LLe livre à Lyon à la Renaissance – 2e édition Colloque des 550 ans de l’imprimerie à LyonL’Enssib organise une deuxième session consacrée au livre à Lyon à la renaissance les 30 et 31 mai 2024.Pour célébrer la contribution apportée par l’imprimerie et la librairie à la vitalité culturelle et économique de la ville de Lyon depuis 550 ans, l’Institut d’Histoire du Livre en collaboration avec l’Enssib, le Musée de l’imprimerie et de la communication graphique ainsi que les centres de recherche IHRIM, Jean-Mabillon et Gabriel Naudé, organisent les 14 et 15 décembre 2023 un colloque sur le livre à Lyon à la Renaissance. Programme prochainement disponibleInscrivez vous
GGrand Nord scandinave : les Samis, dernier peuple autochtone d’Europe Depuis une vingtaine d’années, le peuple Sami s’est levé pour reconquérir son identité culturelle, artistique et linguistique mise à mal par plusieurs siècles de colonisation et d’assimilation. Réparti sur un vaste territoire (le Sápmi) regroupant les régions septentrionales de Suède, Norvège, Finlande et de Sibérie, il lutte pour une reconnaissance politique et fait face aux menaces du réchauffement climatique, des expropriations, des destructions de la toundra et de l’exploitation industrielle des ressources naturelles.Au programme :Le 22 mars à 20h, concerts « Voix de l’Arctique et chants chamaniques »Le 23 mars à 14h30, table ronde autour du thème: « Arctique : réchauffement climatique, enjeux géopolitiques et voix autochtones »Le 23 mars à 16h30, projection du film Sami, une jeunesse en Laponie de Amanda Kernell (VOSTFR)Plus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
JJournée thématique : Amour et intelligence artificielle Après l’avènement des sites de rencontres il y a une vingtaine d’années, c’est au tour de l’intelligence artificielle de venir bouleverser les relations humaines et amoureuses. Nous sommes maintenant des millions à utiliser applications, chatbot ou robots sociaux et pour certains d’entre nous à en tomber amoureux… Aussi foisonnante et attrayante soit-elle, cette offre numérique soulève de nombreuses questions éthiques et comportementales.Au programme :à 14h, projection de Her de Spike Jonze, 2014, 2h06min (VOSTRFR)à 16h15, table ronde sur le thème « Amour et intelligence artificielle : quelles réalités et quels futurs ? « Rendez-vous en écho à l’exposition À nos amoursPlus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
FFemmes artistes, des parcours entre lutte et création Les femmes occupent une place essentielle dans la création artistique. À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, découvrez les parcours et les œuvres de femmes créatives et engagées, de l’Algérie, à l’île de La Réunion en passant par la Syrie, à travers un cycle de trois jours de rencontres, projections et concerts.>> Au programme :Le 7 mars à partir de 18h30, Nocturne « Femmes d’ici et d’ailleurs »Le 8 mars à 18h30, rencontre et discussion autour du thème « De la Méditerranée à l’Océan Indien, parcours de femmes artistes »Trois femmes artistes, de trois générations et de trois origines différentes (Algérie, Syrie et Ile de la Réunion) nous parlent de leur rapport à la création. Quels sont leurs parcours ? Quels obstacles ont-elles rencontrés ? Comment sont-elles parvenues à les affronter et même à s’en nourrir ?Avec : Houria Aïchi, chanteuse, anthropologue et Ann O’aro, musicienne, chanteuse.Discussion animée par : Isabelle Barbéris, universitaire et journaliste, spécialiste des arts du spectacleLe 8 mars à 20h, projection et rencontre autour du film Behind the lines (Au-delà des lignes) de Alaa Amer et Alisar HasanLe 9 mars à 20h, concert « Le maloya d’Ann O’aro quartet »Plus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
JJournée thématique : Épidémies, décrypter pour avancer Si elles accompagnent les espèces animales depuis toujours, les récentes épidémies et notamment celle de coronavirus SRAS-CoV-2 ont replacé les maladies et les virus au cœur de notre société. Une journée pour parler sereinement des épidémies d’hier, d’aujourd’hui… et de demain.En écho à l’exposition Épidémies, prendre soin du vivantAu programme le 25 mai :à 14h, atelier « Viral » en réalité virtuelleà 15h, projection de Pandémies de Sophie Bensadounà 16h, table ronde autour de la question : « Comment les épidémies transforment nos sociétés ? »Plus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
5550 ans de l’imprimerie à Lyon – Le livre à Lyon à la Renaissance Depuis plus d’un siècle, la production imprimée lyonnaise du XVIe siècle a fait l’objet de nombreux travaux. Des bibliographies de Baudrier et de Cartier, dans les premières décennies du XXe siècle, aux travaux récents de Gültlingen, de l’Universal Short Title Catalogue et de Lyon 15-16, les recherches bibliographiques nous ont permis de déterminer ce qui fut publié à Lyon à la Renaissance. L’intérêt pour le domaine des lettres ne s’est pas non plus démenti, comme en témoignent les nombreux travaux sur différents auteurs de la période et la controverse autour de Louise Labé.De grandes figures de l’imprimerie lyonnaise telles que Sébastien Gryphe, Jacques Moderne ou Claude Nourry ont également fasciné les chercheurs. Malgré cette activité foisonnante et multidisciplinaire incarnée par les rencontres annuelles Biblyon, bien des aspects de l’industrie et de son impact mériteraient d’être mieux connus.Pour célébrer la contribution apportée par l’imprimerie et la librairie à la vitalité culturelle et économique de la ville de Lyon depuis 550 ans, l’Institut d’Histoire du Livre en collaboration avec l’Enssib, le Musée de l’imprimerie et de la communication graphique ainsi que les centres de recherche IHRIM, Jean-Mabillon et Gabriel Naudé, organisent les 14 et 15 décembre 2023 un colloque sur le livre à Lyon à la Renaissance.Consultez le programme sur le site de :EnssibLe colloque des 550 ans de l’imprimerie à Lyon sera inauguré par Nathalie Marcerou-Ramel, directrice de l’Enssib et Malcolm Walsby, directeur de la recherche de l’Enssib.
LLes 10 ans de QP2R : Quand le patient rencontre la recherche | Édition 2023 Quand le patient rencontre la recherche – QP2R – est un projet qui a débuté en 2012 par une rencontre entre le Laboratoire d’Excellence DEVweCAN et l’association ‘les Maisons du PARI’ . Leur collaboration a fait voir le jour a un évènement grand public dans le domaine de la cancérologie. Le LabEx PRIMES a rapidement rejoint l’aventure et la 1re édition de Quand le patient rencontre la recherche a vu le jour le 24 octobre 2013.Le but est de répondre a une question simple dont la réponse est ardue : quelles conséquences concrètes pourront avoir les travaux de recherche en cancérologie en cours au sein d’équipes de pointe sur les traitements futurs, la vie des patients, la mobilisation de leur entourage ?L’objectif est donc de permettre la rencontre entre chercheurs et associations de patients, patients ou citoyens et de favoriser le dialogue entre professionnels de la recherche, de la santé et de l’accompagnement du patient avec le grand public (personnes directement touchées ou intéressées par la thématique du cancer) et de se retrouver ainsi autour de problématiques variées ayant trait à la question de cette maladie.Nous sommes heureux de vous annoncer aujourd’hui la tenue de l’édition spéciale 10 ans de Quand le patient rencontre la recherche – QP2RPour en savoir plus et consulter la programmation :QP2R – édition 2023©DR
RRéapprendre le commun à l’épreuve de la vulnérabilité. La crise un levier d’espérance ? Face à la vulnérabilisation croissante de nos sociétés et institutions, 23 scientifiques (philosophe, neurologue, juriste, médecin, théologien, architecte, psychologue…) sont appelés à réfléchir sur les défis à venir du vivre-ensemble : transition écologique, refondation de la démocratie, reconstruction du lien social, du système éducatif au monde du travail.Si les termes « vulnérabilité » et « vulnérable(s) », depuis leur usage en Sciences Humaines et Sociales dès la fin du 20e siècle, ont été souvent utilisés pour désigner des catégories déterminées de personnes et de groupes, ou des conditions spécifiques (âges de la vie, statut social, marginalisation économique…) les derniers évènements nous obligent à reconnaître la vulnérabilisation systémique de nos sociétés dans leur complexité grandissante : de la crise environnementale à la fragilisation des démocraties ; de la radicalisation des conflits (politiques, sociaux, religieux…) à la montée des inégalités dans et entre les pays.L’originalité du projet porté par la Chaire est d’explorer et de mettre à l’épreuve de la société ce concept à la fois plus large et plus radical de vulnérabilité. Le premier colloque, « Vulnérabilité(s). Du cadre théorique aux enjeux pratiques », a permis d’évaluer la pertinence scientifique du concept à la croisée des champs disciplinaires et d’en mesurer les enjeux sociaux, le caractère éminemment opératoire.Ce deuxième colloque de la Chaire Vulnérabilités entend réfléchir, toujours par une approche pluridisciplinaire, aux crises qui frappent nos systèmes de vie en commun et qui sont autant de manifestations d’une vulnérabilité partagée, ce qui met en relief un long et profond « déclin de l’institution » (Cf. F. Dubet, 2010) ; ce qui nous met face à une éclipse de l’institutio s’exprimant dans plusieurs « endroits » du vivre-ensemble : l’État, l’éducation, la santé, l’environnement, la famille, l’économie, le travail…AAu programme :Mercredi 25 octobre – 18h – 19h30 / Conférence inaugurale – Carla Canullo, professeure de philosophie à l’université de Macerata (Italie), invitée du Collegium de Lyon, proposera une réflexion autour de La blessure qui sauve : la vulnérabilité entre crise et effondrement. Jeudi 26 octobre – 9h – 17h459h – 12h20 : Comprendre la crise – où l’on parlera d’expérience historique de la crise, où l’on débattra de droit et de bioéthique, où l’on pensera les vulnérabilités systémiques en santé à l’heure de la médecine personnalisée, de la puissance spirituelle de la non puissance, des enjeux de la vulnérabilité au travail…14h00 – 17h45 : Réapprendre à vivre ensemble – où l’on parlera de l’impact des crises sur le système d’éducation, où l’on dialoguera entre psychologie et sociologie pour partager les tendances et décrypter les représentations sociales de la vulnérabilité chez quelques travailleurs du social, où l’on explorera les régimes de l’hospitalité, où l’on se se demandera comment la pratiquer…>> Retrouver le programme détaillé et le formulaire d’inscription sur :UCLY – Chaire Vulnérabilités
RRésistances au fil des siècles dans l’Empire russe, en URSS et dans les États post-soviétiques La Bibliothèque Diderot de Lyon (BDL) est heureuse d’apporter son concours à la tenue du congrès biennal de l’Association française des russisants (AFR). La manifestation est organisée par l’Association, avec la collaboration du département d’études slaves de l’université Jean Moulin Lyon 3 et par la BDL et l’ENS de Lyon.Le 18 mars, de 10h à 20h, dans la Parenthèse, la BDL accueille le colloque scientifique « Résistances au fil des siècles dans l’Empire russe, en URSS et dans les États post-soviétiques » et propose à cette occasion, du 13 mars au 30 avril, une exposition en deux volets – une illustration des thèmes du colloque et une mise en lumière de la composition des fonds Russie et Europe médiane.L’histoire de la Russie a été marquée par des régimes tyranniques et des gouvernances autocratiques et autoritaires. Lorsque les oppositions au pouvoir en place ne peuvent s’exprimer librement, se pose la question, réactualisée depuis le début de la guerre en Ukraine, de l’adhésion ou de la résistance, quelle que soit la manière dont elle se manifeste. Ce thème de l’opposition à un pouvoir politique et de diverses formes de mobilisations s’inscrit dans différents courants de la recherche, comme en témoigne en particulier la problématique choisie par le Centre d’études slaves contemporaines (CESC) de l’université Grenoble-Alpes : « Résistances, adaptations et contournements dans la société, la littérature et la culture de la Russie contemporaine ». Cette question des résistances convoque un vaste éventail de disciplines – la littérature, la linguistique, les arts, la sociologie, l’histoire, les sciences politiques, ou encore la géographie et la géopolitique. >> Plus d’informations et inscription :BIBLIOTHÈQUE DIDEROT >> Retrouvez l’Association Française des Russisants :Association française des russisants
NNomad’s lands. Économies, sociétés et matérialités des nomades Le Laboratoire Junior Nomad’s lands, de la Maison de l’Orient et de la Méditerranée, organise son colloque final intitulé Nomad’s lands. Économies, sociétés et matérialités des nomades portant sur l’étude des sociétés nomades à travers le monde, depuis la Préhistoire jusqu’à nos jours.Il propose un cadre de réflexion commun et transdisciplinaire propice au développement de nouvelles approches pour analyser les nomades, leurs sociétés, leurs cultures (matérielles ou immatérielles), leurs territoires et les rapports qu’ils entretiennent avec ces derniers.Les communications s’articulent autour de trois angles de réflexion :1. Connaissance et gestion des environnements par les nomades Comment les sociétés nomades interagissent-elles avec leur(s) environnement(s) ? Quelle est l’influence de facteurs environnementaux sur ces sociétés ? Comment les activités nomades transforment-elles les environnements ? Quelles connaissances, quelles perceptions les nomades ont-ils de leur milieu et comment cela influe-t-il sur leur gestion de ressources parfois contraintes ? Dans quelle mesure ces modalités de gestion se transmettent-elles au cours du temps et s’adaptent-elles aux changements environnementaux ?2. Unité et diversité des cultures matériellesPeut-on définir des cultures matérielles de la mobilité et du nomadisme ? Quels traits communs retrouve-t-on d’un lieu à un autre et d’une époque à une autre ? Quelles sont leurs divergences ? Qu’emporte-t-on avec soi et, à l’inverse, que laisse-t-on derrière soi ? Que fabrique-t-on à nouveau ? Qu’en reste-t-il dans le temps ? Et quels sont nos outils et/ou nos méthodes pour appréhender la matérialité de cultures qui laissent peu de traces ?3. Relations entre nomades et sédentairesComment envisager les relations des sociétés nomades entre elles ainsi qu’avec les sociétés sédentaires ? Quelles sont les modalités de leur insertion dans les réseaux socio-économiques ou politiques locaux, régionaux, nationaux, macro-régionaux et/ou globaux, qu’ils soient nomades ou sédentaires ? Les contacts et échanges sont-ils à sens unique ? Constate-t-on des transferts culturels ?Pour en savoir plus :Labos Junior MOMaffiche du colloque Nomad’s Lands