RRévolution comptable, pour une entreprise écologique et sociale Dans le cadre des Mercredis de l’Anthropocène, créés et mis en œuvre par l’École urbaine de LyonLe monde actuel fait face à des problèmes récurrents : des crises économiques et financières répétées, mais également des menaces écologiques qui mettent en question la survie même de l’humanité. Des solutions existent mais elles ne pourront s’opérer sans « une refonte drastique du système de comptes capitaliste », autrement dit sans opérer une révolution comptable.Intervenant : Jacques Richard, docteur en sciences de gestion, expert-comptable, professeur émérite à l’Université Paris-Dauphine et ancien membre de l’Autorité des Normes Comptables. Il est l’un des auteurs de Comptabilité financière (11e édition, Dunod, 2018), et de Révolution comptable. Pour une entreprise écologique et sociale (Éditions de l’Atelier, 2020) avec Alexandre Rambaud.Animé par : Fabrice Bardet, ENTPE, directeur du RIVES (laboratoire EVS).Écouter le podcast
VVille et architecture pour les humains et les non humains Dans le cadre des Mercredis de l’Anthropocène (saison 4) créés et mis en œuvre par l’Ecole urbaine de LyonDevons-nous questionner le modèle de la concentration urbaine et reconsidérer celui des périphéries multipolaires ou des cités jardins ?Avons-nous à repenser les espaces habités pour qu’ils constituent des milieux de vie équilibrés sains et protecteurs pour tous ceux qu’ils abritent ?Intervenants :Bernard Kaufmann, maître de conférences en écologie et zoologie à l’Université Claude Bernard Lyon 1. Ses recherches conduites au Laboratoire Écologie des Hydrosystèmes Naturels et Anthropisés se focalisent sur l’écologie urbaine et l’écologie des invasions biologiques.Pascal Rollet, architecte (agence Lipsky+Rollet), Professeur à l’École nationale supérieure d’architecture de Grenoble, et responsable scientifique de la Chaire Habitat du Futur aux Grands Ateliers.Animation : Valérie Disdier, École urbaine de LyonÉcouter le podcast
AArchitecture biomimétique : le nouveau souffle du bâtiment Pour ce nouvel épisode : biomimétisme & architecture. Ou quand nos constructions s’inspirent du vivant pour mieux s’intégrer à leur environnement. Deux frères, architecte et biologiste, unissent leurs efforts de recherche pour développer des solutions de construction et de rénovation des bâtiments moins énergivores et directement inspirés de la nature. Un entretien pour deviner en quoi le biomimétisme peut faire entrer l’architecture dans l’ère de la transition écologique et énergétique.Qu’est ce que le biomimétisme en architecture ? Dans quelles ressources naturelles nos invités puisent-ils leur inspiration ? En quoi la démarche biomimétique peut-elle révolutionner le secteur du bâtiment qui représente encore 30% des émissions nationales de gaz à effet de serre.Léonard de Vinci conseillait à ses élèves d’aller « prendre leurs leçons dans la nature » ; pourquoi s’en priver ?Abonnez-vous !Cet épisode est coproduit avec BioinspiLe premier podcast en France qui vous raconte les histoires fascinantes sur la nature en vous éveillant au biomimétisme et à la bio-inspiration !
SSobriété énergétique. Tout ralentir pour accélérer la transition ? | Pop’Sciences Forum Enregistrement audio du webinaire du 24-11-2020, organisé dans le cadre du Pop’Sciences ForumLa meilleure énergie est celle que nous ne consommons pas. La sobriété énergétique relève de cette « retenue » que nous devrions adopter, en objection à la surconsommation d’énergie – à l’ébriété – dont nous faisons preuve aujourd’hui. Comment y parvenir ?Cette sobriété énergétique recouvre plusieurs scénarios, qui ne visent pas tous les mêmes fins ni ne nécessitent les mêmes moyens. Entre d’un côté le ralentissement général de nos activités, et de l’autre l’optimisation de la performance énergétique du système économique en place. Comment opérer une transition énergétique sous l’angle de la sobriété sans se heurter trop brutalement à des pratiques quotidiennes, sociales et économiques très ancrées ?InvitésNathalie Ortar , anthropologue, directrice de recherche au Laboratoire Aménagement Économie des Transports à l’ENTPE.Natacha Gondran, enseignante-chercheuse en sciences et génie de l’environnement au sein de Mines Saint-Étienne et membre du Laboratoire Environnement ville sociétéMarc Jedliczka , fondateur de NégaWatt et directeur général de l’association HespulAnimation : Raphaël Bourgois , rédacteur en chef d’A.O.C
LLes mesures sanitaires changent-elles notre rapport à l’autre ? Le confinement et la distanciation sociale nous ont-ils rendus plus méfiants, voire plus égoïstes ? Selon l’économiste Marie Claire Villeval, ces mesures ont surtout transformé de façon « immédiate et absolue » notre perception des normes et des comportements, pas notre nature profonde. Pour CNRS Le Journal, elle développe son analyse dans un podcast de la série « La parole à la science ».Marie Claire Villeval est spécialiste d’économie expérimentale et comportementale, directrice de recherche au CNRS, au sein du Groupe d’analyse et de théorie économique Lyon-Saint-Étienne. Elle a reçu la médaille d’argent du CNRS en 2017.
DDéplacés et traversées / Les Mercredis de l’Anthropocène Dans le cadre des Mercredis de l’Anthropocène – saison 4, créés et mis en œuvre par l’École urbaine de LyonUn Mercredi de l’Anthropocène co-organisé avec macLYON / MBA en résonance avec l’exposition Comme un parfum d’aventure (2/12/2020 au 18/07/2021).Intervenants :Xavier Bernier, Professeur en géographie à Paris Sorbonne, directeur du Laboratoire Médiations – Sciences des lieux, sciences des liens. Il étudie les sociétés au prisme de leurs mobilités et de leurs différentes façons de traverser l’espace.Florent Meng, vidéaste et photographe. Il s’intéresse aux populations en interrogeant comment les territoires agissent sur les comportements des communautés, et comment en retour, les attitudes et les coutumes peuvent forger l’identité d’un territoire et d’un peuple.Photo : Florent Meng , AZ/SN III, The Crossers, Rescue Beacons, Buenos Aires National Wildlife Refuge Sector, near Arivaca, AZ, February 2018.Animation : Valérie Disdier, École urbaine de Lyon.Écouter le podcast
QQuels transports pour l’après-Covid ? Plus de vélos, moins de transports en commun, le transfert de mobilité suite au premier confinement semble avoir des effets durables sur notre façon de circuler. Pour Olivier Klein, chercheur en aménagement et urbanisme, même si la voiture individuelle résiste encore, la mobilité d’avant ne sera pas celle d’après… Pour CNRS Le Journal, il développe son analyse dans un podcast de la série « La parole à la science ».Olivier Klein est enseignant-chercheur à École nationale des travaux publics de l’État, ingénieur des travaux publics de l’État, directeur adjoint du Laboratoire Aménagement, Économie, Transports et coporteur du projet Covimob, qui s’intéresse aux transformations des pratiques de mobilités dues à la crise sanitaire du Covid-19.
BBiodiversité et balade sonore Public : Dès 6 ans©Crous LyonÀ la découverte de la biodiversité sur la résidence étudiante Jussieu du Crous de Lyon.Seul ou à plusieurs, sur place en longeant le parcours pédagogique de la résidence ou bien à distance, profitez d’une visite guidée sonore en ligne. Marchez, observez, écoutez : les oiseaux de ce coin n’auront plus de secrets pour vous.Le Crous de Lyon vous propose cette animation à la suite d’un état des lieux de la biodiversité réalisé par l’association Horizon d’Ailes et dans le but de protéger et valoriser ses espaces verts. Écoutez la balade sonore :Cette balade sonore s’inscrit dans le cadre de la Fête de la science 2020 Crous de LyonRetrouvez les autres activités de la Fête de la science 2020 à revivre depuis chez vous
ÉÉtats-Unis : comment se gagne l’élection présidentielle ? Tandis que la campagne pour la maison blanche bat tous les records de stupéfactions et alterne entre coups de théâtre et coups bas, demandons-nous à quoi tient le choix du 1er représentant de la 1ere puissance économique, culturelle et militaire mondiale ?Nous avons reçu Marion Douzou, Maîtresse de conférences en civilisation américaine à l’Université Lumière Lyon 2 et chercheuse rattachée au Laboratoire Triangle. Pour ce nouvel épisode, nous décortiquons les tenants et aboutissants du système électoral américain, les enjeux de la scission idéologique et bipolaire entre républicains et démocrates, et évidemment le rôle joué par la variable majeure du jeu électoral made in USA : l’argent !PPour aller plus loinNébuleuse conservatrice, coronavirus et élections américaines. Marion Douzou, A.O.C, juillet 2020Élections américaines : le droit contre la démocratie ? Cléo Schweyer, Pop’Sciences, octobre 2020Les fractures électorales de la démocratie américaine. Elisabeth Vellet, Le Monde Diplomatique (blog), octobre 2012Des aléas du politique à l’approche des élections américaines. Dick Howard, A.O.C, septembre 2020Comment ça marche, l’élection du président aux États-Unis? Rad, le laboratoire de journalisme de Radio-Canada, 2020 Production, animation : Samuel Belaud (Université de Lyon)Réalisation technique : Flavien Taulelle (Plus Huit Studio)
SSéminaire Médiation scientifique et sciences participatives Public : Dès 18 ansLa médiation habituellement pratiquée dans les musées et centres de CSTI (Culture Scientifique Technique et Industrielle) se trouve reconfigurée dans les projets de science participative.Ici seront évoqués deux programmes de sciences participatives (Vigie-Ciel et Lichens Go !) où deux principes fondamentaux viennent modifier ses pratiques et ses visées : la participation des publics et l’intégration de la médiation à un programme de recherche. La reconfiguration de la médiation se situe au niveau des outils de médiation, des actions et des postures des médiatrices et médiateurs mais aussi au niveau de sa temporalité. Elle s’inscrit dans un temps long, car elle y suit les étapes du processus scientifique.La stratégie de mettre en place un réseau de partenaires relais est essentielle dans ce type de programme car les structures locales connaissent leurs publics et leurs territoires. Selon leurs pratiques et usages, elles intègrent au sein de leurs activités des contenus spécifiques aux projets. Cette stratégie est bénéfique pour l’ensemble des partenaires : cela leur permet d’initier de nouvelles collaborations, de créer de nouveaux contenus de médiation, d’acquérir de nouvelles compétences et connaissances, de gagner une certaine légitimité auprès des collectivités et de renforcer leur attractivité auprès des publics. En caractérisant la médiation scientifique dans ces programmes de sciences participatives et en proposant un référentiel de compétences des médiateur·rice·s, Marie-France Mifune souhaite ici apporter des réflexions et outils pour permettre de mieux concevoir et envisager la médiation scientifique dans les sciences participatives. Ré-écoutez le séminaire !(cliquez sur l’image ci-dessous)Ce séminaire s’inscrit dans le cadre de la Fête de la science 2020 LA BOUTIQUE DES SCIENCESRetrouvez les autres activités de la Fête de la science 2020 à revivre depuis chez vous