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EN SAVOIR PLUS

Alexandre Lacassagne et le tatouage

AAlexandre Lacassagne et le tatouage

Affiche exposition : « Alexandre Lacassagne et le tatouage » | ©DR

Alors que les spécialistes les pensaient disparus, les carnets de tatouages d’Alexandre Lacassagne, fondateur de l’anthropologie criminelle, étaient précieusement préservés dans les locaux de la Faculté de médecine Lyon Est.
L’exposition propose de suivre les traces du Professeur Lacassagne (1843-1924) et sa passion pour le tatouage.
Découvrez la richesse de ces « biographies encrées » décalquées sur la peau des prisonniers : cœurs percés, zouaves, ancres marines, danseuses… et parcourez l’histoire du tatouage d’hier à aujourd’hui.

La bibliothèque universitaire Lyon 1 a le plaisir de vous accueillir à l’exposition : « Alexandre Lacassagne et le tatouage ».

>> Les journées spéciales :

  • Mardi 2 avril à 18h30 (Inauguration) | Amphithéâtre Lacassagne, Faculté de Médecine Lyon Est et en ligne sur YouTube.

©DR

Démonstration de tatouage réalisée et commentée, suivie d’une visite de l’exposition.

Intervenante : Lucile Jorland alias MacBernik, tatoueuse lyonnaise

 

 

  • Mardi 9 avril, de 12h15 à 13h45 |Médiathèque Paul Zech, Faculté de Médecine Lyon Est et en ligne sur YouTube

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Débats du Campus : Le tatouage post-opératoire : comment aimer son corps après la maladie ?
Après un accident ou une lourde maladie, la peau conserve les marques de l’épreuve traversée. Le tatouage est utilisé comme un moyen de se réapproprier un corps altéré, en reprenant le contrôle sur son image. Dans cette optique, quelles spécificités comporte le tatouage réalisé sur des cicatrices ou des brûlures ? Comment les malades abordent-ils cet outil thérapeutique d’un nouveau genre ?

Intervenants :

> Nathalie Kaïd, plasticienne et photographe, directrice générale de l’association Sœurs d’Encre

> Philippe Liotard, sociologue et maître de conférences à l’Université Claude Bernard Lyon 1

> Aurélie Matias Ferreira alias Vulpera, tatoueuse à l’Atelier Tattoo Shop de Lyon et membre de l’association Sœurs d’Encre.

Modératrice : Muriel Salle, historienne et maîtresse de conférence à l’Université Claude Bernard Lyon 1.

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :

BU Lyon1

La botanique de Pitton de Tournefort

LLa botanique de Pitton de Tournefort

©Céline Chagnard

©Céline Chagnard

La bibliothèque universitaire Lyon1 conserve dans ses collections, Institutiones rei herbariæ de Joseph Pitton de Tournefort. Il s’agit d’une troisième édition imprimée à Lyon en 1719 à l’initiative d’Antoine de Jussieu (1686-1758).

Né en 1656 à Aix en Provence, Joseph Pitton de Tournefort est un des plus éminents botanistes du XVIIème siècle. Destiné par son père à une carrière ecclésiastique, il effectue ses études chez les Jésuites, mais à la mort de ce dernier, il décide de se consacrer à sa véritable passion, la botanique. En 1678, il parcourt la Savoie et le Dauphiné en compagnie de Charles Plumier et débute son herbier. L’année suivante, il effectue des études de médecine à Montpellier et poursuit la constitution et l’enrichissement de sa collection en se rendant dans les Pyrénées orientales et en Espagne. Très vite sa renommée est telle que Guy Falgon (1638-1718), médecin de Louis XIV, lui demande de venir à Paris et lui confie en 1683, la chaire de botanique au Jardin des Plantes. Ses cours et ses démonstrations ont beaucoup de succès. Mais grand voyageur, il poursuit ses collectes au cours de différents déplacements dans le sud de la France, en Espagne, au Portugal, aux Pays Bas et en Angleterre. En 1694, il publie son premier ouvrage Éléments de botanique ou méthode pour connaître les plantes en trois volumes. Dans ce livre illustré de 451 planches dessinées par Claude Aubriet (1665-1742), il présente son système de classification des plantes basé sur deux critères : la fleur et le fruit.  L’ouvrage a beaucoup de succès et afin qu’il soit lu dans toute l’Europe Tournefort le traduit lui-même en latin sous le titre Institutiones rei herbariae. En 1696, il reçoit le bonnet de docteur de la faculté de médecine de Paris et en 1700, sur ordre du Roi Louis XIV, il part au Levant pour une grande expédition. De ce long périple qui dure deux ans, il rapporte 1356 nouvelles plantes et 25 genres nouveaux. Cette riche moisson lui permet de rédiger un supplément à ses Institutiones, ce complément illustré de 13 nouvelles planches sera ajouté à l’édition posthume de 1717. C’est à seulement 52 ans, qu’il meurt fauché par une charrette en revenant du Jardin du Roi en décembre 1708.

La classification de Tournefort

Tournefort définit un nouveau système pour classer toutes les plantes à partir de l’examen de la forme des fleurs et de la nature du fruit. Le type de fleur lui permet de déterminer la classe, il en obtient 22. Et à partir de la nature du fruit il définit le genre, élément de base de son système qui en comporte 700. Il classe ainsi plus de 8000 espèces. La simplicité de sa classification séduit de nombreux naturalistes dans toute l’Europe, elle permet d’identifier rapidement un spécimen déjà classé et d’ajouter les nombreuses espèces nouvellement découvertes. Bernard de Fontenelle dira, dans son éloge posthume, que Tournefort a mis de l’ordre dans la « confusion magnifique » de la nature. Et même si son système sera vite abandonné au profit de celui de Carl Linnæus (1707-1778), c’est lui qui crée la nomenclature binominale reprise ensuite par Linné.

©Céline Chagnard

©Céline Chagnard

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La réédition lyonnaise de Jussieu

La BU Lyon 1 conserve dans ses collections l’édition lyonnaise des Institutiones rei herbariae, publiée par Antoine de Jussieu (1686-1758) en 1719, plus de dix ans après la disparition de Tournefort. Le premier volume comporte une dédicace au Roi, suivie d’ajouts de Jussieu : une biographie de Pitton de Tournefort et ses commentaires sur la méthode du botaniste. Les 676 pages de textes et d’appendices sont précédées par une liste des noms abrégés des auteurs cités, d’explications sur le système de classement et de la table des 22 classes des genres. A la fin du volume figurent deux index (en latin et en français).  Les deux tomes d’atlas ont un titre-frontispice montrant le Jardin du Roi, ils regroupent les 489 illustrations de Claude Aubriet gravées en taille-douce à pleine page. De format in quarto, les trois volumes sont reliés en veau marbré, les dos à nerfs sont ornés de motifs dorés avec des pièces de titre et de tomaison fauve, les tranches sont rouges.

©Céline Chagnar

©Céline Chagnard

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conclusion

Bien que critiquée dès la fin du XVIIe siècle et même si elle est peu citée dans L’Encyclopédie, la classification de Tournefort restera populaire jusqu’au XVIIIe siècle et Voltaire écrira que Joseph Pitton de Tournefort  a été « le plus grand botaniste de son temps »1.

Autrice : Livia Rapatel, responsable des fonds patrimoniaux et de la programmation culturelle à la Bibliothèque universitaire Lyon 1

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Note :

[1] : Voltaire, Essay sur l’histoire générale, et sur les mœurs et l’esprit des nations, sl, sn, 1756, VII, p. 301

>> Bibliographie :

  •  L’enseignement d’Antoine-Laurent de Jussieu au Muséum face au renouveau des doctrines de Linné sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, Duris, Pascal, In Le Muséum au premier siècle de son histoire [en ligne]. Paris : Publications scientifiques du Muséum, 1997. Disponible en ligne [consulté le 23 janvier 2024].
  • Les processus classificatoires appliqués aux objets naturels et leur mise en évidence. Quelques principes méthodologiques, Friedberg Claudine, In Journal d’agriculture tropicale et de botanique appliquée, vol. 21, n°10-12, Octobre-novembre-décembre 1974. pp. 313-334. Disponible en ligne [consulté le 23 janvier 2024].
  • Tournefort (1656-1708), Leroy Jean-François, In: Revue d’histoire des sciences et de leurs applications, tome 9, n°4, 1956. pp. 350-354. Disponible en ligne [consulté le 23 janvier 2024].
  • Botanique, thérapeutique et politique : le cas Pitton de Tournefort, Perez, Stanis. In Le Journal de botanique, n°85, 2019. Numéro thématique : 400e anniversaire de la première requête adressée au roi par Jean Riolan pour la création d’un Jardin des Plantes. Colloque Le jardin des Plantes de Paris (1618-2018) Médecins, apothicaires et botanistes. 20-21 avril 2018. pp. 58-65. Disponible en ligne [consulte le 23 janvier 2024].

>> Autres publications de l’autrice :

  • Concevoir et faire vivre une exposition en bibliothèque universitaire – In Payen, Emmanuelle (dir.), Exposer en bibliothèque : enjeux, méthodes, diffusion, Presses de l’Enssib, 2022 (coll. La Boîte à outils ; 51).
  • L’action culturelle à l’université : l’exemple du SCD Lyon 1. In Colin Sidre (dir.), Faire vivre l’action culturelle et artistique en bibliothèque, Presses de l’Enssib, 2018 (coll. La Boîte à outils ; 43).
  • La Fête de la Science en bibliothèque universitaire, l’exemple de la BU Lyon 1, et Le festival Science et Manga, une manifestation originale de la BU Lyon 1. In Justine Ancelin (dir.), Médiatiser la science en bibliothèque, Presses de l’Enssib, 2016 (coll. La Boîte à outils ; 35).

 

 

>> Aller lire l’article original sur le site :

BU Lyon 1

Festival Science et Manga 2024 | Chat et manga, félin pour l’autre !

FFestival Science et Manga 2024 | Chat et manga, félin pour l’autre !

©BU Lyon 1

Les matous font leur festival à la BU Lyon 1. Deux passions dans l’air du temps se rencontrent à la BU, les mangas et les chats, pour la 14e édition du festival Science et Manga.

Avez-vous déjà passé plusieurs minutes à regarder des vidéos de chats en ligne ? Vous êtes-vous déjà surpris ou surprise à vous attendrir devant des objets quotidiens parce qu’ils étaient décorés de chats ? Ce festival est pour vous ! Vous allez apprendre comment les chats ont conquis le monde, pourquoi on trouve des chats sans queue au Japon, ce qu’est un maneki neko, bref, vous allez pouvoir assouvir votre passion pour les chats.

>> Au programme :

  • Du 12 mars au 21 avril 2024 – Exposition : Chat et manga, félin pour l’autre !
    BU Sciences La Doua / Galerie BU
  • 12 mars 2024 

> A 18h30 : vernissage de l’exposition | Hall de la BU Sciences La Doua

> A 19h – Projection film  Kiki la petite sorcière | BU Sciences La Doua / Salle de conférences

  • 14 mars 2024 de 12h15 à 13h45 – Conférence-débat Le chat : entre indépendance et interdépendance | BU Sciences La Doua / Salle de conférences

Pour en savoir plus :

Festival Science et manga

Ateliers BARCamp

AAteliers BARCamp

Le principe des ateliers BARCamp – Bienvenue à la Recherche – est de permettre aux doctorants ou jeunes chercheurs de présenter en une dizaine de minutes leur sujet de thèse à un public non initié et de valoriser l’activité de recherche auprès du public étudiant, dans un format moins conventionnel que les séminaires ou journées d’étude.

Ce jeudi 14 décembre, 2 doctorants vous présenteront leurs travaux :

  • Luca Francone est en 3e année de thèse à l’Institut Camille Jordan où il travaille sur le problème de branchement en théorie des représentations des groupes algébriques complexes réductifs. La théorie des représentations a des applications dans divers domaines des mathématiques, de la physique et de la chimie. Finaliste lyonnais du concours Ma thèse en 180 secondes en 2022, il présentera ses travaux sur la géométrie algébrique.
  • Antoine Detaille est en 2e année de doctorat à l’Institut Camille Jordan. Son sujet de thèse porte sur les espaces de Sobolev à valeurs variétés. Il étudie les propriétés de certains espaces de fonctions. Son domaine de recherche est « multidisciplinaire » combinant plusieurs champs des mathématiques : l’analyse, qui est le thème principal, mais aussi la topologie ainsi que la géométrie. Cette diversité est une source importante de défis, puisqu’il est souvent amené à sortir de sa zone de confort et doit manipuler des outils avec lesquels il n’est pas toujours à l’aise, mais c’est un des aspects passionnants de son travail.

>> En savoir plus :

BU sciences Lyon 1

V. Richin – Mars 2023/ ©BU Lyon 1

Débat du campus : Les changements climatiques et environnementaux, quelles conséquences pour la santé ?

DDébat du campus : Les changements climatiques et environnementaux, quelles conséquences pour la santé ?

De nombreuses nuisances environnementales, changement climatique, pollution de l’air, cadre de vie et de travail, impactent la santé des populations. La récente pandémie de SARS-CoV-2 l’a démontré.

Dans ce contexte de bouleversements majeurs quelles connaissances avons-nous des conséquences que cela provoque sur la santé humaine ? Quelles sont les pathologies déjà identifiées ? Comment organiser la prévention et la recherche autour d’une préoccupation fondamentale pour notre siècle et les générations futures ?

 

Avec la participation de :

  • Loïc Blanchet-Mazuel, médecin généraliste
  • Patricia Bretones, endocrino-pédiatre à l’Hôpital Femme Mère Enfant (HFME)
  • Frédéric Haesebaert, psychiatre et docteur en neurosciences.
  • La modération sera assurée par Gilles Escarguel.

 

 

>> Une conférence disponible en présentiel ou en ligne, ici :

 Youtube

>> Plus d’informations :

BU Lyon 1

Festival Science et Manga | Édition 2023

FFestival Science et Manga | Édition 2023

13e festival | Tant qu’on sème

Pour sa 13e édition, le Festival Sciences et Manga aborde avec un titre poétique « Tant qu’on sème », une thématique d’actualité, celle des graines et de leur rôle à l’heure du changement climatique et de la crise de la biodiversité.

La bibliothèque universitaire, en partenariat avec le laboratoire Reproduction et Développement des plantes – RDP, le Laboratoire d’Écologie des Hydrosystèmes Naturels et Anthropisés – LEHNA, les Herbiers Lyon 1 et la Délégation régionale Rhône Auvergne du CNRS, propose une manifestation qui, tout en mettant en avant l’univers manga, invite à découvrir les secrets des plantes à graines qui représentent plus de 90% des espèces végétales terrestres.

L’exposition permet de déambuler dans un jardin vert japonais en testant ses connaissances des plantes à graines, de s’installer au pied des cerisiers en fleurs pour un hanami, de découvrir la grainothèque-bouturothèque qui sera inaugurée à l’occasion du festival, ou encore de suivre l’association étudiante AELBO – Association des Étudiants de Lyon en Biologie des organismes, pour une initiation à la diversité des graines qui poussent sur le campus de la Doua.

>>> Plusieurs rendez-vous sont proposés à l’occasion de ce festival :

  • Conférence – débat  : Qu’est-ce qu’on sème ? | Jeudi 9 mars de 12h15 à 13h45

Changement climatique, perte de la biodiversité, soutenabilité des modes de production sont des problématiques interrogeant nos modes de vie actuels. Dans ce contexte, la graine semble avoir un rôle essentiel à jouer. Si petites soient-elles, les graines seraient-elles les actrices majeures pour nos champs, nos forêts et pour la qualité de nos aliments ? Quel est le rôle des graines pour participer à la résilience écologique des écosystèmes ?

Avec la participation de : Gaëtan BAILLY, Docteur en droit de l’environnement, Régis DICK, Directeur du Conservatoire d’espaces naturels (CEN) Savoie, Ioan NEGRUTIU, Directeur de l’Institut Michel Serres

  • Projection : Mon voisin Totoro de Hayao Miyazaki (1h27) | Jeudi 9 mars à 19h
  • Ateliers : Bombes à graines | Jeudi 23 mars de 12h à 14hSur réservation
  • Balade : Promenons-nous dans la Doua | Les 14 et 18 avril de 12h à 13h30 – Sur réservation

Pour en savoir plus :

FESTIVAL SCIENCE ET MANGA

©BU Science Lyon 1

La musique peut-elle guérir ? | Débat du campus

LLa musique peut-elle guérir ? | Débat du campus

La musique est réputée adoucir les mœurs, relaxer, donner joie et réconfort. Les recherches actuelles s’attachent à décrypter les mécanismes cognitifs et neuronaux permettant au cerveau humain de percevoir les structures musicales. Alors quelles sont les propriétés thérapeutiques de la musique ? Quelles pathologies permet-elle de soigner ? 

 

 

 

Intervenants :

  • Pierre Duhaut, professeur des universités et praticien hospitalier en médecine interne au CHU d’Amiens ;
  • Yohana Lévêque, chercheuse au Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon ;
  • Pascal Roy, professeur de biostatistique à l’Université Claude Bernard Lyon 1 et praticien hospitalier aux HCL.

> En présentiel à la Médiathèque Paul Zech et à suivre en ligne : cliquez ici

Pour en savoir plus :

BU Sciences

Méthode de prédiction de fracture des os métastasés | Carte blanche

MMéthode de prédiction de fracture des os métastasés | Carte blanche

A l’occasion du National Biomechanics Day, la BU Sciences Lyon 1 donne carte blanche aux chercheurs en biomécanique des laboratoires LYOS (UCBL-Inserm UMR1033) et LBMC – Laboratoire de Biomécanique et Mécanique des Chocs.

 

Hélène Follet, chercheure en Biomécanique à l’INSERM, Valentin Allard et Marc Gardegaront, doctorants, présenteront leurs recherches de méthodes de prédiction par simulation permettant l’évaluation du risque de fracture des os métastasés. Ils décriront le processus de simulation d’une vertèbre et d’un fémur métastasés, ainsi que la manière d’interpréter les résultats de cette simulation et présenteront les avantages de l’utilisation de telles méthodes par rapport aux méthodes standards actuellement utilisées en clinique.

La carte blanche sera accompagnée d’ateliers de 10h à 16h :

  • Biomécanique du sport (technique de saut et détente verticale),
  • Démonstration d’analyse du mouvement humain à partir de caméras vidéo,
  • Biomécanique au service du développement des prothèses vétérinaires.

Vous espérant nombreux !

Pour en savoir plus :

BU sciences

Ateliers BARCamp

AAteliers BARCamp

Le principe des ateliers BARCamp – Bienvenue à la Recherche – est de permettre aux doctorants ou jeunes chercheurs de présenter en une dizaine de minutes leur sujet de thèse à un public non initié et de valoriser l’activité de recherche auprès du public étudiant, dans un format moins conventionnel que les séminaires ou journées d’étude.

A l’occasion des JACES (Journées des Arts et de Culture dans l’Enseignement Supérieur), deux jeunes chercheurs vous présenteront simplement et en quelques minutes leurs travaux de recherche :

  • Aurélie Levillain a effectué une thèse au laboratoire de tribologie et dynamique des systèmes (LTDS), où elle a étudié les effets de l’arthrose sur les propriétés mécaniques et la structure des ménisques du genou. Elle travaille actuellement au Lyos (unité Inserm) et au laboratoire de biomécanique et mécanique des chocs (LBMC) sur la prédiction du risque de fracture du fémur métastatique, combinant expérimentation et modélisation numérique.
  • Félix Bornier effectue sa thèse au Centre International de Recherche en Infectiologie de Lyon (CIRI) dans l’équipe « Transferts Horizontaux de Gènes chez les Bactéries Pathogènes » dirigée par Xavier Charpentier. Sa thèse s’intitule « Les amibes comme approche thérapeutique pour lutter contre les bactéries multi-résistantes aux antibiotiques ». Cette thèse allie recherche fondamentale et appliquée et s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’antibiorésistance.

Proposé par : la BU Lyon 1

En savoir plus :

BU Lyon 1

> Pour voir ou revoir les ateliers BARCamp : cliquez ici

Ateliers BARCamp

AAteliers BARCamp

Le principe des ateliers BARCamp – Bienvenue à la Recherche – est de permettre aux doctorants ou jeunes chercheurs de présenter en une dizaine de minutes leur sujet de thèse à un public non initié et de valoriser l’activité de recherche auprès du public étudiant, dans un format moins conventionnel que les séminaires ou journées d’étude.

Ce jeudi 10 mars, deux doctorants vous présentent simplement et en quelques minutes leurs travaux de recherche :

  • Lisa Nicvert est en 2e année de thèse au Laboratoire de Biométrie et de Biologie Évolutive (LBBE). Elle travaille sur « l’analyse et l’inférence de réseaux d’interactions dans les communautés écologiques ». Dans son travail de thèse, elle s’attache à développer des méthodes générales pour l’analyse de données écologiques de communautés de faune africaine.
  • Vincent Luccisano en 3e année de thèse au Laboratoire de Géologie de Lyon : Terre, planète, environnement (LGL-TPE) et au Laboratoire d’Écologie des Hydrosystèmes Naturels et Anthropisés (LEHNA). Dans le cadre de sa thèse, il s’intéresse à la systématique et la paléoécologie des chondrichtyens fossiles des bassins du Carbonifère et du Permien d’Autun (Saône-et-Loire) et de Bourbon l’Archambault (Allier).

Proposé par : la BU Sciences Lyon 1

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BU Sciences

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