PPrès d’un étudiant sur cinq se réoriente à bac +1 : ajustement, rupture ou échec ? Alors que les lycéens découvrent leurs résultats sur Parcoursup, un autre mouvement, plus discret mais tout aussi révélateur, agite les bancs de l’enseignement supérieur : près d’un étudiant sur cinq se réoriente après une première année post-bac.Derrière ce chiffre record se dessine bien plus qu’un simple changement de voie, une analyse saisissante des inégalités, des espoirs et des limites de notre système éducatif.Massification scolaire, promesse méritocratique et orientation à l’aveugle : ce trio façonne des parcours qui, loin d’être linéaires, ressemblent souvent à des labyrinthes d’essais, d’erreurs, et de réajustements. Si la réorientation peut être une opportunité d’exploration, elle reste un privilège inégalement distribué, lié au type de bac, au milieu social, ou encore au genre.Entre ajustements progressifs, filières-passerelles comme le BTS, et zones de turbulences comme la filière santé, l’article plonge dans les coulisses d’une dynamique encore trop peu anticipée par les politiques publiques. Résultat : ceux qui ont les ressources pour naviguer le système s’en sortent, les autres rament en silence.Une analyse à découvrir dans un article écrit par Dorian Vancoppenolle, Doctorant en Sciences de l’Éducation et de la Formation, Université Lumière Lyon 2>> Lire l’article :THE CONVERSATION
LLimites planétaires et territoires Le 19 avril 2025 marque le jour du dépassement pour la France. Cette date représente le moment où le pays a consommé toutes les ressources que la planète est capable de régénérer en un an, c’est une limite planétaire ? Depuis 5 ans, l’École des Mines de Saint-Étienne et epures, l’Agence d’urbanisme des territoires ligériens travaillent de concert à l’application du cadre des limites planétaires au territoire Sud-Loire.Après avoir redéfini ce que sont les limites planétaires, la discussion s’engagera autour de l’observation et de l’analyse des territoires à l’aune de ces mêmes limites, en présence de scientifiques mais aussi de professionnels qui, dans leurs secteurs d’activité, peuvent développer des actions propres à limiter l’impact des dépassements ou tentent de les modérer malgré des contraintes industrielles fortes.Certaines limites sont-elles dépassées ? Quels en sont les impacts ?Quels défis majeurs à relever ? Quels freins ? Quels obstacles ?Quelles mesures envisager ?Comment des secteurs d’activité peuvent-ils, en fonction de leurs contraintes spécifiques, agir à plus ou moins grande échelle ?> À ces questions répondront :Antoine Giret, enseignant-chercheur de l’École des Mines de Saint-Étienne,Maud Marsauche, chargée d’étude à epures, agence d’urbanisme des territoires ligériens,Sébastien Beauchêne, dirigeant de l’entreprise SML Loire (La Ricamarie),Alain Thibaudet, technicien forestier territorial de l’ONF / Forêt communale de Saint-Étienne,>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site : La rotonde
ÀÀ quoi servent les limites planétaires ? | The Conversation Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les limites planétaires sans oser le demander, c’est justement le thème du webinaire proposé par The Conversation France.Drôle de limites que les limites planétaires. On vous en parle généralement pour vous annoncer qu’on les a dépassées. Elles sont au nombre de neuf et nous permettent de penser la crise environnementale au-delà du seul changement climatique. Car elles fixent divers seuils au-dessus desquels les conditions de la vie sur terre sont sérieusement menacées. Mais quelles sont ces limites ? Comment les mesure-t-on ? Qu’est-ce que ce cadre de pensée permet ? Les limites planétaires ont-elles elles aussi des limites ?Intervenants :Natacha Gondran, professeure en évaluation environnementale à l’École des mines de Saint ÉtienneAurélien Boutaud, environnementaliste dans l’unité de Recherche Mixte 5600 Environnement, Villes et Sociétés à Saint-ÉtienneGabrielle Maréchaux, journaliste de The Conversation (Animatrice)>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :The conversation
LLa chimie analytique sans limites | #FDS2018 Explorez la chimie analytique à l’Institut des Sciences Analytiques. Au programme : visite de laboratoires, découverte d’expérimentations et de recherches en cours appliquées à la santé et l’environnement.Des chercheuses révèleront aux élèves comment elles repoussent les limites de la spectrométrie de masse haute résolution pour détecter des ultra-traces (< 0,01 ng/L) de polluants dans l’environnement (eaux, sols) et mesurer leurs impacts sur les organismes vivants.Les élèves pourront découvrir aussi le développement en cours de nouveaux biocapteurs dédiés à l’analyse biologique ou environnementale préparés par impression 3D à partir d’un matériau polymère biosourcé.Intervenants : Chercheurs et ingénieursPublic visé : lycéens | Inscription obligatoire INSTITUT DES SCIENCES ANALYTIQUES Consultez toute la programmation Fête de la Science 2018 en Métropole de Lyon et Rhône