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Covid-19 et cerveau : oui, le virus peut infecter les neurones

CCovid-19 et cerveau : oui, le virus peut infecter les neurones

Le SARS-CoV-2, nom du coronavirus responsable de la Covid-19, pourrait-il envahir le système nerveux ? C’est la question que nous nous posions en avril 2020. A l’époque, malgré un faisceau d’indices convergents, il n’était pas possible de conclure. Depuis, plusieurs études sont venues apporter des éléments de réponse.

Ainsi, on a retrouvé des traces d’ARN du virus dans le cerveau de patients décédés de la Covid-19 ainsi que des protéines virales dans des cellules de leur bulbe olfactif. Récemment, des équipes de l’Université de Yale, aux États-Unis, de l’Institut du Cerveau et de l’hôpital Pitié-Salpêtrière, en France, ont publié une découverte importante : elles ont montré que le SARS-CoV-2 pouvait infecter diverses cellules du système nerveux central, dont les neurones, chez des souris exprimant le récepteur humain ACE2. Les chercheurs ont également identifié les conséquences de cette infection sur les tissus cérébraux atteints…

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Des « Neurocontes » illustrés pour expliquer les mystères du cerveau aux enfants

DDes « Neurocontes » illustrés pour expliquer les mystères du cerveau aux enfants

Rencontre avec la chercheuse Mani Saignavongs qui s’est associée à l’illustrateur Benjamin Barret pour raconter au jeune public (mais pas que !) des histoires de patients célèbres et, à travers elles, l’histoire de la recherche sur le cerveau.

Dans leur livre Neurocontes, histoires de cerveaux extraordinaires, ils mettent à l’honneur des patients aux histoires insolites et en profitent pour enseigner au lecteur comment ces patients ont fait progresser les connaissances scientifiques.

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C. elegans, le « couteau suisse » des biologistes

CC. elegans, le « couteau suisse » des biologistes

En recherche fondamentale ou appliquée, ce petit ver de moins d’un millimètre est utilisé dans de nombreux laboratoires à travers le monde. Sa simplicité, sa malléabilité et son mode de reproduction en font un modèle idéal pour les biologistes.

A Lyon, des neurobiologistes l’utilisent pour leurs recherches, par exemple pour étudier la transmission neuronale.

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Ça n’arrive qu’aux autres : comment le cerveau fuit l’idée de la mort

ÇÇa n’arrive qu’aux autres : comment le cerveau fuit l’idée de la mort

Bien que la mort soit inévitable, notre cerveau pratique malgré nous une forme de déni. Il s’échine à attribuer l’idée de sa propre mort à autrui, plutôt qu’à nous-mêmes. Antoine Lutz, chercheur à Lyon et co-auteur d’une récente étude Israélienne de l’université de Bar Ilan sur le sujet, s’intéresse à des pratiques de méditation traditionnelles, qui pourraient nous affranchir de cette charge cognitive.

Dans son essai Être et Temps, le philosophe Martin Heidegger nous exhorte à accepter la mort pour vivre de manière authentique. Une injonction parfaitement contre-nature. En réalité, notre cerveau dépense beaucoup d’énergie pour éviter de penser à sa propre finitude. Pour se protéger, il a tendance à dissocier le soi de l’idée de la mort et à transférer celle-ci sur autrui. Ce mécanisme de protection se fait à notre insu, alors que nous savons pertinemment que nous ne sommes pas éternels. Ce biais cognitif inné n’est pas en soi une découverte. Dans les années 1980, les psychologues Jeff Greenberg, Sheldon Solomon et Tom Pyszcynski conçoivent une théorie de gestion de la peur. Cette théorie explore l’impact de la conscience de la mort sur la psyché. Selon elle, Le cerveau humain s’emploie à supprimer les pensées qui nous rappellent la mort ou les attribue aux autres, et ceci à un coût cognitif non négligeable…

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Alzheimer : mieux détecter la maladie grâce à la réalité virtuelle

AAlzheimer : mieux détecter la maladie grâce à la réalité virtuelle

La réalité virtuelle ne concerne pas seulement l’univers des jeux vidéo. Elle ouvre aussi de nouveaux champs d’expérimentation pour les neuropsychologues, qui peuvent créer des dispositifs plus subtils que ceux qu’ils utilisaient jusqu’ici. Un atout pour détecter des symptômes précurseurs de la maladie l’Alzheimer…

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Quand l’outil devient une extension sensorielle de notre corps

QQuand l’outil devient une extension sensorielle de notre corps

Comment se fait-il que je ressente la texture du papier quand je dessine avec un crayon ?

Quelles informations sensorielles le cerveau utilise-t-il pour décrypter la matière à travers un objet ?

Quels sont les mécanismes neuronaux en jeu ?

C’est à ces questions passionnantes que deux chercheurs lyonnais viennent de répondre dans un article publié dans la prestigieuse revue Nature.

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LabEx en fête : grand jeu de l’oie scientifique | #FDS2018

LLabEx en fête : grand jeu de l’oie scientifique | #FDS2018

Venez vous affronter en équipe sur un jeu de l’oie géant semé d’embûches et de questions.

À vous de vous creuser les méninges et de montrer vos connaissances en science afin de finir le premier sur la case arrivée. Les questions sont adaptées aux différents âges de nos concurrents et portent sur différentes thématiques (espace, biologie, nouvelles technologies, santé, …).

Ce parcours ne sera pas de tout repos et vous demandera de la réflexion et de la chance. Attention aux cases joker surprises!

Scolaires : Jeudi 11 octobre, de 9h à 16h
Public visé : primaires, collégiens, lycéens
 | Inscription obligatoire

Tout public : Samedi 13 octobre, de 10h à 16h30
Public visé : familles | Entrée libre

 

Retrouvez toute la programmation du Village de Sciences sur le site :

Village des sciences IUT Lyon 1

 

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LabEx en fête : Ma thèse pour les nuls | #FDS2018

LLabEx en fête : Ma thèse pour les nuls | #FDS2018

 

 

 

 

 

Ne vous êtes-vous pas déjà retrouvé face à un étudiant en recherche vous parlant de façon très motivée de son sujet de thèse pendant de longues minutes, long monologue truffé de termes plus incompréhensibles que barbares, à l’issue duquel… vous désespérez de comprendre quoi que ce soit ? !

Ma thèse pour les Nuls, c’est donc la possibilité pour tous de comprendre très rapidement (en 3 minutes, ou en 180 secondes si vous préférez) sur quoi ces étudiants travaillent d’arrache-pied pendant quelques années de leur vie, de manière ludique, compréhensible et rapide. Et c’est vous qui jugerez le doctorant qui aura réussi le mieux à vous faire comprendre son sujet !

Venez nombreux…

Événement organisé dans le cadre de la Fête de la Science 2018. Retrouvez-nous au village des sciences de l’IUT de l’Université Claude Bernard Lyon 1, où de nombreuses autres activités vous seront proposées.

 

Voir les prestations des doctorants de Ma thèse pour les nuls cuvée 2017.

Ma thèse pour les nuls 2017

MTPLN 2017 © Droits réservés

 

 

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Mieux accompagner les étudiants dyslexiques

MMieux accompagner les étudiants dyslexiques

Si depuis une quinzaine d’années la prise en charge précoce des élèves présentant un trouble spécifique des apprentissages a nettement progressé, la situation reste difficile pour les étudiants du supérieur. Mieux connaître leurs difficultés pour mieux les accompagner en cas de dyslexie, c’est l’objectif du projet ETUDYS conduit par le LabEx ASLAN.

 

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Maladie d’Alzheimer : les émotions ont-elles encore un effet sur la mémoire ?

MMaladie d’Alzheimer : les émotions ont-elles encore un effet sur la mémoire ?

Nous le savons tous : les événements de notre vie associés à des émotions fortes, qu’elles soient positives ou négatives, sont solidement ancrés dans notre mémoire. De nombreux chercheurs se sont intéressés à l’effet des émotions sur la mémoire (EEM), et notamment à son évolution au cours du vieillissement. Hanna Chaina (EMC) s’est penchée sur l’EEM des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Si elle constate chez elles une altération de cet effet dans la majorité des cas, elle note qu’il persiste dans certains cas. Un résultat qui ouvre des pistes thérapeutiques intéressantes pour conserver un lien avec ces patients.

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