mars/avril.

 

Dispositif ASTEP à l’Université Jean Monnet Saint-Etienne

En 2016-2017 et 2017-2018, les élèves de primaire, accompagnés de leur enseignants et d’étudiants, ont fait décoller des fusées, schématisé les insectes de la forêt, fait rouler des voitures avec de l’air, testé des dizaines de parachutes, modélisé des bras, pris soin des papillons, recréé un système solaire et tellement d’autres choses !

Vous pouvez en savoir plus et visualiser les témoignages des étudiants sur le site :

ASTEP