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Mutanx & Momix

MMutanx & Momix

Une exposition de l’Unité de Recherche Numérique en Art et Design de l’Esad Saint-Etienne / Ensba Lyon avec l’aide du Labo NRV.

Avec  : Kévin Ardito, Angelo Careri & Louis Ziéglé, Coby Rae Crosbie, Ophélie Demurger, Alix Desaubliaux, Valentin Godard, Leo Gouhier, Quentin Lannes, David-Olivier Lartigaud, Mathilde Reynaud, Bérénice Serra, Samantha Zannoni

Affiche exposition : paysage désertique sur fond rose pâle

©ENSBA

« On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve

l’eau a changé

nous avons changé

les vivant⸱es mutent en continu

les mort⸱es mutent en se gâtant

sauf le⸱la momix

mort pérenne

son corps demeure

résiste à la mutation

Mutanx et Momix ce sont

des mort⸱es jeunes et célèbres

des vivant⸱es qui s’en souviennent

des mues temps

des boucles de mutation

un vivant qui veut se conserver avec de la technologie

de la technologie qui veut se conserver avec du vivant

une demeure qui mute

une machine qui torture

une monstre qui travaille

des mythes

des mites

et du camping  »

Pour en savoir plus, consultez le site de :

ENSBA

La vie à l’oeuvre

LLa vie à l’oeuvre

L’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon – ENSA Lyon et le CAUE Rhône Métropole vous invitent à venir à la rencontre organisée à l’ENSA-Lyon avec des architectes qui aborderont les questions de l’urbanisme transitoire et de l’architecture modulaire en regard de leurs propres expériences, pratiques et projets.

Cette rencontre, animée par Emiel Lamers, s’ouvrira sur les interventions de Walter Valkenier du studio Valkenier, de Cécile Régnault, de Laurent Graber de l’atelier Looking for architecture.

Elle est organisée en prolongement de l’exposition Hans-Walter Müller // La vie à l’oeuvre présentée jusqu’au 31 mars au CAUE Rhône Métropole.

En savoir plus sur le site du CAUE

 

Exposition La vie à l’oeuvre | Hans-Walter Müller

 » Artiste, architecte, ingénieur, Hans-Walter Müller est tout cela à la fois, mais ce qui le caractérise le plus, c’est son talent de prestidigitateur ! L’apparition et la disparition constituent une partition qu’il rejoue sans cesse et dont on ne se lasse pas. C’est par l’image qu’Hans-Walter Müller arrive aux volumes gonflables. Auteur de machines cinétiques exposées au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris à l’occasion de l’exposition « Lumière et Mouvement en 1967 », c’est le questionnement du support de projection de « l’image-matière » et son désir de le « volumétriser » qui l’amènent à créer le procédé de topoprojection. Il invente alors des « écrans enveloppants », en concevant des volumes gonflables, progressivement pénétrables, dont les parois sont les supports d’images en mouvement. Le rapport image/volume sera le sujet de recherche permanent d’une oeuvre poétique soutenue par une rigueur sans faille. Le volume gonflable, comme bâtiment de spectacle itinérant, fera la notoriété mondiale d’Hans Müller. […]  »

Laurence Falzon, enseignante à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette, commissaire de l’exposition