FFestival entre Rhône et Saône 2023 Réjouissant festival que celui qui propose de se pencher au-dessus de nos cours d’eau, d’en percer les mystères, de profiter de leurs bienfaits, de s’engager à ne plus les abîmer. Pour la 2e vague du Festival Entre Rhône et Saône, les maîtres-mots restent « découvrir, célébrer, protéger ». Allez, on y replonge !Du 30 juin au 2 juillet, ce plus de 340 animations portées par de nombreux acteurs du territoire : associations, artistes, institutions culturelles de la Ville, entreprises mécènes et habitants eux-mêmes.Parmi ce joyeux programme, les sciences sont au rendez-vous ! Des chercheur.e.s, étudiants et médiateurs scientifiques vous feront redécouvrir l’eau sous le prisme de nombreuses disciplines, telles que la biodiversité, le recyclage, le climat, l’aménagement du territoire… : Life Recyclo, un projet européen de recyclage des eaux usées de blanchisseries porté par l’Université de Lyon et la société Treewater. Venez assister à une démonstration du prototype de recyclage de l’eau du projet >> sur les Berges de la Guillotière, le 1er juillet.Les sciences au bord de l’eau : à la (re)découverte des fleuves lyonnais, par les étudiants en master Sciences de l’eau de l’Université Lumière Lyon 2.Bibliambule de la Maison de l’environnement, une armoire à livre montée sur un vélo et garnie de guides, essais, romans, BD et jeux autour de l’eau. Il comporte aussi sept hamacs super confortables !Sensibilisation sur les activités de France Nature Environnement Rhône : animations, jeux et balades… pour une journée ludique sous le signe de la protection de l’environnement. Vous repartirez avec quelques connaissances en plus, notamment sur les milieux aquatiques.et bien d’autres…>> Consultez le programme complet du festival sur le site :Festival entre rhône et saône
JJetez-vous à l’eau ! ©CapsurleRhôneComment penser dans le temps notre relation au fleuve, à sa biodiversité, son environnement, à nos usages, aux enjeux contemporains ? Quelle vie imaginer sur les rives d’hier, d’aujourd’hui et/ou de demain ? Quelles perceptions et quelles représentations du Rhône et de la Saône peuvent émerger dans le cadre de la transition écologique ?Cap sur le Rhône rassemble différentes structures riveraines qui valorisent les patrimoines culturels et naturels du Rhône ou de la Saône et interrogent les enjeux contemporains du fleuve. Ensemble, ces structures mutualisent compétences et connaissances, pour concevoir et mettre en œuvre des projets et des outils de sensibilisation au fleuve en direction du grand public et des scolaires.En 2022-23, le réseau Cap sur le Rhône organise la 2e édition du concours d’écriture Dans les courants du fleuve sur le thème générique du « Fleuve et mobilités ».Le thème « Fleuve et mobilités » se décline en trois propositions, qui peuvent être abordées séparément ou de manière croisée, selon l’inspiration, et qui nous invitent à appréhender le fleuve dans sa complexité :voie de communication et transport fluvial des marchandises et des personnes, axe Rhône-Saône, hier, aujourd’hui et demain ;voyage, patrimoine, tourisme : cyclotourisme (ViaRhôna, Voie Bleue Moselle Saône…), croisières, voyages réels ou imaginés dans le temps et l’espace, patrimoines et histoire de la navigation, récits de voyages historiques ;approche environnementale et biodiversité : connectivité fluviale, transport des sédiments, corridor migratoire pour les espèces animales ;Le concours s’adresse à deux catégories d’âge : 14-18 ans (forme poétique) et aux adultes (forme poétique ou narrative). Les candidats pourront notamment puiser des connaissances et l’inspiration sur le site internet capsurlerhone.fr, qui proposera durant le temps du concours, une programmation éditoriale, ou s’ils le souhaitent participer à un atelier d’écriture.L’écrivain Emmanuel Ruben (« Sur la route du Danube », Prix Nicolas Bouvier 2019 Festival Étonnants voyageurs) sera le président du jury qui se réunira en avril et en mai 2023 pour désigner les lauréats.Un recueil sera publié, regroupant une quarantaine de textes choisis par le jury, inclus les textes lauréats.La remise des prix aura lieu en septembre 2023 dans les salons de la Villa Gillet à Lyon en partenariat avec Auvergne-Rhône-Alpes Livre et Lecture.En savoir plus :Cap sur le Rhône
DDans les courants du fleuve Une table ronde Fleuve et littérature dédiée au voyage.Par son flux ininterrompu mais changeant, le fleuve suscite le voyage. Il invite le regard du riverain vers l’aval ou l’amont, l’incitant à parcourir ses rives ou à naviguer sur ses flots, à relier source et embouchure : l’univers du fleuve est à découvrir et l’âme du voyageur ne s’y trompe pas.Intervenants : Emmanuel Ruben – Sur la route du Danube, Éd. Rivages, Prix Nicolas Bouvier du Festival Les étonnants voyageurs 2019 ;Eddy L.Harris – Mississipi solo, Éd. Liana Levi ;Hélène Frappat – Le dernier fleuve, Éd. Actes Sud ;Jean-Louis Michelot, géographe et naturaliste – Sur le Rhône, Éd. Rouergues.Animé par : Anne-Caroline Jambaud, journaliste.En partenariat avec : Espace Pandora à l’occasion du lancement de la 27e année du Festival Littéraire Parole ambulante, et Cap sur le Rhône pour l’ouverture du concours d’écriture Dans les courants du fleuve.Pour en savoir plus :Cap sur le Rhône
RRencontre « Les munitions du Léman » Quand le livre inspire l’engagement : des rencontres d’auteurs et d’autrices pour parler de transition écologiqueJeudi 3 mars, la Maison de l’Environnement invite l’association Odysseus 3.1 pour parler de la bande-dessinée Les munitions du Léman.Des lacs gelés des Alpes à la Méditerranée, Odysseus 3.1 mêle exploration et recherche scientifique au service de la protection de l’environnement. Avec sa BD « Les munitions du Léman », l’association vous plonge au cœur d’un problème écologique majeur.La Maison de l’Environnement et l’association Odysseus 3.1 vous donnent rendez-vous pour une rencontre avec les auteurs de cette bande-dessinée suivie d’une séance de dédicaces.Une rencontre pour évoquer le rôle et les actions de l’association mais aussi aborder la question des pollutions de nos cours d’eau… et les manières de s’engager en faveur de la protection de la nature.Rencontrez Lionel Rard, Joris Bayon et Nicolas Otero, accompagnés par Yves Paccalet, le célèbre écrivain naturaliste, et Loic Legoff, capitaine du Fort de Corbas et plongeur-demineur.Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des rencontres d’auteurs et d’autrices à la Maison de l’Environnement organisées avec le soutien de la Métropole de LyonMaison de l’environnement
LLe long du Rhône : Patrimoines et Créations Cette conférence cheminera ainsi, au gré des courants, selon les époques et jusqu’à nos jours, portés par le pouvoir de l’imagination, la relation au sacré et la création artistique face aux dangers du fleuve.Intervenants :Nicolas MILLET, Administrateur territorial, délégué-adjoint à la Fondation du Patrimoine – Rhône-Alpes – en charge des patrimoines du Rhône ;André JULLIARD, Docteur d’état en ethnologie, auteur de plusieurs ouvrages sur le Rhône et sur le culte de Saint-Nicolas ;Nadine GUIGARD, Directrice de projet et Coordinatrice du réseau Cap sur le Rhône.Organisée par :la Confluence des Savoirs, l’Alliance des Rhodaniens et Cap sur le Rhône.Conférence digitale, avec possibilité de poser des questions aux intervenants en direct par SMS.Plus d’informations :Confluence des savoirs
EEntreprises : participez à la Fête de la Science 2021 ! Fête de la Science 2021 : le grand rendez-vous autour des sciences !Tous les ans, plus d’un millier de chercheurs, scientifiques et professionnels du territoire vont à la rencontre des étudiants, familles et habitants des quartiers voisins. Cet événement culturel, scientifique, populaire et gratuit, permet de rendre accessible innovations et laboratoires à un public de plusieurs dizaines de milliers de personnes.Du vendredi 1er au lundi 11 octobre 2021, la Fête de la Science investira la métropole lyonnaise et le département du Rhône pour une édition prometteuse et riche en découvertes.Cette édition particulière célébrera 30 ans de rencontres entre le public et les grands acteurs du réseau scientifique et culturel. Pour rendre cette occasion mémorable, le thème de l’émotion de la découverte sera mis à l’honneur.Rejoignez des acteurs engagés dans la construction du monde de demain !Pourquoi vous investir ? Comment vous investir ?En proposant des activités sur site ou en vous associant à un Village des Sciences. Conférences, ateliers, jeux, ciné-débat… permettent d’aborder de nombreux enjeux de société : transition énergétique, intelligence artificielle, alimentation, biodiversité…Organisée par l’Université de Lyon et ses partenaires la Fête de la Science est initiée et soutenue par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.PARTICIPEZ À L’APPEL À PROJET jusqu’au 16 MAI
FFragmentation en eaux douces : sur la trace des microplastiques dans le Rhône | Un article Pop’Sciences Cotons-tiges, gobelets, verres et assiettes en plastique…Suite à l’adoption de la loi Pacte, ces produits à usage unique sont interdits à la vente depuis le 1er janvier 2020. Une mesure visant à freiner l’un des fléaux de notre société moderne : la pollution par les déchets plastiques. En 2019, la fondation Tara a mené une expédition visant à cerner le phénomène dans les cours d’eaux européens dont le Rhône : le sujet mobilise les acteurs scientifiques de la région.Un article rédigé par Caroline Depecker, journaliste, pour Pop’Sciences – 7-02-202010 tonnes chaque seconde…Par sa légèreté, son étanchéité et son caractère bon marché, voilà 70 ans qu’il incarne notre mode de consommation de masse. Quelques 10 tonnes de plastiques seraient mises en circulation chaque seconde dans le monde. Et à 45% pour un usage unique. En France, seuls 22 % des déchets plastiques sont recyclés1, les autres sont incinérés ou bien enfouis, mais pas que.Prélèvement de micro-plastiques à l’aide de filet manta depuis le pont de Richmond (UK) en amont de Londres / ©Boris EyheraguibelDès les années 1970, les scientifiques ont lancé l’alerte : au-delà des macro-déchets, ce sont des débris plastiques plus petits, de l’ordre du millimètre, qui s’accumulent dans les océans. Ces derniers auraient déjà stocké 110 millions de tonnes de plastiques représentés à 90% par des microplastiques : des fragments dont la taille est inférieure à 5 millimètres. Ils en recevraient 8 millions de tonnes nouvelles chaque année. Leur origine ? Une étude datée de 20162 suggère que 80% d’entre eux viennent de la terre et transitent par les fleuves3 : un sujet connu, mais insuffisamment documenté jusqu’à présent. Des travaux réalisés la même année 4 ont montré, par exemple, que la Seine charriait davantage de microfibres synthétiques que de microfragments (constitués surtout de polyéthylène), tandis qu’une recherche anglaise5 a souligné que 66 % des déchets présents dans la Tamise sont des microplastiques.Pour pallier cette lacune de données scientifiques, en 2019, de mai à novembre, la goélette scientifique Tara a parcouru les quatre façades maritimes européennes et prélevé des échantillons dans neuf des principaux fleuves d’Europe. Son objectif : évaluer la concentration en microplastiques charriés de la sorte, ainsi que leur impact sur les organismes marins.Préparation de nasse contenant différents plastiques avant immersion dans le fleuve. / ©Boris Eyheraguibel« Nous avons remonté le Rhône depuis son embouchure jusque Arles, la première grande ville rencontrée » indique Boris Eyheraguibel, de l’Institut de Chimie de Clermont-Ferrand, qui a fait partie de l’expédition. La collecte des microplastiques s’est faite à l’aide d’un filet de type Manta à maille fine, de 300 micromètres, ou encore grâce à des prélèvements sur les berges. « Nous avons encore échantillonné des nasses contenant différents types de plastiques -et pour certaines des moules quand la salinité était suffisante- qui avaient été volontairement immergées un mois avant notre passage », précise le chimiste. Ce sont ainsi 2700 échantillons prélevés sur 45 sites situés entre terre et mer qui sont désormais aux mains d’une quarantaine de chercheurs répartis sur 17 laboratoires partenaires.L’exploitation de ces échantillons devrait durer deux à trois ans. « Ils vont transiter d’un laboratoire à l’autre pour subir différents traitements et ce n’est qu’une fois l’ensemble de ceux-ci réalisés que nous pourrons avoir une vision globale, qualitative et quantitative, de la pollution aux microplastiques », complète Boris Eyheraguibel. « On peut d’ores et déjà penser qu’elle est élevée : des macrodéchets comme des cotons tiges, des emballages alimentaires, des bouteilles, des bouchons… abondaient en effet sur les berges visitées, or on sait qu’ils se fragmentent sous l’effet mécanique des vagues et des rayons ultraviolets du Soleil. Ce processus a été largement étudié en mer et nous pensons le vérifier à large échelle aujourd’hui en eau douce. »De fait, 100% des prélèvements remontés à bord de Tara et observés une première fois au microscope témoignait de la présence de microfragments plastiques. En quantifiant les déchets et en identifiant leur nature au laboratoire, les chercheurs espèrent, d’une part, augmenter leurs connaissances sur le processus de fragmentation en faisant le lien entre la quantité de macrodéchets rencontrés et celle de microplastiques, et, d’autre part, caractériser l’origine de ces derniers : beaucoup de résidus en polyéthylène téréphtalate témoigneraient, par exemple, d’une pollution majeure aux bouteilles plastiques, des fragments de polyéthylène ou polypropylène à des emballages… Supposée, la contamination des eaux par des microbilles utilisés dans certains cosmétiques et dentifrices a bien été observée. La plastisphère, des communautés microbiennes vivant à la surface des plastiques.Un premier lot d’une vingtaine d’échantillons est en cours d’analyse au laboratoire Biométa* de Boris Eyheraguibel. Ces derniers ont été congelés dans de l’azote liquide dès leur arrivée à bord de la goélette : une étape importante afin de préserver les communautés microbiennes vivant à la surface des plastiques, ce qu’on appelle la « plastisphère ». Une quinzaine de bactéries marines sont d’ailleurs connues pour digérer les polymères afin de produire leur propre énergie. « Les microbes de la plastisphère intègrent ces derniers dans leur métabolisme en les dégradant progressivement, explique le scientifique. Après avoir éclaté les cellules des microorganismes récoltés, nous analyserons l’ensemble des molécules qu’ils avaient préalablement produites, ce qui nous permettra « in fine » de déterminer les mécanismes de la dégradation microbienne. » Les scientifiques s’attendent à trouver davantage d’espèces bactériennes capables de dégrader les plastiques dans les fleuves qu’en mer et qui le feraient encore plus efficacement.Collecte de macro-dechets plastiques dans la laisse de mer à l’embouchure de la Tamise (UK) en aval de Londres / ©Boris Eyheraguibel« Notre deuxième contribution à la mission concerne la recherche des polluants organiques fixés sur les morceaux de plastiques (pesticides, antibiotiques, hydrocarbures, PCB…) ou celle de leurs additifs (plastifiants, retardateurs de flammes, antimicrobiens, etc.) qu’ils relarguent naturellement, complète Boris Eyheraguibel. Ce travail sera associé à l’évaluation, par un laboratoire partenaire, de la toxicité engendrée par les mêmes échantillons. »Les effets des microplastiques sur les organismes vivants sont pour l’heure peu connus : ils peuvent conduire de façon mécanique à une occlusion intestinale des espèces animales et impactent sérieusement la croissance du zooplancton – l’un des premiers chaînons de la chaîne alimentaire aquatique – en réduisant considérablement son appétit. Pour ce qui est de la toxicité chimique, on sait que certains de leurs additifs comme lebisphénol A et les phtalates sont des perturbateurs endocriniens. A cette date, plusieurs échantillons de plastiques « témoins », issus des nasses immergées pendant un mois lors de la mission Tara, présenteraient – d’après la fondation éponyme – des signes de toxicité significatifs.Fortement médiatisée ces dernières années, la pollution aux plastiques investit désormais les laboratoires.Assimilés à des capteurs passifs susceptibles de fixer les polluants organiques, les microplastiques miment le comportement des sédiments, ce qui a donné l’idée à Marina Coquery, responsable de l’équipe du Laboratoire de chimie des milieux aquatiques au sein de l’unité de recherche Riverly du centre INRAE** basé à Villeurbanne, d’intégrer cette problématique dans le cadre du réseau de l’Observatoire des Sédiments du Rhône qu’elle co-pilote aujourd’hui. « Ce réseau comprend une dizaine de stations de mesure où l’on collecte les sédiments en suspension pour analyser ensuite les contaminants qu’ils renferment, explique-t-elle. Situées dans le corridor rhodanien ainsi qu’en aval des principaux affluents du fleuve, elles nous fournissent une bonne image de la contamination du bassin en micropolluants organiques ainsi qu’en métaux trace. Opérationnel depuis dix ans, ce réseau permettrait de suivre les plastiques moyennant peut-être quelques adaptations. »Les études aboutissent à la naissance du projet Déchets plastiques sur le continuum Rhône-Méditerranée Poursuivant cette dynamique, la chercheure a initié avec la Zone atelier du bassin du Rhône le projet Déchets plastiques sur le continuum Rhône-Méditerranée soutenu par l’Observatoire Hommes-Milieux Vallée du Rhône. Son objectif : déterminer les apports du fleuve en micro et macroplastiques dans la mer Méditerranée. En décembre dernier s’est tenu la première étape de ce projet : un atelier participatif réunissant les associations actives sur le sujet, mais aussi les partenaires opérationnels comme la Métropole de Lyon, l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse (RMC), ou E.D.F.« Plutôt que d’engager immédiatement une action de recherche supplémentaire, nous désirions réunir les acteurs de terrain concernés – une trentaine – afin qu’ils échangent sur leurs expériences et leurs savoirs. Nous avons été étonnés des connaissances déjà accumulées. Nous voulions aussi faire émerger les questions principales qu’ils se posaient et ébaucher des pistes de réponse. ». Après traitement, ces dernières donneront lieu à un plan d’actions non disponible à ce jour. La suite du projet est attendue pour mars prochain avec un 2e atelier réunissant cette fois-ci des acteurs scientifiques locaux susceptibles d’apporter leur contribution à ce dernier. A l’Agence de l’eau RMC, les sollicitations viennent de toute part afin de mieux cerner le sujet de la pollution liée aux plastiques. « C’est une bonne chose qu’il y ait de plus en plus d’actions engagées dans ce sens. Cependant, il est nécessaire aujourd’hui de se mettre ensemble afin de réfléchir collectivement ! » conclut Marina Coquery. —————————————————Notes* L’équipe Biométa est un laboratoire de l’Institut de Chimie de Clermont-Ferrand – Université Clermont Auvergne, CNRS, Sigma**INRAE : Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (1) Stoppons le torrent de plastique ! – Guide à destination des décideurs français pour sauver la Méditerranée – WWF Rapport 2019(2) Plastics in the marine environment – eunomia, Dr Chris Sherrington, June 2016(3) Plastic pollution – Hannah Ritchie and Max Roser, Sept. 2018, University of Oxford (Carte concernant l’apport des fleuves en micropolluants)(4) Premières investigations sur les microplastiques en Seine, Rachid Dris, Lisa Lahens, Vincent Rocher,Johnny Gasperi, Bruno Tassin, Université Paris-Est – Laboratoire eau environnement et systèmes urbains – Rapport 2016(5) Large microplastic particles in sediments of tributaries of the River Thames Horton, Alice & Svendsen, Claus & Williams, Richard & Spurgeon, David & Lahive, Elma. (2016). , UK – Abundance, sources and methods for effective quantification. Marine Pollution Bulletin. 114. / 10.1016/j.marpolbul.2016.09.004. PPour aller plus loinLa pollution par microplastiques est partout, mais on connaît mal ses effets sur la faune – The Conversation, 12 février 2020
##FDS2019 | Racontez-nous votre expérience de la Fête de la Science Votre avis sur cette édition de la Fête de la Science nous intéresse !Rendez-vous incontournable entre scientifiques et citoyens, la Fête de la Science se tient cette année du 3 au 13 octobre 2019 sur la métropole lyonnaise et le département du Rhône pour, sous la thématique :Raconter la science, imaginer l’avenirAfin d’améliorer la prochaine édition donnez-nous votre avis s’il-vous-plaît !Avez-vous aimé cette édition de la Fête de la Science ? Pourquoi ?Racontez-nous une anecdote ! Questionnaire en ligne(Ce questionnaire vous prendra deux minutes à remplir) Sur la Métropole de Lyon et le Rhône, la Direction Culture, Sciences et Société de l’Université de Lyon coordonne la Fête de la Science.
FFête de la science LLa Fête de la science, édition 2023 – RHÔNE ET MÉTROPOLE DE LYONÉVÉNEMENT GRATUITLa 32e édition de la Fête de la science aura lieu du vendredi 6 au lundi 16 octobre 2023.Pour cette édition, retrouvez près de 300 animations ludiques, gratuites et ouvertes à toutes et à tous à travers la métropole de Lyon et le Rhône ! Cette année, c’est la thématique « sport et science » qui est mise à l’honneur. Découvrez une programmation riche et variée, qui enchantera petits et grands, et baladez-vous à travers 21 communes du département à la rencontre de celles et ceux qui font la science aujourd’hui ou qui l’expliquent ! Par le biais de jeux, d’expositions, d’ateliers, de spectacles ou de temps d’échanges découvrez comment le sport et la science conversent. Vous pourrez plonger dans le cerveau des athlètes de haut-niveau, parcourir l’histoire du ballon rond ou encore, si le sport vous passe par-dessus la tête, vous mettre dans la peau d’une grande exploratrice botaniste ou faire un saut dans l’espace.LES PROGRAMMES RHÔNE ET MÉTROPOLE DE LYON :>> CONSULTEZ LE PROGRAMME TOUT PUBLIC>> CONSULTEZ LE PROGRAMME SCOLAIRE (PRIMAIRES, COLLÈGES, LYCÉES)> CONSULTEZ LE PROGRAMME ÉTUDIANTS LA THÉMATIQUE NATIONALE 2023 : SPORT ET SCIENCESPour cette nouvelle édition, c’est le sport et la pratique sportive qui seront mis à l’honneur dans le cadre des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Qu’il s’agisse de bien-être ou de haut niveau, qu’on le pratique comme un loisir ou dans un cadre éducatif, en amateur ou en professionnel, le sport occupe une place centrale dans notre quotidien et notre société.La Fête de la science 2023 invite chercheurs et citoyens à se retrouver autour du plaisir du sport et propose des temps d’échanges et de réflexion sur différents sujets : contribution des chercheurs dans l’amélioration des performances des sportifs, le développement des connaissances trouvant des applications dans de nombreux secteurs, tels que la pharmacologie, les matériaux, les neurosciences, la psychologie ou encore la médecine.Pour cette 32e édition, 10 doctorantes et doctorants ont mis en récit et en image leurs travaux de recherche dans le cinquième volume de Sciences en bulles sur le thème « Sport & Science »>>> A découvrir iciTeaser Fête de la science 2023 : RETOUR SUR LES ÉDITIONS PRÉCÉDENTES___________________________________________________________________________________________Dans le Rhône et la Métropole de Lyon, la Fête de la science est coordonnée par Pop’Sciences – Université de Lyon. Initiée par le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche, la Fête de la science est la plus importante manifestation dédiée à la recherche et à l’innovation. Des milliers d’acteurs scientifiques, mais aussi culturels et pédagogiques se réunissent pour partager avec vous leur enthousiasme pour les sciences, les techniques et les innovations.La Fête de la science en Auvergne-Rhône-Alpes :Site régional AuRAChaîne Youtube FDS – AuRA : interviews et émissions régionales
BBalade « Regard sur le fleuve » Découvrez le Rhône avec l’île du BeurreEn juin, laissez vous porter par le fleuve et découvrez ses trésors !Le Rhône fut navigué dès l’antiquité. De nombreux aménagements ont modifié son visage au fil du temps. Prenons un peu de hauteur pour repérer les traces du passé et découvrir la biodiversité de ce fleuve.Retrouvez toute la programmation de la Maison de l’Environnement et les activités de nos associations membres sur www.maison-environnement.fr à la rubrique « Agenda«