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Les Journées de l’Économie 2024

LLes Journées de l’Économie 2024

Rendez-vous pour la 17e édition des Journées de l’Économie ! Les Journées de l’Économie – JÉCO -, organisées par la Fondation Innovation et Transitions – FIT -, proposent aux citoyens de tous horizons des clés pour mieux comprendre le monde qui les entoure en échangeant sur une grande diversité de sujets d’actualité abordés.

Au programme, des sujets pour tous les goûts et couvrant l’ensemble de la ville de Lyon. Que vous soyez passionné par les enjeux économiques mondiaux ou curieux des tendances locales, vous trouverez des conférences captivantes à chaque coin de rue. Laissez vous surprendre par la richesse des perspectives et la variété des lieux qui font de cette édition un véritable carrefour d’idées, accessible à tous les esprits avides de connaissance.

Pour découvrir le programme, rendez-vous sur le site :

Jéco

Vous avez la possibilité de vous inscrire pour assister aux conférences en présentiel ou distanciel sur le site.

Le biomimétisme pour ré-émerveiller les gens | Visages de la science

LLe biomimétisme pour ré-émerveiller les gens | Visages de la science

Saviez-vous que les technologies GPS s’inspiraient directement du comportement des fourmis ? Jean-Matthieu Cousin, ingénieur INSA Lyon, est chargé d’études industrielles au Ceebios, le centre d’expertise et d’études en biomimétisme en France. Sa mission ? Mobiliser le plus d’acteurs à prendre la voie du biomimétisme pour proposer des innovations durables. Passionné par le biomimétisme qu’il considère comme une vraie philosophie, il souligne l’importance de reconsidérer le vivant, de se reconnecter avec les écosystèmes qui nous entourent afin de s’en inspirer, mais surtout de les préserver. 

 

  • S’inspirer du vivant ou faire avec le vivant ?

« Beaucoup de mots gravitent autour de cette discipline : biomimétique, biomimétisme, bio-inspiration… In fine le dénominateur commun est qu’il s’agit surtout de s’inspirer du vivant pour innover », explique l’ingénieur. Mais plus encore, Jean-Matthieu Cousin considère que l’engouement autour du biomimétisme doit être également considéré comme un appel à challenger notre rapport au vivant.

  • L’inspiration, oui. Mais la préservation avant tout.

Santé, énergie, logement, mobilité, alimentation… Les organismes vivants et la nature deviennent depuis plusieurs années une source d’inspiration importante. Jean-Matthieu souligne l’importance de reconsidérer le vivant et les écosystèmes qui nous entourent afin de s’en inspirer, mais surtout de les préserver.

  • De l’importance de se reconnecter avec le vivant

« Apprenez de la nature, vous y trouverez le futur », avait dit Léonard de Vinci. Une vision que partage l’expert en biomimétisme et qui voit en la nature un formidable réservoir de la nature dont il est urgent de s’inspirer pour innover dans une perspective durable. « Je voudrais que ma discipline aille plus loin et invite les gens à reconsidérer le vivant différemment. Il est important d’aller au-delà d’une approche très utilitariste », confie-t-il au micro des « Cœurs Audacieux ».

 

Jean_Mathieu_CousinJean-Matthieu Cousin, diplômé du département de génie mécanique de l’INSA Lyon était l’invité du podcast « Les cœurs audacieux », un contenu audio proposé par l’INSA Lyon (Saison 2 – Épisode 8).

 

 

ÉCOUTER L’ÉPISODE

 

Des emballages jetables, compostables et comestibles

DDes emballages jetables, compostables et comestibles

Le plastique n’est plus du tout fantastique : omniprésent, on le sait désormais nocif pour l’environnement, la santé humaine et les écosystèmes. Seulement, le plastique est pratique. Ou tout du moins, l’emballage jetable l’est pour bon nombre de situations de la vie courante.

Pierre-Yves Paslier, diplômé du département matériaux de l’INSA Lyon, a fondé l’entreprise « Notpla ». Avec elle, il met en évidence un fait : dans la nature, l’emballage existe et ne dure jamais plus longtemps que son contenu, comme la peau d’un fruit. L’entreprise de l’ingénieur-produit a trouvé la recette pour fabriquer des emballages jetables et même comestibles à partir d’algues. L’innovation a récemment été récompensée par le Prince William, à travers le Earthshot Prize 2022, dans la catégorie « Construire un monde sans déchets ».

La décomposition du déchet à base d’algues est très rapide. © Notpla

Avec « Notpla », vous introduisez une innovation de taille dans le monde du packaging : remplacer le plastique des emballages jetables par un matériau biosourcé, l’algue. Pourriez-vous résumer ?

Nos produits sont des emballages dits « jetables » dédiés à la consommation instantanée ou hors de chez soi comme les repas à emporter ou les snacks pendant les évènements sportifs. Nous avons souhaité nous concentrer sur l’industrie du déchet jetable car c’est souvent celui qui est le plus à même de se retrouver directement dans la nature. À la différence du packaging plastique ou carton généralement utilisés dans ces cas-là, nos solutions sont naturellement biodégradables puisqu’elles sont fabriquées à base d’algues. L’idée était de ne pas produire un déchet que la nature ne pourrait pas gérer. Concrètement, il suffit de mettre l’emballage au compost ou même, de le manger pour que celui-ci disparaisse ! (…)

>> Lire la suite de l’interview sur le site :

Insa lyon

Découvrez les lauréats 2023 de la médaille de l’innovation – CNRS | Visages de la science

DDécouvrez les lauréats 2023 de la médaille de l’innovation – CNRS | Visages de la science

Patricia Rousselle, Marc Antonini, Jacques Gierak et Claire Hellio sont les quatre lauréats de la médaille de l’innovation 2023 du CNRS.

Créée depuis une dizaine d’années, cette distinction honore des recherches issues des laboratoires placés sous la tutelle du CNRS qui ont conduit à  des innovations marquantes sur le plan technologique, économique, thérapeutique et social.

La médaille leur sera remise le mardi 14 novembre 2023.
« Les chercheurs qui font le pari de la valorisation sont le point de départ de tout projet d’innovation pour  la société. Il apparait donc primordial de récompenser cet effort consenti qui nait dans les laboratoires.
Les médaillés de l’innovation représentent de véritables modèles d’inspiration pour leurs pairs, » explique Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l’innovation du CNRS.
Cette médaille met en lumière le transfert d’innovations marquantes de la recherche publique vers le  marché. Elle illustre la diversité des voies de valorisation qu’il est possible d’emprunter, tout en poursuivant des recherches de grande qualité.

Intervenants :

  • Patricia Rousselle : Des molécules pour régénérer la peau. Patricia Rousselle est spécialisée dans la cicatrisation et la régénération de la peau. Cette directrice de recherche CNRS au Laboratoire de biologie tissulaire et d’ingénierie thérapeutique1 étudie le dialogue entre les cellules, du derme comme de l’épiderme, et les protéines présentes dans leur microenvironnement. Ses travaux l’ont amenée à développer des traitements pour les grands brûlés, pour la cicatrisation post-chirurgie et sur les tumeurs qui touchent la peau.
    Patricia Rousselle a pour cela synthétisé de nombreuses molécules bio-inspirées, représentant onze brevets, qui ont suscité un fort intérêt de la part des industries pharmaceutiques et cosmétiques. Elle a ainsi mené de riches collaborations notamment avec Dior, Chanel, Symatèse, 3-D Matrix, Native, Nagase, ou encore les Laboratoires d’Anjou. Une molécule de sa création est par exemple au cœur de la gamme de baumes Cébélia, réputée pour son action de réparation, régénération et de rajeunissement de la peau.
  • Marc Antonini : Utiliser l’ADN pour stocker des données. Directeur de recherche CNRS au Laboratoire d’informatique, signaux et systèmes de Sophia Antipolis2 où il dirige l’équipe MediaCoding, Marc Antonini est spécialisé dans la compression de données, qu’il s’agisse d’images, de vidéos ou de modèles 3D. Ses travaux de doctorat ont par exemple servi pour la norme JPEG 2000, et ses premiers travaux au CNRS, en collaboration avec le CNES, à un des systèmes embarqués dans les satellites Pléiades (couple de deux satellites optiques d’observation de la Terre). Auteur de treize brevets, Marc Antonini a régulièrement
    collaboré avec différents industriels et cofondé la start-up Cintoo, consacrée à la capture et à la visualisation de nuages de points 3D.
    Son activité s’est depuis orientée vers le stockage sur ADN synthétique. Marc Antonini est ainsi à la tête du programme de recherche (PEPR) MoleculArXiv3, doté de vingt millions d’euros sur sept ans pour développer cette technologie d’avenir, et a participé au programme européen OligoArchive. Sur ce même thème, Marc Antonini a cofondé la start-up PearCode et préside la conception de JPEG DNA, une norme de compression d’images adaptée à l’ADN.
  • Jacques Giérak : Contrôler les ions pour le spatial et la nanofabrication. Jacques Gierak est un expert mondial des faisceaux d’ions focalisés. Ses travaux ont des applications dans la propulsion spatiale, qui ont bénéficié des sources d’ions exceptionnellement stables, durables et contrôlables. Menées en collaboration avec le CNES et Airbus Defence and Space, ses recherches ont abouti à la fondation de Ion-X, une start-up spécialisée dans la propulsion de petits satellites.
    Cet ingénieur de recherche CNRS, également responsable de la plateforme Instrumentation et sources d’ions au Centre de nanosciences et de nanotechnologie4, Il a également œuvré dans la nanofabrication par faisceaux d’ions focalisés (FIB). Avec ses nombreuses avancées brevetées, il a notamment conçu l’outil FIB Nanowriter, capable de structurer du graphène, un matériau formé d’une seule et unique couche d’atomes de carbone dont les propriétés pourraient trouver des applications dans l’aéronautique, la médecine, les télécommunications ou encore la production d’énergie.
  • Claire Hellio : S’inspirer de molécules naturelles pour des produits respectueux de l’environnement. Claire Hellio développe des solutions innovantes bioinspirées à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l’environnement marin5, ce travail de valorisation, à l’interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l’écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que cette professeur dirige.
    Son équipe répond aux problématiques et besoins en R&D des industriels, en développant des biotests spécifiques et des solutions biotechnologiques innovantes à partir de substances naturelles d’origines marines. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et conservateurs) et des revêtements antifouling (protection des  coques des bateaux contre la colonisation). Ces solutions sont rendues les plus respectueuses possibles de l’environnement.
    Cette collaboration avec les entreprises a par exemple pris la forme d’un laboratoire commun appelé BiotechALg en partenariat avec Green Sea, leader européen de la production de microalgues.

 

Pour plus d’information :

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Leçons hérétiques sur l’histoire du temps présent. L’anthropocène à la lumière de l’analyse historique / Cours public 2023

LLeçons hérétiques sur l’histoire du temps présent. L’anthropocène à la lumière de l’analyse historique / Cours public 2023

Nourri de travaux d’histoire environnementale, des sciences et des techniques et d’une approche interdisciplinaire de la crise des temporalités, ce cours, proposé par l’historien Pierre Cornu (Université Lumière Lyon 2), de janvier à avril 2023, a exploré, en 6 séances, les thèmes majeurs de l’anthropocène : rôle des technosciences et de l’innovation, remise en question de l’entreprise et de la rationalisation héritée des Lumières, redistribution des rôles entre « humains » et « non humains »…

Intervenant : Pierre Cornu est Professeur d’histoire contemporaine et d’histoire des sciences à l’Université Lumière Lyon 2, chercheur en délégation à Inrae et historien référent du Comité d’histoire Inrae-Cirad.

Présentation du cours :

Ce cycle de cours publics se veut une exploration critique et méthodique des possibilités d’une ressaisie du devenir historique dans un monde anthropocène qui a tendance à produire soit un effet de sidération impuissante, soit des formes d’activisme désarticulées. Convoquée de toutes parts, l’histoire elle-même ne sait plus si elle doit se transformer en vision politique, en écologie des transitions ou en sagesse désespérée, pour tenter de s’adapter à une époque hantée par la possibilité d’une « fin de partie » pour l’humanité.

Inspiré des « Essais hérétiques sur la philosophie de l’histoire » du philosophe tchèque Jan Patočka, ce programme visera tout d’abord à éclairer les enjeux d’une adaptation de la méthode historique à un temps présent caractérisé par le désajustement des temporalités des sociétés, des systèmes techniques et de la biosphère.

Quelles archives, quels récits, quelles modalités de mise en débat pour une épistémologie historique de l’anthropocène ? Nourri de travaux d’histoire environnementale, des sciences et des techniques, et d’une approche interdisciplinaire de la crise des temporalités, le cours explorera ensuite les thèmes majeurs de l’anthropocène : le rôle ambivalent des technosciences et de l’innovation ; la remise en cause de l’entreprise de rationalisation du monde héritée des Lumières ; la redistribution des rôles entre humains, non-humains et objets hybrides de toutes sortes, en révolte plus ou moins ouverte contre la « civilisation technique » ; les enjeux du réencastrement de l’activité économique touchant aux bio-ressources dans un ordre socioécosystémique habitable et souhaitable.

Mettre en histoire l’anthropocène, ce n’est pas le clore, c’est au contraire s’efforcer de le déverrouiller.

 

Vidéo de la 1ère séance (26 janvier) : Introduction. Un historien in partibus infidelium :

Vidéo de la 2ème séance : Le principe d’évolution ou la fabrique de la flèche du temps.

Vidéo de la 3ème séance : L’innovation, une figure du temps en fuite.

Vidéo de la 4ème séance : La croissance, une figure du temps en crise terminale ?

Vidéo de la 5ème séance : De la rationalisation comme épuisement du monde.

Vidéo de la 6ème séance : Repenser l’histoire, rouvrir le devenir.

 

 

La journée recherche Le Vinatier : innovations et thérapies de demain

LLa journée recherche Le Vinatier : innovations et thérapies de demain

Une journée rythmée pour parler d’innovation & thérapies de demain.

Cette journée se déroulera sur le site principal du Centre hospitalier Le Vinatier.  Elle sera organisée en plein air sur sa nouvelle esplanade et proposera un format original : diverses manifestations (5 conférences, 20 pitchs) seront entrecoupées de visites libres exposant différentes thématiques de recherche sur les stands de structures de recherche, les stands informatifs (DRCI et formation) et posters scientifiques.

Cet évènement s’adresse à tous, et tout particulièrement aux professionnels de santé.

>>> Découvrez le programme : cliquez ici

Pour en savoir plus :

Journée recherche Vinatier

Redonner du pouvoir aux salariés de la restauration : Innovations et alternatives

RRedonner du pouvoir aux salariés de la restauration : Innovations et alternatives

Dans le cadre du Pôle Travail et de la Chaire Tralim de l’Université Lumière Lyon 2, la Direction Sciences et Société, la Grenade et le GREPs organisent une journée d’étude interdisciplinaire le 24 Avril 2023 sur la thématique « Redonner du pouvoir aux salariés de la restauration : Innovations et alternatives ».

Journée co-portée par la Chaire TrALIM, le Pôle de Spécialité Travail, le GREPS et le Grenade
  • 9H : Accueil et ateliers introductifs
  • 9H30-10H30 : Introduction participative
    “La démocratie au travail dans la restauration : quelles modalités,
    quelles organisations du travail, quels enjeux pour le secteur ?”
    Animation : Marco della Corte, responsable du projet de recherche DLT (Démocratie sur le Lieu de
    Travail) et Elsa Laneyrie, maître de conférences en Psychologie du travail et Ergonomie (GrePS,
    université Lyon 2)
  • 10H30-12H : Table ronde
    “Donner le pouvoir aux salarié·es : une idée à généraliser dans la restauration ?”
    Avec des professionnel·les du secteur (cuisinier·es, enseignant·es, syndicalistes, chercheur·es, etc.)
  • 12H-14H : Pause repas
  • 14H-16H : Ateliers participatifs d’échanges de pratiques
    Chaque participant pourra assister ou contribuer à 2 ateliers de son choix.
    ATELIER 1 :
    Charge mentale, ergonomie, violences et santé au travail… : quels enjeux et quelles réponses spécifiques dans les entreprises démocratiques ?
    ATELIER 2 :
    Démocratiser – vraiment – les prises de décision : comment faites-vous en pratique ?
    ATELIER 3 :
    Performance économique et niveaux de rémunération : la démocratie permet-elle un meilleur salaire pour toutes et tous?
    ATELIER 4 :
    Créer son entreprise autrement et à plusieurs : c’est possible ?
    ATELIER 5 :
    Organisation collective du travail, reconnaissance au travail, gestion des compétences, polyvalence : quels enjeux RH pour développer le modèle démocratique en restauration ?
  • 16H-17H : Mise en commun, conclusion et perspectives

 

>> Plus d’informations et inscription :

Université Lumière lyon 2

Leçons hérétiques sur l’histoire du temps présent / Cours public 2023

LLeçons hérétiques sur l’histoire du temps présent / Cours public 2023

L’anthropocène à la lumière de l’analyse historique

Comment l’histoire peut-elle penser l’Anthropocène ? Ce cours explorera des thèmes majeurs : rôle des technosciences et de l’innovation, remise en question de l’entreprise et de la rationalisation héritée des Lumières, redistribution des rôles entre « humains » et « non humains »…
Intervenant : Pierre Cornu, historien Université Lumière Lyon 2
Un cours public ouvert à tous, en 6 séances, dans le cadre du Cycle 2023 des cours publics de l’École urbaine de Lyon.
>> Venez suivre les 5 prochaines séances :
  • Mercredi 8 mars : 12h30 à 13h30
  • Mercredi 15 mars : 12h30 à 13h30 / Au siège de l’association Cité Anthropocène (même adresse que la Cité des Halles).
  • Mercredi 22 mars : 12h30 à 13h30
  • Mercredi 29 mars : 12h30 à 13h30
  • Mercredi 5 avril : 12h30 à 13h30

>> En savoir plus sur le cours (présentation, bio, podcast, vidéos des séances) :

Cours public

>> Regarder la 1re séance :

Demain, mais en mieux ! | Édition 2023

DDemain, mais en mieux ! | Édition 2023

Une rencontre les yeux dans les yeux avec les scientifiques et ingénieurs qui préparent en ce moment même un “Demain” qui redonne envie de se lever le matin ? C’est l’ambition de « Demain, mais en mieux » ! Les 4 et 5 février, le CNRS et de nombreux autres acteurs incontournables de la recherche et de l’innovation présenteront des projets inspirants, au coeur d’un espace entièrement dédié aux sciences au sein du festival Yggdrasil, le festival des mondes de l’imaginaire.

Habitat, médecine, bien-être ou économies énergétiques : au coeur d’un décor immersif, scientifiques et ingénieurs présenteront au public des projets de recherche audacieux, sous forme de prototypes, démos et autres expériences. Parmi les structures participantes, on retrouve le CNES, l’Agence Nationale de la Recherche, Airbus ou encore la plateforme 3d.FAB, aux côtés du CNRS et de ses laboratoires (Institut des nanotechnologies de Lyon, laboratoire Ampère, Centre de recherche en acquisition et traitement de l’image pour la santé…)

DÉCOUVRIR LE SITE DU FESTIVAL

affiche Demain 2023

Deux jeux pédagogiques Made in AURA pour sensibiliser à la transition énergétique

DDeux jeux pédagogiques Made in AURA pour sensibiliser à la transition énergétique

SuperGrid Institute et plusieurs entités éducatives du territoire Auvergne-Rhône-Alpes se sont regroupés pour
développer deux activités pédagogiques afin de sensibiliser les jeunes élèves, ainsi que les travailleurs en reconversion professionnelle, à la transition énergétique et aux métiers de demain. Ces outils sont maintenant à disposition des Académies et des organismes de formation professionnelle.

Ces deux activités ont été développées en premier lieu par SuperGrid Institute pour ses participations à la Fête
de la Science. Elles ont été mises à niveau au sein du consortium et grâce au soutien de La Région Auvergne
RhôneAlpes et de l’État à travers les Directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités
(DREETS). Le projet a duré deux ans et vient d’aboutir.

  • SURVIVAL GAME

Un jeu de survie durant lequel les joueurs ont 25 minutes pour sauver la planète du réchauffement climatique ! Ils intègrent peu à peu les énergies renouvelables dans le réseau en résolvant une série d’énigmes ludiques permettant de mieux comprendre le pilotage d’un réseau et le mix énergétique.

Le Survival Game sera installé à l’Institut Gaston Berger où les étudiants, formés à son animation, pourront réaliser des actions de sensibilisation fréquentes aux métiers en tension et liés à la transition énergétique.

  • LA BELLE ÉQUIPE

Un jeu de plateau collaboratif qui met en lumière la palette de métiers qui s’offrent aux élèves au sein de la transition énergétique et la diversité des parcours de formation. Dans le contexte d’une entreprise industrielle, les joueurs endossent chacun un rôle et travaillent ensemble pour construire un disjoncteur – un équipement indispensable
pour la protection du réseau électrique.

Des enseignants et encadrants de l’Académie de Lyon et de Grenoble ont été formés à l’animation du jeu La
Belle Équipe pour l’utiliser avec leurs élèves et les aider dans leur travail orientation. 

>> Le jeu est téléchargeable en ligne pour être utilisé par le plus grand nombre : La Belle Équipe

Des organismes de formation continue – Missions locales, Pôle Emploi – ont également été formés afin que le jeu « La Belle Équipe » puisse aussi bénéficier aux personnes en reconversion professionnelle ou en recherche d’emploi.

Projet financé dans le cadre du projet CPER « Transition zéro carbone : sensibiliser et informer sur les métiers en transformation » (Contrat de Plan ÉtatRégion 20152020). Les membres du consortium sont : SuperGrid Institute (porteur du projet), le Campus des Métiers et des Qualifications Smart Energy Systems, les académies de Grenoble et de Lyon, Tenerrdis et l’Institut Gaston Berger (INSA Lyon).

En savoir plus :

SUPERGRID INSTITUTE

PPour aller plus loin

Fête de la science 2019 / ©Vincent Noclin – Université de Lyon