LLes écrivains et la radio en URSS La Bibliothèque Diderot de Lyon vous invite a la troisième séance de séminaire organisée inter-laboratoires 2023-2024 : L’espace littéraire de Berlin à Vladivostok. Ce séminaire est l’occasion de présenter un ouvrage récent, d’annoncer un colloque, ou d’articuler communications et discussion autour d’un projet de recherches.Intervenants :Anna Saignes, organisatrice, professeure des universités en littérature comparée à l’Université de Lorraine – LIS (Littératures, Imaginaire, Sociétés) ;Pavel Arsenev, poète, artiste et théoricien russe ;Laure Thibonnier-Limpek, maîtresse de conférences en littérature russe à l’Université Grenoble Alpes – CESC | ILCEA 4.>> Retrouver ce séminaire sur cite ou en ligne via le logiciel Zoom : rejoindre Zoom RéunionID de réunion: 856 8232 6998Code secret: 947415>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Bibliothèque Diderot de Lyon©Bibliothèque Diderot
EExposition « Dessiner le droit dans l’anthropocène » EXPOSITION : « Dessiner le droit dans l’Anthropocène » donne à voir, par le dessin, la force créative du droit, pour répondre aux multiples défis et enjeux contemporains lié à l’Anthropocène. À la fois artistique et juridique, l’exposition a mobilisé 93 juristes et artistes de plus de 20 pays. Dix des 51 œuvres sont exposées à l’université.Une exposition proposée par Cité Anthropocène. Dirigée par Jérémy Cheval (architecte, urbaniste), Lou Herrmann (docteure en urbanisme, dessinatrice, Cité Anthropocène), Natalia Kobylarz (juriste, greffe de la cour européenne des droits de l’Homme) et Isabelle Michallet (professeur à la Faculté de Droit, Université de Rennes).Découvrir l’intégralité des dessins du projet « Dessiner le droit dans l’Anthropocène ».En savoir plus sur la Fête de la Science 2023 à l’Université Jean Moulin Lyon 3 Programmation spéciale RADIO : en écho à cette exposition, mercredi 4 octobre, Radio Anthropocène installera son plateau en direct et en public, à l’Université Jean Moulin Lyon 3, pour une édition spéciale consacrée à la créativité du droit, dans le cadre de La Nuit du droit. Rendez-vous à partir de 12h, au Salon des Symboles Nord, sur le site de la Manufacture des Tabacs. Sur inscription Programme détaillé sur le blog de Radio Anthropocène dans Rue89Lyon
LL’Intelligence artificielle au service de l’imagerie médicale : Des apports majeurs | #4 Dossier Pop’Sciences « Diagnostic 2.0 : Quand l’IA intervient » Article #4 – Dossier Pop’Sciences Diagnostic 2.0 : Quand l’IA intervientAméliorer l’interprétation de l’imagerie médicale (IM) pour en optimiser l’exploitation est au cœur des enjeux de l’intelligence artificielle (IA). L’IA n’est plus “seulement” un domaine de recherche en plein essor et ses applications en sont, aujourd’hui, multiples. Objectifs affichés : augmenter la précision du diagnostic afin d’améliorer la prise en charge thérapeutique, en évitant les erreurs potentiellement lourdes de conséquences. La guerre des algorithmes est ouverte pour aller toujours plus loin !Un article de Nathaly Mermet, journaliste scientifique, rédigépour Pop’Sciences – 5 septembre 2023 Améliorer l’interprétation de l’imagerie médicale pour en optimiser l’exploitation est au cœur des enjeux de l’intelligence artificielle ©Unsplash Initialement réservée au diagnostic des fractures des os, l’imagerie médicale a bénéficié d’avancées majeures dans l’ensemble des domaines thérapeutiques. Aujourd’hui, cette spécialité comprend la radiologie diagnostique (radiographies, scanners, IRM, échographie) et la radiologie interventionnelle, à savoir une forme de chirurgie mini-invasive qui utilise l’imagerie pour se repérer, comme pour déboucher une artère en cas d’AVC (accident vasculaire cérébral).L’imagerie fonctionnelle en est le dernier exemple. Encore émergente et faisant l’objet de projets de recherche, elle vise à révéler les propriétés d’une zone étudiée, notamment sa fonctionnalité (par IRM, Rayons X…) ou à restituer des informations fonctionnelles (par TEP, IRM Fonctionnelle…).“ L’IA d’aujourd’hui n’est pas la même que celle d’il y a 10 ans, et également différente de celle dont on disposera dans 10 ans” souligne le Dr Alexandre Nérot, médecin radiologue issu de l’Université de Lyon, spécialiste de radiologie interventionnelle et auteur d’une thèse d’exercice sur l’IA (développement d’intelligences artificielles par réseau de neurones). Actuellement en activité au Centre Hospitalier d’Annecy, il nous indique qu’en radiologie, l’usage de l’IA pour l’analyse d’image est attendu et à la fois craint depuis la révolution technologique qu’elle a généré en 2012. “L’évolution se fait par marche, déclenchant à chaque fois des développements de manière exponentielle, mais l’IA actuelle reste un outil et est encore loin de remplacer le radiologue” déclare-t-il, indiquant que si un jour la radiologie venait à être renversée par l’IA alors le problème sera sociétal et pas uniquement cantonné à la radiologie.En pratique, “l’intérêt, déjà énorme, de l’IA en imagerie médicale est double : elle permet à la fois l’analyse des images, mais peut aussi améliorer de la qualité d’image, grâce à ses « connaissances » acquises en anatomie. Cela nous permet un gain de temps considérable dans la réalisation des images, jusqu’à 14 fois plus rapide ” reconnaît-il, indiquant que pour une fracture, par exemple, le radiologue n’interprète que rarement la radio, mais analyse davantage l’échographie, l’IRM et le scanner. Autre exemple, une mammographie bénéficiera quant à elle d’une double lecture : par le radiologue et par une IA. “L’intérêt n’est pas de remplacer le radiologue, mais d’apporter une nouvelle lecture” insiste Alexandre.Parmi les perspectives d’applications séduisantes de l’IA pour l’IM : la surveillance de l’activité cérébrale et notamment ses réactions aux stimuli moteurs, émotionnels et mentaux. L’extension de l’IA au service de l’IM dans tous les champs médicaux est donc vertigineuse !<Les biais à l’épreuve des algorithmesLes algorithmes ont pour “mission” d’apprendre à repérer des anomalies sur les images, et à détecter de manière fiable et rapide certaines structures subtiles. ©PexelLes algorithmes de machine learning, ou apprentissage automatique, ont pour “mission” d’apprendre à repérer des anomalies sur les images, et à détecter de manière fiable et rapide certaines structures subtiles. Grâce aux applications de l’IA à la médecine, il est désormais possible d’analyser massivement toutes sortes d’images dans le but de dépister les tumeurs et autres anomalies. Mais paradoxalement, les algorithmes ne sont pas toujours cliniquement pertinents. C’est ce qu’explique l’étude « Machine learning for medical imaging: methodological failures and recommendations for the future » (en français : Apprentissage automatique pour l’imagerie médicale : échecs méthodologiques et recommandations pour l’avenir), qui décortique les mécanismes à l’œuvre derrière ce paradoxe [1]. Selon les auteurs, face aux biais qui faussent les modèles, en particulier l‘insuffisance des données (quantitative et/ou qualitative) pour entraîner l’algorithme, l’informaticien doit sortir de sa zone de confort et communiquer avec le médecin qui est l’utilisateur de ces algorithmes. “Le manque de données est plutôt de l’imprécision, mais peut créer des biais si les données ne sont pas représentatives du cas réel” précise Alexandre Nérot.Par ailleurs, dès lors qu’interviennent le Deep Learning et les réseaux de neurones artificiels*, on est en « zone d’opacité », dans laquelle l’explicabilité des résultats n’est pas évidente et où le médecin n’est pas toujours en mesure de comprendre comment l’outil a transformé les données en résultat. Il est donc nécessaire que développeurs et professionnels de santé utilisateurs parviennent à adopter un langage commun pour marier performance et sens. “De plus en plus, il y aura besoin de profils hybrides à l’interface des deux mondes” analyse le Dr Nérot, lui-même développeur, en capacité d’échanger avec les sociétés de développement, indiquant que, grâce à la mise en place d’un diplôme d’IA pour les radiologues, il y aura chaque année une promotion dotée de la double compétence. “Sans devenir un spécialiste, mais avec la volonté de s’y intéresser, chaque médecin devra à l’avenir avoir une petite culture d’IA” affirme-t-il.ÀÀ l’aube de l’IA 4 IM : déjà des apports majeurs, mais tellement plus à attendre encore !Si en une décennie, la reconnaissance automatique d’images a bénéficié de progrès fulgurants, la puissance des algorithmes reste le nerf de la guerre pour “aller plus loin”. La compétition fait rage pour quantifier l’erreur et réduire l’incertitude en imagerie médicale afin de garantir la fiabilité et la précision des résultats obtenus.Outre la quantité, il convient de disposer de données de haute qualité, contrôlées, afin d’entraîner des algorithmes d’IA à délivrer des résultats justes et précis… et leur validation reposera nécessairement sur la comparaison avec ceux obtenus par des experts humains, qui doivent rester les référents. CQFD : l’IA reste tributaire à la fois des données et de la puissance des algorithmes. La “data” est donc au cœur des enjeux, et c’est de fait là où le bât blesse si elle s’avère insuffisante, incomplète ou manquante. Composante faisant partie intégrante de l’IA, le machine learning va consister à alimenter le logiciel de milliers de cas cliniques grâce à la contribution des professionnels de santé afin qu’il soit en mesure d’effectuer des tâches de classement, permettant, par exemple, d’identifier des grains de beauté ou des mélanomes malins.Si on estime que le médecin “réussit à 80%” une identification de cellules, la valeur ajoutée de l’IA n’existe que si elle dépasse largement cette probabilité, pour idéalement s’approcher d’une fiabilité à 100% et apporter une véritable sécurité. Précieux outil pour aider les médecins à diagnostiquer avec plus de précision et de rapidité, l’IA garde pour l’heure le statut… d’outil !LL’IA appliquée à un monde de variables : l’imagerie médicaleExtrait de la table ronde « IA et santé » organisée par Pop’Sciences le 26 juin 2023. Un rendez-vous professionnel chercheur / journaliste, développé en collaboration avec le Club de la presse de Lyon (Projet LYSiERES²).—————————————————————Notes :[1] Le “machine learning” consiste à apporter une solution à un problème donné en s’appuyant sur un réseau de neurones organisés selon une architecture particulière. Le deep learning est une façon de faire du machine learning en intégrant une quantité importante de données (Big Data) PPour aller plus loin :[1] https://www.inria.fr/fr/imagerie-medicale-intelligence-artificielle-apprentissage-automatiqueL’intelligence artificielle bouleverse le diagnostic en oncologie12 LabEx impliquésRouzeau S. (2019). Artificial intelligence: which prescription for the health sector? Les EchosLes start-ups françaises de la santé s’emparent de l’intelligence artificielleDemain : intelligence artificielle et santé, les données au service du patienthttps://idexlyon.universite-lyon.fr/idexlyon/version-francaise/navigation/les-actualites/journee-scientifique-inter-labex-intelligence-artificielle-transformations-et-defis-143684.kjsp
DDessiner le droit dans l’Anthropocène : 9 émissions de Radio Anthropocène à écouter Une programmation de 9 émissions spécialement conçues dans le cadre du projet « Dessiner le droit dans l’Anthropocène ».Initié par l’Ecole urbaine de Lyon, ce projet artistique et juridique a mobilisé 93 juristes et artistes issus de 20 pays. Il a permis la production de 51 dessins, présentés dans le cadre d’une exposition qui s’est déroulée à Strasbourg en juin 2022, ainsi que d’un journal dédié.Retrouvez les émissions qui explorent les enjeux du droit face aux défis du changement global : « Regards sur l’actualité », « Habiter ici et le monde », « On the other side of the world », « Entretiens anthropocènes », « Sciences dessinées », « Sons anthropocènes », « Le quart d’heure de l’Art », « Les Mercredis de l’anthropocène », pour aborder le changement global et la crise de l’habitabilité de notre Monde.Une production École urbaine de Lyon, réalisée en partenariat avec Radio Bellevue Web, avec le soutien du LabEx Intelligence des Mondes Urbains. Lien d’écoute de l’ensemble des programmesEn savoir plus sur le détail et le descriptif/podcast de chaque émission
DDessiner le droit dans l’Anthropocène Un projet artistique et juridique qui a mobilisé 93 juristes et artistes issus de 20 pays, donne à voir la force créative du dessin pour répondre aux multiples défis contemporains qui touchent le vivant et l’environnement. Il donnera lieu à une exposition dans l’espace public, du 2 au 15 juin, et à une série d’événements les 8 et 9 juin prochains à Strasbourg : lancement et distribution d’un journal dédié, programmation spéciale de Radio Anthropocène et débat des « Mercredis de l’Anthropocène ».Au programme :Mercredi 8 juin |Édition spéciale de Radio Anthropocène et débat des Mercredis de l’Anthropocène.– 12h-18h : Enregistrement et diffusion, dans le parc du Lieu d’Europe, d’une édition spéciale de Radio Anthropocène consacrée au droit, au dessin et à l’Anthropocène (entrée libre dans le parc).– 18h30-19h30 : Émission en public, au Lieu d’Europe, des « Mercredis de l’Anthropocène » sur la créativité du droit et la créativité artistique (entrée libre).>> Retrouvez le détail de la programmation spéciale de Radio Anthropocène : 11 émissions entre 12h et 19h30 qui seront dédiées aux enjeux du droit face aux défis du changement global.Une production École urbaine de Lyon, réalisée en partenariat avec Radio Bellevue Web, avec le soutien du LabEx Intelligence des Mondes Urbains.Jeudi 9 juin | Vernissage de l’exposition (sur invitation) 18h30 : ouverture en présence de la Ville et l’Eurométropole de Strasbourg et de la directrice du Lieu d’Europe, Sophie Kimenau-Danet.19h00 : discussion, en anglais, on the Right to a healthy environment in the Anthropocene, by Judge Luc Lavrysen and Professor Michel Lussault.19h30 : cocktail et présentation du projet « Dessiner le droit dans l’Anthropocène », le journal, l’exposition.>> Retrouvez les dessins illustrant 51 affaires juridiquesPour en savoir plus :École urbaine de Lyon
RRadio Anthropocène Chaque mercredi, l’équipe de Radio Anthropocène, fruit d’une collaboration entre l’Ecole urbaine de Lyon et Radio Bellevue Web, investit les ondes depuis Hôtel71. De 12h à 19h30, retrouvez notre programmation avec de nouvelles émissions pour mieux explorer l’anthropocène et les mondes urbains ! A écouter en direct et en podcast.Ce mercredi 17 mars, nous recevons, entre autres : Marlène Leroux, dans Urban Anthropocene and doing, Lise Bourdeau Lepage dans Regards sur l’actualité, Anne-Sophie Clémençon dans Terrains d’entente et Frédéric Bonnet dans Habiter ici et le monde.Retrouvez votre lien vers la grille de programme du 17 mars 2021 Détail des émissions :12h00 : “Urban Anthropocene and doing”We host Marlène Leroux, one of the founders of Atelier Archiplein, to talk about their 68 social housing units built with massive stones in Plan-les-Ouates, Switzerland. « Why does building in massive stones within the anthropocene matter ? »Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1168612h50 : « Local-SLASH-Global Weather(s) » Observations et réflexions d’une météo anthropocène par Simone Fehlinger.Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1168913h00 : « Regards sur l’actualité »avec Emma Novel, Florian Fompérie et François De Gasperi.Un an plus tard, nous célébrons déjà « l’anniversaire » du confinement français. Un an à vivre avec le virus. L’occasion pour nous de revenir avec Lise Bourdeau Lepage sur les effets du confinement sur le bien être des Français, sujet d’une enquête quantitative qu’elle a réalisée.Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1169013h45 : « Chronique Anthropocène » de Bérénice Gagne – Boire ou conduire ? “L’eau, élément essentiel à la vie, qui vient à manquer pour près de la moitié de la population mondiale, est mise en concurrence avec notre avidité pour le pétrole.”Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1169214h00 : « Terrains d’entente » de Nicolas Szende, épisode 2 : Faire terrain des formes urbaines. Une discussion en compagnie d’Anne-Sophie Clémençon, historienne de l’architecture, de l’urbanisme et des formes urbaines à l’Université de Lyon, chargée de recherche au CNRS, autrice de Faire ville: Entre planifié et impensé, la fabrique ordinaire des formes urbaines (PUV, 2021).Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1169314h45 : « Recits de Vi(ll)e » de Lalca « Mélanie – Vivre, avec le strict minimum »Aujourd’hui nous rencontrons Mélanie, prénom modifié à sa demande, qui se définit comme une aventurière sans omettre les difficultés de l’aventure. Mélanie nous a montré son sac qui ne la quitte jamais, et dans son sac, surtout des drapeaux. Les drapeaux des pays où elle se rend, comme étendards d’un avenir sans frontière ou comme vestiges d’un monde qui nous divise encore.Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1169415h00 : « Habiter ici et le monde » Une émission de Valérie Disdier sur le changement global et en particulier la crise de l’habitabilité, à travers les enjeux spatiaux et architecturaux de cette crise.Episode 2 : Faire oeuvre, est-ce encore d’époque ? Une discussion en compagnie de Frédéric Bonnet, du cabinet d’architecture Obras.Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1168815h30 : « Street’Actu » L’émission revient, ce semestre, en reprenant le format d’un micro trottoir sur le thème du jour : Le recyclage et vous. Une émission qui questionne les habitants sur leur rapport au gaspillage et au recyclage. Aujourd’hui, sur le terrain, Pénélope Duval et Mélanie Cortina.Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1169115h45 : « Lectures Anthropocènes » 17h00 : « Sons anthropocènes »Une chronique de création sonore d’Alice Sender et de Jindra Kratochvil.Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/1169618h30 : « Les Mercredis de l’anthropocène »Episode 3 : Fond et forme : déplier l’appréhension de la ville. A l’occasion de la sortie du troisième numéro de la revue Dépli, une discussion autour de cet objet éditorial inédit, animée par Valérie Disdier en compagnie de Lou Herrmann, Grégoire Damon et Samuel Challéat.Lien direct vers l’émission : https://www.sondekla.com/pro/event/11700
LLe radio-amateurisme Public : Dès 7 ans.Le radio club de Lyon F8KLY (connu aussi comme REF69) basé à Lyon Fourvière forme les personnes à l’activité de radio-amateurisme.Cette activité s’appuie pleinement sur la science, mais aussi sur la nature pour ses liaisons longues distances.Au programme de cet atelier de découverte :Explication du fonctionnement d’une radioLiaison VHF avec des radio-amateursLiaison décamétrique avec des radio-amateurs du mondeAtelier proposé par le radio-club de Lyon F8KLY, et animée par René Buttin. Retrouvez l’enregistrement de l’atelier :Nous nous excusons pour le quadrillage de mise au point de la caméra resté à l’écran durant l’enregistrement, mais qui ne ternit en rien le contenu de l’atelier ! Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la Fête de la science 2020.Il s’intègre à la programmation du Village des Sciences des Monts-du-Lyonnais 2020, organisé par l’association CréAct’IV Sciences. CréAct’IV SciencesRetrouvez les autres activités de la Fête de la science 2020 à revivre depuis chez vous
LLa télégraphie Public : Dès 7 ans.Radio-amateur de la Fidésienne de Télégraphie, rattachée au REF 69, le radio-club de Lyon, Jean-Louis Maire est un passionné qui vous fera découvrir la télégraphie et son histoire avec passion.Atelier proposé par la Fidésienne de Télégraphie, et animée par Jean-Louis Maire. Retrouvez l’enregistrement de l’atelier :Nous nous excusons pour le quadrillage de mise au point de la caméra resté à l’écran durant l’enregistrement, mais qui ne ternit en rien le contenu de l’atelier ! Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la Fête de la science 2020.Il s’intègre à la programmation du Village des Sciences des Monts-du-Lyonnais 2020, organisé par l’association CréAct’IV Sciences. CréAct’IV SciencesRetrouvez les autres activités de la Fête de la science 2020 à revivre depuis chez vous
LLa perte d’odorat induite par le coronavirus Le CNRS participe aux chroniques estivales de l’émission Dis, pourquoi ? sur RCF Lyon. Au micro d’Alice Forges, les scientifiques ont 5 minutes et pas une de plus pour répondre à une question du quotidien !Pourquoi le coronavirus entraîne-t-il parfois une perte de l’odorat ? Les explications de Mustafa Bensafi, directeur de recherche CNRS au Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon.Écouter le podcast
LLes mystères de la crème glacée Le CNRS participe aux chroniques estivales de l’émission Dis, pourquoi ? sur RCF Lyon. Au micro d’Alice Forges, les scientifiques ont 5 minutes et pas une de plus pour répondre à une question du quotidien !Dans cette émission, Sylvain Deville, directeur de recherche CNRS à l’institut Lumière Matière, nous révèle les secrets d’une bonne crème glacée !Écouter le podcast