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Femmes et TDAH : manifestations, diagnostic et parcours de vie | Webinaire iMind #21

FFemmes et TDAH : manifestations, diagnostic et parcours de vie | Webinaire iMind #21

Le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) reste aujourd’hui largement sous-diagnostiqué chez les femmes. Ce webinaire propose un éclairage sur les spécificités du TDAH au féminin, à travers un échange croisant témoignage et approche clinique.

La première partie présentera le témoignage d’une personne concernée, depuis son enfance, marquée par un profil discret de type inattentif, jusqu’à l’émergence d’un TDAH plus envahissant à l’âge adulte avec des difficultés à se conformer aux normes sociales genrées.

Une seconde séquence apportera un regard clinique sur les particularités du TDAH chez les femmes. Après un bref retour historique, seront abordés les spécificités de l’inattention, de l’impulsivité et de l’hyperactivité dans les trajectoires féminines, ainsi que les enjeux du repérage précoce et de la reconnaissance de ce trouble.

Intervenantes :

  • Dre Dora Wynchank, psychiatre exerçant à PsyQ à la Hague (Pays-Bas). Elle mène aussi des travaux de recherche à la Vrije Universiteit d’Amsterdam ;
  • Sarah Belmas, autrice-illustratrice et personne concernée par un TDAH.

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Dyspraxie et réussite académique : construire une université accessible à tous | Webinaire iMind #20

DDyspraxie et réussite académique : construire une université accessible à tous | Webinaire iMind #20

La dyspraxie, également appelée trouble développemental de la coordination, touche de nombreuses personnes, y compris parmi la population étudiante.

Encore largement sous-diagnostiquée en raison d’un manque de formation chez les professionnel·le·s de santé, elle engendre des difficultés souvent invisibles qui peuvent complexifier les parcours académiques et personnels.

Lors de ce webinaire, Alice Gomez apporte un éclairage sur la dyspraxie : définition, évolution à l’âge adulte, stratégies de compensation, ainsi que les obstacles rencontrés dans l’accès au diagnostic.

Nous explorons également les répercussions concrètes sur la vie universitaire, à travers le témoignage d’Emeric Sarrou qui partage son expérience, ses stratégies et ses propositions pour mieux accompagner les étudiantes et étudiantes concerné.e.s.

Ce temps d’échange a été l’occasion de réfléchir collectivement aux leviers d’action pour lutter contre la stigmatisation et favoriser une université plus inclusive.

Intervenants :

  • Alice Gomez, enseignante-chercheuse en psychologie cognitive au Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon (CRNL) ;
  • Emeric Sarrou, étudiant en Master 2 de neurosciences.

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Définition médicale et sociale des troubles du neurodéveloppement : comment se positionner entre troubles et diversité ? | Webinaire iMind #17

DDéfinition médicale et sociale des troubles du neurodéveloppement : comment se positionner entre troubles et diversité ? | Webinaire iMind #17

Ce webinaire tente d’explorer les enjeux et les défis liés au diagnostic des troubles du spectre de l’autisme (TSA) et du trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Il s’intéresse notamment à la notion d’impact fonctionnel, essentielle dans les classifications médicales actuelles, et aux questions qu’elle soulève : comment cet impact est-il évalué, quels outils sont utilisés et selon quelles normes ?

Le rôle du camouflage et des stratégies de compensation, qui peuvent masquer les troubles au point d’influencer le diagnostic, est également abordé.

L’échange porte sur l’élargissement proposé par la notion de neurodiversité ou l’adoption de la notion de spectre, et les conséquences que cela pourrait avoir. Ces évolutions posent des questions importantes, notamment sur les risques de sur-médication, de diagnostics insuffisamment différenciés et de réponses médicales apportées à des problématiques sociales.

Ce webinaire propose une réflexion sur les implications sociales, médicales et éthiques de ces transformations dans le champ des troubles neurodéveloppementaux.

Intervenants :

  • Docteure Sophie Cervello, psychiatre et cheffe de service de l’unité TS2A, Le Vinatier ;
  • Philippe Le Mouël, co-président fondateur de l’association PAIRS-TND, co-président de l’association PAARI, consultant et pair-aidant TSA.

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SenseToKnow: vers un dépistage de l’autisme précoce et automatisé?

SSenseToKnow: vers un dépistage de l’autisme précoce et automatisé?

Une étude récente publiée dans Nature Medicine relate les résultats remarquables d’une nouvelle application, nommée SenseToKnow (S2K), dans le dépistage précoce de l’autisme. Cette application a été créée par des chercheurs·es de l’université Duke en partenariat avec le Centre Borelli à Paris.

L’application se compose de 10 vidéos très courtes, d’une durée de 30 à 45 secondes chacune, et d’un petit jeu appelant les enfants à interagir avec l’écran. Chaque composante a été pensée autour d’une hypothèse de recherche basée sur l’état de la littérature concernant les manifestations comportementales précoces de l’autisme. Cela permet de mettre en évidence chez les utilisateurs·rices de l’application, des marqueurs comportementaux de l’autisme validés années après années, en lien avec le regard, les micro-expressions faciales, les clignements d’yeux, les mouvements de la tête, le contrôle moteur et l’intégration visuelle d’information, la réponse à l’appel du prénom, etc…

Les données ont été collectées sur 475 enfants lors de visites médicales de routine dans 4 centres de recherche américains. L’application enregistre le regard via la caméra de l’iPad et utilise des algorithmes pour analyser les comportements. Les équipes impliquées cherchent actuellement à valider son utilisation à domicile afin de la rendre plus accessible aux familles.

 

>> Retrouvez l’interview de Sam Perochon, l’un des principaux auteurs, sur le site :

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Diagnostic 2.0 : quand l’Intelligence Artificielle intervient | Un dossier Pop’Sciences

DDiagnostic 2.0 : quand l’Intelligence Artificielle intervient | Un dossier Pop’Sciences

Pour son dossier consacré aux nouvelles applications de l’Intelligence Artificielle (IA) à la santé, Pop’Sciences est allé à la rencontre des scientifiques et professionnels de la santé de la région Lyon Saint-Étienne pour mieux comprendre ce que ces nouvelles technologies peuvent apporter (ou pas) à la médecine, notamment en termes de diagnostic…

L’IA tend à se démocratiser dans de multiples domaines professionnels, dont ceux de la santé. Entre espoirs, fantasmes, peurs et applications réelles, cette nouvelle assistance nécessite aujourd’hui d’être mieux décryptée tant auprès des médecins que de leurs patients. Pop’Sciences vous propose de revenir sur quelques applications concrètes pour comprendre ce que l’IA, et ses capacités de calcul, peut faire pour aider les professionnels de la santé dans le diagnostic de la santé mentale, pour fluidifier la prise en charge des patients ou pour apporter toujours plus de précisions en imagerie médicale… mais aussi d’en percevoir les limites, car elle est encore loin de remplacer votre médecin.

 Les articles du dossier

©Freepik

Dans un monde en constante évolution, les chercheurs et médecins se tournent vers l’intelligence artificielle (IA) pour les aider dans la pratique médicale. Pop’Sciences vous dévoile les coulisses du processus de création d’une IA prête au diagnostic, une innovation qui repose sur la précision de la consultation médicale, la richesse des bases de données, et l’entraînement minutieux de modèles IA. En somme, quelle est la recette pour une bonne IA appliquée au diagnostic médical ?

 

Image générée par IA (Dall-E) ©Pop’Sciences

Se classant au deuxième rang des causes de mortalité en France après les accidents cardiovasculaires, les troubles liés à la santé mentale sont aujourd’hui une préoccupation majeure en termes de santé publique. Dans cette quête du « mieux prévenir pour mieux guérir », l’intelligence artificielle (IA) pourrait s’imposer comme un précieux allié dans le diagnostic des troubles mentaux.

 

 

Imagé générée par IA (Dall-E) ©Pop’Sciences

Alors que les avancées technologiques continuent de redéfinir la manière dont les professionnels de la santé prennent en charge les patients, l’IA s’insère de plus en plus dans la relation entre le patient et son médecin. Au cœur de cette transformation, Loïc Verlingue, médecin et chercheur au Centre Léon Bérard partage son expertise de l’IA dans le domaine des essais cliniques en cancérologie.

 

 

©Pexel

Améliorer l’interprétation de l’imagerie médicale (IM) pour en optimiser l’exploitation est au cœur des enjeux de l’intelligence artificielle (IA) au service de l’IM. L’IA n’est plus “seulement” un domaine de recherche en plein essor… mais ses utilisations en sont multiples.  Objectifs affichés : augmenter la précision du diagnostic afin d’améliorer la prise en charge thérapeutique, en évitant les erreurs potentiellement lourdes de conséquences. La guerre des algorithmes est ouverte pour aller toujours plus loin !

 

©Freepik

Entre confiance aveugle et méfiance absolue, comment l’IA doit-elle être éthiquement acceptée et utilisée ? Comment s’affranchir de potentiels biais humains dans les systèmes d’IA utilisés à des fins de diagnostic, ou même thérapeutiques ? Autant de questions qui ne sont plus l’apanage de débats scientifiques, mais doivent être au cœur de débats politiques et sociétaux.

 

 

©Freepik

Dans cette série de questions et réponses, les étudiants de première année du cycle d’ingénieur de l’EPITA, école d’ingénierie informatique, répondent à nos questions concernant l’IA. A-t-elle toujours raison ? Peut-elle développer des sentiments ? Ou, est-elle capable de réelles créations ? Les étudiants nous éclairent.

 

 

 

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MMerci !

Ce dossier a été réalisé grâce à la collaboration de chercheurs et médecins du bassin de recherche Lyon Saint-Étienne :

Ainsi qu’avec la participation de :

  • Maëlle Moranges, docteure en neuroinformatique, apportant son expertise de l’IA en tant que référente sur ce dossier
  • Pascal Roy, chercheur en biostatistique au Laboratoire de Biométrie et Biologie Évolutive – LBBE (Université Claude Bernard Lyon 1) et praticien hospitalier aux Hospices Civils de Lyon. Intervenu lors des rendez-vous professionnels LYSiERES² : « L’intelligence artificielle peut-elle remplacer le médecin ? »
  • Antoine Coutrot, chercheur en neurosciences computationnelles, cognitives et comportementales au Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’information – LIRIS (CNRS, INSA Lyon, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, École centrale Lyon). Intervenu lors des rendez-vous professionnels LYSiERES² : « L’intelligence artificielle peut-elle remplacer le médecin ? »
  • Les étudiants de première année du cycle d’ingénieur de l’École pour l’Informatique et les Techniques Avancées (EPITA) : Léo Arpin, Adrien Guinard, Arthur De Sousa, Raphaël Hatte, Pierre Raimondi, Maui Tadeja, Mehdi Ismaili, Gregoire Vest, Emil Toulouse, Todd Tavernier, Remi Decourcelle, Paul Gravejal, Aymen Gassem, Sandro Ferroni, Nathan Goetschy, Rémi Jeulin, Clovis Lechien, Garice Morin, Alice Cariou et Eliana Junker

Nous les remercions pour le temps qu’ils nous ont accordé.

Un dossier rédigé par :

  • Léo Raimbault, étudiant en Master 2 Information et Médiation Scientifique et Technique (IMST) à l’Université Claude Bernard Lyon 1, en contrat d’apprentissage à Pop’Sciences – (Introduction, articles #1, #2, #3 et co-écriture des articles #5 et #6)
  • Nathaly Mermet, journaliste scientifique – (Articles #4 et #5)

Que sait-on des origines génétiques du TDAH?

QQue sait-on des origines génétiques du TDAH?

Le TDAH est un trouble du neuro-développement multifactoriel, impliquant une interaction complexe entre des facteurs génétiques et environnementaux.

Comprendre les bases génétiques de ce trouble est essentiel pour améliorer la précision du diagnostic et développer des approches de traitement plus ciblées. Or, il s’avère que très peu de familles ont accès au diagnostic génétique. Comment expliquer cela? Deux experts de la question ont tenté d’apporter des pistes de réflexion:

>> Les intervenants :

  • Pr Laurence Faivre, Professeur Universitaire Praticien Hospitalier au CHU de Dijon, responsable du centre génétique des maladies rares et coordinatrice de la filière AnDDI-Rares reviendra sur les connaissances actuelles des origines génétiques du TDAH et expliquera quand et comment accéder à un diagnostic génétique.
  • Stéphane Chetreff, formateur proposant des accompagnements sur les TND aux personne concernée et aussi aidant, nous fera part des éventuels freins rencontrés dans l’accès au diagnostic génétique du TDAH, au travers de son expérience et de l’expérience des familles qu’il accompagne.

>> Accédez au replay du webinaire sur la chaîne YouTube :

CENTRE D’EXCELLENCE AUTISME ET TND IMIND

De la recherche fondamentale au patient, il n’y a parfois qu’un pas.

DDe la recherche fondamentale au patient, il n’y a parfois qu’un pas.

Thomas Boulin, chercheur au CNRS et directeur de l’équipe « Neurobiologie moléculaire et cellulaire de C. elegans » du laboratoire MeLiS, a réalisé une partie des tests de validation diagnostique qui a permis à un organisme américain, l’UDN, d’identifier l’origine génétique des troubles du neuro-développement (TND) d’une jeune patiente, le syndrome NEDEGE qui résulte d’une mutation du gène NBEA. Lui qui d’habitude se passionne pour des questions de recherche fondamentale, a éprouvé un regain d’enthousiasme à pouvoir appliquer sa recherche pour confirmer le diagnostic d’une jeune patiente américaine.

« La recherche, ce n’est pas un chercheur qui se lève le matin en décidant d’étudier une pathologie pour savoir comment elle fonctionne. Ça ne se passe pas comme ça, sinon, on n’aurait plus de cancer. »

C’est avec ces mots que Thomas Boulin a commencé son récit. En effet, la recherche scientifique reste un mystère pour beaucoup. On distingue la recherche fondamentale, qui vise à comprendre les phénomènes biologiques et dont le but est le progrès de la connaissance, à laquelle on oppose souvent, de façon erronée, la recherche appliquée dont le but est de répondre à une question précise, par exemple clinique. Alors que le financement de la recherche se fait aujourd’hui essentiellement par appels d’offres ciblés, la recherche fondamentale est davantage critiquée sur son utilité, en comparaison à la recherche appliquée, plus concrète à première vue.

Or, sans recherche fondamentale, pas de recherche appliquée car celle-ci s’appuie sur le socle de connaissance issu de la recherche fondamentale. L’équipe de Thomas Boulin du laboratoire MeLiS étudie le fonctionnement des canaux potassiques qui régulent l’activité électriques des neurones. En d’autres termes, il cherche à comprendre les conditions nécessaires, au niveau moléculaire, pour que l’information circule correctement dans nos réseaux neuronaux. Ses travaux se situent donc dans le champ de la recherche fondamentale. C’est pourtant grâce à ces travaux qu’il a pu développer un nouvel outil diagnostic pour le syndrome NEDEGE.

Lire l’article

PPour aller plus loin

>> Retrouvez toute l’actualité sur l’autisme et les troubles du neuro-développement :  IMIND

Dr L. Pennel : « Un tiers de nos patients en addictologie présentent un TDAH »

DDr L. Pennel : « Un tiers de nos patients en addictologie présentent un TDAH »

Le Docteur Lucie Pennel travaille au sein d’un Centre de Soins d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie –  CSAPA, qui est rattaché au service universitaire de Pharmaco-addictologie du CHU Grenoble Alpes.

Avec le Professeur Dematteis, chef de service, ils ont développé un service d’Addictologie qui ne compte aucun lit d’hospitalisation. C’est pourtant un centre de dernier recours où sont orientés les usagers et les patients en situation complexe. Au fil du temps, ils sont montés en expertise sur le diagnostic du trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, autrement dit TDAH, afin de mieux prendre en charge leurs patients. En effet, environ un tiers de ces patients présente soit un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H), soit un trouble du spectre autistique (TSA), voire les deux.

>> Interview à retrouver dans son intégralité sur le site :

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Le Trouble Déficit de l’Attention – TDAH – à tous les âges

LLe Trouble Déficit de l’Attention – TDAH – à tous les âges

Lucile Hertzog a été diagnostiquée tardivement avec un TDAH – Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité, qui se traduit par un fonctionnement atypique du cerveau qui entraîne des difficultés quotidiennes, tout au long de la vie et dans tous les domaines. Elle est autrice du site TDAH âge adulte.

Accompagnée d’Élodie Zante, cheffe de clinique au Centre Hospitalier Le Vinatier travaillant dans le champ des troubles du neuro-développement, elles partagent lors d’un webinaire leur réflexion sur l’évolution du TDAH à différents stades de la vie et des implications sur l’identité d’une personne, le diagnostic et son suivi.

>> Accédez au replay du webinaire sur la chaîne YouTube du :

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Troubles du spectre de l’autisme vs troubles du comportement alimentaire: vers une vision intégrative?

TTroubles du spectre de l’autisme vs troubles du comportement alimentaire: vers une vision intégrative?

Le service de nutrition du CHU de Rouen a développé une expertise en détection de troubles du spectre de l’autisme sur les dernières années car cette patientèle était très représentée au sein de leur file active.

Au sein du CHU de Rouen et de l’hôpital Croix-Rouge de Bois-Guillaume, le service de nutrition a développé une expertise en détection de troubles du spectre de l’autisme (TSA) sur les dernières années car cette patientèle est très représentée : on parle d’une moyenne de 2 à 4 patients sur les 22 lits que compte le service, ce qui est largement plus important que les chiffres de prévalence connus actuellement dans la population générale.

Tout est parti du constat qu’une certaine proportion des patients pris en charge dans le service du Pr Déchelotte présentaient un profil de troubles du comportement alimentaire qui différait des schémas habituels. Les prises en charge proposées n’étaient donc pas pleinement satisfaisantes et impliquaient des hospitalisations répétées qui s’étalait dans le temps, atteignant parfois plusieurs années de suivi intermittent pas le service sans trouver de solution pérenne. Depuis que le service traite ces cas atypiques par le biais d’une approche adaptée aux personnes TSA, la prise en charge est plus rapide et efficace.

Accéder au replay du webinaire sur la chaîne Youtube du CENTRE D’EXCELLENCE AUTISME ET TND IMIND