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EN SAVOIR PLUS

Exposition digitale « Prendre soin de soi et prévenir les risques de cancer »

EExposition digitale « Prendre soin de soi et prévenir les risques de cancer »

40 % des cancers pourraient être évitables par un changement des comportements. L’exposition « Prendre soin de soi et prévenir les risques de cancer » a comme objectif principal de sensibiliser les 15-25 ans sur la prévention de cancers.

Composée de 12 visuels, l’exposition présente les différents facteurs de risque de cancer sur lesquels nous pouvons agir comme l’alcool, le tabac, certains virus, l’alimentation, la sédentarité, le soleil, la pollution…

Ce travail résulte de la digitalisation des différents contenus d’une exposition physique menée en 2018, dans une démarche de co-construction avec des jeunes de la région afin de prendre en compte leurs représentations et leurs attentes vis-à-vis d’un dispositif digital de prévention du cancer.

 

>> Retrouvez l’exposition :

Centre Léon Bérard

Deux jeux pédagogiques Made in AURA pour sensibiliser à la transition énergétique

DDeux jeux pédagogiques Made in AURA pour sensibiliser à la transition énergétique

SuperGrid Institute et plusieurs entités éducatives du territoire Auvergne-Rhône-Alpes se sont regroupés pour
développer deux activités pédagogiques afin de sensibiliser les jeunes élèves, ainsi que les travailleurs en reconversion professionnelle, à la transition énergétique et aux métiers de demain. Ces outils sont maintenant à disposition des Académies et des organismes de formation professionnelle.

Ces deux activités ont été développées en premier lieu par SuperGrid Institute pour ses participations à la Fête
de la Science. Elles ont été mises à niveau au sein du consortium et grâce au soutien de La Région Auvergne
RhôneAlpes et de l’État à travers les Directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités
(DREETS). Le projet a duré deux ans et vient d’aboutir.

  • SURVIVAL GAME

Un jeu de survie durant lequel les joueurs ont 25 minutes pour sauver la planète du réchauffement climatique ! Ils intègrent peu à peu les énergies renouvelables dans le réseau en résolvant une série d’énigmes ludiques permettant de mieux comprendre le pilotage d’un réseau et le mix énergétique.

Le Survival Game sera installé à l’Institut Gaston Berger où les étudiants, formés à son animation, pourront réaliser des actions de sensibilisation fréquentes aux métiers en tension et liés à la transition énergétique.

  • LA BELLE ÉQUIPE

Un jeu de plateau collaboratif qui met en lumière la palette de métiers qui s’offrent aux élèves au sein de la transition énergétique et la diversité des parcours de formation. Dans le contexte d’une entreprise industrielle, les joueurs endossent chacun un rôle et travaillent ensemble pour construire un disjoncteur – un équipement indispensable
pour la protection du réseau électrique.

Des enseignants et encadrants de l’Académie de Lyon et de Grenoble ont été formés à l’animation du jeu La
Belle Équipe pour l’utiliser avec leurs élèves et les aider dans leur travail orientation. 

>> Le jeu est téléchargeable en ligne pour être utilisé par le plus grand nombre : La Belle Équipe

Des organismes de formation continue – Missions locales, Pôle Emploi – ont également été formés afin que le jeu « La Belle Équipe » puisse aussi bénéficier aux personnes en reconversion professionnelle ou en recherche d’emploi.

Projet financé dans le cadre du projet CPER « Transition zéro carbone : sensibiliser et informer sur les métiers en transformation » (Contrat de Plan ÉtatRégion 20152020). Les membres du consortium sont : SuperGrid Institute (porteur du projet), le Campus des Métiers et des Qualifications Smart Energy Systems, les académies de Grenoble et de Lyon, Tenerrdis et l’Institut Gaston Berger (INSA Lyon).

En savoir plus :

SUPERGRID INSTITUTE

PPour aller plus loin

Fête de la science 2019 / ©Vincent Noclin – Université de Lyon

Toucher pour croire au volume !

TToucher pour croire au volume !

Fin janvier 2021, la BU Lyon 1 a donné carte blanche à Christian Mercat de l’IREM, Institut de recherche sur l’enseignement des mathématiques de Lyon, pour présenter ses travaux de recherche sur les problématiques de popularisation, d’éducation et de didactique des mathématiques.

Angle, surface, volume, tout s’éclaircit !

PPour en savoir plus

Consultez le site de l’IREM de Lyon vous y trouverez les liens vers le matériel pédagogique et les jeux mathématiques présentés par Christian Mercat :

IREM de Lyon

Biologie et maladies infectieuses

BBiologie et maladies infectieuses

Le musée de sciences biologiques Dr Mérieux est dédié à la biologie, et à la lutte contre les maladies infectieuses. Il raconte comment les femmes et les hommes ont appris à connaitre les microbes, et à lutter contre les maladies que ces micro-organismes peuvent occasionner, par le diagnostic, la vaccination et les thérapies.

Ce musée raconte l’aventure des Mérieux, une famille de scientifiques pionniers tournés vers la santé publique mondiale, dont l’histoire a commencé à Lyon en 1897, puis s’est poursuivie à Marcy l’Etoile en 1917, un petit village de l’Ouest lyonnais devenu aujourd’hui un pôle majeur dans la lutte contre les maladies infectieuses.

Ancré dans le monde d’aujourd’hui et tourné vers le futur, le musée présente les grands enjeux de santé mondiaux. Il veut sensibiliser tous les publics, et particulièrement les jeunes pour qu’ils deviennent acteurs de leur santé, en comprenant mieux les microbes et ainsi mieux lutter contre les maladies infectieuses.

Le musée de sciences biologiques Dr Mérieux s’inscrit résolument dans l’actualité scientifique et médicale en proposant en concertation avec le conseil scientifique du musée des expositions temporaires, des animations et conférences sur les grands enjeux actuels de santé publique.

Les conférences proposées, en live ou en présentiel tout au long de l’année, sont enregistrées et disponibles sur la chaîne Youtube du musée.

  • Thématiques abordées : pandémies, zoonoses, coronoviroses, Covid-19, maladies émergentes…

>> Voir ou revoir les conférences :

Musée de sciences biologiques

 

Exemple de vidéo : Les pandémies

 

Anatomie en 3D

AAnatomie en 3D

Anatomie 3D / ©Université Claude Bernard Lyon 1

Quand les images parlent mieux que les mots

On dit souvent qu’un croquis vaut mille mots. Mais un croquis montre un espace en deux dimensions. Combien vaut alors un croquis animé en 3 dimensions… ?

Le projet ISTR-Anatomie 3D Lyon 1 répond à cette question. Basé sur la technologie 3D, il démontre que des images animées permettent de substituer un discours graphique à un discours verbal. Il a donc pour objectif de lutter contre l’échec et de de faciliter l’apprentissage et l’enseignement de l’anatomie fonctionnelle de l’appareil locomoteur.

Les ressources 3D peuvent être utilisées en présentiel, distanciel, hybride ou en classe inversée. Ce projet est porté depuis 2008 par l’Institut des Sciences et Techniques de la Réadaptation grâce à une collaboration exemplaire avec le service Innovation Conception et Appui pour la Pédagogie (iCAP) de l’université Lyon 1.

Une ingénierie pédagogique innovante, un programme d’anatomie 100% 3D

L’anatomie fonctionnelle est une discipline fondamentale pour de nombreuses formations. L’objectif est de montrer l’intérieur du corps humain en fonctionnement ou lors d’un mouvement en utilisant la technologie 3D, une technologie performante validée par des travaux de recherche.

Ainsi, les os, ligaments, muscles, par exemple, d’abord créés par les infographistes, sont ensuite animés suivant un scénario écrit par les enseignants, aboutissant à une animation (ou vidéo) 3D. Elle décrit, au sein d’un espace en trois dimensions, des formes géométriques, leurs rapports, leurs déplacements dans l’espace et les conséquences de ces déplacements. La compréhension s’appuie sur la création d’images mentales à partir d’une perception de l’espace bien structurée.

La 3D, une technologie performante validée par des travaux de recherche

Utiliser une nouvelle technologie dans l’enseignement n’est pas un gage de réussite. Mais les jeunes apprenants sont familiarisés avec cette technologie grâce aux jeux vidéo et ils devinent a priori son intérêt dans l’apprentissage. Quel que soit le mode d’enseignement, les évaluations des étudiants – avant ou après la formation – plébiscitent cette technologie.

Grâce à une scénarisation s’appuyant sur les difficultés des « non-initiés », la technologie 3D permet de pallier des difficultés à conceptualiser des formes géométriques, leurs rapports, leurs déplacements dans l’espace et les conséquences de ces déplacements. Cette approche est étayée par des travaux de recherche qui ont été publiés : Une ingénierie pédagogique innovante.

FOVEA : une formation à distance accessible

FOVEA, pour Formation Ouverte par le Virtuel en E-Learning en Anatomie, rassemble les ressources 3D créées et permet de traiter un programme complet d’anatomie en hybride, distanciel et même en présentiel ou en classe inversée.

La Communauté Européenne (DG Emploi, Affaires Sociales et Inclusion) a décerné à FOVEA le prix « 2020 Special Award Distance and E-Learning ». Toutes les productions sont en accès libre et sous licence Creative Commons. De nombreux établissements de formation les utilisent.  > Apprenez l’anatomie fonctionnelle grâce à FOVEA

La 3D, remède miracle ?

Destinées aux formations des étudiants des filières médicales et paramédicales, ces vidéos d’enseignement de l’anatomie en 3D attirent un public beaucoup plus large que prévu… Mises à disposition de tous, ces ressources en accès libre permettent de comprendre très facilement comment fonctionne notre appareil locomoteur.

>> Pour chaque partie du corps humain, découvrez les vidéos réalisées  :

ANATOMIE 3D

> Un exemple de vidéo : La vertèbre cervicale

Passeport pour les 2 infinis

PPasseport pour les 2 infinis

©Dunod

L’opération Passeport pour les deux infinis, Ed. Dunod a pour objectif de permettre aux structures dédiées à l’enseignement ou à l’animation scientifique d’aborder les questions touchant à la recherche fondamentale. Elle permettra aux élèves ou aux étudiants des sections scientifiques une approche des domaines de l’astrophysique et de la physique des particules.

Les interactions entre l’infiniment grand et l’infiniment petit renvoient aux préoccupations communes des physiciens des particules et des astrophysiciens : les progrès de nos connaissances sur les origines de l’Univers à grande échelle permettent de mieux comprendre la structure de la matière à petite échelle, et réciproquement. Il s’agit aussi de mettre en évidence les rapports entre la recherche contemporaine et l’enseignement, d’enrichir mutuellement ces deux milieux par des échanges multiples.

Téléchargez le livre (gratuit) :

Passeport pour les 2 infinis

L’attention ça s’apprend ! | MOOC

LL’attention ça s’apprend ! | MOOC

L’attention dont la fonction est de sélectionner à chaque instant ce que le cerveau doit traiter en priorité est donc sursollicité, avec des conséquences de plus en plus fréquentes des difficultés de concentration et des manques d’attention.

Comme nous ne sommes pas près de revenir en arrière à un monde plus simple et moins sollicitant, mieux vaut comprendre ce qu’est l’attention et ses mécanismes biologiques, pour en déduire de bonnes pratiques permettant de revenir à plus de légèreté et de stabilité.

Ce MOOC est issu du projet ATOLE, programme de découverte et d’apprentissage de l’attention en milieu scolaire, pour apprendre l’ATention à l’écOLE, qui réunit des instituteurs.trices et chercheurs.euses autour de ces questions de l’attention.

Son objectif est d’aider l’élève à mieux comprendre son cerveau et les forces qui bousculent son attention au quotidien, et à apprendre à mieux réagir, non seulement en classe, mais également en dehors.

Scientifiques co-concepteurs du FunMOOC avec le Réseau Canopé :

  • Jean-Philippe Lachaux, Directeur de Recherche en Neurosciences Cognitives (Inserm – CRNL)
  • Bénédicte Terrier, Ingénieure Neurosciences, Pédagogie et Valorisation sociétale (CRNL)
  • Marion Recollon-Mingat, Psychologue-Neuropsychologue

Rejoindre le MOOC

SSéminaire en ligne

Inscrivez-vous au séminaire gratuit en ligne proposé par la Boutique des Sciences de l’Université de Lyon :

Mercredi 6 mai 2020 à 18h | Éduquer à l’attention : quand les neurosciences font de la recherche participative |

Examens : pour bien réviser, testez-vous !

EExamens : pour bien réviser, testez-vous !

Article paru dans The Conversation – 12/06/2019

Auteurs : Mathilde Lamotte, Université Clermont Auvergne; Céline Darnon, Université Clermont Auvergne et Marie Izaute, Université Clermont Auvergne

Quand on parle d’examens, de contrôles ou de devoirs, on pense aussitôt bulletins de notes, moyennes et admissions dans des formations. Mais si les tests sont un format pratique pour évaluer des performances, leur utilité ne s’arrête pas là. La recherche montre en effet qu’il s’agit d’outils particulièrement efficaces pour apprendre.

En effet, lorsque l’on est testé, on doit produire un effort de récupération en mémoire, c’est-à-dire qu’on doit rechercher activement, dans sa mémoire, l’information précédemment apprise pour la réactiver, la rendre accessible et mobilisable.

Les révisions telles qu’on les conçoit traditionnellement s’arrêtent souvent à la relecture d’un cours ou la rédaction d’une fiche, c’est-à-dire à une exposition plus ou moins fréquente au contenu à apprendre. Or, de nombreuses études ont mis en évidence que c’est justement l’effort de récupération, présent dans le test, non dans la répétition, qui améliore la capacité des individus à se rappeler ultérieurement les informations.

EEfforts de récupération en mémoire

Même si le test est un outil souvent méconnu des élèves, ses effets bénéfiques sont connus des chercheurs depuis longtemps. En 1992, une étude montrait déjà que les étudiant·e·s qui avaient été plus fréquemment testé·e·s sur du matériel à mémoriser (une série de 60 images) obtenaient de meilleures performances une semaine plus tard à une tâche de rappel de ces images.

Ainsi, les étudiant·e·s ayant bénéficié de trois tests immédiatement après la présentation du matériel se souvenaient de plus d’items que ceux n’ayant bénéficié que d’un seul test, lesquels se rappelaient plus d’items que ceux n’ayant pas bénéficié de test du tout. En outre, l’effet du test demeure bénéfique lorsque la performance des étudiant·e·s ayant suivi le test est comparée à celle d’étudiant·e·s s’étant contenté·e·s de révisions classiques.

Dans le même ordre d’idées, des recherches ont montré que, lorsqu’en révisant, on se pose la question « serais-je capable de répondre à cette question lors de l’examen ? », on réalise un « jugement d’apprentissage » qui implique de faire des efforts de récupération en mémoire pour y répondre.

Les études ont montré que ce « jugement d’apprentissage » pouvait s’avérer tout aussi efficace que le test, à condition de se poser la question après un petit délai, généralement de quelques minutes de l’apprentissage. Autrement dit, c’est bien l’effort de récupération en mémoire et non l’exposition répétée aux informations à retenir qui facilite l’apprentissage.

En résumé, se tester régulièrement représente un bénéfice direct indéniable sur l’apprentissage, particulièrement pour la rétention à long terme, au contraire d’une révision sous forme de répétition, dense et condensée, sans test, tel que le « bachotage », dont le contenu risque fort d’être oublié aussitôt l’examen terminé.

DDes erreurs bénéfiques

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, on ne retient pas mieux une information quand elle est facile ou simple à mémoriser. Quel que soit le degré de complexité d’un message, produire un effort est nécessaire pour favoriser un apprentissage de qualité, sur le long terme, c’est-à-dire au-delà de la journée voire plusieurs jours ou semaines après l’apprentissage. Alors, comment faire en sorte de rendre ses révisions efficaces ?

Prenons l’exemple d’un cours ou d’une matière dont on sait qu’il ou elle fera l’objet d’un contrôle de connaissance en fin de semestre ou trimestre, comme c’est le cas lors des examens à l’université ou des épreuves du baccalauréat ou du brevet.

  1. Au fur et à mesure des séquences d’enseignement, nous vous conseillons de vous créer, non pas des fiches de révision, mais des fiches de questions ou « tests » que vous pourrez utiliser lors de votre prochaine séance d’apprentissage.
  2. Ensuite, nous vous conseillons de faire autre chose pendant un moment (pause, travail sur une autre matière…). En effet, le délai est nécessaire pour que l’information soit stockée en « mémoire à long terme ».
  3. Puis, vous allez reprendre les questions créées dans la phase 1 et tout simplement essayer d’y répondre en faisant un véritable effort de récupération en mémoire.
  4. Enfin, vous pourrez reprendre le cours et les réponses données aux questions afin d’en faire une correction. Cette ultime étape permet d’étendre encore le bénéfice du test sur l’apprentissage.

Ce même processus peut être répété pour chaque cours ou leçon. Se tester ne prend donc pas plus de temps que de faire des fiches ou relire son cours. Pourtant, c’est une stratégie beaucoup plus efficace !

En outre, l’usage régulier de tests va présenter des bénéfices indirects. Par exemple, les recherches ont montré que le test permet aux élèves ou étudiant·e·s d’adapter leurs stratégies d’apprentissage ou révisions ultérieures, par exemple en choisissant de travailler préférentiellement les éléments les moins bien retenus.

Notons enfin, que cet usage du test consiste à le considérer comme un véritable outil d’apprentissage. Par conséquent, il ne faut pas craindre de faire des erreurs aux tests. Contrairement à ce que l’on peut parfois penser, les erreurs vont justement contribuer à l’apprentissage.The Conversation

Mathilde Lamotte, Docteure en psychologie cognitive et sociale, Université Clermont Auvergne; Céline Darnon, Professeure de psychologie sociale, Université Clermont Auvergne et Marie Izaute, Professeure de Psychologie Cognitive, Université Clermont Auvergne

 

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.

Lire l’article original

Musée de sciences biologiques Dr Mérieux | Dossier enseignant

MMusée de sciences biologiques Dr Mérieux | Dossier enseignant

Le musée de sciences biologiques Dr Mérieux propose des interventions pédagogiques pour les scolaires de la moyenne section au post-bac : les élèves découvrent le monde des microbes et l’importance de l’hygiène (mains et éternuements).

Le musée propose également des visites à Lyon sur la thématique de la santé et de l’hygiène

Vous pouvez les découvrir sur le lien ci-dessous :

Musée Dr Mérieux | Dossier enseignant primaire

Musée Dr Mérieux | Dossier enseignant collège

En quête d’histoire

EEn quête d’histoire

Que faire après des études en Histoire ?

Les études d’histoire ne débouchent pas exclusivement sur les métiers de l’enseignement, elles apportent un solide bagage culturel pour une insertion professionnelle réussie, qui conduit à de nombreux métiers du patrimoine, de la culture, de la documentation et des archives.

 

Les services d’information, d’orientation et d’insertion professionnelle (SCUIO-IP) des universités Lumière Lyon 2, Jean Moulin Lyon 3, Jean Monnet Saint-Étienne présentent un web-documentaire à destination des lycéen.nes et des étudiant.es apportant des clés pratiques et concrètes sur ce qu’est « faire des études en Histoire ».

En quête d’histoire – Université Lumière Lyon 2

Ce web-documentaire est composé de 29 vidéos pour lesquelles vous trouverez un complément d’information sur les descriptifs des formations en Histoire proposées par les 3 universités, les compétences acquises pendant les études d’Histoire, le métier exercé, l’insertion professionnelle des étudiant.es en Histoire …

 

En quête d’histoire