Pop’Sciences répond à tous ceux qui ont soif de savoirs, de rencontres, d’expériences en lien avec les sciences.

EN SAVOIR PLUS

Le biomimétisme pour ré-émerveiller les gens | Visages de la science

LLe biomimétisme pour ré-émerveiller les gens | Visages de la science

Saviez-vous que les technologies GPS s’inspiraient directement du comportement des fourmis ? Jean-Matthieu Cousin, ingénieur INSA Lyon, est chargé d’études industrielles au Ceebios, le centre d’expertise et d’études en biomimétisme en France. Sa mission ? Mobiliser le plus d’acteurs à prendre la voie du biomimétisme pour proposer des innovations durables. Passionné par le biomimétisme qu’il considère comme une vraie philosophie, il souligne l’importance de reconsidérer le vivant, de se reconnecter avec les écosystèmes qui nous entourent afin de s’en inspirer, mais surtout de les préserver. 

 

  • S’inspirer du vivant ou faire avec le vivant ?

« Beaucoup de mots gravitent autour de cette discipline : biomimétique, biomimétisme, bio-inspiration… In fine le dénominateur commun est qu’il s’agit surtout de s’inspirer du vivant pour innover », explique l’ingénieur. Mais plus encore, Jean-Matthieu Cousin considère que l’engouement autour du biomimétisme doit être également considéré comme un appel à challenger notre rapport au vivant.

  • L’inspiration, oui. Mais la préservation avant tout.

Santé, énergie, logement, mobilité, alimentation… Les organismes vivants et la nature deviennent depuis plusieurs années une source d’inspiration importante. Jean-Matthieu souligne l’importance de reconsidérer le vivant et les écosystèmes qui nous entourent afin de s’en inspirer, mais surtout de les préserver.

  • De l’importance de se reconnecter avec le vivant

« Apprenez de la nature, vous y trouverez le futur », avait dit Léonard de Vinci. Une vision que partage l’expert en biomimétisme et qui voit en la nature un formidable réservoir de la nature dont il est urgent de s’inspirer pour innover dans une perspective durable. « Je voudrais que ma discipline aille plus loin et invite les gens à reconsidérer le vivant différemment. Il est important d’aller au-delà d’une approche très utilitariste », confie-t-il au micro des « Cœurs Audacieux ».

 

Jean_Mathieu_CousinJean-Matthieu Cousin, diplômé du département de génie mécanique de l’INSA Lyon était l’invité du podcast « Les cœurs audacieux », un contenu audio proposé par l’INSA Lyon (Saison 2 – Épisode 8).

 

 

ÉCOUTER L’ÉPISODE

 

L’étrange familiarité des relations entre les humains et les singes au siècle des Lumières | Visages de la science

LL’étrange familiarité des relations entre les humains et les singes au siècle des Lumières | Visages de la science

Confluences des mondes de la recherche – Les entretiens du Collegium

Le Collegium de Lyon est un Institut d’études avancées (IEA) inscrit dans l’Université de Lyon, membre des réseaux français (RFIEA) et européens (NETIAS) des IEA. Il accueille des chercheurs habituellement en poste à l’étranger pour mener leur projet de recherche innovant pendant 5 à 10 mois.

Dans ce podcast, le Collegium revient sur le travail du chercheur en histoire moderne, Alan Ross. Titulaire d’une chaire de professeur en histoire des idées et pratiques éducatives à l’Université de Vienne en Autriche, est résident au Collegium pour cette année 2023-24. Il y mène des recherches sur les relations entre les humains et les singes au siècle des Lumières.

Il montre comment l’arrivée des premiers singes en Europe a suscité une insécurité ontologique dans les sociétés européennes, qui ont depuis cherché (sans y parvenir) à définir une séparation définitive entre l’humain et l’animal. L’histoire moderne des relations entre singe et humain serait ainsi une histoire de ce sentiment d’insécurité en tant qu’humain, mais aussi de notre position individuelle dans les hiérarchies humaines.

>> Lire l’article et écouter le podcast sur le site :

COLLEGIUM DE LYON

Émilie Du Châtelet dans la littérature clandestine du 18e siècle | Visages de la science

ÉÉmilie Du Châtelet dans la littérature clandestine du 18e siècle | Visages de la science

Confluences des mondes de la recherche – Les entretiens du Collegium

Le Collegium de Lyon est un Institut d’études avancées (IEA) inscrit dans l’Université de Lyon, membre des réseaux français (RFIEA) et européens (NETIAS) des IEA. Il accueille des chercheurs habituellement en poste à l’étranger pour mener leur projet de recherche innovant pendant 5 à 10 mois.

Dans ce podcast, le Collegium revient sur le travail de la philosophe Natalia Zorrilla Sirlin. Chercheuse au Conseil national de la recherche scientifique et technologique (CONICET) en Argentine, est résidente au Collegium pour cette année 2023-24.

Elle y mène des recherches sur les relations entre la littérature clandestine de la fin du 17e siècle – début du 18e siècle et l’œuvre d’Émilie Du Châtelet, une scientifique et philosophe (la distinction n’a pas grand sens à l’époque) française du 18e siècle. Émilie Du Châtelet est elle-même la seule femme identifiée comme autrice de textes clandestins à l’époque.

Pour analyser les textes du « siècle des Lumières », Natalia Zorrilla Sirlin fait notamment appel au concept de gynodicée. Il s’agit d’un néologisme forgé sur le modèle de la théodicée, la tentative de concilier l’existence d’un Dieu omniscient et omnipotent avec l’existence du mal. La gynodicée est donc une tentative de concilier la reconnaissance de l’égalité des droits entre les hommes et les femmes avec la permanence du patriarcat, ce système fondé sur la domination des femmes par les hommes.

Pour conduire cette recherche, Natalia Zorrilla Sirlin travaille notamment en collaboration avec Susana Seguin au sein de l’Institut d’Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités (IHRIM).

>> Lire l’article sur le site :

COLLEGIUM DE LYON

Les céramiques glaçurées témoignent des grands bouleversements du nord de la Mer Noire entre le 13e et le 15e siècle | Visages de la science

LLes céramiques glaçurées témoignent des grands bouleversements du nord de la Mer Noire entre le 13e et le 15e siècle | Visages de la science

Confluences des mondes de la recherche – Les entretiens du Collegium

Le Collegium de Lyon est un Institut d’études avancées (IEA) inscrit dans l’Université de Lyon, membre des réseaux français (RFIEA) et européens (NETIAS) des IEA. Il accueille des chercheurs habituellement en poste à l’étranger pour mener leur projet de recherche innovant pendant 5 à 10 mois.

Dans ce podcast, le Collegium revient sur le travail de Iryna Telenko, une archéologue et chercheuse à l’Institut d’archéologie de l’Académie nationale des sciences d’Ukraine, est résidente au Collegium pour cette année 2023-24.

Elle y mène des recherches sur les changements remarquables dont témoigne la culture matérielle du nord de la mer Noire entre la restauration de la domination byzantine à Constantinople en 1261 et la conquête de la région par les Ottomans dans le dernier quart du 15e siècle.

Spécialiste des céramiques médiévales, elle analyse les changements des modes de fabrication des poteries pour comprendre l’histoire des migrations et des interactions culturelles particulièrement riches dans cette région qui se situe au carrefour de l’Orient et de l’Occident. La Crimée, en particulier, est un territoire de rencontres et d’influences culturelles variées tout au long de son histoire, de l’Antiquité grecque puis romaine à la période moderne russe, soviétique et ukrainienne, en passant par le Moyen-Age byzantin, goth, mongol ou encore ottoman.

>> Lire l’article et écouter le podcast sur le site :

Collegium de lyon

Bertin Nahum : quand l’ingénierie sauve des vies | Visages de la science

BBertin Nahum : quand l’ingénierie sauve des vies | Visages de la science

Bertin Nahum fait partie des innovateurs les plus brillants de sa génération. Père des robots chirurgicaux made in France, ce visionnaire imagine la médecine de demain. Après avoir conçu un robot destiné à la chirurgie du genou, puis un deuxième pour la chirurgie du cerveau, cet ingénieur s’attaque aujourd’hui, avec un nouveau prototype, à la lutte contre le cancer du foie. Animé par la volonté de se sentir utile et de rendre l’acte chirurgical plus sûr, il s’efforce aussi de faire connaître au monde entier, l’excellence des technologies médicales françaises.

  • Réduire les aléas

« Quand j’ai commencé à travailler dans ce secteur-là, j’ai été très étonné de voir que la chirurgie était une discipline très artisanale. La robotique est en mesure de faire ce qu’elle a fait dans plein de secteurs de la vie quotidienne : réduire les aléas. Il ne s’agit pas de remplacer le praticien mais d’optimiser l’acte chirurgical en le rendant plus précis et plus fiable. »

  • Des robots révolutionnaires

Après avoir occupé des postes de terrain, Bertin Nahum a été confronté à la réalité et à la pratique sur la façon dont la technologie pouvait répondre aux besoins des chirurgiens. Visionnaire, il s’est fait père de robots chirurgicaux révolutionnaires. « Nos robots sont des outils intelligents. Ils utilisent des images pour planifier un acte chirurgical ; aident à la décision du praticien ; puis assistent la réalisation dans le geste à proprement dit. Ils utilisent de l’imagerie, de l’intelligence artificielle et de la robotique. »

  • De l’importance du made-in-France

« La prochaine révolution numérique se fera dans le secteur de la santé. Les robots et l’intelligence artificielle pénétreront dans ce secteur. Cependant, quand on touche à la santé de gens, il faut s’assurer que cette activité ne reproduise pas ce qu’il s’est passé jusque-là avec les GAFA. Il est important que l’Europe se saisisse du sujet. »

 

Portrait de Bertin Nahum

Diplômé de l’INSA Lyon, Bertin Nahum a été sacré quatrième entrepreneur high-tech le plus révolutionnaire du monde par la revue canadienne Discovery en 2012, juste derrière Steve Jobs, Mark Zuckerberg et James Cameron. Il était l’invité du podcast « Les cœurs audacieux », un contenu audio proposé par l’INSA Lyon (Saison 2 – Épisode 1).

 

ÉCOUTER L’ÉPISODE

 

 

Étude de la typologie linguistique dans la surprenante diversité des langues du Daghestan | Visages de la science

ÉÉtude de la typologie linguistique dans la surprenante diversité des langues du Daghestan | Visages de la science

Confluences des mondes de la recherche – Les entretiens du Collegium

Le Collegium de Lyon est un Institut d’études avancées (IEA) inscrit dans l’Université de Lyon, membre des réseaux français (RFIEA) et européens (NETIAS) des IEA. Il accueille des chercheurs habituellement en poste à l’étranger pour mener leur projet de recherche innovant pendant 5 à 10 mois.

Dans ce podcast, le Collegium revient sur le travail de Michael Daniel :  » Etude de la typologie linguistique dans la surprenante diversité des langues du Daghestan ».

Ce linguiste qui a enseigné la linguistique à l’Université Higher School of Economics (HSE) de Moscou jusqu’en 2022, est résident au Collegium pour cette année 2023-24. Il y mène des recherches sur la typologie linguistique, notamment la morphosyntaxe, et étudie les variations linguistiques dans le cadre des contacts de langues, en particulier avec les langues du Caucase.

Son terrain de recherche se situe au Daghestan, une région située tout au sud de la Russie, dans les montagnes du Caucase, avec à l’Est, la mer Caspienne. C’est une région surprenante par sa grande diversité linguistique : alors qu’elle est à peine plus grande que la région Rhône-Alpes – sans l’Auvergne –, on y parle une quarantaine de langues issues de familles linguistiques distinctes (nord-caucasienne, sud-caucasienne, altaïque, indo-européenne).

>> Lire l’article et écouter le podcast sur le site :

Collegium de Lyon

 

Questions de société

QQuestions de société

La Bibliothèque Universitaire Jean Moulin Lyon 3 a initié un cycle annuel de conférences-débats dédiées aux questions de société, animées par des enseignants-chercheurs de l’Université Jean Moulin Lyon 3. Durant ces podcasts, les enseignants-chercheurs sont invités à présenter leurs travaux, avec un format d’1h15 suivi de 15 minutes de questions.

Cette série de conférences offre une opportunité unique d’explorer et de discuter des enjeux actuels de la société, présentés par des experts de l’université. Nous vous convions à participer à ces rencontres enrichissantes, où des chercheurs passionnés aborderont des thèmes variés.

Venez élargir vos horizons en découvrant ces discussions stimulantes qui encouragent la réflexion sur notre monde en constante évolution.

>> Retrouvez tous les podcasts sur la page :

BU Jean Moulin Lyon

>> A retrouver également leur chaîne YouTube :

Youtube Lyon 3

L’entrepreneure qui soulage les patients en prenant le pouls du terrain | Visages de la science

LL’entrepreneure qui soulage les patients en prenant le pouls du terrain | Visages de la science

Comment peut-on construire des systèmes de santé qui prennent davantage en compte le vécu et l’expérience du patient ?  Comment fluidifier l’accès à l’information pour les patients, assurer un meilleur suivi à la sortie de l’hôpital ou digitaliser les dossiers médicaux ? En promouvant une santé innovante, humaine et optimiste, Iris Roussel œuvre depuis maintenant 6 ans pour améliorer le parcours santé des patients.

Diplômée de l’INSA Lyon, cette entrepreneure conseille les établissements de santé, territoires et laboratoires pharmaceutiques notamment, en leur proposant des solutions innovantes pour rendre le quotidien des patients plus doux, en alliant ses savoir-faire d’ingénieure et de designer.

  • Rendre la vie des malades plus douce

Si Iris Roussel s’est lancé dans l’aventure entrepreneuriale, c’est à la suite d’une expérience personnelle où dans un parcours complexe, elle a eu la fâcheuse impression de n’être « qu’un numéro dans un dossier médical ». « Il est nécessaire d’être davantage à l’écoute des patients et de leurs proches pour modéliser des parcours, des expériences et des suivis de santé. En favorisant la fluidité de l’information, la compréhension de la pathologie et le suivi, on peut réduire la difficulté du parcours qui est aujourd’hui un parcours du combattant, à traverser en plus de l’expérience de vie compliquée que vous êtes en train de vivre en tant que patient ou de proche aidant », explique-t-elle au micro des « Cœurs Audacieux ».

  • Mettre le patient au cœur du parcours de santé

« On a beaucoup de retard en France sur le parcours patient, mais on a aussi de très beaux projets mais il faut nuancer, car les choses ont beaucoup évolué ces dernières années. Aujourd’hui, il y a un grand mouvement international sur la prise en compte de l’expérience du patient, ce que l’on appelle le ‘partenariat-patient’. »

  • Écouter les besoins du terrain

Le principe de « soigner-ensemble » est primordial pour Iris Roussel. Avec son entreprise Osiris Santé, l’ingénieure et designer travaille en co-construction avec les patients, les familles, les professionnels de la santé et les collectivités. « Dans la plupart des établissements de santé, les gens travaillent trop en silo. Or, cela entraîne des points de rupture dans le parcours de santé car il y a beaucoup d’acteurs intervenants. (…) Pour faire changer les choses, il faut travailler d’après l’humain. »

 

Portrait d'Iris Roussel

Diplômée de l’INSA Lyon, Iris Roussel était l’invitée du podcast « Les cœurs audacieux », un contenu audio proposé par l’INSA Lyon (Saison 1 – Épisode 3).

 

>> Écoutez l’épisode sur le site :

ausha

Ricochets, les podcasts de La Rotonde

RRicochets, les podcasts de La Rotonde

En 2023, La Rotonde (centre de culture scientifique) monte le son et lance Ricochets, des podcasts aux formats divers pour faire rebondir les sciences !

Pour faire rebondir les sciences et permettre aux cercles qu’elles forment pour élargir nos connaissances, La Rotonde a lancé Ricochets. Des podcasts qui au fil de l’eau inviteront les auditeurs à comprendre, questionner et débattre de sujets qui nous concernent toutes et tous dans leurs liens et leurs impacts entre les sciences et la société.

Émissions disponibles sur toutes les plateformes de podcast (Spotify, Apple Podcast, Amazon Music, Google Podcasts, etc.).

Émission #1 – Enjeux environnementaux et urgence climatique

La première émission se déroulait en public avec comme thème : Enjeux environnementaux et urgence climatique. Quelles priorités pour la recherche ? Quels sont les rôles des chercheurs ? Quelle formation pour les futurs ingénieurs ? Des questions venues engager les échanges entre les trois invités présents, des chercheurs de l’École :

  • Natacha Gondran, enseignante- chercheure en évaluation environnementale au Département Génie de l’Environnement et des Organisations de l’Institut Henri Fayol et déléguée au développement durable de Mines Saint-Étienne
  • Jean-Michel Herri, professeur et directeur du Centre SPIN (Science des Processus Industriels et Naturels) de Mines Saint-Étienne
  • Krzysztof Wolski, directeur adjoint de Mines Saint-Étienne, en charge des formations.

Le tout, agrémenté par des chroniques, préparées et présentées par l’équipe de La Rotonde.

RICOCHETs L’ÉMISSION #1

 

Émission #2 –  Intelligence (s)

« Pour vous, c’est quoi l’intelligence ? » Quand on pose cette question, les humains, forcément, parlent d’eux. Mais l’intelligence est-elle partagée par d’autres domaines du vivant, de la cellule à l’animal en passant par le végétal ? Et quand l’intelligence devient artificielle, sur quoi se base-t-elle ? Et menace-t-elle celle, toute humaine, qui l’a construite ?

Intervenants :

  • Florence Levréro, éthologue spécialisée en primatologie et bio-acoustique du laboratoire ENES de l’Université Jean Monnet,
  • Olivier Boissier, directeur de l’Institut Fayol de l’École des Mines, chercheur en informatique et chercheur au LIMOS UMR CNRS 6158)
  • Jacques Roux , sociologue et commissaire de l’expo « Génial ! ».

Des échanges ponctués de « micro-expo » et de chroniques préparées et présentées par l’équipe de La Rotonde.

Ricochets l’émission #2

 

Émission #3 – Les futurs de la santé

Entre dispositifs technologiques médicaux et réorganisation des soins primaires, quels défis d’aujourd’hui dessinent le futur de la santé ? Comment la médecine négocie-t-elle ce grand écart entre d’un côté une numérisation et une technologie médicales de plus en plus pointues dont elle dispose et de l’autre, des territoires ou des conditions qui éloignent certains patients du soin ? Quelles réponses et quel accompagnement un centre de recherche en ingénierie de la santé peut-il apporter ? Et face aux enjeux liés aux bouleversements climatiques, comment le corps, placé dans des situations extrêmes, réagit-il ?

Invité·es :

 Ricochets L’émission #3

 

Pour en savoir plus :

La rotonde – Mines Saint-Étienne

Flash sur le sport : la parole est aux scientifiques

FFlash sur le sport : la parole est aux scientifiques

Le sport est à l’honneur avec cette troisième saison de podcast les « Échos du savoir » !

Des sujets variés proposés par des scientifiques de l’Université Gustave Eiffel :

  • Garder la forme ou contrôler ses formes ?
  • La gestion sécuritaire des supporters, efficace ou inadaptée ?
  • Sport à risques = conduite à risques ?
  • Le tourisme sportif est-il accessible aux jeunes des milieux populaires ?
  • Les salles de sport, un univers en perpétuel évolution ?
  • Des nouveaux aménagements pour les JO en 20247 : est-ce bien utile ?
  • Les Jeux Olympiques de Paris vont-ils nous inciter à faire du sport ?
Logo-Podcast-Echos du savoir-Univ. Gustave Eiffel

Crédit : Université Gustave Eiffel

>>> A découvrir sur :

Flash sur le sport

Une initiative du service Diffusion des savoirs et ouverture à la société, de l’Université Gustave Eiffel

>>> Retrouvez les autres saisons des Échos du savoir