CCycle de conférences des 50 ans de l’Université Lumière Lyon 2 À l’occasion de son 50e anniversaire, l’Université Lumière Lyon 2 organise une série de rencontres, destinées à un large public, sur des grandes thématiques et des enjeux de société dont elle se saisit depuis sa création.Lieu :PProgramme prévisionnel :50 ans de travaux sur le genre en sciences humaines et sociales. Genèse et construction d’un champ pluridisciplinaire / mardi 26 septembre 2023 à 18h50 ans d’évaluation de l’économie sociale et solidaire – Regards croisés d’enseignantes-chercheuses de l’Université Lumière Lyon 2 / mardi 24 octobre 2023 à 18h 50 ans d’expertise : les relations chercheur.es / pouvoirs publics / jeudi 26 octobre 2023 à 18h 50 ans de créations artistiques dans les formations / lundi 20 novembre 2023 à 18h 50 ans de traitement des données avec et pour les sciences humaines et sociales / jeudi 23 novembre 2023 à 18h 50 ans de recherche et formation autour de la ville et des transports / mardi 28 novembre 2023 à 18h 50 ans de transitions alimentaires / mercredi 29 novembre 2023 à 18h >> Consulter l’ensemble du programme sur le site de :UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2
UUne science de l’historicité ? L’histoire et les sciences sociales La Société Rhodanienne de Philosophie (SRP) organise chaque année un cycle de 5 conférences mensuelles, dont « Une science de l’historicité ? L’histoire et les sciences sociales » en février.Ces conférences portent sur divers grands thèmes de la philosophie (esthétique, éthique, politique, métaphysique, etc.) et couvrent parfois certains thèmes proposés aux concours d’entrée à l’Ecole Normale Supérieure-Lettres ou encore aux concours de l’Agrégation et du Capes de philosophie.La SRP invite ainsi des personnalités reconnues du monde philosophique ou, plus largement, des intervenants venus d’autres disciplines, mais dont la spécialité intéresse le philosopher aujourd’hui.>> Plus d’informations sur :Société Rhodanienne de philosophie
KKant, le sensible et le sentiment La Société Rhodanienne de Philosophie (SRP) organise chaque année un cycle de 5 conférences mensuelles, dont « Kant, le sensible et le sentiment » en janvier.Ces conférences portent sur divers grands thèmes de la philosophie (esthétique, éthique, politique, métaphysique, etc.) et couvrent parfois certains thèmes proposés aux concours d’entrée à l’Ecole Normale Supérieure-Lettres ou encore aux concours de l’Agrégation et du Capes de philosophie.La SRP invite ainsi des personnalités reconnues du monde philosophique ou, plus largement, des intervenants venus d’autres disciplines, mais dont la spécialité intéresse le philosopher aujourd’hui.>> Plus d’informations sur :Société Rhodanienne de Philosophie
LL’ultra-sociabilité du vivant humain : l’apport des sciences humaines La Société Rhodanienne de Philosophie (SRP) organise chaque année un cycle de 5 conférences mensuelles. La première conférence de ce cycle s’intitule L’ultra-sociabilité du vivant humain : l’apport des sciences humaines.Ces conférences portent sur divers grands thèmes de la philosophie (esthétique, éthique, politique, métaphysique, etc.) et couvrent parfois certains thèmes proposés aux concours d’entrée à l’École Normale Supérieure-Lettres ou encore aux concours de l’Agrégation et du Capes de philosophie.La SRP invite ainsi des personnalités reconnues du monde philosophique ou, plus largement, des intervenants venus d’autres disciplines, mais dont la spécialité intéresse le philosopher aujourd’hui.>> Plus d’informations sur :Société Rhodanienne de Philosophie
SSpiritualités critiques et breaching experiment | Ruptures créatrices A la rentrée 2022, le Collège des hautes études Lyon sciences (CHEL[s]) vous propose de suivre dans le cadre de son cours commun, une série de 12 conférences originales sur la thématique « Ruptures créatrices » qui sera traitée de manière pluridisciplinaire par les enseignants-chercheurs des 6 écoles du CHEL[s].L’intitulé de « Ruptures créatrices » interpelle immédiatement par son aspect antithétique. D’un côté, la rupture peut évoquer la destruction, la désunion et l’interruption brusque d’une situation d’harmonie antérieure. De l’autre, la création a trait à l’invention, à la nouveauté, à la fécondité. Cette formule oxymorique entraine donc à envisager la dimension productive des ruptures : comment un processus de fracture, a priori destructeur, peut-il engendrer de la nouveauté ?Chaque conférence dure 1h30 et laisse la place à un temps d’échange entre l’intervenant et le public. Par un choix de thématiques variées et faisant écho à des enjeux de société, le cours commun est pensé pour un large public. Conférence du 06 octobre : Spiritualités critiques et breaching experiment Deux focus seront abordés : Comment penser les imaginaires capables d’inciter à une rupture politique ? Dans un cadre de réflexion sur la recherche de sens et à l’aide d’exemples, nous verrons en quoi ils peuvent être interprétés comme des spiritualités critiques.Intérêts et finalités des « breaching experiments » ou « expériences de déstabilisation » : À partir d’exemples passés et actuels, nous problématiserons les changements que suscite une rupture interactionnelle chez les individus ou dans un groupe social donné. Intervenants : Isabel Colón De Carvajal, Maître de conférences en sciences du langage à l’ENS de Lyon, Directrice adjointe du Laboratoire ICARJean-Philippe Arias Zapata, Doctorant en philosophie/épistémologie à l’ENS de Lyon, Laboratoire ICARPlus d’informations ici :Collège des hautes études Lyon sciences
DDenis Jacquemot, ergothérapeute – Entre sciences médicales et humaines | Visages de la science À l’hôpital Femme Mère Enfant (HFME), il développe une recherche sur une thérapie innovante qui s’appuie sur la plasticité cérébrale. Autre spécificité : cette investigation est menée en partenariat avec les familles et les thérapeutes de proximité. ©HCLDepuis onze ans, Denis Jacquemot pratique l’ergothérapie à l’Escale, le service de médecine physique et de réadaptation pédiatrique de l’hôpital Femme Mère Enfant. Dans le cadre du Centre national de référence AVC de l’enfant, il accompagne particulièrement les patients atteints de paralysie cérébrale âgés d’un à quinze ans.La paralysie cérébrale est la première cause de handicap moteur chez l’enfant. Elle touche environ deux enfants pour 1 000 naissances. « Elle résulte de lésions non progressives survenues sur un cerveau en développement avant deux ans », explique-t-il. Ces lésions entraînent des troubles permanents du mouvement et de la posture réduisant les capacités de l’enfant à réaliser des activités courantes et à participer à la vie sociale.En 2019, l’Escale a proposé pour la première fois la thérapie Habit-Ile. On la doit à la Pr Yannick Bleyenheuft, chercheuse en sciences de la motricité à l’université catholique de Louvain (Belgique), qui la développe depuis 2011. Il s’agit d’une méthode de rééducation à la fois intensive et ludique, elle-même inspirée de la méthode Habit développée à l’université de Columbia (New York). Habit-Ile est l’acronyme de « hand and arm bimanual intensive therapy including lower extremities », thérapie intensive bimanuelle main et bras incluant les membres inférieurs.Actuellement, la méthode n’est proposée que par trois CHU en France, dont celui de Lyon. L’approche est personnalisée, prenant en compte l’environnement, l’entourage, les occupations et les besoins du patient. Elle mobilise, pendant dix jours totalisant 65 heures d’apprentissage, les capacités de l’enfant à réaliser des activités que lui et ses parents ont choisies comme objectifs.« La méthode permet par l’apprentissage moteur de développer des capacités motrices, cognitives, émotionnelles et affectives », précise l’ergothérapeute. Ce que tend à confirmer une étude de l’équipe belge qui a montré des changements dans le cortex et certaines structures profondes du cerveau des patients ayant suivi la thérapie. « Cet impact s’explique par la capacité du cerveau à se modifier, ce qu’on appelle la plasticité cérébrale, sur laquelle s’appuie la thérapie. »Les premiers enfants qui ont pu en bénéficier ont montré « une réelle dynamique de progression à la suite du stage », soulignent les familles. Ces dernières ont néanmoins relevé qu’un accompagnement après le séjour intensif était nécessaire pour transférer durablement les acquis dans le quotidien de leurs enfants. « Comme l’apprentissage d’un instrument de musique se perd si l’on ne pratique pas, de même les acquis atteints durant le stage requièrent un suivi pour qu’ils deviennent automatiques au quotidien », traduit D. Jacquemot. À l’Escale, environ 300 enfants sont potentiellement éligibles à cette rééducation intensive, chaque stage accueillant six à neuf enfants.Une approche holistique novatriceC’est pour soutenir cet accompagnement qu’en 2021, l’ergothérapeute s’est lancé dans un projet innovant. Son objectif est d’améliorer le parcours de soin spécifique à la thérapie Habit-Ile en améliorant leur organisation et leur coordination dans la métropole de Lyon. Ce projet a la particularité de s’appuyer sur le savoir tiré de l’expérience du patient et de sa famille. Il s’inscrit dans le dispositif Peps, impulsé par les Hospices civils de Lyon1.L’enjeu réside dans la coordination des soins post-stage avec les professionnels de santé de ville qui suivent quotidiennement les enfants. À plus long terme, les résultats recueillis lors de cette expérimentation, permettrons de proposer un modèle de développement qui pourrait soutenir le déploiement de la méthode sur le territoire national.Un groupe a été constitué, composé de parents d’enfants, de thérapeutes superviseurs de séjour Habit-Ile, et des thérapeutes du secteur libéral et médico-social qui suivent les patients à l’extérieur de l’hôpital. « L’investigation en cours se situe au carrefour des sciences médicales et humaines », commente le chercheur. « Elle apportera la crédibilité scientifique de nos moyens thérapeutiques par une méthodologie rigoureuse. »Sa pertinence n’a pas échappé au jury de l’appel à projets PAIR2 des HCL et de la Métropole de Lyon. En juillet 2021, le projet a obtenu le premier Prix parmi les trois lauréats sélectionnés. Le premier stage dans le cadre du projet s’est déroulé en mai 2022 avec des enfants de 20 mois à 4 ans. Le deuxième a eu lieu en juillet avec des enfants âgés de 5 à 13 ans.Ce projet, qui s’inscrit dans une perspective de recherche plus large sur le thème de la relation partenariale en réadaptation, fait l’objet du travail de thèse que Denis Jacquemot s’apprête à débuter à l’Université Claude Bernard Lyon 1.Article écrit par la Direction de la marque et de la communication des Hospices Civils de Lyon – Août 2022—————————————-Notes :[1] Les HCL impliquent leurs patients dans le parcours de soin, Hospices civils de Lyon, 14-06-2022[2] Projet TIPS-PC : dispositif régional innovant pour l’intégration des thérapies intensives dans le parcours de soin des enfants paralysés cérébraux - Habit-Ile et guidance parentale. Porté par le réseau régional de rééducation et réadaptation pédiatrique en Rhône-Alpes (R4P).
LL’histoire des sorcières ou la construction d’un imaginaire Traquées et persécutées, présentées comme des figures diaboliques et démoniaques, les sorcières ont nourri pendant des siècles un imaginaire incroyable. Depuis quelques années, les sorcières s’imposent comme de véritables figures contestataires, émancipées de leur héritage malfaisant.Conférence animée par : Nicole Jacques-Lefèvre, professeure émérite des Universités, spécialiste de la littérature du 18e siècle et des discours démonologiques ;Marianne Closson, maîtresse de conférences en littérature française du 16e siècle à l’Université d’Artois.Plus d’informations sur le site du : Musée des Confluences
LLa recherche en sciences humaines et sociales | Le magazine RchRch Le magazine de la recherche en sciences humaines et sociales de l’Université Lumière Lyon 2RchRch a pour ambition de partager les savoirs et les connaissances en train de s’élaborer dans les 32 laboratoires de recherche de l’Université Lumière Lyon 2, de décrypter le monde qui nous entoure et de rendre la recherche et ses résultats accessibles à toutes et tous. Il rappelle ainsi, au fil des pages, à quel point les sciences humaines et sociales, dans leur très grande diversité, sont indispensables à la pensée humaine et à l’intelligence des sociétés.Au sommaire de chaque numéro : un dossier thématique, des regards croisés de chercheur.e.s sur un thème d’actualité, des explorations de projets et partenariats de recherche, un grand entretien avec un chercheur, un tête-à-tête avec un doctorant, un focus sur une structure de recherche, et pleins d’autres choses encore… !Chaque numéro sera également l’occasion d’une collaboration avec un.e illustrateur différent.> Consulter les numéros de RchRch :RchRch n°4 – été 2022RCHRCH n°3 – Février 2022RCHRCH n°2 – été 2021RchRch n°1 – Janvier 2021
LLe travail sous toutes ses coutures Une exposition sur le vêtement au travail sous le regard photographique, sociologique et juridique.La recherche du collectif CRAVAT (Consortium de Recherche Autour du Vêtement Au Travail) est le fruit de la rencontre du photographe David Desaleux avec des sociologues et des juristes, et de la conviction que la fenêtre que propose la photographie peut ouvrir de réelles perspectives pour co-produire et diffuser les savoirs des sciences sociales. L’ambition est de dresser un éventail des diverses réalités professionnelles en utilisant le vêtement comme catalyseur de normes et de contraintes qui en découlent. Il s’agit de traiter du vêtement au travail sous toutes ses coutures tout en rendant visible les coulisses de cette recherche-création. L’exposition est vue comme une porte d’entrée sur le sujet du travail, de ses mutations, et des représentations que nous en avons.L’enquête photographique est menée à partir de terrains de recherche variés, explorés par des sociologues du laboratoire Centre Max Weber et éclairés par des juristes du CERCRID (Centre de Recherches Critiques sur le Droit).Pour en savoir plus :Université Lumière Lyon 2
LL’Égypte au musée des Beaux-Arts de Lyon Découvrez le Musée des Beaux-Arts de Lyon depuis chez vous ! Des chercheurs et conservateurs rentrent dans les coulisses du département des Antiquités pour vous présenter les collections d’Égypte ancienne comme vous ne les avez jamais vues !Intervenants :Geneviève Galliano, conservateur en chef du Patrimoine – Département des antiquités du musée des Beaux-Arts de Lyon,Charlotte Lejeune, égyptologue, guide-conférencière et membre du Cercle lyonnais d’égyptologie Victor-Loret,Yannis Gourdon, égyptologue, maître de conférences de l’Université Lumière Lyon 2, membre du laboratoire HiSoMA et président du Cercle lyonnais d’égyptologie Victor-Loret. Une visite privée à trois voix : Youtube de la MOM