DDes Animaux et des Hommes | #FDS2018 En famille, venez en apprendre plus sur les chantiers archéologiques et les trouvailles que l’on peut y faire : vous ferez de nombreuses découvertes autour des animaux ! En compagnie des archéologues et archéozoologues du Service archéologique de la Ville de Lyon et des animateurs des Francas, vous apprendrez qui étudie les os d’animaux et pourquoi, les différences qui existent entre un animal apprivoisé et domestiqué, quel est le rôle de l’Homme dans la transformation de certaines espèces… Après ce forum des enfants citoyens, vous ne regarderez plus les animaux de la même manière !Intervenants : Archéologues et archéozoologue du Service archéologique et animateur des Francas Public visé : 9 – 13 ans | Inscription obligatoire Service Archéologique de la ville de LyonConsultez toute la programmation Fête de la Science 2018 en Métropole de Lyon et Rhône
CChampignons et Sciences à Rockfeller | #FDS2018 Depuis 2011, la faculté de pharmacie et ses étudiants, en partenariat avec la Société Linnéenne de Lyon, et la commune de Lus-la-Croix-Haute, vous reçoivent à l’Université pour leur désormais traditionnelle exposition mycologique et botanique. Des dizaines de champignons et plantes vous y seront présentés pour votre plus grand plaisir !Vous pourrez flâner et visiter à votre convenance de 10h à 19h30, participer à des visites guidées avec les enseignants et étudiants, ou encore assister à des conférences, des visites spéciales scolaires sont aussi prévues. Exposition mycologique et botaniqueDe 10h à 19h30Intervenants : Isabelle Kerzaon, Marie-Geneviève Dijoux Franca, Didier Blaha, Caroline PaliardPublic visé : 3 ans + | Entrée libre Tourbières, naissance et flore (conférence)A 17h15Dans le cadre de l’exposition mycologique les étudiants de pharmacie vous proposent de découvrir l’écosystème très particulier des tourbières. Vous découvrirez les particularités et les espèces de ce milieu, plantes et champignons spécifiques.Intervenants : Les étudiants en 5ème année de Pharmacie de Lyon : Guillaud Maxime, Ruffin Gaëtan, Laval Laureen, Grand Pauline, Damians Jérôme, Gudin MaloryPublic visé : 15 ans + | Entrée libre Résistance aux fongicides et mildiou (conférence)A 18h30Pour clôturer en beauté l’exposition mycologique et botanique, apprenez-en plus sur le mildiou et les problématiques rencontrées par les chercheurs et les viticulteurs dans le cadre de l’émergence de résistances de Plasmopora viticola (parasite de la vigne) aux antifongiques utilisés depuis de nombreuses années.Intervenant : Benoît Barres, responsable de l’Unité Résistance aux Produits PhytosanitairesPublic visé : 15 ans + | Entrée libre Université Claude Bernard Lyon 1 Consultez toute la programmation Fête de la Science 2018 en Métropole de Lyon et Rhône
LLes espèces stellaires sont-elles des espèces naturelles ? Stéphanie RuphyIntervention de Stéphanie RUPHY , Professeur à la Faculté de philosophie de l’Université Jean Moulin Lyon 3 où elle enseigne la philosophie des sciences.Dans le cadre des conférences de l’Université Jean Moulin Lyon 3, organisée par la Société rhodanienne de Philosophie. « Comme tout amateur des merveilles célestes ne manquerait pas de le confirmer, rien ne ressemble plus à une étoile qu’une autre étoile, même observée avec un télescope. C’est peut-être la raison pour laquelle les classifications stellaires n’ont guère reçu d’attention philosophique, en dépit de leur riche histoire et du rôle crucial qu’elles jouent en astrophysique : la diversité des étoiles est loin d’être aussi manifeste et immédiatement accessible que celle des plantes, des animaux, des minéraux ou encore des substances chimiques. Il n’est dès lors guère surprenant que les discussions philosophiques portant sur l’existence, ou non, d’un « ordre naturel » aient principalement concerné la biologie ou la physique-chimie.Comme je m’efforcerai de le montrer dans cette intervention, la pratique et les succès de la taxinomie stellaire posent pourtant de fructueuses questions aux principales positions philosophiques actuelles sur les classifications et les espèces naturelles (e.g. réalisme/antiréalisme ; monisme/pluralisme). Je serai alors conduite à rejeter toute lecture essentialiste ou même réaliste de la notion d’espèce naturelle en science, et à offrir une interprétation essentiellement pragmatique de la stabilité des systèmes taxinomiques dans les sciences physiques. Je conclurai par quelques remarques générales concernant l’impact des pratiques taxinomiques scientifiques sur les doctrines philosophiques des classifications et des espèces naturelles. » Stéphanie RuphyEn savoir plus : site de l’Université Jean Moulin Lyon 3