LLe rendez-vous bien-être animal | ACACED : ce qui change en 2025 Chaque semaine, la Chaire bien-être animal vous propose sur son site internet une nouvelle ressource en lien avec le bien-être animal ! Ce rendez-vous est relayé tous les mardis sur Facebook, Linkedin et Instagram avec le hashtag #LeRdvBEA. Suivez-nous !>> Le « Rendez-vous bien être animal » de la semaineL’ACACED (Attestation de Connaissances pour les Animaux de Compagnie) est une certification obtenue après une formation et une évaluation, qui permet d’exercer une activité au contact des animaux de compagnie d’espèces domestiques.Un nouvel arrêté, daté du 26 novembre 2024, est entré en vigueur le 1er janvier 2025 et vient modifier l’encadrement de la formation pour l’ACACED.Découvrez les nouveautés apportées par cet arrêté dans la suite de l’article !Pour accéder à l’article, cliquez sur l’image :>> Les précédents « Rendez-vous bien être animal »Article – Nouveau panneau pédagogique sur l’alimentation au zoo du Parc de la Tête d’OrArticle – Chronologie du bien-être animalArticle – Le statut juridique du chevalVidéo – À la rencontre du binturong avec ABConservationArticle – Pourquoi et comment enrichir l’environnement des animaux d’élevage ?>> Pour retrouver tous les « Rendez-vous bien être animal », allez sur le site de : CHAIRE Bien-être animal
MMétaux critiques : des bactéries pour recycler les batteries usagées ? Pour réussir sa transition vers une mobilité décarbonée, la France dépend encore de l’importation de matériaux critiques, comme le lithium et le cobalt. Face à cette dépendance qui sous-tend de nombreux enjeux socio-économiques et écologiques, la recherche d’alternatives pour sécuriser ces ressources se fait urgente.Parmi l’une des solutions viables : le recyclage des objets riches en métaux grâce à un procédé de biolixiviation. À partir de bactéries, cette technique consiste à faire « digérer » des gisements secondaires, des déchets riches en métaux, par des organismes vivants, pour séparer les composés. Si la création d’une filière dédiée pourrait mettre plusieurs décennies à voir le jour, des initiatives sont en cours de développement dans les laboratoires. C’est le cas au laboratoire DEEP(1) de l’INSA Lyon, où Bruno Sialve, enseignant-chercheur et Gabrielle Deslandes, doctorante, explorent la voie biologique pour récolter les métaux des batteries en fin de vie de véhicules électriques.De la nécessité d’une solution durable pour le recyclage des batteriesL’électrification est l’un des leviers qui participent à la transition d’une mobilité décarbonée. Seulement, pour faire rouler des véhicules à faible émission, il faut produire des batteries. Et pour produire des batteries, il faut des éléments particuliers tels que le lithium, le cobalt ou le nickel. Derrière ces éléments se cachent des impacts environnementaux et des enjeux sociaux très lourds : pollution des sols et des eaux, violations des droits de l’homme dans certains pays contrôlant la majeure partie de ces matières et risques géopolitiques majeurs. Dans ce contexte, recycler ces métaux devient donc une priorité pour limiter cette dépendance, et réduire les coûts écologiques de leur extraction. « Par ailleurs, une directive européenne va inciter d’une part à récupérer le lithium dans les batteries usagées (50 % d’ici à la fin de 2027 et 80 % d’ici à la fin de 2031) et d’autre part à inciter les fabricants à utiliser au moins 6% de lithium recyclé dans les nouvelles batteries. Dès 2031, ce règlement s’appliquera aussi à d’autres métaux stratégiques, avec des taux requis de 16 % pour le cobalt, 85 % pour le plomb et 6 % pour le nickel(2), une raison de plus pour accélérer notre capacité à recycler ces objets », met en contexte Bruno Sialve.Différents processus de recyclage déjà à l’épreuvePlusieurs méthodes de recyclage sont déjà connues et éprouvées. D’abord, la pyrométallurgie qui consiste à fondre les résidus de batteries pour séparer les métaux par fusion. (…)>> Rendez-vous sur le site point2bascule.fr pour :LIRE LA SUITE DE L’ARTICLE
SSanté : mieux comprendre les expositions environnementales Organisée à la Bibliothèque municipale de Lyon Part Dieu le 4 décembre 2024, à l’occasion du lancement du 14e numéro du Pop’Sciences Mag, Santé[s], une vision globale, cette rencontre-débat a eu pour ambition de discuter des liens entre santé et environnement. Nous ne sommes pas tous égaux face à la maladie. Qu’est-ce qui agit sur notre santé, en dehors des facteurs génétiques et comportementaux (activité physique, tabac, alcool…) ? Cette rencontre a permis de mettre en lumière un concept scientifique récent : l’exposome. Celui-ci fait référence aux différents facteurs environnementaux auxquels chaque individu est exposé tout au long de la vie et qui peuvent avoir un impact sur sa santé (alimentation, air, eau, bruit, pollutions, rayonnements, effets du changement climatique…) : comment les identifier, prendre conscience de leurs conséquences sur la santé et de quelle manière agir pour prévenir leurs effets, à l’échelle individuelle ou collective ?La rencontre-débat propose un éclairage sur ces questions grâce aux regards croisés de :Fabrice Vavre, chercheur au CNRS en biologie de l’évolution, directeur du laboratoire de Biométrie et Biologie Évolutive, Université Claude Bernard Lyon 1, et membre du bureau de SHAPE-Med@Lyon ;Béatrice Fervers, cancérologue, chef du département Cancer et environnement du Centre Léon-Bérard de Lyon.Animée par : Samantha Dizier, co-rédactrice en chef Pop’Sciences Mag – Direction Culture, Sciences et Société – Université de Lyon> (Re)découvrez l’intégralité de la rencontre :Crédit vidéo : © Bibliothèque municipale de LyonUn événement Pop’Sciences/Université de Lyon organisé en collaboration avec la Bibliothèque municipale de la Part-Dieu. > La retransmission de la rencontre est également disponible en vidéo et en podcast sur le site :Bibliothèque municipale de Lyon
VVis ma vie d’élève-ingénieur.e agronome Vous êtes lycéen.ne en Terminale et passionné.e par les sciences, l’environnement ou l’alimentation durable ? L’École d’ingénieurs agronomes Isara Lyon vous ouvre ses portes pour une immersion unique, où chaque atelier scientifique vous propulsera dans des secteurs d’avenir !> Au programme : des ateliers scientifiques captivants (40 min chacun)Agronomie & Alimentation : Un petit pois pour la science, un grand pas pour la PlanèteExplorez l’univers microscopique des sols et comprenez comment de minuscules organismes peuvent révolutionner la biodiversité et l’agriculture durable. Vous serez à l’avant-garde des solutions pour la préservation de nos écosystèmes.Microbiologie alimentaire : Transformez une idée en révolution gustative !Imaginez créer la prochaine tendance culinaire qui fera vibrer vos papilles. De la conception à la validation qualité, plongez dans l’univers des tests sensoriels et découvrez comment vos idées peuvent conquérir le monde alimentaire.Chimie durable : Le secret d’une agriculture écoresponsableEnvie de contribuer à un avenir plus vert ? Explorez la chimie des sols pour inventer des modèles agricoles respectueux de l’environnement. Votre rôle ? Révéler les mystères de la terre pour proposer des solutions innovantes et durables. Un enjeu crucial pour la planète et pour vous, futur.e ingénieur.e !Biochimie des aliments : Décodez les saveurs de demainPartez à la découverte des saveurs ! La biochimie des aliments vous permettra de comprendre et sublimer les saveurs. Apprenez à créer, analyser et transformer les goûts à travers des expériences scientifiques fascinantes.Élevage et biodiversité : L’incroyable voyage des saveurs animalesSaviez-vous que la biodiversité animale peut changer notre alimentation ? Venez percer les secrets du lien entre l’élevage, la biodiversité et nos assiettes. Découvrez comment un simple « meuh » peut se transformer en une explosion de saveurs fromagères !> Les dates (sur inscription) :mercredi 27 novembre 2024mercredi 5 février 2025Mercredi 5 mars 2025>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : ISARA Lyon
UUtopie Urbaine : imaginons la ville de demain Dans un monde où les innovations technologiques et l’urbanisation accélèrent, nous sommes confrontés à une question essentielle : quels compromis et espoirs pour réconcilier modernité et environnement ?En faisant travailler vos imaginaires, nous aborderons les usages de nos villes de demain, mais aussi leur résilience, les avancées technologiques, la sécurité et bien d’autres sujets !En partenariat avec : la maison de l’écologie> Programme : 19h – 20h | Notre jeu P.O.V : Pour des discussions interactives et inspirantes autour des défis écologiques et urbains20h – 21h30 | Un voyage collectif dans le futur : Ensemble, et avec l’aide de l’IA nous explorerons les visions possibles de la ville de demain 21h30 – 23h | Un apéro communauté : Poursuivons les échanges dans une ambiance décontractée, autour d’un verre >> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : Scène 27
CComment sont élaborés les simulateurs d’empreinte carbone ? Alors que Paris accueillait les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, Laetitia Guérout, élève-ingénieure au département biotechnologies et bioinformatique, et stagiaire chez WeCount, a contribué au développement d’un calculateur d’empreinte carbone destiné aux supporters. Cet outil pédagogique permet de mesurer les émissions de CO2 liées aux transports, à l’alimentation et à l’hébergement pour se rendre aux Jeux. L’objectif ? Profiter du tremplin exceptionnel que sont les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 pour éduquer un maximum de spectateurs au sujet de la lutte contre le changement climatique et déclencher l’envie d’agir. « L’objectif n’étant pas de culpabiliser les spectateurs, mais bel et bien de pouvoir leur apporter des connaissances et des clés d’action », explique l’étudiante.>Simulateur d’empreinte carbone individuelle : comment sont-ils élaborés ?Outil de sensibilisation idéal du grand public, le simulateur d’empreinte carbone permet de prendre conscience des usages individuels qui contribuent le plus au changement climatique, et de découvrir les actions qui auraient le plus d’impact pour réduire son bilan carbone. La prise en main se veut facile, rapide et ludique. « C’est un questionnaire qui permet de calculer en quelques minutes les émissions associées à différents postes comme le transport, l’alimentation, ou encore l’hébergement », introduit Laetitia Guérout. Basé sur des facteurs d’émissions provenant d’une base de données de l’ADEME, le calculateur estime ainsi un équivalent en kg ou tonnes de CO2 émis. « Le CO2 n’est bien sûr pas le seul gaz à effet de serre émis par les activités humaines, cependant, ramener le calcul à un équivalent en tonnes de CO2 pose un chiffre sur le concept parfois flou que sont les émissions de gaz à effet de serre. Cela le rend plus concret dans l’esprit des gens. Grâce à ces facteurs d’émission et aux réponses de l’utilisateur à un panel de questions simples, le simulateur affiche un impact chiffré. Et surtout, à l’issue du questionnaire, l’utilisateur dispose de pistes d’actions lui permettant d’agir sur son empreinte carbone et de la réduire. S’il souhaite aller plus loin, des ressources sont également mises à sa disposition pour en apprendre davantage sur le sujet. C’est un outil de sensibilisation et de mise en action assez puissant», poursuit l’étudiante de l’INSA Lyon en stage chez WeCount.>Le cas des JO 2024 : le poste des transportsÀ l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, Laetitia Guérout a participé à l’élaboration de celui-ci d’une plateforme dédiée à l’évènement mondial. « Un calculateur d’empreinte carbone qui cible un évènement particulier ne considère pas exactement les mêmes postes d’émission qu’un calculateur d’empreinte carbone lié aux activités quotidiennes, même si certains postent se retrouvent presque systématiquement comme le transport ou l’alimentation. »En premier lieu, le développement de l’outil a donc nécessité un important travail de définition du périmètre de calcul. « Il faut réussir à ne pas oublier de poste d’émission important, tout en n’alourdissant pas trop le questionnaire pour qu’il reste rapide et simple à remplir. L’idée est donc de cibler (…)>> Lire l’article sur le site :insa
FFaire face aux maladies de société Selon les données du 6e rapport du GIEC, le changement climatique est la plus grande menace pour la santé humaine. Maladies cardiovasculaires causées par les hausses des températures, maladies respiratoires liées à la pollution atmosphérique, maladies animales transmissibles à l’homme causées par l’effondrement de la biodiversité et l’agriculture intensive, ou encore problèmes de santé mentale, avec le développement de troubles anxieux et des traumatismes causés par les catastrophes naturelles. Toutes ces maladies de société ont un trait commun : « Elles sont intrinsèquement liées aux nouveaux modes de vie de nos sociétés industrialisées. C’est un constat difficile, dont il ne faut pas se détourner », ont affirmé Marianne Chouteau et Adina Lazar, enseignantes chercheuses à l’INSA Lyon. À l’occasion du deuxième séminaire « Let’s look up! » en mai dernier, le collectif de chercheurs et d’enseignants-chercheurs de l’INSA Lyon et de l’Université Lyon 1 ont exploré cette thématique.>> Le cas des zoonosesLes dernières décennies ont montré une accélération dans l’émergence de zoonoses, ces maladies qui passent de l’animal à l’homme. Déjà identifié depuis le Néolithique, il est désormais connu que ce mécanisme de contamination peut être à l’œuvre dans différents cas : lors d’un contact direct avec un animal contaminé ; par l’intermédiaire de l’environnement (eau, sols) ; par l’intermédiaire d’un animal vecteur ; ou encore par la consommation d’aliments d’origine animale contaminés. C’est avec la présentation détaillée de cette pathologie bovine que débute la présentation de Thierry Baron1,chef de l’Unité Maladies Neurodégénératives de Lyon. Après des années de recherches sur les maladies à prions, il dirige aujourd’hui des études sur la maladie de Parkinson et autres variants. À travers ses travaux, il a pu montrer que le développement de cette maladie pouvait être favorisé par l’exposition à divers composés naturels ou artificiels comme les pesticides. « Les maladies à prions sont, dans la plupart des cas, considérées comme sporadiques, et leur cause est inconnue. Mais parfois des clusters de malades sont observés localement, il est alors possible d’aller rechercher les déterminants possibles de ces maladies par des enquêtes de terrain », explique le directeur de recherches de l’ANSES.>> Environnement et technologie : les autres déterminants de la santéDans les années quatre-vingt, la crise de la vache folle avait sévi en Europe, causé notamment par la concentration d’animaux d’élevage. La crise avait entraîné des victimes humaines, des milliers de vaches abattues et une crise économique pour la filière bovine, conséquences d’un changement du procédé industriel de fabrication de farines animales. La baisse de la température de cuisson, qui visait à optimiser la qualité nutritive, limiter le coût de production, et réduire l’impact sur l’environnement et le personnel technique, a conduit à une crise de grande ampleur. Ainsi, dans le cas de la crise de la vache folle, la barrière de l’espèce a été franchie : le prion est passé du mouton à la vache, puis de la vache à l’homme via l’alimentation causant 28 décès recensés et confirmés. Intrinsèquement liée à l’organisation industrielle, cette crise a souligné les limites de la logique de performance de nos sociétés. « C’est une illustration de la nécessité de (…)>> Lire la suite de l’article sur le site :Insa lyon
SSanté : mieux comprendre les expositions environnementales / Soirée Pop’Sciences Mag Organisée à l’occasion du lancement du 14e numéro du magazine de l’Université de Lyon, Pop’Sciences Mag Santé[s], une vision globale, cette rencontre aura pour ambition de discuter des liens entre santé et environnement. Nous ne sommes pas tous égaux face à la maladie. Qu’est-ce qui agit sur notre santé, en dehors des facteurs génétiques et comportementaux (activité physique, tabac, alcool…) ? Cette rencontre met en lumière un concept scientifique récent : l’exposome. Celui-ci fait référence aux différents facteurs environnementaux auxquels chaque individu est exposé tout au long de la vie et qui peuvent avoir un impact sur sa santé (alimentation, air, eau, bruit, pollutions, rayonnements, effets du changement climatique…) : comment les identifier, prendre conscience de leurs conséquences sur la santé et de quelle manière agir pour prévenir leurs effets, à l’échelle individuelle ou collective ?La rencontre-débat proposera un éclairage sur ces questions grâce aux regards croisés de :Fabrice Vavre, chercheur au CNRS en biologie de l’évolution, directeur du laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive, Université Claude Bernard Lyon 1, et membre du bureau de SHAPE-Med@Lyon ;Béatrice Fervers, cancérologue, chef du département Cancer et environnement du Centre Léon-Bérard de Lyon.>> PROGRAMMATION18h30 – Présentation du 14e numéro du Pop’Sciences Mag18h45 – Rencontre – débat avec Fabrice Vavre et Béatrice Fervers19h45 – Discussion avec le publicUn exemplaire du Pop’Sciences Mag #14 vous sera remis dans le cadre de cette rencontre.Événement gratuit – Entrée libre, dans la limite des places disponibles.Cet événement Pop’Sciences/Université de Lyon est organisé en collaboration avec la Bibliothèque municipale de la Part-Dieu.©Pop’Sciences Cette soirée de lancement du Pop’Sciences Mag #14 est l’un des premiers événements qui ouvrent la programmation du Festival de la Santé mondiale à Lyon Le Pop’Sciences Mag #14 « Santé[s], une vision globale » a été :Réalisé grâce à la contribution de chercheurs issus des établissements et instituts suivants : Université Claude Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, Université Jean Moulin Lyon 3, Université Jean Monnet Saint-Étienne, Université Grenoble-Alpes, École normale supérieure de Lyon (ENS de Lyon), Institut national des sciences appliquées Lyon (INSA Lyon), VetAgro Sup, École nationale des travaux publics de l’État (ENTPE), École nationale supérieure d’architecture de Lyon (ENSAL), Mines Saint-Étienne, Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE), Hospices civils de Lyon, Centre hospitalier universitaire de Saint-Étienne, Centre Léon Bérard.Développé avec le soutien de la Métropole de Lyon, de la Région AURA, du projet LYSiERES²– Sciences avec et pour la société, du projet SHAPE-Med@Lyon et de la CASDEN.
EELEA expérimente la pollution de l’eau Le cycle de l’eau est une boucle que l’eau parcourt pour se déplacer à la surface de la Terre et sous nos pieds. Malheureusement, l’eau n’est pas toujours propre. La pluie en tombant sur nos déchets, de l’huile de voiture, ou des surfaces métalliques ou plastiques, entraine dans le sol ou dans les cours d’eau, des particules microscopiques qui peuvent être toxiques. LesDécouvrez avec ELEA comment les chercheurs de l’université Gustave Eiffel étudient les pouvoirs de la végétation en épuration des eaux polluées (vidéo 2’28)ELEA expérimente la pollution de l’eauUne initiative portée par le service Diffusion des Savoirs et Ouverture à la Société en collaboration avec Nadège Caubrière du laboratoire Eau et Envionnement de l’Université Gustave EiffelRetrouvez toute la collection ELEA expérimente sur le portail reflexscience (version française et anglaise sous-titrées)
MMIAM Festival | Cosmos Dans le cadre du MIAM Festival, proposé par la Métropole de Lyon et dédié à l’alimentation, découvrez les jardins nourriciers, jardins émancipateurs avec diverses animations : visite, film et rencontre pour explorer le pouvoir des jardins.Une double programmation dédiée aux jardins urbains – qu’ils soient familiaux, partagés et d’insertion – avec une visite des plus anciens jardins ouvriers de Lyon, créés en 1916 à Gerland, suivie d’une projection-rencontre à la Maison de l’environnement autour du documentaire La Jungle étroite, en présence de Gautier Chapuis, délégué au Maire de Lyon en charge notamment des jardins urbains.Visite des jardins familiaux de Gerland – section Le Livre | À 17h15©DR« Le livre » est la plus ancienne section (1916) de l’Association des Jardins Ouvriers Communaux de Lyon. Ces jardins ont été créés à l’époque par des ouvriers imprimeurs sur un terrain appartenant aujourd’hui à la ville de Lyon. Ils jouxtent le parc de Gerland. Nous proposerons un court historique des lieux et une visite des jardins. La promenade se terminera par un temps d’échange avec les participant.es sur l’une des parcelles, autour de ce lieu, des plantes, de pratiques du jardinage…Nous pourrons ensuite aller ensemble, pour celles et ceux qui le veulent, à la Maison de l’environnement pour la projection et rencontre.Durée : environ 1h.Tous publics (enfants dès 7 ans, sous la responsabilité de leurs proches)>> Inscription gratuite, avec possibilité de faire un don en conscience à l’association.Rendez-vous Cosmos – Film & rencontre à la Maison de l’environnement |À 19h ©Benjamin HENNOTL’association Fraternités ouvrières, à Mouscron en Belgique, ce sont des jardins-vergers sauvages, un grainier comptant six mille variétés de semences, des cours et des ateliers gratuits. Son passeur, porte-parole et cheville ouvrière, c’est Gilbert. Tous les jardiniers curieux de Lille, Bruxelles ou Gand, tous ceux et celles qui veulent lier social et jardinage passent là pour se frotter à sa parole et à son jardin, roboratifs et luxuriants.A l’issue de la projection, nous échangerons avec Gautier Chapuis, Délégué au Maire de Lyon en charge de la Végétalisation, la Biodiversité, la Condition Animale et l’Alimentation. Ce sera l’occasion d’évoquer la pratique du jardinage en ville, à travers les jardins ouvriers, familiaux et collectifs et leur histoire, d’explorer leur dimension d’éducation populaire, leur potentiel d’émancipation, leur dimensions politique et sociale, et leur dimension nourricière, ainsi que l’implantation de vergers en milieu urbain.Durée : 57min.>> Inscriptions, à prix libre>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :COSMOS