PPodcasts des Mercredis de l’Anthropocène – saison 3 41 podcasts pour interroger les mondes urbains anthropocènesCréés et mis en œuvre par l’École urbaine de Lyon, les Mercredis de l’Anthropocène invitent à mieux comprendre les mondes urbains anthropocènes.Chercheurs et spécialistes de tous horizons, à partir de sujets précis, croisent leurs paroles, pointent des problématiques et mettent au jour des solutions.>> Retrouver les podcasts des trois saisons des Mercredis de l’AnthropocèneLes sujets de la saison 3 : mégafeux, ville intelligente, la marche comme outil d’analyse du territoire, l’usage de l’eau, la poésie comme action de l’écologie, imaginaires design et fictions de l’anthropocène, biodiversité, numérique, résilience alimentaire, corps confinés, espace de travail en temps de crise, catastrophe et anthropocène, penser l’anthropocène depuis les suds.
QQui va payer la ville intelligente ? Le 3 décembre 2018 dans le cadre du Pop’Sciences Forum, 40 étudiants, aménageurs, chercheurs, associatifs et citoyens se sont retrouvés pour un workshop créatif avec deux objectifs : dessiner un modèle de financement et de gouvernance équilibré de la ville où le numérique aurait une place de plus en plus prépondérante et rédiger un manifeste de la ville intelligente.Le numérique et la gestion des masses de données sont de plus en plus saisis par nos villes comme des catalyseurs d’innovations et comme des outils d’optimisation des services qu’elles nous rendent. Dans le même temps, le finances publiques locales ont un modèle en crise. Comment créer des conditions de financement des innovations sans que les collectivités ne perdent la main sur les services rendus ? Quelle place laisser aux entreprises du numériques qui proposent des solutions clés en main et peu onéreuses, en échange d’un accès aux données générées par les usagers ?DÉCOUVREZ LES RESULTATS SUR LE SITE DÉDIÉ !Le workshop en imageLudovic Viévard / Isabelle Baraud Serfaty / Cathy Veil / Alexandrine LapoutteGroupe de participants réalisant un travail de brainstorming quant à la réalisation d’une ville catastropheMind mapping : Brainstorming sur la nature de la ville cauchemar. Réalisation de différents scénariis du pire puis création de lien et hiérarchisation de ces derniers. Micros-trottoirs : Questionner les individus dans la ville pour connaitre leur définition de la ville cauchemar. Mini-reportage photos : illustration photos de ce à quoi ressemblerait la ville catastropheRésultat du travail de mind mapping au sein du groupe 1Constitution de schéma de ville intelligente à l’aide de différentes cartesPrototypage et élaboration d’un schéma de la ville intelligenteRestitution graphique du schéma du groupe 3 « Vers une gouvernance circulaire autour de plateformes d’intermédiations »Rédaction du manifeste : Restitution de la compréhension des nouveaux modèles économiques et de gouvernances de ville intelligente de chaque butineur auprès de Julie notre facilitatrice pour la rédaction d’un manifeste collectif.Restitution graphique du manifeste réalisé en commun
[[Pop’Cast] Big Data, Big City, Big Mother ? Ré-écoutez le podcast de l’émission radiophonique enregistrée le 3 décembre 2018, dans le cadre du Pop’Sciences Forum « Citoyens, la ville de demain vous appartient ! ». Une approche scientifique, critique et constructive sur les enjeux, les opportunités et les limites des transformations de nos quotidiens par le numérique.À propos de la vie privée : qui sait quoi, sur qui et pourquoi ? Quelles sont les tensions existantes entre nos données exploitées par le secteur marchand, celles collectées par les et collectivités, et ce que nous exigeons des deux en termes de services ? Les amas de données infiniment collectés seront-ils bien gardés et par qui ? Doit-on craindre une gouvernance de nos villes par le big data ?Invités : Sonia Ben Mokhtar, chercheuse en informatique (Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’information, INSA de Lyon); Marine Albarede, chargée de développement innovation, numérique et data (SCOP La Péniche); Frédéric Le Mouël, chercheur en informatique et télécommunication au sein du laboratoire CITI et Maître de Conférence à l’INSA de Lyon.Animation : Matthieu Adam, post-doctorant (Laboratoire Aménagement Économie Transports, LabEx Intelligences des Mondes Urbains)
[[Pop’Sciences Forum] Citoyens, la ville de demain nous appartient ! Nos collectivités développent massivement des stratégies de “smart-city”, de “e-city” ou encore de “learning-city”, au service de villes dites plus intelligentes, flexibles et optimisées par le numérique. Dans le même temps des initiatives citoyennes fleurissent massivement dans nos quartiers, au sein desquels les habitants participent à la fabrique de leurs cités et mettent en oeuvre de nouveaux usages ou de nouvelles pratiques sociales.Cette édition du Pop’Sciences Forum s’intéresse à ces nouveaux phénomènes de transformation de la ville et de la citoyenneté, encouragés par le développement du numérique. Nous sollicitons des expertises en urbanisme, en sociologie, en architecture, en informatique ou encore en sciences politiques, pour découvrir, débattre et imaginer la place que les citoyens peuvent avoir dans cette ville de demain. Entre habitants, travailleurs, chercheurs, aménageurs, élus et artistes, nous ouvrons 4 journées de débats. 4 chantiers éphémères de réflexions et de débat à propos de l’avenir des lieux de la cité, des formes d’habitabilité, de la mobilité, du big data, ou encore de la nuit.La ville intelligente est une ville où le numérique nous invite à réinventer notre rapport à la cité, aux temps, aux espaces, aux connaissances et aux autres … Quelles opportunités pouvons-nous saisir pour mieux optimiser nos déplacements, nos interactions, notre bien-être, le coût de la ville, sa durabilité et sa gouvernance ?POSONS LES BASES DU MÉTIER DE CITOYEN DE DEMAIN, IMAGINONS UNE VILLE INTELLIGENTE – OU PAS SI BÊTE – QUI ASSOCIE LE NUMÉRIQUE À D’AUTRES FORMES D’INNOVATIONS SOCIALES ET CULTURELLES.PROGRAMMATIONINTERVENANTS | AFFICHE | PROGRAMME PDFPPOP’CAST : LES ÉMISSIONS RADIOS PARTICIPATIVES DU POP’SCIENCES FORUM
[[Pop’Sciences Forum] Qui va payer la ville intelligente ? @Viktor ForgacsLe numérique et la gestion des masses de données sont de plus en plus saisis par nos villes comme des catalyseurs d’innovations et comme des outils d’optimisation des services qu’elles nous rendent.Dans le même temps, le finances publiques locales ont un modèle en crise. Comment créer des conditions de financement des innovations sans que les collectivités ne perdent la main sur les services rendus ? Quelle place laisser aux entreprises du numériques qui proposent des solutions clés en main et peu onéreuses, en échange d’un accès aux données générées par les usagers ?Étudiants, aménageurs, élus, entreprises, chercheurs, associations, citoyens … Votre interdisciplinarité facilitera la réalisation collective d’un manifeste pour une gouvernance et des modèles économiques innovants et durables.Inscrivez-vous ! (Formulaire ci-contre)Après l’atelier, participez à la soirée « BIG DATA, BIG CITY, BIG BROTHER » du Pop’Sciences Forum « !Avec au programme, un plateau radio autour du BIG DATA EN VILLE avec Hervé Rivano, Sonia Ben-Moktar et Marine Albarede ; suivi d’un ciné-débat intitulé « IS BIG DATA WATCHING US ? » Plus d’informations sur la page de l’événement.
[[Pop’Sciences Forum] Réinventer nos déplacements Une journée pour petits et grands. Imaginez les scénarios d’évolution du territoire, des infrastructures et des pratiques de la ville.Nous proposons de penser de nouvelles interactions entre les habitants, leurs déplacements, les modes de transports disponibles et les aménagements urbains à venir. Dans un contexte métropolitain et de numérisation croissante, comment une ville comme Rillieux-la-Pape peut-elle effacer ses frontières et ses aménagements ségrégants qui contraignent les mobilités, cloisonnent les quartiers et leurs habitants ? Quels leviers actionner pour de nouvelles mobilités plus durables et participant d’un meilleur “vivre-ensemble” ? Cet événement veut permettre de changer le regard des habitants et des usagers sur leur propre territoire et ainsi participer à l’appropriation collective de l’avenir de leurs environnements de vie.PROGRAMMEÀ PARTIR DE 14H30 | Labs, ateliers LES ATELIERS SONT ANNULÉS !———-16H30 | Balade urbaine. Quels aménagements pour quelle mobilité à Rillieux, demain ? Départ du cinéma ! Accompagnée des aménageurs du territoire rilliard, de deux comédiens et d’un médiateur scientifique.Organisée par le Grand Projet Ville de Rillieux.———-18H30 | Pop’Cast (émission radio participative)3 UTOPIES POUR LA MOBILITÉ DE DEMAINLes innovations technologiques et les nouveaux usages des modes de transports explosent (vélo libre service, véhicules autonomes, applications de transports partagés, GPS communautaires…). Ces innovations sont-elles réellement en phase avec les attentes de tous les usagers ? Ceux du centre-ville autant que ceux des périphéries ou des campagnes ? Osons un triple regard sur 3 autres formes d’innovations qui pourraient peut-être bien révolutionner nos mobilités : la dé-mobilité, les transports gratuits et le retour au village urbain.Animation : Matthieu Adam, post-doctorant (Laboratoire Aménagement Économie Transports, LabEx Intelligences des Mondes Urbains)Invités : Nathalie Ortar, anthropologue, directrice de recherche (Laboratoire Aménagement Économie des Transports, ENTPE); Emmanuel Ravalet, docteur en économie des transports et en études urbaines (Université de Lausanne) et chef de projet (Mobil’Homme); Florence Paulhiac, urbaniste et professeure (Université du Québec à Montréal)———-20H00 – 20h30 | ThéâtrePORTRAIT DE RILLIEUX LA PAPEUne balade, le théâtre de la ville… Un comédien, une comédienne, se promènent à Rillieux-la-Pape, sentent le vent, touchent le béton, rencontrent, discutent, voient les habitants, juste le temps de passer, puis d’aller ailleurs, au prochain tournant, au prochain brin d’herbe, arrêt de bus, boutique, entreprise. Et emportent tout sur la scène, et le public ébahi va avec eux !… La balade, quelle comédie.Par le Collectif X———-20H30 – 22H00 | Ciné-débatLES IMAGINAIRES CINÉMATOGRAPHIQUES DES MOBILITÉS DE DEMAINExtraits choisi des films Zootopia, Koyanisqatsi, High rise et Waterworld.La mobilité est le carburant des villes. Elle est ce flux incessant qui fait que nos cités fonctionnent et peuvent “tourner”. Le cinéma a largement participé à symboliser des cités fictives, utopiques ou non, qui dessinent les contours des imaginaires urbains et qui sont autant de pistes de réflexion pour construire cette fameuse ville de demain.Invité : Geoffrey Mollé; doctorant en géographie urbaine à l’Université Lyon 2 (Laboratoire Environnement Ville société),
[[Pop’Sciences Forum] S’emparer des lieux de la cité Une journée pour reconsidérer notre manière d’habiter, de se réapproprier la cité, de partager les quotidiens et de mieux vivre ensemble dans nos quartiers.Au cœur de nos cités, se dessinent de nouveaux projets de lieux pour encourager l’intelligence collective et l’ouverture sur l’extérieur. D’un côté, les initiatives militantes telles que le squat ou les Z.A.D restent en dehors des girons réglementaires et affichent des intentions alternatives et expérimentales d’innovation sociale. De l’autre, des initiatives soutenues ou consenties par les collectivités fleurissent : tiers-lieux, espaces de coworking, potagers communautaires, makerspace, cantines partagées… Ces “lieux” sont dans leur ensemble prétextes à susciter des débat, des moments de co-création ou de partage. Ils ambitionnent de pousser les habitants à devenir des acteurs de la cité … et non ses victimes. Ces expressions de l’innovation sociale sont-elles si nouvelles ? Participent-elles réellement de l’amélioration du vivre-ensemble ? Prenez place au cœur des Halles du Faubourg, un de ces nouveaux lieux hybrides, dont l’occupation est temporaire.PROGRAMME19H00 | Pop’Cast (émission radio participative)HABITER DEMAIN. OPPORTUNITÉS ET LIMITES DU LOGEMENT COLLABORATIFCe plateau radio s’attache à rêver les prochains lieux de la cité et à penser notre manière de l’habiter. A quel modèle économique se rattacher, entre les objectifs marchands du logement classique et les aspirations collectives et non-marchandes d’une partie des habitants ? Quel modèle social soutenir, en évitant les effets de communautés et d’entre-soi ? Débats et réflexions sur nos manières d’habiter la ville et d’investir des lieux, à partir de retours d’expériences à Vienne, Lyon et ailleurs dans le monde.Invités : Guillaume Faburel, géographe et professeur des universités (Université Lyon 2, Laboratoire Triangle, École urbaine de Lyon), Aurore Meyfroidt, géographe (laboratoire PACTE; Labex Intelligences des Mondes Urbains)Animation : Samuel Belaud (Université de Lyon)———-20H30 | Talk-RencontreCOMMENT HACKER LA VILLE ? AU-DELÀ DU MURMURE DES GAFAM …À partir des nouveaux usages de la ville (vélos partagés, collectes de données, optimisation des mobilités, économies circulaires et de l’éphémère…) demandons-nous si “la ville à la demande” est une solution d’avenir ? Participera-t-elle à l’amélioration du vivre-ensemble ? Comment garder la main face à la montée en puissance des GAFAM sur les question de la gestion urbaine ? Google peut-il / doit-il gérer des villes ? (* GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft)Invité : Michel Lussault, géographe, professeur des universités (École normale supérieure de Lyon) et Directeur de l’École Urbaine de Lyon———-09H00 – 18H00 | Atelier créatifIMAGINER LES FUTURS LIEUX DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUEOù seront les laboratoires de recherche en 2050 ? Comment concrétiser l’ambition des sciences citoyennes dans nos villes de demain ? Avec qui les chercheurs devront-ils conjuguer leurs travaux ? >> Plus d’informations et inscriptions ici
[[Pop’Sciences Forum] Les labos dans la ville de demain Où seront les laboratoires de recherche en 2050 ? Comment concrétiser l’ambition des sciences citoyennes dans nos villes de demain ? Avec qui les chercheurs devront-ils conjuguer leurs travaux ?@Jesse OrricoÉtudiants, citoyens, chercheurs, associations, start-ups, vous êtes conviés à prototyper un tiers-labo idéal, à penser l’avenir d’une recherche scientifique plus ouverte et à expérimenter une méthodologie créative qui laisse la part belle à la coopération. Il s’agira d’imaginer ce lieu (ou ces lieux?) leur gouvernance, leur organisation, les usages et équipements associés. Quelles interactions penser avec les autres parties prenantes de sciences dites participatives ? A quelles règles et modes de fonctionnement se tenir ?A la différence d’un hackathon ou d’un concours classique, les groupes ne produiront pas de prototypes « concurrents ». Cette journée a pour objectif de définir un « commun »; une maquette, une présentation et une vision collaborative de ce à quoi devrait se destiner la recherche scientifique. Les conclusions de cet effort d’intelligence collective seront ouverts et partagés. Ils seront destinés à enrichir les réflexions d’une large communauté d’acteurs qui s’interrogent sur le modèle de la recherche scientifique de 2050.Inscrivez-vous ! (Formulaire ci-contre)Après l’atelier, participez à la soirée d’ouverture du Pop’Sciences Forum « Du squat aux fablabs, s’emparer des lieux de la cité » !Avec au programme, un plateau radio autour du logement collaboratif avec Guillaume Faburel et Aurore Meyfroidt ; suivi d’une rencontre avec Michel Lussault intitulée « Comment hacker la ville? Au-delà du murmure des GAFAM…« .Plus d’informations sur la page de l’événement. Découvrez tous les autres rendez-vous dePop’Sciences Forum
PPop’Sciences Forum #2 CCitoyens, la ville de demain Nous appartient !PROGRAMMATION | INTERVENANTS | AFFICHE | PROGRAMME PDFNos collectivités développent massivement des stratégies de “smart-city”, de “e-city” ou encore de “learning-city”, au service de villes dites plus intelligentes, flexibles et optimisées par le numérique. Dans le même temps des initiatives citoyennes fleurissent massivement dans nos quartiers, au sein desquels les habitants participent à la fabrique de leurs cités et mettent en œuvre de nouveaux usages ou de nouvelles pratiques sociales.Cette édition du Pop’Sciences Forum s’intéresse à ces nouveaux phénomènes de transformation de la ville et de la citoyenneté, encouragés par le développement du numérique. Nous sollicitons des expertises en urbanisme, en sociologie, en architecture, en informatique ou encore en sciences politiques, pour découvrir, débattre et imaginer la place que les citoyens peuvent avoir dans cette ville de demain. Entre habitants, travailleurs, chercheurs, aménageurs, élus et artistes, nous ouvrons 4 journées de débats. 4 chantiers éphémères de réflexions et de débat à propos de l’avenir des lieux de la cité, des formes d’habitabilité, de la mobilité, du big data, ou encore de la nuit.La ville intelligente est une ville où le numérique nous invite à réinventer notre rapport à la cité, aux temps, aux espaces, aux connaissances et aux autres … Quelles opportunités pouvons-nous saisir pour mieux optimiser nos déplacements, nos interactions, notre bien-être, le coût de la ville, sa durabilité et sa gouvernance ?POSONS LES BASES DU MÉTIER DE CITOYEN DE DEMAIN, IMAGINONS UNE VILLE INTELLIGENTE – OU PAS SI BÊTE – QUI ASSOCIE LE NUMÉRIQUE À D’AUTRES FORMES D’INNOVATIONS SOCIALES ET CULTURELLES. > Pour aller plus loin, ne maquez pas :Pop’Sciences Mag#2 HACKER LA VILLE. Quand les citoyens réinventent la citéHackerspaces, cantines solidaires, boutiques des sciences, transport partagé, boîtes à livres, squats… La cité doit désormais conjuguer avec des initiatives citoyennes innovantes, de nouveaux usages et de nouveaux services directement inventés par des usagers.
IIntervenants PROGRAMMATION | AFFICHE | PROGRAMME PDFAurore Meyfroidt Docteure en Géographie (ENS Lyon – Université de Vienne) et agrégée de géographie, Aurore Meyfroidt a rejoint le laboratoire PACTE en juin 2017, en tant que post-doctorante dans le cadre du programme INTERREG Alpine Space. Elle est également membre de la Chaire “Habiter Ensemble la Ville de Demain” du Labex Intelligences des Mondes Urbains.Le Collectif X est une compagnie stéphanoise créée en 2013. Ses membres sont principalement issus de l’École de la Comédie de Saint-Étienne et de l’ENSATT, mais viennent également d’autres horizons. La permanence de l’équipe, la haute fréquence du travail – à raison de plusieurs créations par saison – fondent la force de ce groupe et dessinent naturellement, au fil du temps, une ligne artistique commune.Emanuele Giordano Chercheur en géographie et aménagement associé au laboratoire LATTS et enseignant à l’École d’Urbanisme de Paris. Après avoir travaillé comme chercheur à l’Université de Venise, il a rejoint l’Université de Montpellier en 2013 où il vient de soutenir sa thèse de doctorat en géographie et urbanisme. Les recherches d’Emanuele Giordano portent sur les conflits temporels (entre fêtards et résidents à Barcelone par exemple), ainsi que sur les usages, l’aménagement et le tourisme nocturne. Il participe au projet SMARTNIGHT, financé par l’Agence Nationale de la Recherche qui étudie la vie nocturne de 4 villes françaises, dont Lyon.Emmanuel Ravalet Titulaire d’un doctorat en Economie des Transports de l’Université de Lyon et d’un PhD en Études Urbaines de l’INRS-UCS, Montréal, Emmanuel Ravalet est chercheur à l’Université de Lausanne et chef de projet dans le bureau d’étude Mobil’Homme. Il travaille sur les comportements de mobilité quotidienne des citadins et les nouveaux services à la mobilité.Florence Paulhiac Professeure au Département d’études urbaines et touristiques au sein de l’École des Sciences de la gestion, à l’Université du Québec à Montréal, Florence Paulhiac avait auparavant exercé comme maître de conférences à l’Institut d’urbanisme de Grenoble. Elle est titulaire de la Chaire de recherche In.SITU (ESG UQAM) et accueillie pendant 6 mois à Lyon dans le cadre du Collegium de Lyon.Frédéric Le Mouël Maître de Conférence à l’INSA de Lyon (Département Télécommunications Services et Usages) depuis septembre 2004. Il enseigne actuellement dans les cours de programmation autour du langage Java, de Modélisation et Génie Logiciel, ainsi que dans les cours sur les architectures Internet et les « Middlewares ». Par ailleurs, il exerce ses activités de recherche au sein du laboratoire CITI.Geoffrey Mollé Doctorant en géographie urbaine à l’Université Lyon 2 (Environnement Ville société), sa thèse est intitulée : “Habiter le paysage, caractérisation et ethnographie du retour des tours résidentielles dans les villes françaises”. Geoffrey Mollé s’attache à questionner les formes et les modes d’habiter de la ville contemporaine.Guillaume Faburel Après avoir été chercheur invité au Massachusetts Institue of Technology, puis nommé Maître de conférences à l’Université Paris Est, il a rejoint l’Université Lyon 2 en 2012 en tant que professeur, et enseigne également dans les Instituts d’Etudes Politiques de Lyon et de Rennes. Chercheur à l’UMR Triangle, il y est responsable de l’Axe Etudes Urbaines. Il est par ailleurs membre du comité de direction de l’Ecole urbaine de Lyon et coordonne le master Ville et environnements urbains.Hélène Foglar Responsable, pendant près de 20 ans, du pôle veille écologique à la FRAPNA Isère (Fédération Régionale de Protection de la Nature et de l’Environnement), Hélène Foglar s’est forgé une solide expertise autour de la question de la pollution lumineuse, notamment au travers de la conception d’un guide en ligne à destination des communes.Depuis quelques mois elle développe une nouvelle activité de conseil et de formation sur la pollution lumineuse avec Athena-Lum.Jean-Michel Deleuil Professeur des universités en géographie, aménagement & urbanisme à l’INSA de Lyon, il est également chercheur au laboratoire Triangle. Issu de la géographie urbaine et sociale, il s’est intéressé aux stratégies, aux pratiques et aux représentations des villes la nuit. Ses recherches portent sur les relations entre la fabrique et la pratique de la ville, ou comment se rencontrent les logiques de production des dispositifs techniques urbains et les usages sociaux.Les Non Alignés Des artistes, des scientifiques, des écrivains, des techniciens, rassemblés en compagnie de théâtre. Ils sont issus de l’ENSATT, de la Comédie de St-Etienne, du cours Florent, de l’INSA de Lyon, du CERN, de l’EPFL, de l’Ecole Normale Supérieure, et se retrouvent pour créer des objets théâtraux singuliers.Marie-Cécile Paccard Designer, elle se définit comme “systémique, facilitatrice, oratrice, mentor, moteur d’écosystèmes, écoféministe intersectionnelle”. à partir de son expérience et avec une approche originale, elle donne à interpréter et comprendre la complexité du réel. Autant à propos du burnout que de l’anthropocène.Marie Bonte Docteure en géographie, elle a soutenu sa thèse intitulée “Beyrouth, états de fête. Géographie des loisirs nocturnes dans une ville post-conflit” en 2017 à l’Université Grenoble-Alpes. Marie Bonte enseigne désormais à l‘Université Jean Moulin – Lyon 3 et est membre du Laboratoire EVS (Environnement, Ville, Société).Marine Albarede Diplômée en sciences politiques et urbanisme, Marine Albarède s’intéresse aux enjeux du développement du numérique au sein de la société. Elle a été chef de projet à la Fondation Internet Nouvelle Génération pendant plusieurs années et est aujourd’hui chargée de développement innovation, numérique et data au sein de la SCOP La Péniche.Matthieu Adam Membre du Laboratoire Aménagement Économie Transports (LAET) et du LabEx Intelligences des Mondes Urbains, Matthieu Adam est Post-doctorant de l’Université de Lyon sur le projet Véléval “Évaluation de la praticabilité à vélo des espaces urbains”, ses recherches visent à comprendre les dynamiques territoriales à partir des expériences, pratiques et représentations de leurs acteurs.Michel Lussault Agrégé de géographie en 1983, maître de conférences à l’université de Tours en 1992, professeur des universités en 1997 dans la même université. Depuis 2008, il est professeur à l’École normale supérieure de Lyon. Michel Lussault est le Directeur de l’École Urbaine de Lyon, qui vise à développer des recherches et formations doctorales sur les questions d’urbanisation mondiale à l’époque de l’entrée dans l’anthropocène.Nathalie Ortar Anthropologue, Directrice de recherche au Laboratoire Aménagement Économie des Transports (LAET) à l’ENTPE. Elle a obtenu sa thèse en 1998 et a été chercheure émérite invitée à l’Université San Jose (Etats-Unis) en 2010-2011. Depuis elle inscrit l’anthropologie de l’habiter au coeur de ses recherches. Nathalie Ortar aborde la question du développement durable et de l’énergie au travers d’une anthropologie du quotidien et de la culture matérielle.Sonia Ben Mokhtar Chercheuse au Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’information depuis octobre 2009, elle est à la tête de l’équipe “Distribution et Recherche d’Information, Mobilité”. Sonia Ben Mokhtar a d’abord obtenu son doctorat en 2007 à l’Université Pierre et Marie Curie, puis été chercheuse associée à l’University College London (UCL) pendant deux ans.Thierry Lengagne Chercheur à l’Université Lyon 1 au Laboratoire d’Ecologie des Hydrosystèmes Naturels et Anthropisés (LEHNA), Thierry Lengagne est spécialiste des systèmes de communication chez les animaux. Il s’intéresse notamment aux conséquences des activités humaines (lumière, bruit, expositions nucléaires…) sur la faune sauvage.